Bonjour, je lis depuis un bon moment les histoires de ce site, cette fois je me lance, je vais vous faire partager une histoire sortie de mon imagination, j’espère qu’elle va vous plaire. Bonne lecture.
Je m’appelle Grégory, j’ai 18 ans, 1.80 M 65 Kg les yeux bleus, les cheveux bruns et courts, un peu flué, timide (mais je me soigne). Dans l’ensemble rien de palpitant dans ma vie. J’ai un frère jumeau Frédéric le même en copie mais noir et blanc, nous nous ressemblons comme deux gouttes d’eau mais lui est un peu plus entreprenant avec les filles. Nous sommes un peu sportifs running, VTT et un peu de muscu pour développer le haut du corps, nous ne sommes pas très musclés. Nous avons une mère géniale la cinquantaine, joyeuse et plutôt bien conservée elle fait du running avec nous. Notre père est décédé à la suite d’un accident du travail il y a 4 ans, une période pas très réjouissante pour notre famille, surtout pour notre mère qui s’est retrouvée seule pour tout. Elle essayait bien de refaire sa vie, mais elle n’avait fait que des rencontres sans suite et nous disait toujours que ce n’était pas le bon, ou qu’elle ne retrouvait pas la complicité et la passion passée avec notre père.
Un vendredi soir, en rentrant du lycée avec mon frère, nous sommes internes dans un LEP de la région, une voiture inconnue était garée dans la cour de la maison. Nous rentrons, maman était dans le salon habillée en tenue de soirée, un homme à côté d’elle.
– Bonsoir mes choupinets !
– Maman on t’a déjà dit de ne pas nous appeler comme ça en public ! Surtout devant des gens que nous ne connaissons pas. Disons-nous d’une seule voix.
– Et bien quel accueil ! Je vous présente Maximilien.
– Max, ça suffira. Dit-il.
– Oui Max, reprit maman. Donc, ce soir avec Max nous sortons, et je ne rentrerai pas ce soir. Je vous laisse un peu d’argent pour acheter de quoi manger ce soir. Commandez une pizza ou sortez en manger une, mais ne rentrez pas trop tard demain il faudra que l’on parle, j’ai des choses à vous dire, je reviendrai vers 10 heures. Nous vous laissons, bonne nuit mes choupinets.
– Bonne soirée, dit Max, je suis content de faire enfin votre connaissance.
– Bonne soirée à vous aussi, dit Fred.
Je n’ai pas pu dire un mot. Je suis content pour ma mère, mais ça fait drôle qu’elle ne soit pas là cette nuit, c’est la première fois depuis papa. La soirée se passa bien nous sommes sortis avec les potes du village manger et boire une bière. Nous sommes rentrés à la maison vers 22 H et avant de nous coucher nous parlâmes.
– T’en penses quoi toi de maman ?
– Tu sais, c’est plutôt pas mal. Elle avait l’air d’être heureuse, c’est la première fois depuis longtemps, et puis Max a l’air d’être sympa si elle nous l’a présenté c’est qu’elle se sent bien avec lui.
– Oui t’as raison. En plus il en plutôt pas mal, métis, grand, carré, cheveux poivre et sel…
– T’as changé de bord ? Me questionne Fred.
– Non, mais il est plutôt pas mal pour un homme de son âge. Maman a de la chance de l’avoir rencontré.
– Bon allez éteins la lumière, demain il faudra se lever tôt si nous voulons courir avant son retour.
– Oui bonne nuit.
Le matin suivant nous nous levâmes de bonne heure, petit dej, toilette, running pour la forme et retour à la maison. Une petite douche à deux pour aller plus vite. Etant jumeaux nous faisons beaucoup de choses ensemble, des fois, quand l’un de nous a le cafard nous dormons tous les deux comme quand nous étions petits, mais rien de plus nous sommes hétéros à fond. Bon on s’est comparé la bite une fois ou deux, on a attrapé des filles ensemble, on a fait des trucs à quatre avec nos copines du moment bref des trucs de jumeaux. 10 H arrive, maman toujours ponctuelle rentre à la maison.
– Mes choupinets vous êtes là ?
– Oui nous sommes dans le salon, viens. Dit Fred.
– Alors, la soirée a été bonne ? Lui demandais-je.
– Oui ! Très bonne soirée. Il faut que l’on parle un peu, vous devez avoir des questions à me poser, mais avant je vous dois des explications. J’ai rencontré Max au travail il y a 3 mois, c’est le nouveau livreur de colis. Il m’a de suite donné envie de rire quand il est rentré dans le bureau, dehors il faisait -5 et il était habillé d’un tee-shirt et d’un bonnet. Je l’ai de suite surnommé tee-shirt-bonnet. Nous avons ensuite sympathisé et de fil en aiguille il m’a demandé si je voulais prendre un café après la débauche et voilà c’est comme ça que ça s’est passé. Je prends la parole.
– Et bien c’est une belle histoire que tu nous as racontée, mais pourquoi tu ne nous as rien dit ? Il est déjà venu à la maison ? Il est gentil avec toi ? Il est d’où ?
– Attends, me coupe-t-elle, une question à la fois. Je ne vous ai rien dit car je ne savais pas si c’était le bon. Je voulais vous présenter le bon pour ne pas vous donner de fausses peines, oui il est déjà venu à la maison mais nous faisions en sorte de se voir lorsque vous n’étiez pas là.
– Et le weekend pendant tes sorties avec tes amies ? lui demande Fred.
