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Sandra – Chapitre 4

Sandra - Chapitre 4



Début novembre ….

Sandra ne m?a pas appelé cette semaine …

Elle est arrivée samedi matin.

Je suis très heureux de la retrouver. Elle est de plus en plus belle.

? Enfin je te vois et je peux voir ton petit ventre s?arrondir ?

? Tu es content, mon chéri ? ?

? Oui très content ?

? Mon patron est empêché cette semaine, il est en déplacement ?

? Ah ! ?

? Serge a donc avancé les week-end libres ?

? Et le menu est ? ?

? Serge m?a recommandé de bien faire les choses …. Il ne sera pas là. En fait ce week-end il n?y aura pas de … visiteur ?

? Ah c?est une bonne nouvelle ?

? Ne te réjouis pas …. Je dois te mettre en condition ?

? En condition … mais pourquoi ? ?

? C?est pas facile à dire, chéri ?

? Tu sais, j?en en vu tellement depuis quelques mois ?

? Oui mais ça va te peiner je pense ?

? Dis toujours … ai-je le choix ?

? Non ?

? Alors ?

? Il faut d?abord que tu rédiges un texte de ta main et que tu le signes ?

? Un texte sur quoi ? ?

? Tu devras écrire toute chose concernant notre relation de couple, comment tu la vis, ce que tu penses de moi, de toi, de Serge, de mes amants, de notre futur enfant, de ce que tu es prêt à accepter encore, enfin jusqu?où tu veux que nous allions … et Serge dit que tu dois insister sur ce que toi tu veux et à la fin de ton texte je devrais, moi aussi écrire ce que j?en pense et après je te dirais ce que je dois t?annoncer de la part de Serge ?

? Ah … c?est qu?il y a beaucoup à dire et la fin de ta phrase m?inquiète … ?

? C?est pour cela qu?il faut que tu rédiges ce texte ?

? Bon je m?y mets tout de suite ?

? Moi je me repose un peu …. Je vais me détendre dans le fauteuil ?

? A tout à l?heure ?

? ok ?

Me voici donc, dans mon bureau … Je suis assis devant mes feuilles blanches et j?avoue ne pas savoir par où commencer. Je réfléchis durant beaucoup de temps. Puis j?écris :

Aveux d?un cocu

Marié à Sandra en mai 2002, nous avons eu une vie disons ? normale ? jusqu?en juin 2003.

Ma femme est une très belle femme, jeune, elle a maintenant presque 20 ans. Elle est ce qu?on appelle une très belle femme. Vraie blonde aux yeux vert, elle a un corps magnifique avec des hanches très féminines et des seins lourds bien ronds d?un 95D. Elle est grande.

Depuis notre mariage, je suis fier de sa beauté.

Mais en juins 2003, nous avons eu des difficultés financières et le destin nous a placé sur une voie à laquelle nous ne nous attendions pas. Puis deux mois plus tard, notre couple a basculé dans ce que je pourrais appeler notre nouvelle vie.

Serge, l?homme qui est à l?origine de ce basculement est entré dans notre vie. Sandra pour protéger, au départ, notre situation sociale a, en quelque sorte, cédé aux avances et au chantage financier de Serge. Moi, lâchement, je suis resté taisant, j?ai observé de ma cache, ma femme obéir aux exigences de Serge et se donner à lui. Si j?ai été colère et voulais intervenir, j?ai vite été confronté à un dilemme intérieur. En effet, si tout en moi se révoltait, quelque chose de nouveau naissait aussi en moi. J?étais fasciné et excité par ce que je voyais. Je devenais voyeur, voyeur de ma propre femme satisfaisant un autre homme que moi et voyeur de ma femme faisant l?amour. Tout le temps qu?a duré cette situation nouvelle, je me suis découvert et j?ai découvert ma femme. Je l?ai vu boire le sperme de cet homme, alors qu?elle ne me l?avait fait, je l?ai vu se faire enculer pour la première fois, alors qu?elle me l?avait toujours refusé.

Mais ce que j?ai compris, au fond de moi, c?est que ma femme avait aimé se faire prendre comme une salope par cet homme qui aurait pu être son père. Sans doute, la grosseur de son sexe y était pour quelque chose. Son savoir faire aussi. De mon coté, je compris également que j?avais aimé être ainsi cocu par cet homme qui venait de posséder ma femme.

Puis Serge, sans doute, appréciant le corps et la jeunesse de ma femme, ne nous a pas lâché et il a, par son adresse, obtenu que Sandra le revoit.

