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Natasha & Franck – Chapitre 13

Natasha & Franck - Chapitre 13



     Après Porto et Lisbonne, la route nous ramenait en Espagne. Helen et Victoria nous attendaient à Cacérès. L’occasion pour nous de profiter encore une fois de la gastronomie locale. Le jambon et la charcuterie d’Estramadure étaient un régal. Nous déambulions dans la vieille ville. Helen et Victoria étaient visiblement parties pour une belle et longue histoire d’amour. Les voir se tenir l’une contre l’autre nous faisait sourire. Non pas par moquerie, mais parce que nous étions un peu à l’origine de cette rencontre. Natasha, à l’unisson de cette démonstration de sentiments, se collait contre moi. Alexandra, en me dévoilant l’histoire de ses ancêtres, m’avait ainsi fait entrer de manière plus intime dans sa vie, révélant la place grandissante que j’y occupais. Elle aussi vint se caler contre moi. Kristina qui avait toujours ce lien indéfectible avec Natasha passait le bras gauche autour de ses épaules.

   ─ Je crois que nous formons un beau couple de plus de deux personnes, plaisantait Natasha.

     Au-delà de la plaisanterie, Natasha signifiait ainsi qu’elle acceptait pleinement l’idée de former une communauté où chacun aurait une place particulière par rapport aux autres, sans jalousies ni tensions. Il faudrait certainement encore du temps pour affiner les contours de cette espèce de couple géant. Si le noyau dur était évidemment composé de nous quatre et de Karen, la question des personnes qui pourraient intégrer le groupe restait  à définir. Il n’y avait rien d’urgent, nous avions tout le temps pour y répondre. Sabine était bien sûr la première sur la liste.

     Il ne restait plus qu’à discuter du projet avec Karen. J’hésitais entre l’informer immédiatement et attendre de pouvoir expliquer tout cela en tête à tête, tranquillement. Mais cela ne pourrait pas se faire avant début septembre. Je me laissais encore quelques jours pour me décider.

     Nous avancions dans la ville et je remarquais que parfois Helen s’arrêtait brusquement de marcher. Intrigué j’observais ce qui pouvait provoquer ces arrêts. Il n’y avait pas de régularité, et les pauses ne correspondaient pas toujours devant un monument ou un bâtiment à l’architecture remarquable. Puis je remarquais que cela arrivait chaque fois que Victoria portait sa main libre à sa poche. Elle devait déclencher un sextoy qui se mettait à vibrer dans le fondement d’Helen au gré de ses envies. J’en faisais part aux filles en proposant de leur faire subir la même chose lors des concerts. Elles rirent. Natasha était plus que partante. Tout ce qui pouvait la mettre en lien direct avec moi l’intéressait. Alexandra était également prête à faire un essai, mais craignait que cela perturbe le concert. Kristina, pour sa part, ne voulait pas en entendre parler, lors des concerts tout au moins. Nos pérégrinations nous amenèrent à l’appartement que Victoria avait déniché pour nous accueillir cette nuit. Un appartement somptueux qui revenait finalement moins cher qu’un hôtel. Il était pourtant tentant de s’offrir une nuit dans un parador. Une nuit dans un château pour une partouze royale, ça avait du sens !

     Mais le château n’était cependant pas obligatoire pour une bonne orgie. Natasha demandait à Victoria quel jouet elle utilisait présentement. Elle ouvrit son sac et lui montrait son attirail. Victoria était sacrément outillée, elle avait un plein sac de sport de sextoys. De toutes les formes, de toutes les couleurs, de toutes les textures mais pas de toutes les tailles. Plutôt grandes, les tailles !

   ─ Whouah ! Helen arrive encore à marcher en fin de journée ?

   ─ Bien sûr ! Tu as déjà pu voir comment elle pouvait être gourmande, mais ce n’était rien Pour le moment, elle a un uf comme celui là, mais un peu plus petit. Et comme tu as pu le remarquer, c’est avec cette télécommande que je déclenche les vibrations.