– Oui c’est arrivé. Mais croyez-moi je voulais vous le présenter dès que j’étais sûre.
– Bon ! Et maintenant que va-t-il se passer ? Il va venir habiter à la maison ? On va chez lui ? Lui demandais-je.
– Non c’est un peu plus compliqué que ça. A l’heure où je vous parle il parle aussi à ses enfants de ce qu’il se passe dans sa vie. Pour le moment rien n’est décidé. D’ailleurs ils viennent manger ce midi on pourra tous faire plus ample connaissance. Bon je vais faire à manger sinon ce ne sera pas prêt à temps. Soyez gentils et mettez la table nous serons 6.
– Donc il a deux enfants. Tu les connais ? Ils sont grands ? Ils sont faits comment ? demande Fred.
– Oui, il m’en a parlé comme moi j’ai parlé de vous. Vous en saurez plus tout à l’heure.
Nous mettons la table et nous montons dans ma chambre pour faire nos devoirs. La discussion s’engage, je commence à peine la porte franchie. – Elle ne nous a rien dit à propos des enfants de Max, c’est des garçons, des filles ou les deux, quel âge ils peuvent bien avoir ? Et si c’était des garçons, vu comment est taillé leur père on va être des rigolos à côté d’eux !
– Nous serons vite fixés, me répond Fred. Ne t’en fait pas ils ne vont pas te prendre ta maman !!
– Ah ! T’es nul, n’importe quoi. Allez ont bosse un peu avant leur arrivée.
Midi sonne à l’horloge. La sonnette sonne.
– Mes choupinets, vous descendez Max est arrivé.
Nous descendons l’escalier en râlant.
– Maman ont t’as déjà dit de ne pas nous appeler comme ça quand y a du monde, on passe pour quoi ??
Après nos paroles j’entends des rires de filles. Je regarde mon frère et je lui dis :
– Je pense qu’on se moque de nous il va falloir dire deux mots à maman.
Nous arrivons dans le salon, et là, nous découvrons les enfants de Max. Maman ne nous avait rien dit laissant mon imagination faire le reste, je pensais avoir tout prévu des gars à l’image de leur père, un gars et une fille, voire deux filles et l’âge je n’en parle pas, mais là je n’avais rien vu venir, des jumelles ! Et de notre âge ! Je comprends pourquoi elle n’avait rien dit. Ma mère fait les présentations.
– Les filles, je vous présente mes fils Grégory et Frédéric.
– Max enchaîne, les garçons je vous présente mes filles Lilou et Jade.
Nous échangeons des politesses et nous passons à table. La première partie du repas se passe bien on peut dire que c’est un round d’observations des politesses, des rires coincés et des anecdotes racontées par les parents respectifs pour bien mettre la honte. Ma première opinion ce sont deux pétasses. La façon de se foutre de notre gueule quand maman nous a appelés, leur façon de rire, leur intrusion dans nos vies bref pour le moment malgré le fait que ce soit de très belles filles, tout ce qu’il faut où il le faut mais sans plus, naturelles et bien habillées, mais ça ne prend pas le dessus sur le reste, en tout cas pour ma part. Je verrais tout à l’heure avec Fred voir ce qu’il en pense, pour moi c’est tout vu ! Le reste du repas se passe comme le début, des blablas, des politesses un peu coincées. Le téléphone de Fred vibre. Sauvé les copains veulent faire un foot, on va sauter sur l’occasion pour filer. Une bise à tout le monde et on se casse.
– Maman, dit Fred, on va faire un foot avec les copains, on revient vers 19 h.
– Vous exagérez les gars, nous avons des invités et vous partez comme des voleurs !
Nous montons dans nos chambres, faisons nos sacs, un petit au revoir à nos invités et direction le stade. La partie de foot a déjà commencée quand nous arrivons. Paul notre voisin nous interpelle.
– Dites les gars, vous branlez quoi ? Ça fait un moment qu’on vous attend.
– Nous avions des invités à la maison, le nouveau copain de notre mère et ses filles, lui répondis-je.
– Ah, c’est elles que j’ai vu rentrer chez vous, je les connais, ce sont les filles d’un ancien collègue à mon père elles sont bonnes mais super connes vous n’avez pas de chance.
Cela conforte mon opinion. Mon frère commence à penser pareil. L’heure venue nous rentrons à la maison. Maman nous attend mais pas de bonne humeur. Elle nous passe un petit savon sur notre attitude envers Max et ses filles. Tout penaud nous montons nous laver à l’étage. Sous la douche nous admettons nos erreurs, mais nous n’avions pas tout à fait tort selon les dires de Paul. A l’heure du diner nous descendons à la cuisine, maman est au téléphone avec Max. En nous voyant elle raccroche et nous appel.
– Fred, Greg venez j’ai une chose à vous dire.
– oui on sait, mais elles se sont moqué de nous quand nous sommes descendus.
– Oui mais il n’y a pas que cela. Nous sommes ok avec Max, le weekend end prochain nous partons tous ensemble en vacances.
– Des vacances, mais l’école n’est pas finie ! Lui dis-je.
– Nous sommes mi-juin les cours sont presque finis, vous comme les filles n’avez pas d’exam cette année et avec Max on va pouvoir se libérer pour ce weekend.
– Mais c’est le weekend de la fête d’anniv à Marco, on va louper la fête de l’année, lui balance Fred.
– Putain, ouais j’avais pas suivi, merde c’est pas juste.
