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Natalie – Chapitre 16

Natalie - Chapitre 16



Je subis cinq orgasmes d’affilée et eux restent imperturbables ; les sexes sont toujours dressés mais ils ne crachent pas leur liqueur.

— Donnez-moi votre sperme, je leur crie, j’ai soif de vous.

Et eux de continuer. Nouvel orgasme de ma part ! Nouvelle permutation ! Je n’en peux plus.

Conrad entre dans la salle.

— Alors Natalie, tu en redemandes ?

— J’en redemande toujours, tu le sais bien. Je ne suis pas une petite fille sage

— C’est vrai, et je pense que tu mérites quelques coups de cravache. Allez les gars, enlevez-lui son bustier.

Je suis soulevée sans ménagement et me retrouve bientôt entièrement nue. Je frémis à l’idée de ce qui va se passer.

— Tu vois, Natalie, me dis Conrad, J’ai réfléchis à cette idée dont je t’ai parlé tout à l’heure. Cela avait l’air de te brancher, alors nous allons faire une répétition, pour voir, entre amis. Tous d’abord, il faut t’habiller convenablement.

Conrad sort de sa poche une chaîne métallique. C’est en fait un collier à chien qu’il m’attache autour du cou. Mon cur bat la chamade comme jamais et je sens mon vagin envahi de pulsations intenses. J’en finis par uriner !

— Ah la salle chienne, crie Conrad ! Elle mérite vraiment sa punition. Attachez la à quatre pattes sur cette table.

Les trois cameramen me soulève comme une plume et mes mains et genoux sont bientôt fixés par des sangles de cuir. Mes chevilles, quant à elles dépassent du bord de la table. Je suis désormais, immobilisée sur la table, à leur merci. Je regarde sous moi et je vois mes seins qui pendent et tout là-bas, entre mes cuisses, la preuve de mon excitation coule en en long filet de cyprine.

Je reçois vingt coups de cravache sur les fesses. Même s’ils ne sont pas violents, je commence à ressentir la chaleur envahir ma peau. Puis je suis empalée en levrette par un des cameramen. Lui reste immobile et joue sur mon bassin pour effectuer les mouvements de va-et-vient. Cette fois, il semble vouloir aller jusqu’au bout car il tire sur mon bassin de façon frénétique. Au bout de quelques minutes, il se décharge longuement en moi. Il se retire et vient se positionner devant moi afin de se faire nettoyer le sexe. Je m’active à cette tâche avec ferveur.

Quarante coups de cravache me sont alors donnés sur les reins. Jamais, je n’avais subi cela. Ce n’est pas vraiment mon style, mais je joue le jeu car j’avais été la première à mettre l’ambiance en choisissant ma tenue.

Je regarde à nouveau sous moi. Ce n’est plus de la cyprine qui coule en filet de mon sexe. C’est à nouveau du sperme qui est tombé en flaques sur la table. Le deuxième cameraman se place alors pour me posséder à son tour. Il place son gland entre mes lèvres juteuses puis enfonce brusquement son dard en moi, reste immobile quelques secondes puis se retire entièrement. La sensation de vide en moi est tellement intense que je crie de désespoir. Il recommence à nouveau son manège et mon cri de désespoir retentit à nouveau quand il se retire. Il recommence, mais accélère progressivement le vide. Je sens mon ventre se contracter pour tenter d’aspirer son sexe et le retenir. Cela me fait penser aux femmes collées à leur amant canin et ce fantasme entraîne une brusque contraction de mon vagin autour de son pieu.

— Hé bien, Helmut, tu ne bouge plus ? S’enquiert Conrad

— Putain ! Elle me retient, cette chienne !

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