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PRIS DE FORCE – Chapitre 3

PRIS DE FORCE - Chapitre 3



Je restais donc là, sodomisé par cette bouteille, à poil, le sexe tendu. Je commençais à apprivoiser la présence de cette bouteille dans mon cul et je commençais même à la faire tournoyer et des gouttes de sperme commencèrent à sortir, j’ai dû arrêter je voulais garder toute ma semence pour ma douce…

Le téléphone sonna, je décrochai: "Ecoute moi bien, petite pute! Tu vas enlever cette bouteille de ton cul de merde, et te faire un dernier lavement! Ensuite tu enfonceras dans ta chatte de salope le gros Tampax qui est dans la salle de bain, je ne veux voir dépasser que la ficelle.

Quand tu auras fini sale conne, tu enfileras les vêtements et la perruque qui est sur le lit, tu iras au salon et tu te mettras à genoux, tu baisseras la tête et m’attendras, je serais là dans 20 minutes, alors bouge ton gros cul de pétasse!!

Je fis donc mon lavement et alla donc dans la chambre. J’enfilais donc les belles bas blanches coutures, le contact de la soie sur ma peau était délicieux… Puis, le beau porte-jarretelle blanc aussi et tout en dentelles.

Puis je laissais glisser sur ma peau nue une robe courte en soie noire et ras-la-moule, posais avec attention la perruque longue fluide et noire sur ma tête. Je me tournais vers la glace et fus stupéfait de ce que j’y vis: une femme belle, mince, sexy au petit cul extrêmement bandant…

Mais en entendant fonctionner la serrure de la porte d’entrée, je me mis immédiatement à genoux. QQ secondes après, je vis entrer ma douce, belle comme une déesse, qui vint vers moi et posa un tendre baiser sur mes lèvres et me dit: "Tu es belle, sexy comme tout, je vais te sauter!!! Qu’en penses-tu, Julie?" Elle se tourna vers la jeune fille qui venait d’entrer, une superbe blonde au corps magnifique, mince, une poitrine extrêmement généreuse et un petit cul manifestement très ferme, deux petites pommes… Elle me regarda avec ses yeux rieurs et vert intense…

"Oui, elle est tout à fait sautable, défonçons cette pute!"

"Nous allons pouvoir commencer!" dit ma femme tout en dégrafant sa jupe et la laissant choir sur le sol, ce qui laissait voir sa chatte toute nue et manifestement trempée, cette situation devait donc terriblement l’exciter. Elle alla à la salle de bain, tandis que Julie se baissa, prit la jupe et la porta à ses narines en ronronnant, elle était manifestement fascinée ou amoureuse de ma femme…Ma douce ressortit de la salle de bain, vêtue de ses bas, son porte-jarretelle et son soutien à balconnet noirs et …un gros gode-ceinture noir fixé contre sa chatte…

"Je vais déchirer cette grosse pute, et toi connasse de Julie, regarde tout très attentivement!!.."

"Oui, Maitresse.." répondit cette dernière, le visage baissé.

"A quatre pattes, salope!!" me dit-elle.

"Mais chérie, tu ne vas pas…»

"Quoi???" Elle courut jusqu’à la salle de bain et en revint une cravache à la main et me dit: "Ecoute moi bien espèce de conne, aujourd’hui tu m’appartiens entièrement, ta bouche, tes mains, tes jambes, ton cul, tes couilles, ta bite, absolument tout, et je te promets que tu feras toujours TOUT ce que je veux, que tu le veuilles ou non!! Julie!!!"

Je n’eus pas le temps de me tourner vers elle que je recevais dans le ventre un terrible coup de pied qui bloqua ma respiration et me força à m’écrouler par terre, quelques secondes après, Julie avec une force insoupçonnée m’étrangla avec son bras et me traina jusqu’au lit, quasiment inerte, me souleva comme un rien et me jeta dessus en me disant: "A quatre patte connasse, et tout de suite!!"

Je m’exécutai, péniblement.

Julie m’attacha les pieds et les poignets aux montants du lit, ainsi que les genoux, de telle sorte que j’étais pour ainsi dire obligé de me tenir à quatre pattes.

Ma femme s’approcha et dit à Julie: "Retrousse sa robe de pute et baisse un peu sa culotte!"

Ce qu’elle fit, tout en enfonçant deux doigts dans ma rondelle en disant à ma femme:

"Elle est vachement dilatée, Maitresse, en plus elle a ses règles, elle a un Tampax!…"

"Ote-le!!" ordonna ma femme.

Julie tira d’un coup sur la ficelle, expulsant d’un coup cette protection de mon nouveau con, ce qui m’arracha un gémissement de douleur. Ma femme éclata de rire, suivie par Julie.

Puis à une vitesse folle, elle m’asséna une série terriblement longue de coups de cravache sur les fesses, ce qui me fit hurler et sangloter de douleur.

"Gueule, pétasse, personne ne t’entendra!! Tu es une merde et tu m’appartiens! A près les friandises, les douceurs!!"

Julie éclata de rire tandis que je sentis ma douce monter derrière moi. Elle caressa du doigt ma rosette et me dis:

"Belle petite chatte, mais beaucoup trop étroite, je vais l’ouvrir! "Elle n’a pas fini sa phrase que déjà je sentais contre ma rondelle le contact du gode, et me contractai de peur.

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