– Reste poli Greg, tu veux bien. Ce sera ce weekend et puis c’est tout. Nous partirons jeudi matin et nous reviendrons dimanche soir, fin de la discussion.
Le repas se déroule sans un mot de trop. Aussitôt fini nous montons dans nos chambres. Le dimanche est moins tendu et le lundi matin nous partons au lycée. Nous expliquons aux copains pourquoi nous ne serions pas là pour l’anniv de Marco. Tous compatissent, surtout Paul qui nous met en garde et nous raconte des histoires sur les filles de Max, comme quoi ce sont des pétasses, qu’elles sont hautaines et certainement lesbiennes. Le jeudi soir arrive, maman viens nous chercher au lycée. De retour à la maison, nous voulons préparer nos sacs. Maman nous dit juste de prendre des vêtements légers comme si nous partions à la mer. La « punition » ne me semble finalement pas si terrible que ça. Mercredi matin, Max arrive avec un minibus. Tous ensembles dans la même voiture, ça promet. On se dit tous bonjour, avec Fred on se collent au fond du bus, la playlist dans les oreilles. Les filles font de même. L’ambiance est au top. Deux heures plus tard, nous arrivons près d’un camping mais pas au bord de la mer.
On fait le tour et nous arrivons à un embarcadère. Putain on va faire du bateau ! On va se retrouver à 6 sur un petit bateau sur un canal. L’enfer !!!!Je regarde Fred, il a le même regard de désespoir, je jette un coup d’il aux filles, pas très emballées non plus. Max et maman descendent et nous appel.
– Allez les enfants, tout le monde descend vous aidez Max à charger le bateau c’est le numéro 4 qui est là-bas, moi je vais à la capitainerie pour le permis.
Nous prenons tous nos affaires et les courses pour 3 jours. Nous chargeons le bateau et on commence à en faire le tour. Un grand pont cabine qui fait cuisine et salon, un petit couloir nous emmène à la salle de bains, aux toilettes et aux chambres. Deux petites avec 2 lits et une avec un lit double. Le poste de pilotage est au-dessus du pont et à l’avant une aire de bronzage avec 2 transats. Je prends la chambre de droite avec Fred et les filles la gauche laissant la chambre avec le grand lit pour les parents. Le moniteur arrive avec maman.
-Alors les gars c’est à vous que j’apprends à piloter ou aux filles ?
– Pourquoi nous ? Je regarde ma mère j’ai peur de comprendre.
– Oui mes choupinets ! Vous partez seuls avec les filles. Il faut que vous vous entendiez bien et qu’à la fin de ce weekend vous soyez réconciliés ou au moins d’accord pour ne pas vous faire la tête. Je regarde les filles elles sont aussi surprises que nous. On peut lire dans nos yeux toute la détresse du monde.
– Bon alors à qui j’apprends à piloter reprend le formateur.
On se colle à la formation tandis que les filles mettent de l’ordre dans le bateau. La formation acquise, nous sommes fin prêts à partir. Il est midi nous mangeons tous ensemble, et nous partons.
– Lilou demande à son père où ils vont.
– Nous avons loué un petit gîte tout près de votre arrivée nous vous retrouverons là-bas dimanche en milieu d’après-midi.
Jade reprend :
– C’est pas cool ce que tu nous fais là ! Nous n’y sommes pour rien dans l’histoire.
– Et bien dans ce cas faites le premier pas vers Fred et Greg ils ne sont pas si terribles que ça !
Les parents descendent du bateau et nous larguons les amarres. Sur le trajet pas de surprises, pas d’écluses et des ports d’attache à proximité de petits villages pour les nuits. Nous sommes aux commandes du bateau, Lilou et Jade sont dans leur cabine depuis le départ leur discussion va bon train.
– Il exagère quand même papa. Nous laisser seules, là, avec les deux autres sur le bateau, putain c’est la mort.
– Du calme Lilou dit Jade, ça va peut-être finir par s’arranger, ils ont l’air gentils et puis si personne ne fait le premier pas, le problème ne se règlera pas.
– Ok qu’est-ce que tu proposes alors ?
– Déjà on va faire un peu de bronzette et après nous verrons bien, une occasion va peut-être se présentée. Allez enfile ton maillot.
Elles se déshabillent dans leur cabine. Elles aussi sont jumelles depuis toutes petites elles ont l’habitude de se voir nues. Elles font glisser leurs sous-vêtements sur leurs peaux douces et ambrées laissant apparaître leurs formes de jeunes et jolies femmes. Elles ont presque le même corps de beaux seins bien fermes, de belles fesses rebondies viennent terminées une chute de reins magnifique et un pubis complètement lisse. Elles enfilent leurs maillots deux pièces jaune qui font encore plus ressortir leurs formes. Elles sortent de leur cabine, passent sur le pont et filent sur l’aire de bronzage, leur sortie ne nous laissent pas indifférent.
– Moi aussi dit Fred, je vais me mettre en tenue plus légère. Prend la barre, je vais me changer.
Il revient un moment après, il est tors nu et porte le jammer que nous avons acheté l’année dernière pour les vacances. Il reprend la barre et je vais dans la cabine pour l’imiter. Je reviens un moment après dans le même maillot, nous ne sommes pas jumeaux pour rien. Nous sommes plutôt avantagés dans ces maillots, certes nos corps ne sont pas très musclés voir plutôt maigres, mais le jammer laisse deviner que nous ne sommes pas chétifs à l’intérieur. Le temps passe, les kilomètres aussi. Nous arrivons au premier port. Les filles se lèvent et après des messes basses passent à côté de nous, Jade nous dit :
– Nous allons nous changer et nous irons faire les courses pour ce soir, mais demain ce sera à votre tour.