   ─ Franck voudrait que j’en porte un pendant un concert.

   ─ S’il ne le laisse pas en permanence en marche, c’est possible. Tiens, essaye celui là. Il est un peu plus gros que celui que porte Helen.

     Natasha s’en allait prendre une douche. Victoria la suivait, elle pourrait toujours lui apporter son aide. A peine arrivées dans la salle d’eau, elles se déshabillèrent mutuellement. Elles s’embrassaient, Victoria donnait quelques petits coups de dents dans le cou de Natasha.

   ─ Bouffe moi la chatte, lui souffla Victoria à l’oreille.

   ─ J’allais justement te le proposer, répondit elle, avec un grand sourire.

     Elle fit couler l’eau. Ses lèvres descendaient  le long de son corps. Une fois à genoux, elle lui embrassait l’aine, puis jouait avec le bout de la langue jusqu’à l’hanche. Ses mains saisirent les fesses et elle plaquait Victoria contre ses lèvres. Peu à peu, elle revint sur le pubis épilé de l’espagnole. Chaque coup de langue la rapprochait un peu plus du clitoris.  D’un coup Natasha collait sa bouche sur la vulve de Victoria comme un alien sur le visage de John Hurt. Victoria ondulait du bassin cherchant à faire pénétrer la langue au plus profond. Elle frottait par la même occasion son clitoris sur le visage de Natasha. La douche était spacieuse et elles s’allongèrent toutes les deux en soixante-neuf. Victoria recevait l’eau directement sur les fesses, chaque goutte d’eau était comme autant d’aiguillons lui procurant une plus grande réceptivité aux caresses buccales.

   ─ J’ai envie de pisser, gémit Victoria.

   ─ Ne te gêne pas

     Natasha écarta les lèvres de sa complice de jeu. Elle titillait l’urètre du bout de la langue et Victoria se lâcha, l’aspergeant de son urine. Elle frottait son clitoris encore plus fortement. La langue de Natasha frétillait dans le con détrempé de cyprine et d’urine. Un puis deux doigts glissaient dans le cul. Victoria fit de même, travaillant l’anus de mouvements circulaires.

   ─ Je reviens, je vais chercher mon coffre à jouets.

     Victoria était d’humeur joueuse et avait l’intention de faire découvrir tout ses instruments. Elle sortit en premier lieu une petite tige métallique bosselée et un tube de lubrifiant. Vu la petite taille de l’objet, Natasha  ne comprenait pas vraiment quel plaisir elle pourrait en tirer. Elle s’était juste trompée d’orifice. Victoria commença par masturber puis sucer la verge de Natasha qui avait quelque peu faiblit le temps de ramener la valise. Quand elle eu repris toute sa vigueur, elle lui intima de continuer de se branler. Elle fit couler du lubrifiant sur la tige qu’elle approcha du gland. Elle introduit la tige dans l’urètre et l’enfonçait millimètre après millimètre. Etrange sensation de sentir le petit canal se dilater. La tige se terminait par un anneau qui venait se placer juste sous le gland, maintenant la tige en place et lui évitant de ressortir. Victoria la masturbait appuyant plus fermement sur la tige qu’elle sentait sous le bout de ses doigts. Natasha sentait les petites bosses qui semblaient rouler sous le contact. Elle se mordait les lèvres tant ce plaisir inconnu était intense. Si elle continuait à l’astiquer ainsi, elle ne tarderait pas à jouir. Quand Victoria la sentit prête à exploser sous ses doigts, elle s’arrêta aussi sec, laissant Natasha complètement frustrée. Elle s’équipa d’un harnais tandis que Natasha pestait. Le harnais supportait deux godes. Un tourné vers l’intérieur et s’engouffrait dans le vagin de Victoria, l’autre vers l’extérieur. Elle laissa le choix à Natasha entre trois modèles. Elle élimina aussitôt le plus gros. Il était vraiment d’une taille impressionnante. Un jour peut-être Elle prit celui de la taille en dessous, avec des stries en relief.

