Chapitre 17 : Un moment dégarement et ses conséquences
1ére Partie
Une semaine de vacances au bord de la mer ! Pas de boulot, pas de patron, pas de stagiaire. Juste mon mari pour de gros câlins et de bonnes baises ou il me prend sauvagement par devant ou par derrière et bien souvent attachée au lit pour abuser de mon corps à sa guise.
Nous avons même emmené le nouveau gode ceinture que jai acheté pour le sodomiser, depuis que Serge et sa copine lui ont fait découvrir ce plaisir, il accepte que je lui défonce, moi aussi, son ptit cul tout musclé. Il bande encore mieux, plus dur, et ça le fait jouir encore plus fort !
Par chance il fait un temps splendide et je peux me faire bronzer sur plage. Je suis en bikini, juste de la taille nécessaire pour ne pas risquer un attentat à la pudeur, mais bien sûr jaime, jadore qu’on me mate sur la plage. Voir des hommes avec leurs regards bloqués sur mes fesses et mes seins qui tentent de cacher leurs érections derrière leurs mains, ça me donne des frissons dans le bas ventre. Allongée sur la serviette, je retire discrètement mon petit haut qui soutien tout juste mes seins, pour bien bronzer sans marque sur mes seins, et je prends le soleil en étirant mes bras.
Dès que mon mari part se baigner, le vendeur de beignets rapplique et reste un moment à me reluquer sous prétexte de me vendre un beignet.
Pas trop loin de moi il y a quatre jeunes qui sans même se cacher me mate à fond, sans vergogne, avec des mimiques et gestes sans équivoque. Un des garçons fait des commentaires en me regardant et à la tête des autres qui se tournent vers moi je comprends à leurs gestes ce quils se disent et ce quils feraient bien avec moi.
Le plus dégourdi des 4 vient même me demander, de les prendre en photo avec son Smartphone.
Il a un sourire si charmant que jaccepte et comme je suis sur le ventre je mets bien mon cul en l’air pour me relever. Son sourire devient rayonnant car il ne devait pas en attendre autant. Quand il vient vers moi pour reprendre son portable que je lui temps avec mes seins nus, il a du mal à les quitter des yeux. Il arrive à un articuler un merci en osant ajouter.
— Vous êtes très belle Madame. Et votre maillot vous va très bien (tu parles).
Je lui réponds avec un large sourire.
— Merci, vous été gentil. Je le dirai à mon mari quand il reviendra.
Lui, il ne se marre plus du tout en jetant un regard vers la plage et il me sort.
— Non ! Madame ! Surtout pas !
Il a dû remarquer que mon homme est plutôt bien bâti et préfère sûrement ne pas avoir à faire à lui.
Il semble hésiter puis prenant son courage à deux mains il me demande sil peut prendre une photo avec moi.
J’hésite aussi, mais Patrick a pris ses palmes et son masque et il doit en avoir encore pour un moment. Je regarde quand même si il n’arrive pas, on ne sait jamais. Je souris et je dis.
— Ok jeune homme. Mais je suis un peu vieille pour un souvenir de vacances.
— Oooh, non madame ! Vous êtes si sexy ! Pardontrop belle et encore très jeune !
Au moins il ne manque de réparti. Il donne son portable à l’un de ses potes, et il se met à côté de moi. Il se serre contre moi et comme je ne bouge pas, il passe sa main dans mon dos et la pose sur ma hanche. Je tourne ma tête pour le regarder dun air interrogateur et sans se démonter il me dit.
— Cest pour la photo. Pour faire pâlir mes potes denvie.
Je lui souris.
— Ben voyons
Et je sens sa main descendre sur mes fesses. Je le regarde de nouveau et je souffle.
— Cest aussi pour la photo ?
Il me sourit dun air coquin et me chuchote.
— Nonjuste pour le plaisir.
Son audace me surprend et malgré moi je joue son jeu en répondant.
— Alorsjuste pour le plaisir
Avant de pousser mon cul sur sa main en écartant légèrement les cuisses.