Nous acquiesçons de la tête et amarrons le bateau pour que ces belles puissent descendre. Dans la cabine la discussion reprend.
– Tu les as vus en maillot ! Ils sont plutôt pas mal dit Jade.
– Il faudrait qu’ils fassent de la muscu, ils ne sont pas très galbés répond Lilou.
– Oui mais dans le maillot !!!
– T’es pas bien dans ta tête ?
– En passant je les ais regardés et leur jammer lui il était bien galbé. Ils ne seraient pas si cons j’en ferais bien mon casse-croûte.
– Arrête de raconter des conneries plus grosses que toi, et habille-toi qu’ont aillent faire les courses il est déjà 18 H et les magasins ne doivent pas fermer tard ici.
Lilou et Jade remonte de leur cabine, elles nous demandent ce que nous voulons manger ce soir et disparaissent dans le village. Dix minutes plus tard, elles reviennent sans courses. Je regarde mon frère et lui dit :
– Tu vois on est mal barré, pas capable de faire des courses.
Jade s’approche du bateau et lance :
– Il y a un petit resto qui fait snack et ce soir il y a un concert vers 21 H ça vous dit vous qui aimez la musique et puis il n’y aura pas de vaisselle à faire.
On se regarde avec Fred.
– Pourquoi pas !! Lui répondis-je. On va se laver, se changer et on arrive.
Finalement elles n’ont pas l’air si connes que ça. On se prépare vite fait et nous les rejoignons à terre. Nous arrivons dans le resto. Sympa, tout le monde nous regarde, nous faisons un peu tache dans la clientèle. Le repas se passe bien. L’alcool aidant les langues se délient un peu. Puis se fût la catastrophe. Le concert commença, le pire que je n’avais jamais entendu. Le groupe devait connaître le patron pour qu’ils les laissent jouer, c’était nul et le "chanteur" n’était pas bon. Nous avalons une dernière bière et nous partons nous coucher. Sur le temps du trajet retour les critiques fusent. Pour une fois nous sommes d’accord sur une chose plus de concert de rock dans les petits villages. Nous arrivons au bateau, petite réunion avant de dormir.
– Demain nous partirons de bonne heure, le top ce serait de prendre le petit dej vers 8 H comme ça nous pourrions profiter de la petite plage qui se situe sur le trajet. Sur ce, bonne nuit.
Pour la première fois depuis le début du voyage, nous nous faisons la bise et nous allons nous coucher. Le lendemain matin Fred et moi se réveillons de bonne heure, persuadé que Lilou et Jade n’étais pas levées nous frappons à leur porte. Pas de réponses. Nous avançons sur le pont et là surprise : Lilou avait préparé le p’tit dej et Jade arrivait avec les croissants juste sortis du four.
– Salut les garçons ! Lancent-elles en cur, café ou chocolat ?
– Bonjour les filles ! Chocolat s’il vous plaît.
Nous mangeons et larguons les amarres. Finalement je me demande si nous n’avions pas mal jugé les filles, mais selon les dires de Paul c’étaient des pestes. Je suis un peu perdu. J’appelle Fred et nous entamons le débat. Je lui dis :
– Je pense que je me suis trompé à propos des filles.
– Tu crois ?
– Oui je me suis laissé avoir par les propos de Paul, je ne sais pas pourquoi, mais il a tout fait pour nous dresser un portrait négatif des filles.
– Je n’ai pas été mieux dans l’affaire, je pense que Paul a dû essayer avec une des deux voir les deux et ça n’a pas marché, et il est peut-être jaloux de nous, de les avoir alors que lui non.
– Attend, là il se fait des idées, il n’y a rien entre nous, on va être frères et surs.
– Tiens, c’est la première fois que tu parles de surs !!
– Oui, il va falloir se faire à l’idée, maman a l’air de bien aimée Max et lui aussi alors je pense que nous allons avoir des demi-surs.
– Des surs, coupe Jade, elles étaient dans notre dos, on ne les avait pas vu.
– Oui les choupinets, des surs, mais rassurez-vous c’est moins pire que d’avoir des frères.
Tout le monde éclate de rire. La matinée passe à toute vitesse comme le trajet et nous arrivons à la fameuse plage indiquée sur le guide. Nous amarrons le bateau à l’embarcadère et descendons prendre du bon temps sur la plage. Personne à l’horizon, on dirait que nous sommes seuls sur le canal. Nous faisons un rapide déjeuné : une salade, un dessert et nous voilà repartis à la plage. Jeux d’eau, bronzage. Nous levons l’ancre vers 16H pour arriver au port d’attache suivant. Nous amarrons le bateau, prenons une douche rapide et nous partons faire les courses au village. Nous revenons un peu plus tard avec une bonne nouvelle.
– Les filles, ce soir c’est karaoké au village ça vous dit ?
– Ouais super, en plus nous chantons super bien.
– Mieux que le chanteur d’hier soir ? lance Fred – Y a pas photos répond Lilou.
– Bon, nous allons réserver les places, le resto et on revient.
