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Encagé – Chapitre 2

Encagé - Chapitre 2



Premier jour de travail avec la cage. Étant donné que je travaille la plupart du temps assis, je ne m’inquiète pas, mon enfermement ne risque pas de se voir. Mon carcan est de toute façon très discret, et je peux me balader en rue sans que cela se voie.

Songez donc à cela : quand vous vous baladez en rue, certains hommes que vous croiserez sont peut-être bien soumis à la volonté de leur femme quant à leur liberté de jouir… ou pas. Cette sensation d’enfermement permanente en public avait un côté grisant, comme une sorte d’exhibition, mais où je suis seul conscient de mon état. Comme si vous, mesdames, vous vous baladiez nue sous votre robe. Personne ne le sait à part vous, mais cela procure un certain sentiment d’excitation.

Ayant eu le plaisir de pouvoir jouir la veille au soir, je pensais pouvoir être tranquille avec mes désirs. C’était mal connaître ma porteuse de clé (Key Holder ou KH pour ceux qui connaissent 😊). J’étais déjà parti travailler quand elle se leva. À son réveil, elle m’envoya une photo accompagnée d’un simple message :

[SMS, Julie]

>Bonjour mon amour, comment se passe ta journée ?

Le message était tout à fait banal, mais la photo, par contre, retint toute mon attention. Elle s’était habillée d’un body en dentelle très sexy que nous avions acheté ensemble un mois auparavant. Je trouvais ce dernier très beau et il soulignait parfaitement ses jolies formes. Bien entendu, l’effet escompté se fit ressentir. Je me mis à durcir dans ma cage. Celle-ci me rappela vite à l’ordre, tirant doucement sur mes testicules. Je le lui fis savoir.

Une discussion commença entre banalités et prise de nouvelles. Durant cette discussion, je lui lançai un pari. Si je gagnais, j’avais droit à deux jours de liberté. Si je perdais, je passais deux jours de plus en cage. Le pari devant se faire quelques jours plus tard, elle me dit qu’elle allait y réfléchir. Je lui dis :

[SMS, Julie]

<J’adore que tu me fasses languir. Tu es très douée pour ça.

>En plus tu as les photos pour ça maintenant.

<Mmmmmh. Arrête ! Je vais encore me sentir à l’étroit.

>C’est le but.

Et ça fonctionnait. Comme s’il y avait besoin de ça, elle me renvoya une photo. Un simple portrait mais son visage était maquillé de noir… et ça lui allait divinement bien. Puis un second portrait, où elle était allongée sur le lit, et on devinait la courbe de ses seins juste au bord de la photo. Une troisième suivit immédiatement, prise de face, où elle m’exposait fièrement son décolleté très plongeant. Je devenais vraiment très serré dans ma cage. Du moins, je le pensai, car j’allais découvrir que je pouvais l’être bien plus encore, à la réception de ce message :

[SMS, Julie]

>Peut-être que tu voudras jouer à en faire d’autres avec moi en rentrant ! Tu seras mon photographe.

Il est vrai que j’ai un bel appareil photo et que j’aime beaucoup en faire. Et j’aime encore plus en faire avec Julie comme beau modèle. Mais en étant en cage, ce jeu allait se révéler dangereux… Je la connais, quand elle veut, elle peut être vicieuse à l’extrême. Je l’avais déjà expérimenté à plusieurs reprises.

Par exemple un jour, elle m’avait attaché au lit et avait commencé une lente masturbation. Elle avait ensuite utilisé du lubrifiant et avait continué de jouer avec un masturbateur. Celui-ci était doux, assez large pour ne faire que frotter mon sexe sans le compresser. Sauf qu’il a un petit bonus spécial : un trou sur son sommet. Ce trou permet à l’air de circuler entre le plastique rigide de la gaine et le silicone du masturbateur. Ainsi, quand un sexe fièrement dressé pénètre le silicone, l’air entre le silicone et le plastique sort et le pénis n’est pas comprimé. Mais en bouchant le trou, tout change. Je peux me retrouver soit comprimé, soit même aspiré par ses mouvements. Elle s’amusait beaucoup à alterner les mouvements rapides en bouchant le trou, et lents en le laissant libre. De cette manière, elle faisait monter mon plaisir puis s’arrêtait net juste avant le point de non-retour, reprenant des mouvements doux et lents.

Le plaisir s’arrêtait de monter, mais ne redescendait pas pour autant. Quelques minutes de ce traitement m’ont fait trembler d’excitation et de plaisir sans même que j’aie joui. Elle m’ordonna alors de retenir ma jouissance autant que possible, et me masturba rapidement en aspirant mon sexe dans le jouet. Je ne pus tenir longtemps, et elle me taquina gentiment sur ma faiblesse d’esprit.

Bref, pour le vice, elle était douée ! J’acceptai néanmoins d’être son photographe d’un jour, certain que ce serait plaisant.

Toute la journée durant, je dus me concentrer à fond sur mon travail pour éviter de me faire mal. C’était sans compter sur la perversité de Julie, qui m’envoyait à intervalles réguliers des photos tantôt sensuelles, tantôt érotiques. Jamais de photos de nu, elle jouait simplement de ses yeux et de son visage pour me faire comprendre qu’elle brûlait de désir. C’était d’autant plus excitant d’ailleurs qu’elle gardait une part de « mystère » sur son corps. Toute la journée, je ressentis une tension sur mes bourses.