Un de ses doigts glisse et senfonce dans ma raie des fesses. Je ne dis rien et son doigt appui maintenant sur mon anus pour faire des petits va et vient dessus. Je tourne ma tête vers lui et voyant son sourire coquin, jondule du cul pour accompagner les mouvements de son doigt.
Son copain lui dit.
— OK, Jacques ! Elle est bonne !(En parlant de la photo).
Le dénommé Jacques lui répond.
— Et comment quelle est bonne !
Mais lui, il ne parle sûrement pas de la photo car il a toujours son doigt qui caresse mon anus.
Pendant que son pote s’en retourne à sa serviette, je fais exprès de faire tomber mes lunettes de soleil devant moi. Je me baisse sans fléchir les jambes poussant ainsi mon cul sur son doigt. Ce jeune coquin, qui na décidemment pas froid aux yeux, en profite aussitôt pour rapidement écarter mon string et enfoncer son doigt en entier dans mon ptit trou. Surprise, je ne peux même pas retenir un petit gémissement de plaisir
— Huuuuuummmmm.
Je me rends compte que mon côté salope vient de nouveaux prendre le pas sur mon côté bourgeoise BCBG et que jadore mexhiber ainsi et exciter à mon âge des jeunots comme ce Jacques qui ne me quitte plus des yeux. Ce genre de situation me donne du plaisir, jadore ça et je mouille drôlement.
Je me remets sur ma serviette, allongée sur le ventre écartant bien mes cuisses pour lui offrir une belle vue de mon cul. En tournant la tête je vois quil prend plusieurs photos avec son portable. Ça lui fera de beaux souvenirs.
Patrick me rejoint et je lui roule une pelle formidable tellement je suis chaude et pour exciter encore plus ces jeunes gens qui ne nous quittent pas des yeux.
Mon mari me malaxe les seins et je sens contre ma cuisse sa queue qui prend de lampleur. Je ne tiens plus et je lui glisse dans loreille.
— Chéri, je sens quelque chose qui me ferait du bien si tu la mettais dans ma chatte.
— Caroon est sur la plage
— Dommage…jai envie de me faire baiser.
— A tes ordres mon amour, Mais Caro, pas ici viens, suis moi!
Il me relève et mentraîne vers le parking pour me pousser à larrière de notre voiture et me prendre comme un sauvage par devant. Jécarte bien mes cuisses en les tirants vers moi pour quil me pénètre le plus loin possible. Le jeune homme de la plage ma bien excitée et javais vraiment besoin de sentir une bite dans mon sexe. Je ne tarde pas à jouir sur la queue de mon mari mais il en veut plus. Il sort ssa queue bien raide de ma chatte, me pousse sur le dossier du siège avant et il la fourre dans mon cul pour menculer gaillardement.
Quand il jouit dans mes entrailles je ne peux mempêcher dimaginer que cest le jeune Jacques qui vient de me violer devant ses copains.
Du côté du jeune Jacques :
Ce que Caroline n’a pas remarqué c’est que le jeunot suçait son doigt en la mâtant en train de se faire peloter ses seins par son mari.
Ce goût acre et parfumé agit sur lui comme un aphrodisiaque et quand Caro s’éloigne avec son mari il les suit de loin.
Et c’est son jour de chance. Son intuition ne l’a pas trompé. La salope qui lui a laissé mettre son doigt dans son trou du cul est en train de se faire baiser par son mari dans la voiture.
Avec son zoom il est aux premières loges pour voir une baise d’enfer et un final de toute beauté ou, penchée sur le siège avant, le mari défonce le cul de sa salope de femme, par derrière, à grand coups de bite et qu’il t’entend malgré la distance, gueuler de plaisir quand il lui remplit ses intestins de sperme chaud.
Cest pour Jacques la cerise sur le gâteau car il a pris quelques clichés qui lui feront un souvenir impérissable d’une MILF en chaleur.