     Victoria fixa l’objet sur le harnais et le lubrifia abondamment. Puis elle jouait avec l’anus souple de Natasha qu’elle enduisait de gel. Quand elle fut prête, Victoria introduisait uniquement le gland proéminent et ressortit aussitôt, pour le réintroduire d’un coup sec. Après quelques minutes de ce traitement, les cinq centimètres de diamètres ne rencontraient plus aucune résistance. Natasha réclamait maintenant la totalité de l’engin. Elle reçut les vingt-cinq centimètres d’un seul coup. Elle avait senti chacune des stries glisser. La torture était divine. Victoria ressortit aussi vite qu’elle était entrée. La encore les stries avaient bien joué leur rôle. Natasha en fermait les yeux et laissait Victoria la défoncer.

     C’était bien la première fois qu’elle avait un rapport sinon brutal, tout au moins mécanique et agressif. C’était d’autant plus étrange que cela venait d’une femme. Elle n’était pas sûre de savoir si elle aimait cela ou non, mais elle était décidée à aller jusqu’au bout avant de se faire un avis définitif.

     Après quelques minutes de pistonnage intensif, Victoria se contentait de courts va et viens mais le sexe de latex restait profondément enfoui dans le cul de Natasha. Elle aimait cette sensation d’être complètement remplie et à chaque mouvement, elle se sentait prête à exploser, si ce n’était la tige de métal qui bloquait la sortie du sperme. Victoria serra une main sur la verge et commença une lente masturbation. Natasha, à quatre pattes dans la douche, haletante, baissa la tête tant la sensation était forte. En quelque secondes, elle était à nouveau en pleine érection. Elle avait même l’impression de ne jamais avoir eu une érection aussi forte. Victoria s’amusait à faire tourner la tige sur elle-même. Parfois, elle prenait Natasha par la taille et lui bourrait le cul et à nouveau s’enfonçait au maximum, rejouait avec la tige et la verge. Elle sentait dans les contractions de la verge que Natasha était à point. Elle fit coulisser la tige dans l’urètre. Cette masturbation par l’intérieur rendait la transsexuelle folle. Elle posa les coudes sur le sol pour reprendre son souffle, la tête toujours baissée. Victoria recula et enfonça le gode d’un seul coup. En même temps, elle serrait la verge et retirait la tige d’un coup sec. La sensation des stries dans son rectum et des bosses dans sa verge était si intense que Natasha se redressa. Elle éjaculait avec une force qu’elle n’avait jamais connue. La première masturbation qu’avait stoppée Victoria avait rendu la seconde plus violente et abondante. La vitre de la douche était maculée des jets puissants de sperme. Victoria s’en délecta pendant que Natasha reprenait ses forces.

     Elles prirent enfin une vraie douche tout en se caressant et s’embrassant. Natasha fut rassurée de finir cette séance par une touche de sensualité. Oui, finalement, elle avait apprécié ce rapport un peu plus sauvage. Même si elle n’en serait jamais une inconditionnelle, une petite séance avec une femme un peu dominante de temps en temps n’était pas pour lui déplaire. Il ne restait plus qu’à espérer que Sabine ou Karen soient volontaires pour ce type de jeu.

     Victoria passait un peu de gel sur l’anus de Natasha pourtant encore bien ouvert. Elle y introduit l’uf vibrant.

   ─ Te voilà prête à vibrer à la commande. Essaye de le garder toute la soirée, voire toute la nuit si tu le peux. Enfin si tu veux le garder toute la nuit, il vaudrait mieux faire un peu le vide avant

   ─ Comment ça ?

    

     Victoria revint vers la douche. Elle dévissa le pommeau et écarta les jambes de Natasha qui poussait pour faire ressortir l’uf. Elle y parvint sans peine. Victoria lui introduisait le bout du flexible de douche dans l’anus.

   ─ Ok, c’est en place. Serre bien les fesses que l’eau ne ressorte pas de suite. Tu me dis si c’est trop chaud ou trop froid.