Elle était d?accord et moi aussi. Même si nous l?avons reconnu, nous ne nous sommes pas dit ce que nous pensions réellement. Elle n?a pas dit qu?elle brûlait d?envie de refaire l?amour avec lui. Je ne lui ai pas dit que je désirais qu?elle se fasse prendre encore pas Serge et surtout qu?il la possède encore comme je l?avais vu possédée la veille.

Ensuite tout s?est enchaîné et Sandra et moi avons parlé sans limite de ce que nous ressentions et de ce que nous voulions pour notre couple. Nous avons décidé d?un commun accord de poursuivre cette expérience jusqu?au bout.

Nous avons eu avec Sandra quelques moments d?intimité merveilleux jusqu?à ce que Serge lui interdise d?avoir des relations sexuelles avec moi. Sandra m?a dit qu?il voulait qu?elle soit enceinte de lui.

Mais de plus, Serge avait dit qu?il voulait la pervertir. Il commença début septembre …. Et Sandra fut prise par plusieurs hommes du village que Serge avait convié.

Elle devint ainsi la pute commune, la femme publique. Et même son oncle la baisait.

Elle s?absenta … avec Serge et lorsqu?elle revint, elle m?annonça être enceinte de lui.

Le coup fut rude mais oh combien excitant.

Elle m?avoua aussi être amoureuse de Serge, en fait elle m?avoua l?aimer différemment de son amour pour moi, mais l?aimer.

Tout ceci posé, je peux dire aujourd?hui que je sais et accepte que ma femme soit heureuse avec un autre homme que moi. Je suis heureux et accepte qu?elle porte l?enfant de son amant de coeur. Je suis heureux et accepte qu?elle se donne à lui, qu?elle lui appartienne. Je suis heureux et accepte qu?elle vive avec lui, plus qu?avec moi.

J?aime savoir qu?elle soit devenue sa femme, d?une part, mais aussi qu?elle soit devenue une salope et une pute en ? la donnant ? à beaucoup d?homme du village.

Je suis devenu le cocu …. Aux yeux de tous mes collègues et connaissances.

J?aime à penser que ces hommes qui me jalousais d?avoir épouser la plus belle fille soient leur amant et la prennent, maintenant, comme leur pute.

J?aime que Serge interdise à Sandra de coucher avec moi, d?avoir des rapports sexuels avec elle. C?est ainsi que je trouve à exprimer ce qu?il faut bien appeler mon masochisme, car j?en souffre, évidemment. Mais c?est aussi terriblement excitant. Etre cocu soit, mais être dépossédé de sa femme, c?est humiliant, mais excitant cérébralement.

Je sais maintenant, que je peux tout accepter et même plus que ce que j?ai déjà accepter.

Alors, que dire de plus. Que je remercie Serge et Sandra de m?avoir révélé et de me permettre d?exprimer mon masochisme. Que je remercie Serge de m?avoir évincé dans le coeur et le corps de Sandra. Que je remercie Sandra de vivre son amour pour Serge pleinement.

Je leur demande de continuer ce qu?ils ont entrepris et les remercie tous les deux ….

Alain.

Sandra lu cette confession et apprécia, elle dit qu?elle n?en attendait pas moins et qu?elle était heureuse de ce que j?exprimais car elle voulait effectivement continuer, en ce sens.

Elle prit un stylo et dit qu?elle allait, elle aussi, participer à cette confession comme l?exigeait, Serge.

Elle écrivit donc, à la suite de la mienne.

? Je suis Sandra, je viens de lire la confession d?Alain. Elle me convient tout à fait. Mais je voudrais, ici, insister sur plusieurs points, surtout pour que Serge soit pleinement satisfait. En effet, je considère comme un homme qui accompagne ma vie. Je porte son nom par acte d?état civil, mais dans mon esprit et dans mon coeur mon mari c?est Serge. C?est Serge que j?aime et Alain est mon meilleur ami. Rien de plus, rien de moins. L?enfant que je porte, est le fils de Serge mais il sera déclaré à l?état civil sous le nom d?Alain. Ceci afin que ce dernier soit marqué par l?humiliation du cocu. Alain vous a dit, dans sa confession, que j?étais, entre autres, baisée par mon oncle, et c?est vrai, et Serge le fera bientôt savoir à mes parents.

Je suis réellement devenue aussi la pute du village et je suis fière car ainsi tous les hommes auxquels Serge me donne, peuvent dire à Alain qu?eux aussi ils m?ont eue.