Nous revenons 15 minutes plus tard, les filles ne sont pas prêtes, on boit une bière avec Fred quand les filles sortent de leur cabine. Elles sont habillées pareilles, comme des jumelles. Elles portent toute les deux une minijupe, un haut très moulant et des petites sandales. Nous arrivons au resto, prenons place et commandons un apéritif pour nous mettre en bouche. Dans la salle des gens du cru. Des jeunes, des moins jeunes et quelques touristes. Le repas commence et le karaoké aussi avec lui les casseroles et les super chanteurs. Le présentateur tire alors nos prénoms.
– Les prochains candidats sont Fred et Greg, dit-il. Ils sont où ? Allez n’ayez pas peur, ah les voilà. Allez, venez les jeunes. Bonsoir, vous n’êtes pas d’ici ?
Fred prend la parole :
– Non, nous sommes de passage chez vous et en vacances.
– Ok, vous êtes jumeaux ?
– Vous avez l’il.
– Bon, qu’est-ce que vous voulez chanter ?
– Je n’ai pas d’idée on va piocher dans le chapeau et on verra !!
Fred tire et sort une chanson de Johnny "je te promets", pas du tout notre répertoire mais bon le sort en a décidé ainsi. La musique démarre nous commençons à chanter une phrase chacun notre tour et le refrain en cur. Nous chantons dans le rythme mais complètement faux, c’est une catastrophe pire que le chanteur d’hier soir, nous essayons de faire un jeu de scène en nous donnant en spectacle, mais rien n’y fait, nous chantons toujours faux malgré les encouragements de nos surs. La chanson se termine enfin, le public est sympa, il applaudit. Merci à tous clame Fred et nous retournons nous assoir avec les filles. Un peu plus tard dans la soirée c’est au tour des filles de monter sur scène. Le présentateur n’en revient pas encore des jumelles. Il leur pose les mêmes questions qu’à nous et les mêmes réponses sortent en rajoutant juste que les jumeaux d’avant c’étaient leurs frères. Finalement je me suis bien trompé à leur sujet. Elles tirent une super chanson, le lac du Connemara, la plus connue des chansons de clôture de boîte de nuit.
Pour mettre le feu à une salle de karaoké, il n’y a pas mieux. La musique commence et le show aussi. Elles dansent, chantent se mettent en scène, font lever les gens, bref elles mettent le feu, elles sont époustouflantes. La chanson se termine, standing ovation et respect, jamais j’aurais cru voir ça. Elles reviennent à table complètement essoufflées, la soirée se finie là-dessus, on boit une dernière bière avant de repartir pour le bateau. Je fais un arrêt pipi avant de partir Fred m’accompagne et les filles sortent nous attendre. La pose finie nous sortons et là, stupeur, les filles se sont faites des copains mais pas des bons, trois jeunes complètements bourrés se collent à leurs basques. Le ton monte vite et les gestes aussi. Le premier attrape Jade par le bras. Lilou veut s’interposer mais les deux autre l’en empêche. On se rapproche d’eux en courant, je saute sur le gars pour libérer Jade, Fred leur crie dessus pour qu’ils lâchent Lilou. Arrivant à leur hauteur, les gars prennent peur et lâche Lilou.
Ils sont complètement bourrés, un peu d’intimidation et ils partent. Les filles se jettent dans nos bras et fondent en larmes. Nous rentrons au bateau assez rapidement de crainte qu’ils ne reviennent, les paroles ont suffi pour les faire fuir une fois, mais s’ils revenaient pour se battre là ce serais une autre paire de manches, en plus les gens autours nous regardaient sans rien faire. Nous montons sur le bateau et instaurons un tour de garde le temps que Lilou et Jade se remettent de leurs émotions. Personne à l’horizon c’est une nuit très claire et la lune éclaire plutôt bien. Nous rentrons voir les filles pour les calmées. Elles sont choquées surtout Jade elle pleure encore à chaudes larmes mais elle commence à se calmer.
– Tu imagines s’ils étaient revenus pour se battre dit Jade.
– Avec votre musculature nous n’avions aucunes chances de gagner, dit Lilou.
– Quoi, dit Fred en enlevant son tee-shirt, s’ils étaient revenus ils auraient goutté à tous ces muscles.
Je le regarde, je fais pareil et j’ajoute :
– Ils n’avaient aucunes chances face à nous. Tout le monde se mit à rire.
– En tout cas c’est gentil de vous être interposés comme ça, merci les frérots. Allez venez on se fait un gros câlin.
On se sert dans les bras les uns des autres. Au moment où Je prends Jade dans mes bras, sous le coup de l’émotion je me mets à bander. La bosse déforme mon pantalon et Jade s’en aperçoit. Elle me glisse dans l’oreille :
– Ne t’en fait pas, je ne le dirais à personne ce sera notre secret. Dit donc t’est plutôt bien monté !
Je ne peux pas répondre tant je suis troublé et mon érection monte de plus en plus depuis la déclaration de Jade. Elle reprend :
– Je vais me coucher, mais si tu veux, d’ici un moment, on peut se retrouver, je suis curieuse de voir ce qui se cache sous ton boxer. Elle s’éloigne de moi et ajoute tu viens Lilou on va se coucher.
Les filles rentrent dans leur chambre et Jade me fait un clin d’il. Je lui renvoie mais je me fais griller par Fred. Il m’interpelle dès que nous rentrons dans la nôtre.
– Tu joues à quoi avec Jade ? Je te rappelle que c’est notre sur maintenant.