     Elle fit couler l’eau tout doucement. Natasha se mit à rire quand elle sentit le liquide se répandre en elle. C’était vraiment la journée des découvertes. Elle serrait les fesses comme lui avait conseillé Victoria et après quelques secondes, elle regardait son ventre gonfler. La jeune femme arrêtait quelques instants l’eau afin que le ventre s’habitue à la sensation. Natasha se trémoussait, s’amusant du bruit et de la sensation  de l’eau qui bougeait en elle. Victoria relançait l’inondation et le ventre enflait encore.

   ─ On dirait que je suis enceinte s’exclama Natasha.

     Victoria stoppait une nouvelle fois le remplissage. Elle se plaçait derrière Natasha, se collant contre elle et lui caressant affectueusement le ventre et les seins. Elle lui embrassait la nuque. Natasha se laissait aller dans les bras de son amante et appréciait son savoir-faire. Helen devait être aux anges dans les mains expertes de cette maîtresse femme. Son ventre commençait à gargouiller et quelques tiraillements se faisaient sentir. Victoria ouvrait une nouvelle fois le robinet, très lentement.

   ─ Continue de serrer les fesses. Je vais chercher Franck, il sera certainement enchanté de venir te caresser le ventre.

     J’étais avec Alexandra quand Victoria m’invita à venir dans la salle de bain. A coté de nous Kristina et Helen s’étaient mises en tête d’effectuer le soixante-neuf le plus long. Elles se tétaient mutuellement sans aucune intention de s’arrêter. Nous les laissions à leur jeu. Victoria m’expliquait la situation et me proposait de prendre la place qu’elle avait tenue. Je passais mes mains sur le ventre de Natasha en version enceinte. Alexandra lui léchait les seins. Je sentais le ventre qui grossissais encore et sentait parfois qu’il se contractait ou tressaillait.  Pendant que nous nous occupions de Natasha, Victoria fouillait dans son sac magique et revint avec une paire de menottes.

   ─ Je pense que vous aurez envie de la voir se trémousser un peu avant qu’elle puisse se vider. Elle nous inventera une petite chorégraphie pour le concert.

     Elle menotta Natasha à un des anneaux scellé dans le mur. Puis elle ôtait le flexible en faisant bien attention de ne pas laisser d’eau sortir. Elle enfonçait profondément ma verge dans sa bouche jusqu’à écurement et répétait l’action jusqu’à ce que mon chibre soit recouvert d’une épaisse couche de bave. Alors elle me tourna vers le cul de Natasha, me conseillant de m’enfoncer d’un seul coup pour ne pas laisser sortir le fruit de ses entrailles. De surprise elle sursauta. Quelle sensation étrange. Les muscles de Natasha bien serrés autour de ma queue dont la moitié nageait dans l’eau tiède. Je la plaquais contre moi, l’embrassais sur les épaules. Je lui pelotais les seins tout en lui donnant des grands coups de reins. Alexandra se pencha pour lui administrer une fellation. Natasha se tortillait dans tous les sens, nous suppliant de la relâcher sans délais. Pas tant que je n’avais pas éjaculé en elle. Après tout, si elle se voulait enceinte, il fallait bien qu’elle soit fécondée. Elle éjacula dans la bouche de sa suceuse. Les contractions de sa jouissance et de celles de son ventre qui luttait pour se vider déclenchèrent mon éjaculation qui ne semblait pas vouloir se terminer tant mon excitation était grande. Victoria détacha les menottes et je suivais Natasha, faisant office de bouchon jusqu’à ce qu’elle atteigne le WC  à l’autre bout de la pièce. Elle s’y installait à l’envers. D’un coup je reculais. Ses intestins se vidèrent dans un grand bruit de torrent. Pas de quoi concurrencer le Niagara, mais il y avait un bon débit.

   ─ Parents indignes, qui jetez le bébé avec l’eau du bain ! s’esclaffa Alexandra, en sortant de la pièce.

   ─ Recommence une fois, avec moins d’eau, histoire de bien te rincer, précisa Victoria, lui emboîtant le pas.

