Deux jours ont passé depuis notre incartade à moi et Veronika. Nous n’en avons pas parlé mais je continu à l’aider lorsqu’elle fait boire mon filleul. Le jeudi après-midi je sors en ville. Depuis mon arrivée je ne suis presque pas sorti de la maison et j’ai besoin d’air. Au fil des jours j’ai remarqué effectivement, le pauvre Antoine est tombé dans la routine et qu’il s’occupe que très peu de sa femme. Les quelques moments qu’il a, il les prend pour jouer avec son fils ou pour discuter avec moi. Vers 16h je suis de retour de ma promenade. Veronika est assise dans la salle de séjour, accompagnée d’Alyssa qui est venue rendre une petite visite. En me voyant, elles se lèvent. Alyssa vient me faire la bise, et se blottit un peu contre moi.
-Merci pour l’autre jour, c’était très bien de ta part de pas profiter de moi.
-Mais de rien.
Nous nous installons tous les trois dans la salle de séjour et discutons un peu. Veronika invite Alyssa à rester manger avec nous et celle-ci accepte. Les deux femmes partent faire la cuisine et je reste avec mon filleul dans la salle de séjour pour jouer avec lui. Le téléphone sonne. Après un moment, Vero vient m’avertir que nous ne seront que nous trois pour le repas, Antoine devant passé la nuit à la caserne, il aurait eu un malaise ou quelque chose comme ça. Il semblerait que ce soit des choses qui arrivent souvent avec les durs entraînements de l’armée. Vers 18h, les femmes m’appellent pour que je vienne les trouver.
Je suis ravi, le repas est exquis et je suis content d’être seul avec ces deux superbes femmes. Le vin est de nouveau au rendez-vous, mais cette fois je tente de garder le contrôle, ne voulant pas me mettre dans l’embarras. Hors, ce n’est pas moi qui me place en mauvaise posture mais Veronika. Alors que la discussion tourne un peu sur un sujet salace, Vero me lance:
-J’espère que cela ne te met pas mal à l’aise qu’Antoine ne soit pas là.
-Pourquoi le serais-je?
-Avec ce que nous avons fait hier.
Je lui lance un regard troublé.
-Ah oui! Et qu’avez vous fait hier? lance Alyssa qui semble très intéressée.
-Thomas m’a fait jouir avec sa langue et après il m’a pris par l’anus.
Je suis dévasté. Je vois déjà Alyssa raconter le tout à Antoine et lui me jeter littéralement dehors de sa vie.
-Et c’était comment? interroge Alyssa d’un air coquin.
-Totalement merveilleux! L’un des plus grande extase de ma vie.
-Je vois.
L’échange entre les deux surs me met dans un état de malaise profond. Je racle la gorge et tente de changer de sujet, mais Alyssa n’a pas l’intention que je m’en sorte aussi facilement.
-Alors comme ça tu te farcis ma grande sur? Tu es un vilain garçon. Et en plus tu as du talent, j’aimerais voir ça.
-Je…
Je n’ai pas le temps de répondre quoi que ce soit qu’Alyssa vient s’asseoir sur mes genoux et m’embrasse à pleine bouche. Elle me retire mon chandail, pendant que Veronika s’amène derrière elle et lui retire à son tour son haut. Elle se retrouve en soutien-gorge devant moi. Contrairement à la veille avec Veronika, je suis beaucoup plus participatif. Je place mes mains derrière son dos et défait moi-même son soutif. Nos langues s’entremêlent et nos mains se promènent mutuellement sur nos corps. Derrière Alyssa, Vero est retournée s’asseoir et nous observe sans rien manquer de l’action. Alyssa quitte ma bouche, se poste à genou devant moi et se place pour retirer mon membre de son abris qui commence à être trop étroit. Une fois mon sexe dehors, Alyssa ne perd pas de temps et se met à me pomper avec ardeur. Même si ses talents n’atteignent pas ceux de sa soeur, les soins prodigués ont vite fait de remplir leur travail et je fait redresser Alyssa pour ne pas venir tout de suite.
-Si vous voulez continuer, vous pouvez aller dans la chambre. nous propose Vero
Nous acceptons cette possibilités et je prends Alyssa dans mes bras pour la transporter sur le lit des maîtres. Arrivant à destination, elle retire vite fait le reste de ses vêtements, se retrouvant totalement nue devant moi. Son corps est sublime. Je me lance à la charge de son sexe et n’en fait qu’une bouchée. Son jus est exquis et je sens qu’elle apprécie quand j’entends de longs gémissements, presque de véritable cris de jouissance. Quand je sens qu’enfin elle a atteint l’orgasme, je cesse mes soins et m’allonge à ses côtés. Elle se redresse et m’embrasse goulûment. Veronika se tient dans l’embrasure de la porte et nous regarde.
-Vous êtes magnifique. Je te l’avais dit qu’il était génial.
-Oui, mais je veux le sentir en moi maintenant.
Sur ces mots, Alyssa se place sur moi et dirige mon gland sur son sexe et se laisse tranquillement descendre sur ma colonne de chair. La sensation est fantastique. Pendant se temps, Vero vient s’agenouiller près de nous sur le lit et passe une main dans son jeans pour se prodiguer une masturbation en règle. Elle suit la vitesse que prend sa sur qui continue à monter et descendre sur ma verge. Je regarde Vero dans les yeux.
-Allez, place-toi sur mon visage, tu le mérites bien.
Ni une ni deux et Veronika s’exécute avec joie. Elle retire ses vêtements et place son vagin au dessus de ma bouche pour que je puisse lui lécher le minou. Nous restons dans cette position un bon moment et je fini par sentir que je ne peux plus retenir ma jouissance. J’en averti Alyssa et elle se retire pour terminer le travail avec ses mains. Je viens directement sur mes abdominaux.
-Hum, il faudrait pas que tout ça se perde.
Alyssa s’empresse de lécher mon sperme directement sur mon corps. Quand je suis totalement nettoyé, les deux soeurs viennent chacune leur tour m’embrasser, me remerciant pour cette incroyable partie de baise.
Le jour du baptême, Alyssa et moi avons officialisés notre relation auprès de sa famille. Dans les semaines qui suivirent, alors que nous venions de déménager dans un petit appartement ensemble, Alyssa m’appris qu’elle était enceinte. J’étais bien sûr très heureux, mais elle m’annonça aussi qu’elle ne voulait pas que nous ayons de relations sexuelles durant la grossesse, mais que Veronika était prête à se ’’sacrifier’’ si j’avais besoin de lâcher la pression.
Aujourd’hui, ma fille à 5 mois, j’ai trouvé un emploi dans une boîte assez sympathique et je vis l’amour fou avec Alyssa. Nous avons décidé de nous marier au printemps prochain. Durant sa grossesse j’ai vu à quelques reprises Veronika pour ’’ lâcher la pression’’ mais à chaque fois Alyssa était présente. Depuis la naissance de ma fille nous n’avons jamais répété l’expérience.