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A la poursuite de Lana – Chapitre 2

A la poursuite de Lana - Chapitre 2



Je vous ai raconté ma rencontre avec la plus grande des manipulatrice que j’ai pu connaître dans ma vie, et comment elle m’avait, disons-le, dépuceler. Ou devrais-je plutôt dire : violer. Certes je ne me suis pas défendu et je n’ai pas montré de signes de réticences mais j’étais beaucoup trop surpris, jeune et naïf. Elle m’a non seulement volé ma virginité mais aussi mon butin, et depuis ce jour je la recherche sans cesse.

Je tiens à vous préciser que je ne l’ai toujours pas trouvé à ce jour, soit cinq ans après cette nuit. Reprenons donc cette histoire voulez-vous ?

Me voici donc nu, au volant de mon véhicule avec les gardes du bâtiment aux trousses. J’avais heureusement pris soin de crever leur pneu au cas où, bien avant d’entamer mon casse, mais je les voyais appeler du renfort, ce qui signifiait ici, la police. Il était hors de question que je me fasse arrêter et surtout pas dans cet état.

J’avais perdu mon temps, je roulais à fond sur la route encore dégagé vu l’heure. On nous dit que si on est poursuivi par quelqu’un il faut courir en zigzag car la distance la plus courte est la ligne droite, autrement dit, courir tout droit permet au poursuivant de nous rattraper plus vite. En voiture, on a le même concept, mais en passant par les ruelles étroites ou peu visibles, ce que je fis bien entendu.

Je me trouvais maintenant à un bon kilomètre de la scène de crime, j’étais enfin tranquille pour réfléchir et me remémorer ces dernières heures.

Le mot laissé par Lana était toujours en ma possession, je le relisais encore et encore en espérant vainement de trouver un indice ou quelque chose mais évidemment rien ne me vint à l’esprit. Que devais-je faire ? Essayer de la retrouver et me venger ? Ou laisser couler ? Ou encore abandonner, passer à autre chose et me faire un nouveau casse ? La première solution me semblait bien plus intéressante. Je devais la retrouver, non pas pour mon butin, mais pour le principe, elle m’a volée mon or mais surtout le trésor le plus inestimable à mes yeux, bien que je n’ai pas fait vux de chasteté mais ça restait quelque chose de précieux à mes yeux, ça faisait partie de mon personnage, ma personnalité…

Ce que je fis alors, c’est rouler jusqu’au bar d’un ami, non loin d’ici, je me garai derrière, là même, où, habituellement, le bar se faisait livrer ses stocks. Je sortis de la voiture, toujours totalement nu, me cachant timidement les parties intimes.

Je toquais à la porte plusieurs coups rapides pour que mon ami se dépêche de m’ouvrir.

"Allez ! Grouilles-toi de m’ouvrir, bon sang ! Marmonnai-je en continuant de frapper."

Je n’entendais rien, et ne voyais personne venir. Je commençais à désespérer. Il fallait à tout prix que je rentre pour trouver des fringues et me planquer. Habituellement quand je frappe mon ami est déjà prêt à m’ouvrir. Que se passe-t-il ? Je me contentais donc de chercher du regard un moyen d’entrer et c’est là que je vis les fenêtres à l’étage. Assez grande pour que je m’y faufile mais hors d’atteinte, j’ai beau être agile, je ne suis pas un chat. Cependant je voyais de l’autre côté de la zone de déchargement des stocks, une simple poubelle qui me donnerait accès au rebord supérieur. Je m’y dirigeai et j’entrepris mon escalade. D’abord la poubelle, ensuite sauter et m’accrocher au rebord au-dessus, le longer à la force de mes bras et ainsi atteindre le toit d’un petit entrepôt adjacent au bar. Une fois dessus c’était simple, il suffisait de marcher et de rejoindre le rebord où se trouvaient les fenêtres que je tentais d’atteindre. Le plus dur était de devoir faire tout ça en tenue d’Adam. Surtout que ce matin-là il faisait un peu frais. Une fois près des fenêtres, je regardais à travers, celle-ci donnait sur la chambre de mon ami, mais je ne vis personne.

"Bordel ! C’est fermé. Mais pourquoi tout le monde ferme leurs fenêtres ? Personne ne pense aux cambrioleurs qui veulent juste faire leur boulot ?" pensai-je.

