Je suis pétrifié. Mon cerveau vient d’exploser et mon sexe palpite. Cette femme, une MILF carrément bandante me drague en faisant du rentre-dedans. Et si je n’en étais pas encore sûr, sa main sur mon sexe vient de le vérifier.
— Eh bien ! Ça chauffe là-dessous, susurre-t-elle en caressant mon sexe sous mon jean. Il durcit en un clin d’il et cette protubérance la fait sourire
— Vu ta réaction, je suppose que c’est la première fois que ça t’arrive
— De bander ? Non quand même pas…
Je me surprends moi-même, à faire une blague dans ces circonstances.
Heureusement elle rigole, mais ne s’arrête pas. Elle regarde un instant mon sexe en se mordant la lèvre. Je peux sentir son désir sexuel. Une partie de moi veut aller dans les toilettes pour baiser sauvagement cette femme en rut. Puis je me rappelle que je suis puceau. Du coup je sais pas quoi faire et je ne me sens pas capable de prendre les devants.
Maintenant que le message est passé, la MILF s’éloigne de mon sexe pour revenir sur ma cuisse, puis sur mon bras. Je recommence à respirer.
— Au fait je m’appelle Marie et toi ?
— Chris.
— Comme Christophe ?
— Ouais.
— Dis-moi, Chris, quest-ce que tu fais aujourd’hui ? J’ai envie d’aller faire du shopping et j’ai envie que tu viennes avec moi.
— Euh rien de prévu …
— Super, et après … on pourrait aller à l’hôtel …
Pas besoin de me dire pourquoi je sais très bien. Je prends une bonne inspiration et lui demande :
— Pourquoi ?
Elle semble s’attendre à cette question, mais se redresse et prend un air sérieux.
— Est-ce que tu connais le principe du Sugar daddy Chris ?
— Ouais … vaguement.
— C’est quand une femme d’un certain âge à du sexe avec un jeune homme, mais c’est plus sérieux. Mais ce n’est pas un couple. Plus un accord entre une femme qui veut du sexe et un jeune homme. Tout le monde est gagnant et tu peux continuer ta vie.
— Mais ces gens-là se font payer non ? Du coup c’est de la prostitution …
— Non ! Je te ferais des cadeaux parce que j’aurais envie. Mais oui, tu pourras profiter de ma richesse.
— Ça ne répond pas vraiment à ma question. Tu es carrément canon pour ton âge. Tu pourrais presque faire du porno dans la catégorie MILF.
Elle rougit mais répond :
— J’en ai fait, mais je ne veux pas du sexe avec un inconnu, je veux une relation suivie avec un jeune homme, que je pourrais considérer un peu comme un fils.
— En gros t’as le fantasme de la cougar qui veut initier un jeune homme, et le fantasme de l’inceste.
— Exactement ! Alors, tu es d’accord ?
— Donc ça veut dire qu’on peut arrêter quand je veux, et que je n’aurais pas à t’obéir ?
— Oui, ça sera de la discussion, mais ça sera très sexuel quand même, et j’aime prendre l’initiative …
— Oui j’ai pu voir ça.
— Tu es vierge ?
— Euh … oui pourquoi ?
— C’est parfait ! s’exclame-t-elle en roucoulant, j’ai toujours voulu dépuceler un jeune garçon.
Je réfléchis un instant, juste un.
— C’est d’accord. Allons faire du shopping.
C’est presque trop beau pour être vrai, donc je reste un peu méfiant.
Folle de joie, Marie se jette sur moi pour m’embrasser à pleine bouche. Je suis un peu surpris mais la laisse faire. Elle pose sa main sur mon entrejambe à nouveau, et mon cur accélère.
Sans cesser de m’embrasser, elle prend ma main et la pose sur un énorme sein.
La texture est moelleuse, mais on sent une certaine tension sous la peau.
— Tu aimes mes gros seins ? Je les ai refaits
Bingo !
— Hmm oui j’aime bien.
Elle me sourit et se lève soudainement en m’entraînant avec elle par la main.
— Allez viens ! J’ai envie de faire du shopping et de t’acheter des trucs
— M’acheter de trucs ?
— Oui ! Après ça sera mon tour !
— Attends ! Je n’ai pas payé !
J’essaie de la ralentir.
— Ne t’inquiète pas j’ai payé ta note
— Quoi ?
Elle avait donc prévu dès le début de me ferrer. Elle est très audacieuse. Mais j’aime bien ça.
Je la suis donc en jetant un dernier regard à la jolie serveuse. Elle me fait un petit geste de la main en souriant tristement.
Elle m’emmène devant sa voiture, une belle Audi TT.
— Tu aimes ma voiture ? Elle est un peu petite parfois … pour faire certaines choses, mais sinon je peux me garer partout et aller vite.
