Nous sommes quelques heures après ce moment inattendu où ma collègue s’est caressée devant moi et vice-versa. Je ne sais plus quoi en penser, je ne sais même pas si ce que j’ai vécu est réel, pourtant j’ai bien les images de ses doigts pénétrant son vagin dans une intensité folle, j’ai en tête son regard indécent posé sur mon sexe. Je n’ai rien rêvé, je viens de vivre un moment unique de ma vie sexuelle, j’ai réalisé un bout de mon fantasme et la sensation est vraiment enivrante, je n’ai qu’une envie : la rejoindre et lui faire l’amour sur son bureau, mais je ne dois rien tenter, je dois me contenter de l’attendre, en espérant que notre moment ne lui a pas suffi.
Des pas se font entendre dans le couloir, on frappe à notre porte, c’est Elena. Elle a retrouvé son assurance, de sa plus douce voix :
"Pierre, tu voudrais demain travailler sur le dossier Morine avec moi ? Ça sera pour toi l’occasion de découvrir une autre facette de notre métier !"
Je ne sais pas si son offre est sérieuse ou si c’est une façon pour elle de m’isoler longtemps dans son bureau, mais du tac au tac, je lui réponds de mon plus grand sourire :
"Oui avec grand plaisir, surtout que c’est une partie du métier qui m’intéresse pas mal aussi !"
Elle me répond de son sourire le plus charmeur :
"Parfait, demain, viens directement t’installer dans mon bureau, merci pour ton aide !" dit-elle en retournant les talons vers son bureau.
Dès son départ, énormément de scénarios se sont faits dans ma tête, j’ai du mal à croire cette histoire de dossier, elle veut juste évacuer toute sa frustration sexuelle avec moi. Enfin, je l’espère.
Ma nuit a été une nouvelle fois agitée tant j’étais excité de retrouver Elena le lendemain, j’avais l’impression d’être un gosse qui allait à Disneyland.
Le matin, j’ai encore fait en sorte de prendre soin de moi, de me faire le plus beau possible pour ma collègue qui m’invite dans son bureau.
J’arrive au travail, la voiture d’Elena est sur le parking, mon pas s’accélère, j’arrive enfin face au bureau d’Elena et je rentre. Elle est en robe, une robe courte, sans être très décolletée, ses petits seins doivent la complexer, elle ne cherche jamais à les mettre en valeur malheureusement. Elle me demande de fermer la porte et de m’asseoir.
Elle me dit en me tendant une feuille :
"Voici le programme des deux prochains jours, ce sont les choses que j’ai besoin de faire, tu t’en sens capable ?"
Sur cette feuille, une liste :
— Cunni
— Te sucer jusqu’à l’éjaculation
— Baiser sauvagement sur le bureau en levrette
— Faire l’amazone sur ta queue sur ma chaise de bureau
— Une sodomie
J’ai dû mal à croire que cette liste a été écrite par Elena, les mots sont si crues, elle semble s’être totalement lâchée sur cette feuille, évacuant toute sa frustration sur ce morceau de papier pour ne laisser parler que son instinct primaire. Elle me regarde, intimidée, presque honteuse d’avoir écrit ça.
J’ai un sourire, un grand sourire, mais aussi une légère crainte de ne pas assez bien satisfaire l’appétit sexuel d’Elena, je réponds :
"Je mets la tête entre tes cuisses pendant que tu check tes mails ?" dis-je en riant .
Sur son visage se dessine le soulagement et l’envie :
"C’est pas une mauvaise idée, on a pas mal de travail sur la planche non ?" dit-elle en me faisant un petit clin d’il.
Je me lève vers elle, encore assise sur son siège de bureau. Elle se lève à son tour, nos bouches viennent de suite se mêler alors que mes mains se posent directement sur ses fesses parfaitement moulées dans sa robe. Je ne sens aucun tissu entre elles et sa robe, nos langues se mélangent depuis plusieurs minutes, notre baiser est des plus sensuels, ma bouche quitte la sienne pour aller se glisser dans son cou, que j’embrasse, mordille doucement. Mes mains passent sous sa robe pour la remonter jusqu’au niveau de son ventre, son sexe est à l’air libre, mes mains caressent ses fesses, j’ai l’impression qu’elles sont faites pour mes mains, je les serre avec envie, je viens me coller contre elle, pour qu’elle sente toute l’excitation qu’elle peut créer en moi. Je lui glisse à l’oreille :
"Assis-toi que je m’occupe de toi comme tu le mérites."