– Et c’est toi qui me dis ça ! Hier quand tu t’es mis en maillot ce n’était pas pour rien, j’ai bien vu ton petit manège, tu ne dis rien mais t’en penses pas moins.
– C’est vrai elle ne me laisse pas indifférent, en parlant de Lilou, t’as de la chance, Jade t’as à la bonne depuis ton action de ce soir, Lilou n’a pas l’air d’être open. Tu la rejoins quand ?
-D’ici un petit moment, le temps que sa sur s’endorme, ça ne devrait pas tarder.
– Et vous allez …
– Elle m’a dit qu’elle voulait voir ce qu’il y avait sous mon boxer et que j’étais plutôt bien monté. Depuis le début de nos relations avec les filles en général, on partage nos expériences dans les grandes lignes, mais on ne rentre pas dans les détails intimes.
– T’as ce qu’il faut au cas où ?
– Oui j’en ai toujours dans ma sacoche.
– Bon, amuse-toi bien alors.
Sur ses mots, je quitte la chambre pour aller sur le pont et je m’installe sur la banquette du salon. J’attends. J’ai peur que Jade ne se désiste. Je suis tout excité et mon sexe est déjà un peu raide. J’attends depuis un petit moment, personne ne bouge. Lilou a certainement mis du temps à s’endormir, enfin j’espère. Soudain une ombre se dessine dans le couloir, c’est de Jade. Elle vient s’assoir près de moi. A la lumière de la lune, je devine qu’elle ne porte qu’une nuisette. Elle me prend le bras et se colle à moi la discussion s’engage.
-J’ai eu peur que tu ne viennes pas.
-Lilou a percée notre secret, elle a tout de suite vu que tu bandais tout à l’heure et dès que nous sommes rentrées dans la chambre elle à commencer à me faire la morale, comme quoi ce n’était pas bien, l’excuse de la famille, qu’allais penser notre père s’il l’apprenait, j’ai trouvé ça bizarre de sa part, elle n’est pas du genre à être farouche sauf avec les petits cons.
– Du genre de Paul ?
-Tu connais Paul ?
– C’est notre voisin. Il vous a décrit comme des grosses connes et j’en passe.
– C’est sûr il n’a pas apprécié ce que nous lui avons fait. Un jour au repas d’entreprise de nos parents, nous avons fait connaissance, il est plutôt pas mal, vous mais en plus musclé. Il nous a chauffé toute les deux et nous propose un plan à trois, nous n’étions pas contre et nous nous sommes éclipsés du repas prétextant une sortie avec des copines. Nous nous sommes retrouvés chez lui peu après. Nous nous mettons à l’aise et commençons les préliminaires, ont se retrouvent vite à poils et là il sort son portable et commence à filmer. Pas question ! Le ton monte, Lilou lui attrape son portable et le fracasse contre le sol. On s’habille vite fait et on rente chez nous laissant Paul sur sa faim. Depuis il nous a toujours fait passer pour des connasses.
– Ok je comprends mieux pourquoi, je ne le pensais pas comme ça et vous non plus.
– T’as jamais fait de plan à trois avec ton frère ? A ces mots elle se rapproche de moi, nos lèvres entre en contact et ses mains se posent sur mon boxer. Je t’avais dit que j’étais curieuse.
Son geste a pour effet de me faire exploser. Je l’attrape par la taille et l’assoie sur mes genoux. Nous sommes face à face, nos regards se croisent, nos lèvres se touchent encore. Nous sommes sur la même longueur d’onde, nos désirs sont les mêmes. Mes mains parcourent son corps, je remonte ses cuisses, passe sous sa nuisette, mes doutes se confirme : pas de culotte. Je continu en remontant ses fesses, sa peau est douce, je vais jusqu’aux épaules, je redescends et passe par devant. Jade s’occupe de moi, une de ses mains passe dans mes cheveux et l’autre me caresse la bite à travers mon boxer. Je lui enlève sa nuisette, son corps se dévoile au clair de lune. Ma main gauche passe derrière sa tête et la rapproche, nous nous embrassons à pleine langues. L’autre commence à fouiller son intimité, elle est déjà toute trempée, j’écarte ses lèvres et mon pouce titille son clitoris, elle pousse de petits gémissements et son corps ondule au rythme de mes massages. Elle se lève, se met à genoux devant moi, attrape mon boxer et le fait glisser à mes chevilles.
Ma bite sort comme un diable de sa boîte, droite comme un i. Jade la prend d’une main.
– Elle n’est pas si terrible que ça ! Non je plaisante, certes elle n’est pas très longue mais bien épaisse, je sens que je vais bien aimer.
Jade se rapproche de mon chibre, fait glisser sa langue de haut en bas, fait le tour de mon gland et le gobe. Un soupir de satisfaction sort de ma bouche, les gouttes de près sperme perlent sur mon gland.
– Hum ! Elle est bonne ta bite, me dit-elle.
Jade continue de me sucer, de me branler et de jouer avec mes boules en même temps. Elle se délecte et de temps en temps je sens son nez toucher mon pubis, la gorge profonde c’est un régal. Elle relève la tête pour reprendre sa respiration, des filets de bave pendent de sa bouche et elle reprend la fellation, je sens monter la jouissance.
– Doucement, je vais jouir.
– Pas de soucis, j’ai hâte de goûter ton nectar vas-y laisse toi faire.