Mais Caroline devient pour lui une obsession et un jour il la suit discrètement pour découvrir ou elle passe ses vacances dans la maison quils ont louée. Il espionne ses faits et geste et il surveille son mari pour voir sil aurait le champ libre. Il jubile quand il apprend quil part toute laprès-midi pour un baptême de plongée sous-marine. Cest son jour de chance.
Retour vers Caroline
Je mapprête à appeler mon amie quand on frappe à ma porte.
Quelle n’est pas ma surprise de voir le jeune de la plage devant ma porte qui me regarde en souriant dun air angélique.
— Bonjour Madame, puis-je vous parler un instant.
— Mais…qu’est-ce que vous faites là!
— Je voudrais vous montrer quelque chose.
— Quoi! Que voulez-vous que je vois? Et je n’ai pas le temps.
— Vous devriez le prendre Madame, croyez-moi!
Et il me pousse à l’intérieur pour entrer en refermant la porte derrière lui.
— Non mais ça ne va pas jeune homme! Vous feriez mieux de filer car mon mari va revenir dans quelques secondes.
— Ça métonnerait, je viens de le voir partir pour faire de la plongée et jai un pote qui bosse au club qui pourra mavertir sil revient plus tôt que prévu.
— Mais enfin, que voulez-vous!
— Vous Madame! Regardez!
Il me tend des photos, très explicites, ou on me voit nettement me faire enculer par mon mari dans notre voiture.
— Depuis que j’ai vu ça, je me branle dessus tous les soirs et il fallait que je vous revoie. J’en dors plus! Vous hantez mes nuits ! J’ai envie de vous!
Il me prend de force dans ses bras pour vouloir membrasser, je me débats, mais il est costaud et il arrive à me renverser sur le divan.
— Arrêtez! Ou je hurle!
Il me bâillonne de sa main et de l’autre il retrousse ma jupe pour la plaquer sur ma chatte qui mouille déjà mon collant rien que dentendre quil ne pense quà moi et quil a envie de me baiser.
– Fermes-là! Tu mouilles déjà! J’en étais sûr ! Tu es forcément une belle salope pour te laisser mettre un doigt dans le cul sur une plage.
— C’était juste pour m’amuser et te laisser un beau souvenir. Maintenant fous le camp et ne reviens plus ici.
— Pas question, belle Dame, je veux te baiser et je te baiserais de grés ou de force!
Nouvelle bagarre mais au bout de quelques minutes, il réussit, en sasseyant sur ma poitrine, à ligoter mes mains avec la paire de bas qui séchait sur l’étendoir dans le salon et il les attache derrière mon cou, mempêchant presque de respirer si je veux me libérer.
— Arrêtez! Jai une amie qui risque de passer me voir !
— Eh, bien, tu vas lui passer un coup de fil pour la prévenir que tu ne te sens pas bien.
Il fouille dans mon sac, prend mon téléphone et
— Numéro, vite !
Je lui donne le numéro et quand ça sonne il me tend mon téléphone.
— Et ne fais pas de conneries…tu pourrais le regretter!
— Allo, Annie, cestcest Caroline. Je ne suis pas très bien. Je vais rester à la maison on remet ça demain.
— ……..
— Non Annie, ne viens pas. Ça ira. Ça va passer, je vais prendre quelque chose (sic !) et je te tiens au courant.
Il raccroche et le jeunot me regarde en souriant.
— Parfait ! Salope et obéissante ! Je ne peux pas mieux tomber ! A nous deux !
— Nooooon! Vas te faire foutre!
— C’est toi qui vas te faire foutre ma belle!
Je me débats encore mais ce nest pas très violent car jai les bras attachés dans le dos qui tirent sur mon cou. Je suis à moitié étranglée, je ne bouge plus, je cherche mon souffle.
Il en profite pour filer au garage et en revenir avec une corde. Mon dieu que va-t-il faire ?
Il me place au milieu du canapé sur le dos et à laide de sa corde il mattache les chevilles aux pieds arrières du canapé mécartant ainsi les jambes en V, me voilà offerte sans défense.
Il se met à genoux devant moi.
— Vous êtes quand même une belle salope pas de culotte sous votre collant transparenthuuummm fait il en me caressant la chatte puis en humant mon sexe tout en me caressant les cuisses.