De mon côté, je me glisse sous son bureau, la tête à la hauteur de sa chaise de bureau. Elle vient s’y asseoir au bord, les jambes complètement écartées, m’offrant son sexe déjà mouillé, je pose alors mes lèvres à l’intérieur de ses cuisses que j’embrasse avec délicatesse, remontant doucement vers son sexe. Sa respiration s’accentue, elle pose ses fines mains dans mes cheveux, je suis au plus haut de sa cuisse, mon souffle heurte son sexe, j’attends quelques secondes, la regardant dans les yeux puis j’y plonge enfin ma bouche. J’embrasse d’abord son sexe avec envie, avec passion, elle gémit de suite. Je sors ensuite ma langue qui vient passer entre ses lèvres, je lèche l’ensemble de son sexe sous son bureau, réalisant encore un peu plus mon fantasme. Elle trempe mon visage et son siège de bureau, je joue un petit temps avec l’entrée de son vagin pour enfin trouver son clitoris qui n’attend que ma langue. Au moment même où je pose ma langue dessus, elle semble recevoir une décharge électrique, elle m’empoigne les cheveux violemment, j’accentue alors mes caresses sur son clitoris, voulant rendre le moment encore plus intense plus puissant pour elle, je veux lui donner un orgasme mémorable. Ma langue titille son clitoris à une vitesse folle, je me décide à entrer deux doigts dans son vagin trempé pour accroître encore un peu plus son orgasme. Pendant quelques minutes, mes doigts remplissent son vagin pendant que ma langue s’occupe de son clitoris, pendant ces quelques minutes, elle s’abandonne totalement à moi, enchaînant les orgasmes, m’empoignant les cheveux, gémissant en serrant les dents pour ne pas se faire entendre.
Au bout d’un moment, sa respiration se calme un peu, de sa main, elle pousse légèrement mon visage pour me faire comprendre d’arrêter. Elle s’écroule alors sur sa chaise, épuisée de cet orgasme. Elle me regarde, avec un grand sourire, satisfaite, alors que je suis en train de nettoyer mes lèvres trempées de sa mouille.
Elle me dit d’une petite voix, essoufflée :
"Oh Pierre, c’était incroyable, je ne pouvais rêver mieux, mets-toi debout que je m’occupe de toi."
Je ne me fais pas prier, en quelques secondes, je suis debout devant elle, mon sexe est au niveau de son visage. Elle vient rapidement poser ses mains sur mon jean, serrant mon sexe à travers. Elle finit par déboutonner mon jean et baisse mon boxer quasiment dans la seconde en me disant :" Tu n’auras pas besoin de ça" avec un clin d’il.
Elle saisit mon sexe déjà bien en érection et commence à le branler, ses doigts fins se déplacent à merveille dessus, je sens toute son expérience, toute son envie. Elle me regarde avec un grand sourire, voyant très bien tout l’effet qu’elle me fait avec simplement ses dix doigts.
Elle vient ensuite approcher sa bouche, cette fois-ci, c’est moi qui sens son souffle chaud contre mon sexe puis elle donne ses premiers coups de langue sur mon gland, j’ai un gémissement puissant, la sensation est indescriptible, j’ai souvent eu le gland léché, mais ça ne m’avait jamais donné autant de sensations.
Un grand sourire se dessine sur ses lèvres quand elle voit qu’avec de simples coups de langue, elle me donne un plaisir fou, elle ne perd pas de temps et ouvre la bouche pour aller y enfermer mon gland, ses lèvres autour de mon sexe, elle commence à me sucer comme jamais on ne me l’avait fait. Elle sait parfaitement jouer avec sa langue sur mon sexe, elle sait parfaitement l’entourer de ses petites lèvres qui ne font que descendre de plus en plus bas, accueillant mon membre aux prémices de sa gorge. Je suis debout dans le bureau de ma collègue, en train de me faire sucer d’une façon idyllique. J’ai des gémissements puissants, les yeux perdus dans les siens, elle a un regard indécent, un regard de femelle qui a parfaitement harponné sa proie, pour notre plus grand plaisir.
Quelques minutes plus tard, après ce traitement indescriptible, je lui laisse comprendre que je vais bientôt jouir. Loin d’elle l’idée de s’éloigner de mon sexe et de le laisser jouir hors de sa bouche, elle accentue sa pipe, jouant de sa langue et de sa profondeur avec mon gland qui finit par exploser en elle, lui remplissant la bouche de mon sperme. Elle avale tout sans hésiter et lèche mon gland pour ne pas en perdre une goutte.
L’orgasme a été très intense pour moi aussi, je n’avais jamais vécu un plaisir si puissant, je m’écroule à mon tour sur le bureau.
Lâchant un "Putain, t’es incroyable Elena, t’es divine, j’avais jamais vécu ça."
Elle me regarde avec fierté, on sent qu’elle a retrouvé sa féminité, son pouvoir de séduction et d’attraction. Elle me dit de son sourire le plus indécent :
"Repose-toi un peu, tu as encore beaucoup à faire si tu veux un bon rapport de stage" avec un petit clin d’il.