Sur ses paroles je perds les pédales, je m’abandonne à sa bouche experte et lui envoie trois grosses giclées au fond de la gorge. Elle me nettoie jusqu’à la dernière goutte. Je me suis rarement fait sucer de la sorte. Est-ce l’interdit ou juste une experte, je ne sais pas mais c’était trop bon. Le temps de reprendre mes esprits, je la bascule sur la banquette et lui écarte les jambes laissant apparaître sa petite chatte bien lisse. Elle est toute humide. Je commence par jouer avec son clitoris, un coup de langue à gauche un autre à droite et il se redresse, Jade soupire de plaisir. Tout en continuant mon cuni, j’introduis un doigt puis deux dans sa caverne bien huilée, elle se cambre, se tortille tout en se caressant les seins, la vision est sublime. J’ai envie de la pénétrée, ma bite a repris de la vigueur. Je remonte vers son visage tout en lui embrassant les seins au passage. Je m’approche de son oreille et lui dit :
– J’ai envie de te faire l’amour t’es partante.
-J’attends ça depuis tout à l’heure. Vas y met la moi.
– Attend je mets un préservatif.
– Pas la peine je prends la pilule et je suis clean. Et toi ?
– Pas de soucis de ce côté-là, ce sera la première fois sans.
– Je suis heureuse que ce soit avec moi, il va falloir faire tout doux pour que tu ne partes pas trop vite.
– T’inquiète je vais prendre tout mon temps, j’ai envie de savourer cet instant.
J’attrape ma queue et la présente devant sa fente, mon gland joue avec son clito. D’une petite poussée, je m’introduis à l’intérieur centimètre par centimètre jusqu’à ce que nos pubis entrent en contact. Je reste un moment sans bouger, j’embrasse Jade, lui malaxe les seins et commence mes va et viens. Elle fait onduler son bassin au rythme de mes coups de butoir et mes couilles viennent claquées sur son cul. Hum c’est bon. Notre respiration s’accélère, nous faisons de plus en plus de bruit, mais peu importe le plaisir est trop fort. On change de position, je m’allonge sur la banquette Jade monte sur moi à califourchon et s’empale sur ma queue. Son vagin est chaud et bien huilé. Mon chibre glisse à l’intérieur comme dans du beurre. Nous essayons de ne pas faire trop de bruit, mais la jouissance monte dans nos corps, Jade accélère la cadence, son vagin se contracte, elle jouit, ses cris me font jouir aussi, je lui envoie quatre giclées au fond de sa grotte. Elle s’affale sur moi, notre respiration ralentie et redevient normale.
Nous nous relevons, nous embrassons. On se caresse le corps, on profite du moment tranquille comme deux amoureux. Nous voyons une lumière provenant de la chambre des filles, on s’approche, Jade pousse la porte, ce sont Lilou et Fred qui sans doute excités par nos ébats se donnent du plaisir. Fred est en train de prendre Lilou en levrette. Elle se cambre à chaque coup de bite pour qu’elle rentre le plus profond possible. Le rythme s’accélère, leurs souffles sont courts et rapides, leurs cris sont de plus en plus forts, et dans un dernier coup de bassin, ils jouissent tous les deux et Fred éjacule en elle. Il s’effondre sur le lit, résultat d’une bonne partie de jambes en l’air, Lilou se retourne et se blottie contre lui tout en l’embrassant.
– Et bien mes cochons, c’est du beau travail tout ça, leur lance Jade.
Leurs sangs ne fait qu’un tour, ils sautent sous les couvertures pour ne pas être vu.
– On pourrait avoir un peu d’intimité, et puis vous n’êtes pas mal non plus dans votre genre, répondit Fred. On vous entend depuis le village.
– Ça va, ça va on a compris. Bon moi j’ai soif, un petit verre dans le salon ?
– Ok Greg, on arrive.
Je vais dans ma chambre passe un short et monte sur le pont. Jade entre dans sa chambre, ça ne la dérange pas de se montrer nue devant Fred, d’ailleurs il va bien devoir lui aussi sortir du lit.
– Tu as l’air d’être choqué de me voir nue, t’as vu ma sur nous sommes presque pareilles. Tu sais, tu peux sortir des couvertures je ne vais pas te manger, comme ça j’aurais vu les deux choupinets cette nuit.
– Doucement Jade, c’est chasse gardée lui dit Lilou. Tient prend cette serviette et va mettre quelque chose pour cacher ce joli petit cul.
Fred enroule la serviette autour de sa taille et sort de la chambre.
-Et bien c’est la première fois que je te vois comme ça avec un mec, d’habitude tu as l’âme partageuse !
– Là c’est différent, c’est bizarre, c’est étrange, je ne sais pas ! Je ne l’aime pas, enfin si, non, je ne sais pas c’est particulier et j’aimerais bien que ça le reste.
– Bon, je te le laisse, le mien est mieux de toute façon. Nous avons fait l’amour sur la banquette du salon, c’était divin mais c’est vrai que c’était particulier. J’espère bien remettre ça plus tard. On va au salon ?
On se regroupe autour de la table et je sers les rafraichissements. Avec cette chaleur et tout le sport de cette nuit il faut s’hydrater. Tous sommes silencieux, comme si nous étions gênés de ce qu’il c’était passé. Je lance la discussion :
– Je vous dois des excuses les filles. Je vous ai mal jugé. Dès que nous nous rencontrés, je me suis braqué contre vous. Les dires de Paul ne m’ont pas encouragé à m’ouvrir à vous et j’ai emmené Fred dans mon délire contre vous. Je vous présente mes excuses les plus sincères.