Je me rendis alors à l’autre fenêtre, il me suffisait de longer le bord, celle-ci donnait sur la salle de bain. Je m’apprêtais à l’ouvrir quand je vis la douche couler. Illico presto je me baissais pour ne pas me faire voir. Cependant je voyais parfaitement tout ce qui se passait. Une femme magnifique, cheveux mi-longs, châtains clair, complètement nue, bien entendue, elle devait faire dans les 85C, pas des seins énormes mais juste parfait par rapport à sa morphologie et son visage. Je n’ai jamais accordé d’importance aux seins, leur grosseur n’est pas toujours attrayante. Ce que je regarde chez une femme, ce sont les yeux, seuls les yeux révèlent tout ce que vous avez à savoir sur la personnalité.

Mais je dois admettre que voir cette femme était assez intéressant, surtout que je n’avais rien d’autre à faire, si ce n’est attendre. Je ne détournais pas le regard de ce spectacle qui s’offrait à moi. Mais voilà qu’un type arrive, et se joint à elle. Et merde, c’est mon pote, il vaut mieux pas qu’il me voit maintenant. Je me baissais encore plus, mais ma vue était toujours au point, et ce que je voyais c’était mon ami, en train d’embrasser cette femme tout en la caressant, il laissait ses mains se balader sur le magnifique corps de la jeune femme, tout en l’embrassant, il lui malaxait les seins, lui titiller les tétons qui pointaient déjà. Il enleva une de ses mains pour la poser sur les fesses de sa partenaire.

Le jeu de langue terminait, la demoiselle se retournait me laissant voir son postérieur ferme et bien formé, elle s’agenouilla et je compris assez vite aux mouvements de sa tête qu’elle entreprit une gâterie à son homme. Je ne pouvais m’empêchais de regarder, et mon sexe à l’air commençait à se manifester.

Ils se sont tous donner le mot pour me torturer sexuellement aujourd’hui ? J’étais dans une zone industrielle, personne ne vivait ici et rien n’était ouvert encore, j’étais donc à labri des regards. J’amenais ma main lentement vers mon membre qui ne pouvait résister à ce que mes yeux lui offraient comme vue.

La femme finissait sa fellation et se retrouver maintenant en levrette, penchée en avant face à moi, s’agrippant au porte-serviette pendant que l’homme s’engageait avec ses vas-et-viens assez puissant à première vue, je ne pouvais rien entendre de mon point d’observation mais je pouvais deviner le son des claquements des mouvements au contact des fesses de la demoiselle. Voici qu’elle amenait une de ses mains vers ses parties, probablement pour se donner encore plus de plaisir. Je pouvais vaguement entendre les cris de jouissance de cette femme. Apparemment, ce type nétait pas mauvais au lit, je ne le verrais plus de la même façon. Ce métier de cambrioleurs est un métier dangereux car on tombe parfois sur des choses qu’on préférerait oublier. J’étais toujours en train de me donner du plaisir en solitaire et soudain je finissais, une dose de ma semence sortit en bien plus grosse quantité que d’habitude. Je devrais consulter, l’autre grognasse de la banque m’a sûrement refilée un truc. Je considérais avoir assez profité de cette scène, et je venais de pensais que mon liquide venait d’atterrir sur le rebord, ce qui n’était pas discret, je n’avais rien pour essuyer, tant pis je verrais ça plus tard.

Me voici donc coincé sur un rebord, avec une fenêtre fermée et une autre fenêtre conduisant à une scène porno. Ce nétait pas mon jour de chance. Je retournais donc à la première fenêtre, celle sonnant sur la chambre, et je remarquais que le loquet de l’autre côté n’était pas fermé, il s’agissait d’une double fenêtre, et je n’avais essayé qu’un côté, quel idiot. J’ouvrais cette dernière, me voici donc dans la chambre à coucher, parfait. Il n’y a plus qu’à trouver des fringues, et ressortir et faire comme si de rien n’était. A peine à l’intérieur, la porte donnant sur la salle de bain s’ouvrit et j’entendis les voix des deux amants. Ni une ni deux, je me planquais sous le pieu. La routine pour moi, je n’avais plus qu’à attendre. Je pensais naïvement qu’après leurs ébats ils dormiraient… Que nenni. Ils firent grincer se lit plus que je n’aurais pu l’imaginer, ou alors il serait temps de le changer..

"Oh oui baises moi !! Vas-y plus fort, plus vite, je veux te sentir en moi et avoir mal.

