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En écoutant les voisins – Chapitre 1

En écoutant les voisins - Chapitre 1



Non, pas par là.

Laisses toi faire.

Pas maintenant, après peut-être.

Après quoi ?

J’entends de drôle de dialogues depuis ma chambre. Je suis logée petitement en fonction de mes moyens. J’aimerais connaître au moins de vue celle qui fait tant de manière alors que moi je reste seule avec mes envies. Elle a la chance d’avoir un amant, de se faire baiser, peut-être enculer ? Dans l’immédiat j’aimerais sucer une queue, déguster le jus qui en sort, caresses des couilles, me faire bouffer la chatte et le cul. Je mouille rien de d’imaginer un bite bandée.

J’ai pu en économisant acheter un gode et des billes. Je m’en sert souvent, le soir surtout avant de dormir. Je me mets nue sur la chaise, les cuisses bien ouvertes devant une glace. J’ai une bonne vue sur la chatte. Je passe le bout dans la fente, j’ouvre ainsi mon puits. Je suis ainsi excitée. Je mouille à peine le bout, je le prends dans la bouche pour me goûter la cyprine. J’aime ma saveur. J’aime la cyprine, autant sinon plus que le sperme.

Mes voisins recommencent. Elle veut je ne sais quoi. Lui veut autre chose. D’après ce que je comprends elle le veut devant et lui dans sa bouche. Si j’étais à sa place je choisirais l’autre trou. C’est là où je me mets le gode. J’écarte les fesses, en posant le bout sur l’anus, juste dessus sans forcer, je m’ouvre d’envie. En le remettant dans la bouche, je le mouille encore un peu : je suis prête à l’assaut final. Je pousse un peu l’anus comme si j’allais faire ma grosse commission. J’ai au moins appris cette astuce avec une copine. J’enfonce doucement le gode. Je ne le pousse qu’à peine. Il est dans le cul. C’est bon. Je me sodomise. Je le fait entrer complètement, juste à le tenir par le bout, presque à le perdre. Et les billes dans le sexe. En même temps que le gode, le con et le cul occupés !!!!!

En le laissant seul, il ressort à peine. Je peux le sentir me faire du bien dans le fondement. Je suis remplie dans cette endroit. Je me met un doigt, le majeur, toujours lui sur le clitoris. Je caresse ce petit organe en glissant dessus. Mon plaisir augmente sans cesse. Je serre le gode dans le cul, les billes bougent dans le ventre. Je pars dans un énorme orgasme. Mes spasmes font partir le gode et les billes

A coté la fille cri qu’elle jouit. Lui jouit aussi.

-Suces moi le con, bouffe moi.

-Toi aussi bouffes moi, avale mon foutre.

Je voudrais être à sa place, lécher une bite, avaler du sperme chaud. Pourtant le dernière fois que j’ai baisé c’était avec une amie de rencontre. Nous étions dans un café, nous bavardions quand je ne sais comment elle a voulu enlever une tâche sur la jupe. La tâche est restée, par contre sa main est passée juste sur la chatte. J’ai retenue la main. Avec un drôle de sourire elle s’est arrêtée.

— Tu veux ,

— Oui, je veux.

— Allons chez moi.

Chez elle, je me suis trouvée embrassée par une bouche gourmande. La vache, qu’elle embrassait bien. Nos langues ont joué un instant. Elle m’a peloté, le temps pour moi de lui en faire autant. Les seins durcissaient. Nous avions envie d’une de l’autre. Moi c’était ma première fille. Elle sans doute pas.

Je ne sais comment je me suis retrouvée totalement nue sur son lit. Elle caressait mes pieds mes jambes pour venir presque sur ma chatte. J’avais l’abricot noyé. Je voulais lui faire plaisir. Je caressais tout ce que je trouvais ; j’en dévoilais des trésors de filles. Je découvrais sur une autre presque mon corps avec ses fesses, sa raie, sa fente. Ah, sa fente. Elle s’ouvrait sur une vallée à peine poilue. Comme moi. Quand sa main est venue caresser mes charmes, je me suis laissée faire. Je commençais à ressentir le plaisir monter, bien mieux que quand je me caresse. Le clitoris donné, je prenais un étrange plaisir à jouir, bien sur, mais à donner mon corps à une autre.

Je n’ai pas joui ainsi, elle s’est mise sur moi, a bien ouvert mes jambes. Sa figure entre mes cuisses, elle venait le lécher la chatte. Mon Dieu une langue de femme sur mon sexe. Je sentais comme du feu dans mon ventre. Elle me donne son intimité. Je regarde le sexe d’une autre de tout près. Il est mouillé. Je le veux aussi. Ma langue sort presque contre mon gré. Je goûte sa saveur safrané. Je lèche largement, de bas en haut en recommençant. Je mordille légèrement le petit bout de chair. Je darde encore ma langue dans le vagin à la recherche de je ne sais quoi. Elle gémit. J’en fais autant. C’est bon de se faire ce genre de choses entre filles. Pour accentuer nos plaisirs elle se sert de deux godes, elle m’en entre un sans me demander mon avis : je sursaute de félicité différente. Elle me demande de lui mettre l’autre sans me dire où. J’innove en le lui mettant dans le petit trou. Il s’ouvre presque seul. Elle aime la sodomie.

C’est bon un 69 dans ces conditions. Pourquoi je n’ai pas pratiqué le lesbianisme plus tôt ?Sa langue change doucement d’endroit, elle passe sur le sexe, sur l’espace plus bas. Elle me lèche l’anus. Je m’ouvre : pourvu qu’elle entre sa langue au moins un peu. J’aime autant par devant que par derrière……

A coté le dialogue reprend :

— Oui, mets moi là au cul.

— Branles toit aussi.

— Reste sur le coté. Regarde moi quand tu m’encules. Regarde ma main sur la chatte, je me branle pour toi.

— Tu te branles aussi pour ton plaisir.

— Oui, encules moi fort.

— Te me suceras après ?

— Oui, si te me suces après que je sorte de ton cul.

— Oui j’aime ça, j’aime l’odeur et le goût de mon cul dans la bouche. Tu me mets bien la langue profond dans l’anus pour goûter ma merde.

— Tu est dégueulasse.

— Tu aime que je le sois.

— Oui.

Je cri mon orgasme. Comme mes voisins.

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