– Encore un coup de se putain de connard de Paul.
– Vous connaissez Paul, mais comment ? Qu’a-t-il fait pour le traiter de la sorte ? Ça doit être quelque chose ?
Lilou le met au courant en lui racontant une version soft de leur mésaventure.
– Quel connard, si je le revois je lui casse la gueule.
– Attend Fred dit Jade. Il va falloir se mettre d’accord sur la suite des évènements, que faisons-nous ? Que dit-on ? On continue ou on ne continue pas ? On passe en relation exclusive ou on fait ce que l’on veut et on se retrouve de temps en temps ?
– Je ne sais pas ce qu’il faut faire. Lui répondis-je. Techniquement nous n’avons rien fait de mal, pas d’inceste, nous ne sommes pas frères et surs, nos parents viennent juste de se rencontrés et je n’ai pas envie de perdre cette relation avec toi, même si je sais qu’elle sera particulière.
– Bon, dit Lilou la nuit porte conseil, on verra demain matin. Tu viens Fred, on va se coucher ?
– Pas folle l’abeille, lui dit Jade. Tu veux en profiter encore un peu avant la fin du voyage ?
– Juste reprendre où vous nous avez interrompus tout à l’heure. Et vous, vous allez enfiler des perles peut-être ?
Nous rangeons la table et nous partons dormir chacun avec notre dulcinée. Le lendemain matin, je me réveille avec une drôle de sensation. Une sensation drôlement bonne, j’ouvre les yeux et je vois Jade en train de me sucer.
– Ah quand même, tu te réveil. Ça fait déjà un bon moment que je te suce, je croyais que tu étais mort ! Allez au boulot mon choupinet, tu as du retard par rapport à ton frère. Lilou a pris cher ce matin et là ils remettent ça !
– Tu es jalouse ! Tu vas voir ce que tu vas prendre.
Je la retourne face à moi couchée sur le lit. Elle écarte les cuisses comme pour me dire vas-y je n’attends que ça. Je réponds favorablement à son appel, je présente Kiki devant sa chatte (oui c’est le surnom de ma bite, c’est classique mais j’aime bien), elle me guide et je pousse doucement pour entrer, elle m’attrape les fesses et me fait rentrer d’un coup sec.
-Vas y prend moi comme un fou, défonce-moi la chatte comme si c’était la dernière fois.
– Et bien ! T’es en forme ce matin, tu vas voir, tu ne vas pas être déçue. Je commence à la ramoner et mes coups de bassin la font crier de plus en plus fort. J’accélère mes coups de butoir, Jade ne peut plus parler, elle est prise de spasmes. Je me retire, elle me dit de continuer. Je la retourne et la prends en levrette, elle se cambre et gémie de plus en plus.
– Oui vas-y prend moi. Vas-y plus fort, plus vite. Oui OUIIII OUIIII, c’est bon ouiiii, humm, continuuuu.
Je ne peux pas tenir plus longtemps, c’est trop bon, trop intense. Ramoner le vagin de Jade si fort, si violemment, je ne l’imaginais pas, c’est une sacrée cochonne quand même. Dans un dernier râle je lâche la purée, quatre jets lui remplissent le vagin. Elle frémie, se couche sur le lit et tremble de partout. Elle me regarde d’un air de dire putain, là tu m’as mis une bonne cartouche. Je regarde mon portable, il est 9 H. J’embrasse Jade qui commence à se rendormir, met mon short et vais réveiller Fred. Je tape à la porte :
– Allez debout ! Faut préparer le petit dej et voir combien il nous reste de route.
Fred sort en caleçon.
– Putain t’as vu l’heure !
– Oui mais il faut se préparer, voir ce qu’il nous reste à manger et le temps de parcourt jusqu’à l’arrivée, je te rappel que maman et Max nous attendent pour le milieu d’après-midi. Faut pas traîner si on veut faire une petite sieste après manger.
– Tu ne perds pas le nord ! T’as raison il vaut mieux prévoir.
Nous avançons au poste de pilotage, il reste 6 H de navigation.
– C’est un peu juste, mais en se relayant on pourra faire la sieste dit Fred. Et niveau bouffe, il nous reste quoi ?
– Pour le petit dej c’est bon, par contre le repas du midi va être rapide. Salade de tomates, poulet froid chips et fruits en dessert.
– Pour moi c’est ok. Je vais voir les filles et je leur expose le programme de la journée en leur faisant comprendre que si elles sont sages, il y aurait une surprise après manger.
Je prépare le petit dej, et fais chauffer le bateau. Les filles reviennent avec Fred nous déjeunons et elles disparaissent dans la salle de bain. Fred largue les amarres et je pilote le bateau. Dans la salle de bain, la conversation va bon train :
-Alors raconte-moi comment vous avez finis ensemble hier soir, tu n’étais pas très chaude quand je suis sortie ? C’est lui ou toi qui a fait le premier pas ?
– Tu vas rire, ni l’un ni l’autre. Quand vous avez commencé à faire du bruit, nous sommes sortis en même temps des chambres avec certainement la même envie, mais nous ne savions pas comment aborder l’autre. Le fait d’être sortis en même temps a brisé le tabou et nous nous sommes embrassés. Après la suite tu la connais.
– Et alors il est comment ?
– J’ai vu Greg à poil hier soir, et niveau sexe je dirais que Fred est un peu plus long mais un peu moins large.
– J’aurais bien voulu comparer moi aussi. Et il est per