Enfin, Alain nous demande, à Serge et moi, de continuer …. Alors je lui dis oui, et il va s?en rendre compte, car Serge a bien d?autres intentions à mon endroit. ?

Sandra.

Ainsi Sandra avait scellé ma confession par la sienne et la volonté de Serge.

? Bon maintenant tu peux me dire ce que tu as à me dire ?

? Oui, je vais te le dire, installe toi dans ce fauteuil ?

? Je suis prêt ?

? Alors voilà ce que dit Serge :

— Il ne veut plus jamais entendre que tu dises, parlant de moi, ma femme quand tu t?adresseras à qui que ce soit. Tu pourras dire seulement Sandra.

— Il ne veut plus que tu m?appelles autrement que Sandra et moi je t?appellerais Alain. Plus de chérie ou chéri.

— Il ne veut plus que je sois avec toi chez tes parents ou chez les miens, s?il lui n?y est pas.

— Il exige de nous deux que nous nous ayons une relation exclusivement courtoise, respectueuse et amicale quand nous sommes ensemble dans la maison.

— Dorénavant en me parlant de lui tu devras dire … ton mari, et en te parlant de lui, je devrais dire … mon mari.

— A tout le monde d?ailleurs nous devrons parler ainsi, y compris nos parents.

— Il exige aussi que nous nous montrions, maintenant, ensemble lui et moi dans le village.

— Enfin, il change les dernières règles établies et dorénavant, les hommes auxquels il me donnera, viendront me prendre chez lui et plus chez toi. Ce qui implique que je ne viendrais te voir, amicalement, que lorsqu?il me le dira.

? Mais enfin, je ne te verrais donc plus ! ?

? Tu ne me verras que lorsqu?il le voudra, lui ?

? Mais … ?

? Tu sais, Alain, sois heureux qu?il n?exige pas que je divorce d?avec toi ?

? Comment ? ?

? Oui, tu as bien entendu ?

? Tu le ferais ? ?

? Oui, je le ferais ?

? Je suis malheureux ?

? Alain, je suis certaine que Serge sais ce qu?il fait. Il m?a laissé entendre que je viendrais régulièrement te raconter ce qu?il fait de et avec moi de sorte que tu sois toujours en humiliation et en souffrance de la femme que tu as perdue ?

? Oh vraiment, je ne pouvais imaginer une telle situation ?

? Maintenant je rentre chez moi, rejoindre mon mari ?

? Sandra, je t?en prie ne me laisse pas sans nouvelle de toi, longtemps ?

? Je ferais ce que mon mari voudra que je fasse ?

Sandra me laissa seul avec mon désespoir et ma peine.

Je partais tôt au bureau et en rentrais tard. Je ne voyais plus personne. J?évitais de circulais dans le village. Je faisais mes courses ailleurs.

Le week-end, je restais enfermé pour ne voir personne mais je restais à la maison au cas où Sandra viendrait.

Mais j?ai dû attendre plusieurs semaines avec qu?elle ne vienne un samedi après midi.

Nous étions quelques jours avant Noël.

Son ventre avait grossi. Je la regardais avec Amour. J?en oubliais immédiatement ma peine. Je la priais de s?asseoir. Je lui préparais un chocolat chaud, comme elle l?aime.

Elle était enceinte de 3 mois et demi.

Nous avons parlé de sa santé et de la pluie et du beau temps.

Puis elle dit que Serge lui avait dit de venir me voir pour m?informer.

? Je dois te dire tout ce que j?ai noté ?

Elle sorti un papier de son sac à main.

? Serge, m?a demandé d?être explicite et de ne rien omettre, c?est pour cela qu?hier, nous avons écrit ce bout de papier :

— Je dois commencer par te dire que je reçois, chaque jour de la semaine, la visite d?un homme différent, la plupart vient du village. Il n?y a pas de règle précise. Le premier qui arrive, je dois l?accepter. Le bouche à oreille a fonctionné et maintenant, mon mari, estime qu?une soixantaine d?hommes sont sur les rangs. Le matin, je dois mettre un carton vert sur la vitre du salon, si je suis encore disponible et après, un carton rouge, si je ne suis plus disponible. Ainsi il n?y a pas d?embouteillage. Mais les vieux sont plus nombreux.

— Mais la demande est forte. Heureusement qu?il y a les Week-end. Ces deux jours, permettent de satisfaire un bon nombre d?hommes. En moyenne disons, 6 le samedi et 6 le dimanche. Les week-end, c?est plutôt les jeunes qui adorent me partouzer. Ceux du village emmènent quelquefois leurs copains des cités. Il y a eu des arabes et des noirs.