     Une fois seuls, Natasha me demanda quelles sensations j’avais éprouvé en lui caressant le ventre distendu. La grossesse de Karen avait bouleversé sa vision de la paternité et de la maternité. Et la question de sa féminité. Quand je l’avais rencontrée, elle ne se posait pas de question sur le sujet. Elle était une belle jeune femme, avec un petit plus entre les jambes certes, mais cela ne remettait rien en cause à se féminité. Le fait de ne jamais pouvoir mettre au monde un enfant et qui plus est, peut-être devenir père, devenait quasi une obsession. Bien sûr, son point de vue avait évolué depuis la nouvelle, mais cela restait une problématique sensible.

     Maintenant nettoyée de toute souillure, elle remit l’uf en place et m’en donna la télécommande. Je me demandais si le terme d’uf avait une consonance particulière pour elle ou si c’était simplement un sextoy qu’elle souhaitait tester. Tout le monde nous attendait sur la terrasse pour boire un verre. Alexandra voulu faire une blague sur l’accouchement mais elle se ravisa, se doutant qu’elle puisse être mal vécue. Cependant, Natasha avait comprit et le sujet de la blague et la retenue de son amie. Elle comprenait que cela prête à rire.

   ─ Je crois que je vivrais cette histoire de grossesse bien mieux si je n’étais pas la seule. Enfin si Karen n’était pas la seule à être enceinte. Ca ne vous tenterait pas que Sabine soit elle aussi enceinte ?

   ─ De qui ?

   ─ De toi ou de Kristina.

   ─ Et pourquoi pas Dimitri ? ajoutais-je avec amusement.

   ─ Je le vois mal dans le rôle. Si ça se trouve, Sabine l’a peut-être déjà viré.

   ─ Et toi, Franck ? En tant que mâle alpha, ne devrais-tu pas engrosser toutes les femelles de la meute ? plaisanta Alexandra.

   ─ J’en déduis que tu es d’accord pour que Sabine fasse partie de notre communauté

     Mon téléphone sonna. C’était Eric, un des guitaristes de mon précédent groupe. Je n’avais pas rompu avec eux, je m’étais simplement mis en retrait le temps de faire la tournée. Il n’avait aucunement été question de les lâcher. Je leur avais tout de même laissé la possibilité de me remplacer si cela leur convenait mieux. Cependant, Etienne, le bassiste, avait décidé de tout plaquer et avait même quitté la région. Eric et Erwan restaient eux plus perplexes sur le tournant à prendre. Mais aujourd’hui, il ne m’appelait pas pour cela.

   ─ Je t’appelle, parce qu’il m’est arrivé quelque chose d’étrange il y a dix minutes.

   ─ Ah ! Et quoi donc ?

   ─ Figure toi que j’ai eu l’impression de voir à travers tes yeux. Je ne sais pas e qui arrive

   ─ Toi aussi, ça t’est arrivé ? Je te rassure… ou pas Cela m’est aussi arrivé, ainsi qu’à Natasha et Alexandra

   ─ As-tu une explication à ces phénomènes ?

   ─ Aucune !

   ─ Bon je ne sais pas trop si je dois m’en inquiéter ou pas En tout cas, après avoir vu par tes yeux, je comprends pourquoi tu as fais ce choix. J’avoue que tu t’es sacrément bien entouré. J’aurais fait comme toi, si j’en avais eu l’occasion.

     J’avais eu peur un instant qu’il ait vu par mes yeux en pleine copulation avec Natasha. Il n’en était rien, mais il s’en était fallu de peu. J’appréciais qu’il conforte mon choix.

 

  ─ Viens nous voir en concert, on jouera à domicile début septembre. Ca me fera plaisir de te présenter le groupe. Et amène Erwan par la même occasion.

  ─ Sans problème. Tiens-moi au courant si tu en apprends plus sur ces visions, si on peut appeler cela comme ça. Je dois te laisser, je n’en suis pas encore à l’apéro, moi.

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