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DP à Toulouse – Chapitre 1

DP à Toulouse - Chapitre 1



Chopée par des étudiants.

Jai trente et un ans, jhabite dans la banlieue sud-est de Toulouse depuis peu, nous sommes au début du mois de juillet, un vendredi soir, mon mari est en déplacement à létranger, ma fille et mon fils en vacances avec leurs grands-parents. Rien dintéressant à la télé, pas encore damis, bref je memmerde. Je me demande vraiment ce que je vais faire, lorsque je me souviens dune réflexion que jai entendue dans la PME où je fais un remplacement, une fille disait à dautres en plaisantant : "si ça te chatouille vraiment, tu peux toujours aller te promener le soir dans le quartier de la gare, il y a toujours des mecs prêts à choper des filles là-bas".

Après tout, pourquoi ne pas y aller faire un tour, ça me passera le temps et ce sera agréable de se promener dans cette belle ville.

Sitôt dit, sitôt fait, je passe un jean qui me moule bien les fesses et les cuisses et un débardeur qui fait ressortir mes seins, un coup de peigne, des talons hauts pour accentuer la cambrure de mes reins et basta, on verra bien. Une semaine que je nai pas fait lamour, ça commence sérieusement à me démanger, je vais peut-être réussir à me faire choper !

Arrivée près de la gare, je range ma voiture et je descends lentement vers la Garonne, la température est douce, je croise beaucoup de promeneurs, surtout des couples, des filles qui se sont déjà fait choper peut-être et il y a beaucoup de gens à la terrasse des bars. Un moment, jai limpression quun type me suit, mais non, quelques hommes me regardent mais aucun ne maborde. Je décide de prendre un verre, je massois à une terrasse et commande une bière.

Le serveur me lapporte, je lui tends un billet quil repousse et me dit :

— Non, elle vous est offerte par le Monsieur là-bas, et il me montre un vieux bonhomme, avec un chapeau, qui me sourit. Je ne suis pas venue ici pour me taper un vieux, je rétorque :

— Dites lui quil y a erreur sur la marchandise, et je lui redonne mon billet, quil prend en ajoutant :

— Il me semblait bien que je ne vous avais jamais vue par ici. Il me rend la monnaie et repart.

Un moment après, un type passe, me regarde avec insistance, séloigne, revient sur ses pas, enfin sapproche de moi et me demande doucement :

— Bonjour, cest combien ?

— Jai une gueule de tapin ?

— Excusez-moi, tout le monde peut se tromper !

Je navais même pas remarqué quil y avait des prostituées dans ce quartier !

Jai presque fini ma bière lorsque deux jeunes arrivent et sassoient à la table à côté, un blanc et un noir, très noir, certainement africain, qui me regarde et me dit avec un large sourire dévoilant ses dents blanches :

— Je peux vous offrir un verre Madame ? Je mentends lui répondre :

— Pourquoi pas ? Nous discutons un moment, japprends quil est ivoirien, son prénom est Aboubacar mais je peux lappeler Abou, quils sont étudiants, son copain est français, ils sont en coloc. Il me demande ce que je fais ce soir, si jattends quelquun, je lui dis que je suis libre comme lair, son copain parle peu, jai limpression quil napprécie pas trop ma présence. Abou me dit à loreille :

— Tu viendrais prendre un verre chez moi ?

— Pourquoi pas ? Mais ça ne va pas plaire à ton copain !

— On a chacun notre chambre.

— Si ça te fait plaisir, cest daccord. Jajoute :

— On y va alors, mais il peut venir avec nous si il veut, plus on est de fous, plus on rit !

— Il na pas dargent pour payer. Je comprends, eux aussi me prennent pour une pute !

— Mais je ne demande pas dargent, je ne suis pas une pute, si je vais chez toi ou plutôt chez vous, cest pour le plaisir de passer une bonne soirée, cest tout. Le copain me regarde étonné et me dit :

— Excuses-moi, je croyais que tu en étais une, il y en a partout ici, je suis désolé.

— Ce nest pas grave, en tout cas moi je suis partante si vous êtes daccord pour moffrir un verre chez vous, Abou dit :

— Eh bien, on est daccord, nest-ce pas Ted ?

— Oui bien sur !

— Alors on y va.

On se lève et on part tous les trois, je me place entre eux et leur prend le bras. Après une trentaine de minutes de marche, nous arrivons devant le bâtiment où est situé leur appart. Ils me font visiter, une cuisine, une salle à manger/salon, 3 chambres, ils ont un 3ème coloc.