— Oh oui chéri continue de gueuler, ça me plait !

— Fous-moi ta queue dans mon petit cul, il n’attendait que toi.

— Si ça peut te faire plaisir."

Nom d’une brouette… Dans quoi je me suis embarqué. Je préférais la version muette. Ma relation avec cet homme risque d’être légèrement différente. Ils continuèrent d’hurler de plaisir ou simplement des obscénités pendant presque une demi-heure. Passer ce délai, le lit ne grinçait plus et j’entendis les amants s’écroulaient. Soit ils ont fait une crise cardiaque, soit ils dorment. C’est le moment de sortir d’ici. Je me glisse hors de ma planque, jette un coup d’il vite fait et en effet ils dormaient bien. Parfait le placard étant en face je n’en avais pas pour longtemps, je remarquais également que dans leur élan, ni l’un ni l’autre n’avait remarqué la fenêtre ouverte. Une chance. Une fois debout, je me retournais, et la nana venait de se réveiller et me regardais avec de grands yeux ronds. Alors que je me tenais là, debout devant elle, les mains cachant mes parties, je restais immobile et la fixait du regard et décrochait un :

"Euuuh… c’est pas ce que vous croyez.

— AAAAAAAAH."

Elle venait de pousser un cri strident, aux limites de l’ultra-son. Je ne bougeais toujours pas et vis que son amant s’était réveillé en panique les yeux à moitié ouvert. Dans sa chute il s’était muni de sa précieuse batte de baseball dont il nous rabâche tant les oreilles.

— Quoi ?! Qu’est ce qui se passe ?! Ou êtes-vous ? Je vais vous défoncer le crâne moi !!

Je ne rétorquais pas, et les yeux de l’homme s’ouvraient enfin.

— Nick ?! Qu’est-ce que.. Pourquoi t’es à poil dans ma chambre ?

— Euuuh… C’est pas ce que tu crois.

— Quoi ? Expliques-toi !

— J’en serais ravi mais veux-tu bien déposer ton arme fatale et me donner des fringues ?

— Bordel, j’espère que t’as une excellente explication. Attends-moi dehors."

Je m’exécutai et sortis de cette chambre. Quelques minutes plus tard, la porte s’ouvrit et la femme en sortit. Je me risquais à lui sourire en lui glissant un : "Ravi de vous avoir rencontrée"

Je n’eus que comme réponse : "Pervers"

Pendant qu’elle descendait les marches, mon ami m’apportait les vêtements, un peu vieux mais je ne vais pas faire mon difficile. Je ressortis de la chambre habillé, et bon sang que c’était agréable de ne plus être nu.

— Charmante ta copine Brincks ! Je crois quelle ne maime pas du tout.

— Le prends pas personnellement, tu lui as foutu la trouille. Et à moi aussi, qu’est-ce qu’il t’a pris ?

— Ben j’ai frappé à la porte de derrière mais tu ne venais pas. Et vu que j’étais à poil j’essayais juste de te trouver ou des fringues tu vois ?

— Ouais… euh.. Désolé vieux, j’étais… à la douche. Je ne tai pas entendu.

— A la douche ? De si bonne heure ?

— Je suis un lève tôt. Bon… Et si tu m’expliquais ce qu’il s’est passé à la banque ! Je me suis vraiment inquiété quand j’ai perdu le contact avec toi.

— Je me suis fait avoir.

— Par les flics ? Impossible on a tout calculé.

— Mais non ! Par une nana.

— Ha ha ha !! C’est pas vrai ! Sesclaffait-il sans me laisser expliquer le reste. Toi ? Tu t’es fait berner par une nana ? Impossible. T’es le mec le plus coincé que je connaisse, enchaînait-il en me ramenant des vêtements qui traînassaient dans un vieux placard.

— Ha ha… Il n’y a rien de drôle ! Et je nutiliserais pas le mot "berner" mais plutôt… "baiser" en l’occurrence. Mais littéralement en fait.

— Attends ! Tu veux dire que… tu as baisé ? Il me regarda d’un air surpris et se remit à rire sans s’arrêter.

— Non ! Je n’ai pas "baisé" ! Je me suis fait baisé, nuance. Oh ! Tant que j’y pense, la nana qui m’a violée s’est barrée avec notre or. Et mes fringues également.

Soudain il ne riait plus du tout et un grand silence pris place dans le bar.

— T’es pas sérieux là ?