J’avais donc hâte de rentrer. Le trajet du retour du travail passa un peu plus vite que d’habitude. À mon arrivée, Julie était toujours en tenue légère. Elle m’accueillit en m’embrassant fougueusement et mit sa main entre mes jambes pour vérifier que je ne m’étais pas libéré. Elle vérifia que l’enveloppe dans laquelle nous avions mis la clé de secours (en cas d’urgence, il faut toujours avoir un double sur soi) était toujours bien scellée et que sa signature sur la fermeture était intacte. Ceci était la preuve que je ne m’étais pas libéré de la journée.

J’allai chercher l’appareil et elle commença à prendre la pose. Les positions qu’elle prenait étaient de plus en plus suggestives et le sang avait de plus en plus de mal à affluer dans mes testicules tirés au maximum par la cage. Julie, elle, prenait beaucoup de plaisir à me frustrer de la sorte.

Elle me fit également participer. Elle proposa d’utiliser le trépied pour pouvoir prendre des photos avec le retardateur. Une fois le tout installé, je me retrouvai à la coincer entre la porte et moi, tenant ses bras écartés au-dessus de sa tête, sa jambe passant derrière mes hanches pour m’attirer vers son bassin. Nous inversâmes ensuite nos positions, elle me coinçait contre la porte et m’attrapait la cage tout en m’embrassant. Le retardateur durait 10 secondes, ce qui me permettait de profiter quelques longues secondes de ses caresses.

Ensuite, les photos devinrent encore plus chaudes. J’étais couché sur le lit avec l’appareil, et elle se déhanchait au-dessus de moi, se penchait, écartait ses jambes nues, son entrejambe toujours couvert par le body de dentelle. On devinait sa fine toison pubienne au travers des mailles.

Elle prit l’appareil photo en main. J’avais une envie folle de lui faire un cunni. Elle se coucha donc les jambes écartées, me laissant déboutonner sa lingerie. Je découvris l’entrée de sa grotte trempée par l’excitation qu’elle avait eue à jouer avec moi de la sorte. Ma langue commença à s’agiter sur ses grandes lèvres, entre celles-ci, cherchant son clitoris. Elle gémit et ne manqua pas de prendre des photos de ma tête coincée entre ses jambes. Et ma cage qui me rappelait toujours à l’ordre…

Après quelques minutes et plusieurs photos, elle se releva et sortit de la chambre.

Et voilà, fini pour aujourd’hui ! dit-elle en se dirigeant vers la douche.

Fini ?! Je n’avais pas dit mon dernier mot. Elle m’avait excité toute la journée, elle m’avait fait la prendre en photo dans des poses suggestives, érotiques et ouvertement sexuelles ensuite, et durant tout ce temps, mon sexe ne demandait qu’à briser sa gaine pour pouvoir lui aussi participer, prendre du plaisir et la faire jouir.

Sauf que… c’était elle qui avait les clés. Je n’avais pas grand-chose à dire sur l’utilisation qu’elle en faisait. Il fallait donc que je sois plus fin, sans aller à la confrontation. Maintenant nue, elle était penchée devant le miroir pour se démaquiller avant la douche. Dans cette position cambrée, ses fesses étaient terriblement bien mises en valeur. En temps normal, je serais passé derrière elle et aurais frotté mon gland jusqu’à la pénétrer, et la prendre ainsi sans autre forme de procès. La cage m’en empêchait.

Je vins tout de même me placer derrière elle et commençai à balader mes mains sur son corps, sur sa poitrine en particulier. Je la connais autant qu’elle me connaît, et je sais ce qui lui plaît autant qu’elle sait ce qui me plaît. Commença donc un jeu entre le bout de mes doigts et le bout de ses seins. Je faisais rouler ses tétons entre l’index et le pouce, je malaxai fermement ses globes. Ma bouche vint se ficher dans son cou où je l’embrassai fougueusement, en lui aspirant doucement la peau entre mes lèvres. Elle gémit, je sus que j’étais sur la bonne voie.

Arrête ! Tu vas me donner envie de te libérer. Il ne faut paaaaaaaaaaas.

Elle prononça ce dernier mot en gémissant de plaisir. Bingo ! J’étais sur la bonne voie. Elle alla chercher les clés, et ouvrit ma cage. Jackpot !

Couchée sur le lit, elle se mit à califourchon sur moi et commença à m’utiliser comme son objet pour jouir. Etonnamment, ma jouissance fut plutôt longue à venir. Je m’attendais à exploser en étant à peine rentré en elle, mais je tins bon et nous vînmes en même temps dans un orgasme synchronisé fulgurant.

Cet orgasme, pour mon plus grand bonheur, ne suffit pas à Julie. Nous refîmes l’amour deux fois, tantôt en levrette, tantôt en missionnaire, alternant les positions à chaque rapport. Au final, elle me permit de jouir 3 fois. Et ce fut notre « record » : 3 rapports complets en à peine 45 minutes… J’étais lessivé ! Nous prîmes une douche ensemble, et je n’eus même pas besoin de terminer ma douche à l’eau froide. Cette soirée de folie sexuelle m’avait complètement vidé et je n’étais plus capable de bander. Cette cage, bien que toute neuve et son port récent, nous réservait bien des surprises, et cette première était fort agréable.

Après m’être essuyé, Julie ramena le cadenas et la cage. Le clic du cadenas sonna la fin de ma liberté de jouissance.

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