Je massoie sur le fauteuil, eux aussi, un de chaque côté, Ted a ouvert une bouteille de champagne et rempli des flutes, il me dit que je suis super bien roulée, quil aime bien les gros seins et quil a envie de me faire plein de choses, Abou ma attrapée par lépaule et membrasse, pour les mettre à laise, je pose mes mains sur leurs braguettes, ils bandent déjà. Ted passe sa main sous mon débardeur et remonte jusquaux seins, Abou a une main sur mon jean, entre mes cuisses. Je leur dis :

— Il fait chaud chez vous, ça vous gène si je me mets à laise ? Vous navez pas chaud vous ? Nous nous levons tous les 3, retirons nos vêtements, et nous retrouvons nus. Je peux constater quAbou a une belle bitte, près de vingt centimètres, très épaisse, celle de Ted est plus fine et un peu moins longue, ils constatent que jai un beau cul et des seins lourds et fermes, et moi je pense que prendre ces bites dans mon cul ne peut pas me faire de mal et quils vont men mettre un bon coup. Jai bien fait de venir. On sassoit de nouveau, je prends ces deux belles queues entre mes mains et commence à les masturber lentement, Abou soccupe de ma chatte dans laquelle il a glissé plusieurs doigts, Ted de mes seins dont il mordille et pince les tétons. Je choisis de commencer par sucer la bite dAbou, je me penche sur lui et enfourne sa queue, jen ai plein la bouche, elle est énorme, tellement grosse que je ne parviens pas à la prendre entièrement. Je remonte sur le gland, le prend entre mes lèvres, le titille avec ma langue, puis lengouffre dans ma bouche. Pendant ce temps, Ted me malaxe les seins et me chatouille les tétons. Je change de position et magenouille cuisses écartées afin que Ted puisse aussi prendre du plaisir, il comprend le message, se place derrière moi et pénètre ma chatte en levrette, je remue les fesses pour lexciter, tout en continuant à pomper lentement Abou dont le rythme de respiration sest accéléré. Ted essaie de me la mettre entièrement, il me pénètre lentement et va jusquau fond de mon vagin, cest bon, il est assez long, dommage quil ne soit pas plus épais. Après me lavoir bien mise, il arrête de bouger pendant quelques secondes, je continue mes allers-retours sur la queue dAbou, qui nen pouvant plus explose dans ma bouche au moment même où Ted se met à me pilonner à grands coups de reins, la bite dAbou sort de ma bouche et il menvoie des giclées de sperme sur le visage. Ted ne sest aperçu de rien, il continue à me limer profondément, je sens ses couilles rebondir sur mes cuisses ! Cest très bon mais il minonde le vagin avant que jatteigne lorgasme. Je suis un peu déçue. Abou me donne une serviette pour messuyer le visage. Puis, ils me caressent et me lèchent tout le corps, sans oublier mon petit trou. Nous terminons la bouteille et le premier de mes mâles à reprendre vigueur est Ted, je me penche aussitôt vers lui et le prend en bouche, je narrive pas à lengloutir entièrement mais ma fellation doit être bonne puisque quelques minutes après il est parfaitement raide. Je le suce lentement, je ne veux surtout pas le faire jouir trop rapidement, il faut que jen profite aussi. Je remarque quAbou commence lui aussi à reprendre de la vigueur et je leur propose de nous trouver un lit. Abou nous emmène dans sa chambre, je les suce et les branle tous les deux et leur offre de me prendre le cul lun après lautre, bien sûr ils acceptent et Ted dit :

— Toi taimes baiser, tes une vraie salope !

— Toi, tu sais parler aux femmes !

Étant le plus fin, je lui demande de me prendre le premier, un peu de lubrifiant et Ted me la pousse au fond sans difficultés et commence à mentreprendre à grands coups de reins, il me lime bien le cul, en me malaxant les seins et en me traitant de chienne, de salope et de putain, mais je sens quil va bientôt venir et je tente de me défaire de son étreinte pour offrir mon cul à Abou qui se masturbe en nous regardant. Mais il ne lentend pas ainsi et redouble la cadence de ses allers-retours. Ce qui doit arriver arrive et il décharge dans mon cul. Cest la seconde fois quil me remplit sans mavoir procuré aucun plaisir.

Je demande à Abou de me pénétrer lentement pour laisser le temps à mon sphincter de sadapter à ses dimensions. Il positionne son gland sur ma rosette et entreprend son exploration. Je le sens avancer dans mon anus, cest magnifique cette énorme bite qui senfonce en moi, une fois bien au fond de mon cul, il me demande si ça va, je réponds :

— Oui ça va, baises-moi maintenant, défonces-moi bien, fais-moi crier, fais-moi jouir. Il commence des allers-retours de plus en plus rapides et rapidement je crie de plaisir, ce que jai dans le cul est énorme et pendant quelques minutes, jenchaine les orgasmes. Je me rattrape. Je reprends tout de même mes esprits lorsque je sens quil est prêt à exploser, je tortille un peu mon cul et il se vide en râlant au plus profond de moi.