— Je suis toujours sérieux.

— Comment c’est possible ?

— Ça y est ? Tu es disposé à m’écouter ? C’est pas trop tôt.

Je me dirigeais vers le comptoir et me servais un shot de whisky bien pur — encore aujourd’hui j’ai horreur des alcools forts — je le bus cul-sec, reposai le verre, et racontai tout à Brincks. Il m’écoutait avec la plus grandes des attentions, comme un patriote écouterait son politicien favoris. A chaque passage troublant ou défiant la logique (ou plutôt SA logique), il buvait une grande gorgée du même whisky que j’eus bu plutôt mais… au goulot.

J’ai toujours été fasciné par la facilité qu’avait cet homme à boire toute une bouteille de n’importe quel alcool voire plusieurs pour les alcools les moins forts ou même les moins bons car comme il dit : "Plus tu bois, meilleur c’est". Il me semble qu’il est irlandais, au moins ça expliquerait son caractère impulsif et sa clarté d’esprit constante même après 2 bouteilles de Scotch. Il avait quand même de bons côtés, il est clair, réfléchit il est surtout loyal et il peut détruire tout un bar pour récupérer le coffre qu’il pourrait éventuellement contenir, si il n’en contient pas il se rassure en piquant quelques bonnes bouteilles. Je suis même sûr que la plupart de ses produits sont volés à des concurrents. Mais il est aussi et surtout mon allié qui me trouve de bons casses à faire et c’est lui qui me renseigne sur les codes à connaître, les emplacements de caméras etc… Il s’occupe de tout même de la logistique. Quand je suis sur le terrain c’est lui qui me guide par radio.

Il est mon contact permanent. Il connait tous les gros bonnets de cette ville, et refourgue tout ce que je vole qui peut se revendre à un bon prix. Parfois il me contact pour me proposer des contrats et parfois c’est moi qui lui demande des ressources et son aide pour un braquage ou autre. Je ne peux pas me passer de lui. Mais évidemment il ne bosse pas gratos, il prend toujours vingt-cinq pourcents de ce que les types avec qui il bosse arrivent à piquer. C’est raisonnable pour la qualité de service, et je me dis qu’il dépense beaucoup plus pour aider que ce qu’on lui ramène; ses bénéfices sont moindres mais il s’en sort.

— Attends ! Montre-moi ce mot ! Je m’exécutais. Bordel de merde.

— Quoi ?

— Lana. J’en connais qu’une mais juste pour être sûr à quoi elle ressemblait ?

— Euuh… Sexy, tenue moulante d’infiltration, plutôt mince avec de belles formes, brune…

— Ouais je vois qui c’est. Pas étonnant que tu te sois fait avoir.

— Comment ça ?

— Lana Dinkley mon pote. Un véritable démon. Si le Diable existe, alors tu l’as rencontré dans ce coffre.

— Dinkley ?

— Absolument. Je peux te dire que tu n’es pas le premier à t’être fait avoir.

— Comment tu la connais ?

— Je connais tout le monde tu le sais. Mais elle, je te conseille pas de l’approcher, elle n’a pas de cur, encore moins que les gars de l’IRA. Je te le dis, évite-la.

— Elle m’a volée.

— Portes plainte.

— Je compte bien la retrouvais. Mais tu bosses pas avec je suppose ?

— Je préfère pas. C’est une suceuse de sang, une veuve noire, et une salope.

— Ouais le dernier point je l’ai remarqué.

— J’espère que t’as pris ton pied. En attendant si tu veux la rechercher, OK. Je ne peux pas t’en empêchais, mais sois très prudent, saches qu’elle est très dangereuse et que la prochaine elle te baisera peut être pas. Je sais pas où elle se trouve, elle bouge beaucoup mais je sais qu’elle a souvent été vu dans quelques bars dans d’autres Etats. Tu pourrais glaner des informations là-bas.

— Merci, mon ami. Je vais la retrouver.

— Je te prépare la liste des bars fréquentés par cette monstresse.

— Jamais j’aurais cru que tu détesterais une femme.

— C’est pas une femme. C’est le Diable, je te l’ai dit. "

Je ressortais du bar, Brincks me donna les clés d’un de ses véhicules, ainsi qu’une arme et des munitions, avec un portable pour rester en contact.

Le premier endroit où je devais me rendre, était le Road Rangers, au Texas.

A très bientôt Lana et vive la musique country.

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