Je ne pose même pas la question. Je sais de quoi elle parle et des images torrides dans cette voiture germent dans mon esprit. Marie ne m’aide pas quand elle pose sa main sur mon sexe dur
— Oups, je crois que je me suis trompé de manche… c’est dur !
Je la laisse faire. Elle en profite quelques instants puis démarre, en trombe.
Je profite du voyage pour la détailler allègrement. Elle est vraiment canon. Sa poitrine est juste énorme. Elle défie la gravité à rester horizontale. Mais peut-être que ce débardeur ultra-moulant aide un peu. Elle a un ventre très plat. On voit presque ses abdos. Elle doit passer du temps à la salle de sport. Ses jambes sont aussi fines et musclées, en plus d’être très longues. Ça se voit malgré le jean. En même temps il est tellement moulant.
— La vue te plaît ?
Grillé. Je regarde la route et fais semblant de ne pas avoir compris.
— Je ne vais pas souvent dans les beaux quartiers, c’est très classe.
Je la vois sourire. Je ne vais pas me laisser faire. J’ai envie de lui résister.
— Eh Chris ? Jai fait tomber un truc sur mon siège et je ne peux pas trop le ramasser, tu peux le faire ? Jai pas envie de quitter les yeux de la route et mes mains sont occupées.
— Qu’est-ce qui est tombé ?
— Ma bague je crois
Elle écarte innocemment les jambes pour me laisser la place et je me penche vers elle pour fouiller un peu. J’essaie de ne pas trop la toucher
— T’es sûr qu’elle n’a pas roulé sous le siège ?
— Non je la sens sous mes jambes.
Je continue la fouille timidement. Alors elle enlève rapidement sa main du volant pour plaquer ma main contre son entrejambe.
Ainsi durant tout ce temps elle jouait…
— T’es sûre que c’est là ? Je demande, en continuant le jeu.
— Bah tu la sens pas ?
Je frotte un peu la main. En effet, je sens un truc en métal au niveau de son entrejambe… mais sous le pantalon.
— Oh mince s’écrie-t-elle. C’est mon piercing en fait
Je soupire alors qu’elle me fait un clin d’il pervers. J’essaie d’enlever ma main mais elle me bloque avec la sienne
— Tut tut. Reste là, tu es très bien où tu es.
Je garde donc ma main plaquée sur sa chatte et la caresse un peu. J’essaie de sentir les formes de ses lèvres au travers des vêtements donc je plaque encore plus ma main, ce qui la fait gémir.
Elle me remercie en m’embrassant quand on arrive, puis me prend par la main pour m’emmener dans les rues commerçantes les plus riches.
Je m’extasie devant les beaux vêtements et m’étrangle devant les prix. On entre pourtant dans une boutique Giorgio Armani.
— Alors qu’est-ce qui te plaît ? me demande Marie tandis que j’erre dans les rayons.
— C’est vraiment cher…
— Ne t’occupe pas du prix Chris.
Je choisis une chemise rouge sombre et me dirige vers les cabines. Marie me suit jusqu’à l’intérieur
— Euh …
— Laisse-moi t’aider… me susurre-t-elle en défaisant ma veste.
Elle enlève ma veste et mon tee-shirt. Ça me fait bizarre de me faire déshabiller par une femme aussi canon, qui pourrait presque être ma mère.
Ça y est je suis torse nu. Je sens la main froide de Marie se poser sur mon torse. Elle est froide et je frissonne.
— Oups désolé…
Elle n’a pas l’air du tout désolé et continue ses caresses
— Tu as un beau corps Chris.
— Euh merci
Elle m’enfile ensuite la chemise avec beaucoup de douceur. Puis elle ferme mes boutons en se plaçant derrière moi. Je sens son souffle chaud sur mon cou. Elle termine en embrassant mon cou. Je frissonne encore, mais de plaisir.
J’aime bien la chemise. Elle me donne un air à la fois habillé et sauvage. En même temps, je suis assez musclé.
— Ça te va très bien.
Et avant que je décide quoi que ce soit, elle commence à la déboutonner en m’affirmant qu’elle va la prendre. Je regarde le prix … 250 la chemise punaise !
Finalement je prends aussi une ceinture en cuir marron.
— Tu sais tu peux prendre plus … Oh un magasin Diesel. J’adore cette marque sur un homme. Ça fait tellement viril. Allez viens on va t’acheter d’autres trucs.
Je la laisse faire car j’aime bien cette marque
J’en ressors bientôt avec un jean troué, un perfecto et un parfum. Marie a tenu à s’accroupir devant moi pour défaire mon pantalon, ce qui m’a foutu une trique d’enfer et l’a fait sourire. Elle l’a pourtant à peine touchée. Se contentant de la tâter et de poser son nez dessus pour la sentir sur son visage. J’aurais aimé qu’elle me suce…
Je crois qu’elle est en train de corrompre mes pensées. J’ai de plus en plus envie de mettre mes fantasmes à exécution, ce que je n’aurais jamais fait avant.