— A cause de cela, Serge me dit de te préciser que mon vagin peut prendre les plus grosses bites imaginables. Que mon cul est devenu très accueillant. Et que plus ou moins, je bois le sperme de 12 hommes par semaine.

— Il y a 15 jours, mon oncle a informé mes parents et tes parents de la situation. Il parait que ça a fait du bruit … mais les choses se sont calmées après que mon mari soit allé avec mon oncle se présenter à eux et expliquer ma propre volonté …. Ils ont exigé de ma voir, mais Serge a refusé avec l?appui de mon oncle. Tous les deux ont voulu que cette rencontre familiale se passe pour le réveillon de Noël. Donc maintenant nos parents, aussi, savent tout et même que j?accepte d?être baisée par mon oncle.

— Cette année, tu ne seras donc pas invité chez nos parents pour Noël car nous serons réunis en famille et tes parents on accepté la proposition de mon mari avant de te voir car il ne savent pas très bien comment aborder cette situation avec toi.

Voila ce que mon mari m?a dit de te dire. ?

J?étais complètement abasourdi et je ne pouvais sortir un seul mot de ma bouche.

? Tu ne dis rien, Alain ? ?

? Je suis sous le coup. Je pense à nos parents … Et aussi à cette situation dont je ne sais comment elle finira ?

? Je comprends ?

Sandra a quitté la maison vers 19 heures.

Les jours ont passé, j?étais seul … Noël et jour de l?an.

Nous sommes le 3 janvier 2004.

La sonnerie du portail retentie.

C?est le facteur qui m?annonce, ainsi, qu?il y a du courrier.

C?est un courrier de mes parents. J?ouvre, je lis.

? Bonjour Alain. Comme tu le sais, nous avons passés les fêtes de Noël, en compagnie de Sandra et de Serge et aussi de tes beaux parents. Après le choc dont tu peux te douter et les pleurs des femmes, nous avons tous fini par comprendre et admettre ta façon d?être, puisque c?est la tienne. Nous voulons tous te dire que tu es et reste notre enfant.

Si nous avons choisi de t?écrire c?est que nous pensons que, pour l?instant, tu dois préférer rester loin de nous et nous le comprenons.

Sandra nous a convaincu et Serge nous est apparu, en définitive, être un homme courtois.

Nous t?embrassons et sache que la porte est ouverte ?

Un autre courrier vient de Sandra, je l?ouvre et le lis.

? Mon très cher Alain, tu as du recevoir une lettre de nos parents t?informant qu?ils sont maintenant au courant de ton infortune. Serge et moi avons passé un agréable séjour et de bonnes fêtes de Noël … en famille.

Nos parents savent tout de toi, de tes préférences sexuelles, de notre séparation de fait, de l?enfant que je porte, de ma débauche sexuelle guidée par mon mari.

Tu dois être content que même aux yeux de nos parents, tu sois reconnu comme un vrai cocu.

Comme tu t?en doutes au reçu de ce courrier, je ne viendrais pas ce week-end.

Pour le réveillons du jour de l?en, mon mari m?a offert une nuit de luxure incroyable. Nous étions chez des amis masculins et j?ai été la proie de 11 hommes. Toute la nuit, j?ai été prise jusqu?au petit matin.

Ce week-end, je dois recevoir la visite de 6 jeunes ….

Je te dis à bientôt ?

Les semaines et les mois ont passés. Le printemps est arrivé, nous sommes au joli mois de mai, le 15.

Un bruit me réveille. Il y a du monde dans ma maison. Je me lève et …. Stupéfaction. Je me trouve nez à nez avec Sandra. Il y a des valises. Elle me regarde. Je la regarde, elle est enceinte jusqu?aux yeux, son ventre est très gros. Je souris, elle sourit.

? Bonjour mon Amour, je suis rentrée, je suis revenue chez nous ?

? Vrai ? ?

? Vrai ?

Je me jette dans ses bras et l?embrasse passionnément. Elle répond à mon baiser.

? Je rêve, dis-je ?

? Non, tu ne rêve pas, je suis là ?

Sandra a accouché d?une adorable fille. Nous l?avons appelé Sandrine.

J?ai appris que Serge avait déménagé dans le sud.

Nous avons revu nos parents comme si de rien n?était.

Nous sommes fin Août.

La vie a repris son cours … enfin presque.

Car ceci est une autre histoire.

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