Quelle honte dêtre ainsi soumise et humiliée par un jeune (presque) inconnu. Il ne faut surtout pas lui laisser l’impression que je suis sensible à ses attouchements.
— Quand tu auras fini ton petit jeu de violeurtu me détacheras et tu fermeras la porte en partant.
-Bienje vois que tu commences à comprendre. Je sens quon va séclater et que tu vas adorer, tu en redemanderas salope comme t’es.
Curieusement il alterne le tutoiement et le vouvoiement.
-Ben voyons, t’es bien jeune tu ne doutes de rien.
Il se redresse et debout entre mes jambes écartelées, il me caresse doucement mes cuisses encollantées.
-Je ne vous ai parlé de ma copine Noémie, pour son âge c’est une vraie experte du sexe et elle trouve que je suis un bon coup.
Ses caresses lentes qui effleurent à peine mes cuisses, me donnent des frisons, je serre les dents pour ne pas lâcher de petits gémissements de plaisir.
Je me concentre pour pouvoir lui répondre d’une voix claire.
— Non mais tu devrais aller la voir si c’est une pro et toi tu me semble bien prétentieux !
— Elle est surtout de bon conseil pour faire jouir une femme, je peux dire qu’elle a été ma prof pour bien faire jouir une meuf.
Tout en disant cela ses mains sont descendues le long de mes fesses, et il a saisi l’élastique de mon collant pour le faire glisser tout doucement, juste pour dégager mon sexe.il s’est de nouveau agenouillé et a commencé un formidable cunnilingus en caressant l’intérieur de mes cuisses. Quel bon élève il a dû être car je nai pas pu retenir un:
-OOÔOHHHpuis un aaaaahhhh
Mon corps se tendant, je voulais refermer mes cuisses, mais trop bien attachée, je ne peux rien faire et il continu de dévorer ma chatte qui commence à mouiller
Il titille et aspire divinement bien mon clito puis sa langue pénètre profondément dans ma chatte pour lécher mes parois humides. Je mouille comme pas possible. Il relève sa tête et me regardant droit dans les yeux, il me plante 2 doigts dans la chatte.
— Aaannghhh huuuummmm. Salaud ! Arrête ! Je suis une femme mariée tu ne peux me faire celaaaaaaAAAAHHHH
— Madame vous mouillez superbement bien, j’adore votre jus. Un vrai régal ! Arrêtez vos simagrées ! Je suis sûr que vous avez envie de plus de plaisir. Vous voyez bien que ma Noémie est une bonne prof !
Il me branle avec ses doigts dans ma chatte et il men met même un dans le cul ! Je sers les dents mais mon corps tout entier tremble et exprime ma jouissance.
-uuummmmhhhHH NnnaannnOOoooohh, ouiiiiiiiiiiii..
J’ai du mal à respirer car je suis à bout de souffle tellement je me retiens pour ne pas hurler mon plaisir. Il enlève ses doigts, me caresse les jambes, des chevilles aux fesses, lentement, sensuellement tout en me fixant. Je baisse les yeux devant son regard brûlant de désir et je gémis doucement sous ses caresses. Ses mains quittent mes jambes et je rouvre mes yeux. Debout devant, il enlève son bermuda et son slip, et j’aperçois son sexe bien tendu de bonne taille. Il reprend ses caresses puis mes seins tout en collant son sexe dur sur mon pubis. Me fixant dans les yeux il me fait juste un petit sourire malicieux et relève rapidement ses sourcils.
J’ai à peine assez de souffle, tant je suis restée contractée pour ne pas jouir, pour lui dire.
-je t’en prie arrête ne fais pas çaaaaa.Aaaaahhhhhh !
Son sexe vient de me pénétrer, lentement, sans à-coup. Il me remplit merveilleusement et senfonce jusqu’au fond de ma chatte. Je ne peux empêcher un relâchement de mon corps qui succombe sous son sexe qui fouille le mien. Je reste bouche ouverte, mes yeux dans les siens et mon vagin se contracte sur sa queue pour encore mieux la sentir. J’étais à lui j’aurais voulu serrer mes jambes mais je les laissais grande ouvertes, offerte et soumise. Javais même envie de crier.