Pour finir mes emplettes. Marie m’entraîne chez Calvin Klein … pour acheter des sous-vêtements. Rien qu’en y pensant, je me remets à bander.
— Euh Marie ?
— Oui ?
— Ça ne va pas faire un peu bizarre d’être deux dans une cabine pour tester des sous-vêtements ?
— Pas plus que pour essayer un jean ou une chemise …
Elle n’a pas tort. Mais elle pouvait toujours se faire passer pour ma mère … bon d’accord c’était pas très crédible avant non plus.
— Mais est-ce quon peut essayer des sous-vêtements ?
— Avec un beau sourire et une belle paire de seins, on peut tout essayer mon mignon.
Je me tais donc et l’attends et commence à flâner dans les rayons pendant qu’elle parle avec une vendeuse.
Elle revient me voir avec un assortiment de boxers.
Je ne choisis même plus mes vêtements. En même temps c’est elle qui paie tout et on est déjà à plus de 2000 euros.
Marie recommence son manège et m’enlève mes vêtements en laissant courir ses mains sur mon corps. Elle enlève d’abord mon tee-shirt puis mes chaussures et enfin mon pantalon. Elle commence à attraper l’élastique de mon boxer en me regardant droit dans les yeux.
— Prêt ?
— Euh …
— Tu préfères le faire seul ? Attends, je vais te laisser, tu es un homme quand même, même si j’aime bien m’occuper de toi.
Elle s’écarte mais ne sort pas. Je me sens un peu gêné de me mettre nu devant elle, mais elle me dévore du regard et elle a clairement envie de moi. Donc je me retourne et baisse le boxer
— Hmm tu as de jolies fesses bébé. Bien galbée.
Elle me donne une fessée. J’ai l’impression qu’on l’entend dans tout le magasin et je sursaute, honteux.
Mais Marie semble s’en amuser et rigole sous cape.
— Tu peux me passer le boxer ?
— Viens le chercher.
Je suis piégé. Je dois me retourner, mais elle verra mon sexe dur et impossible à cacher.
Bah ! Après tout c’est ce qu’elle cherche… alors je vais lui montrer moi. Je me tourne vers elle lentement. Je sens son regard me dévorer et se fixer sur mon membre dur. Elle le pourlèche les lèvres.
Je m’approche vers elle et la plaque contre le mur. Je sens ses seins contre mon torse en mon pénis contre ses jambes. Elle semble surprise par mon audace, parfait.
J’écrase un des seins volumineux de cette cougar avec une main et lui susurre à l’oreille :
— Le boxer s’il te plaît.
En me regardant dans les yeux, elle en met un dans sa culotte et l’autre dans son soutien-gorge.
— Viens les chercher … Répète-t-elle en me jetant un regard lubrique.
Elle croit encore que je vais me dégonfler. Alors je marque le coup et plonge la main dans sa culotte. Elle pousse un petit cri de surprise et de plaisir. Je prends le temps de frotter le boxer contre sa chatte, puis le ressort. Il semble humide, alors je le porte à mes narines.
— J’aime ton odeur, petite cochonne
Sans attendre sa réponse je plonge mes deux mains sous son tee-shirt pour malaxer ses seins et reprendre l’autre boxer.
Puis sans un regard, je la laisse pantelante, mes deux boxers dans la main. Je commence à en enfiler un quand Marie bouge, elle se colle derrière moi et attrape ma queue. J’ai un sursaut de plaisir alors qu’elle commence à me branler et ne peut retenir un grognement, qu’elle étouffe promptement en plaquant sa main contre ma bouche.
— Chut bébé … il ne faut pas alerter la vendeuse.
Elle continue à me branler en me chuchotant des mots crus.
— Tu as des couilles, tu sais. Et dire que tout à l’heure tu n’osais même pas mater mes gros seins. Et maintenant tu me les malaxes. Je suis trempée j’ai tellement envie de te la sucer … mais tu vas attendre hein ? Ça fait quoi de se faire branler par sa maman ?
Mes grognements de plaisirs sont atténués par sa main, je sens le plaisir venir comme une immense vague.
Je jouis si fort que je pose les mains sur le mur et me penche pour me soutenir. Marie me suit et je sens ses seins contre mon dos.
— Vas-y, jouis dans ma main, petit pervers. Faudrait pas salir la cabine ou ce boxer.
Je pousse un râle profond et me vide. Elle m’attrape les bourses en passant sous mes fesses pour les presser et son autre main se referme sur ma bite pour contenir le sperme. Elle me branle encore un peu puis recule.
Je n’ai que le temps de me retourner pour la voir avaler mon sperme recueilli dans sa main.
— Hmmm délicieux. Du jus de jeune homme. Le lait de mon bébé…
Après ça, elle me rhabille vite et nous sortons naturellement et payons les boxers. Mais le regard qu’elle me lance m’annonce qu’on nen a pas fini avec cette après-midi shopping…