Nous entendons la porte souvrir, puis une tête passe par la porte entrouverte et dit :

— Quest ce que vous faites les mecs ? Ah, je vois, on sen fait pas, vous avez ramené une amie ! Et en plus elle est superbe ! Je peux vous rejoindre ?

— Bien sur ! Il rentre dans la chambre et dit :

— Bonjour, je mappelle Salif, je suis sénégalais. Je lui réponds :

— Moi cest Anne-Laure ! Il est grand et apparemment musclé, avec de larges épaules. Comme ses deux copains, il est étudiant. Je lui dis :

— Si tu veux tamuser avec nous, il faudrait te déshabiller. Ce quil fait sans plus attendre, je découvre alors sa queue qui est de dimensions normales, assez épaisse quand même. Il me regarde et dit :

— Alors ? Tu ne tattendais pas à ça, à ce que je vois ! Tu pensais que jen avais une plus grosse ?

— Pour tout tavouer, oui. Mais en fait je préfère comme ça, ainsi jai 3 bites différentes pour mamuser et prendre du plaisir ! Jen connais beaucoup qui aimeraient être à ma place !

— Tu veux lessayer ?

— Bien sur, je ne veux pas mourir idiote ! Surtout que tes amis sont fatigués, ils ont pris de lavance ! Il se couche à côté de moi, membrasse, me pétrit les seins dune main et commence à me masturber de lautre. Je lui propose de faire 69, il accepte, il se couche, je me couche sur lui, il prend possession de ma minette et moi de sa bite, sur laquelle se referment mes lèvres. Je le pompe goulument, avalant profondément sa queue et agaçant son gland avec ma langue jusquà ce quil décharge au fond de ma gorge. Après quelques instants, il me regarde et me dit :

— Tu suces super bien, impossible de me retenir, dhabitude je ne viens pas si vite ! Et nous rejoignons nos amis dans le salon où ils se désaltèrent. Ils moffrent une boisson, jopte pour un jus dorange et nous discutons un moment jusquà ce que mes mâles reprennent vigueur.

Et cest encore Ted qui rebande le premier, il se lève et me dit :

— Allez viens, cette fois je vais te faire jouir ! Il memmène dans sa chambre, minvite à me coucher et me prend à la missionnaire, il me lime activement puis me demande de venir sur lui, il me suce les seins et met les doigts dans mon cul en continuant ses vas et vient jusquà ce que jatteigne lorgasme, il ralentit alors la cadence. Abou et Salif sont debout, la bite à la main, ils attendent leur tour, je demande à Ted de cesser de me pilonner, il sarrête mais garde ses mains sur mes hanches pour rester dans mon ventre, je leur dis :

— Vous êtes trois, je suis seule, bien que jai trois trous, cest difficile de les occuper en même temps mais si vous voulez, vous pourriez me prendre à deux, un devant et un derrière, quen pensez-vous ? Ils sont daccord. Je suis déjà empalée par la chatte sur la bite de Ted, je propose à lun des deux de venir me prendre le cul, je mallonge sur Ted et Abou monte sur le lit, pose son gland sur ma rosette et prend lentement mon cul, Ted restant dans mon vagin.

Dès quils sont tous les deux au fond, jai limpression que je vais défaillir, que je perds ma respiration, je demande à Ted de ne pas bouger, seul Abou me limera au début. Dès les premiers allers-retours, je crie de plaisir, ces deux bites dans mon ventre, cest merveilleux, puis Ted se met aussi à me pilonner et là cest lexplosion, jai orgasme sur orgasme. Peu de temps se passe avant que leurs muscles se crispent et comble de bonheur, ils jouissent tous les deux en même temps.

Jai mal au ventre mais il reste Salif à satisfaire, je lui propose de me rejoindre, je le suce un peu pour lui faire reprendre vigueur puis il me prend en levrette. Il me besogne bien et jai plusieurs orgasmes, puis il monte à létage au-dessus et mencule sans aucun problème, il me lime rapidement mamenant un nouvel orgasme, il continue ses allers-retours et se vide les couilles dans mon cul.

Moi qui craignais mennuyer, je passe une excellente soirée !

Je crois que je vais rester passer la nuit avec eux . Et peut-être tout le week-end Si affinités !

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