— Baise-moi ! Prends-moi !
Il commence par un va et vient très lent en sortant sa bite presque entièrement de ma chatte, puis il revient bien à fond pour toucher ma matrice. Quand il arrive au bout il fait de petits va et vient très rapide, très court, mais violents, me faisant crier de plaisir à chaque fois. Il sort son sexe et il me fixe.
-ÔOOOOOHHHNOOONNNN.
Et mon bassin s’avance contre sa bite dans un réflexe incontrôlable. Je ne dis rien mais dans mes yeux il voit ma supplication, mon besoin.
Son sexe tendu, dur, trempé de ma mouille me reprend aussi lentement qu’avant. Je voudrais qu’il me prenne violemment, mais non, il continue sur le même rythme lent. Je n’en peux plus ! Il faut qu’il me baise. Et sans men rendre compte, je murmure.
-Plus fort
-Qu’est-ce qu’il y a ?
Il s’arrête, bien en moi et me fixe, en attente
Je n’en peux plus.
-Prend moi plus fort. Plus vite !
-J’ai pas compris demande mieux.
Je cède. Je suis vaincue.
-Vas-y criais je ! BAISE-MOI FORT ! Défonce moooiiii
Avec toute la puissance de sa jeunesse, il me pilonne sauvagement. J hurle de plaisir je me lâche enfin.
-OOOOUIIII ! AAAAHHHHH, OUIIIII que c’est bon ! Baise-moi comme une chienne !
Il se penche sur moi, une main agrippe mon sein et il membrasse fougueusement. Nos langues se cherchent et tournoient ensemble pour compléter cette union de nos corps.
Il me chuchote tout en me défonçant la chatte
-T’aime ça, Hein ? Tes vraiment une belle salope qui aime se faire défoncer.
-Ouiiiiiiii continue défonce moi ! J’suis à toi ! Ta salope ! Vas-y, Plus fort ! Ouiiiiiiiiii ! Encooore !
Je hurle ma jouissance. On sembrasse de nouveau et je mords même sa lèvre sous un coup de bite violent.
— Salope !
Et pour me punir, il mord mes tétons dressés et tout durs.
Je sens son sexe sortir et venir appuyer sur mon anus trempé. Je ne réagis même pas, on s’embrassait toujours.
Son gland pénètre lentement dans mon petit trou car ma rosette, complétement trempée et ma position jambes écartées en V, ne me permette pas de résister. Il m’enfonce entièrement sa bite dans le cul et s’immobilise. Nos bouches se décollent et les yeux dans les yeux, je lui dis presque tendrement.
— Encule-moi sans ménagement. Je suis à toi je suis ta salope vas-y défonce moi le cul.
Il se dégage lentement de mon cul et mon anus se resserre sur son gland pour le garder dans mon cul. Dun coup de reins il me pénètre dun seul coup ! Je crie
— OOOUIII !
Et il recommence, encore et encore en accélérant le rythme progressivement.
— Aaaaaaarrrgghhhhhh ! OOOOOOUUUUIIIIiiiiiiii ! C’est trop bon.Ooooohh, t’arrête paaaasss ! AAAArggh.
Dans un grognement bestial il me défonce une dernière fois et jouit dans mon anus brûlant.
Je suis morte, épuisée par ce violent orgasme et le plaisir que ce jeune homme vient de me procurer. Une nouvelle fois mon corps ma trahit et je nai pu résister au besoin de sentir un sexe en moi
Il se retire de mon cul épanouit et encore palpitant. Il prend du papier toilette pour messuyer les fesses et ma chatteje le regarde faire je rêve!!!??
-Mais que fais-tu? Arrête ! Détache-moi!
Avec un sourire pervers il remet mon collant, le réajuste comme il peut et il prend son téléphone…
Phantome et Toutencollant qui planche sur la suite
