Cette histoire vraie est arrivée l’année dernière, en étant de passage chez une collègue sur qui je fantasmais, j’ai été pris d’une pulsion : fouiller ses sous-vêtements. Elle me regardait en cachette, voilà comment ça s’est passé et ce que ça a généré…
Je suis un jeune bisexuel, en couple depuis 2 ans (ma copine ne savait pas que j’aimais aussi les belles queues). Elle n’était pas très ouverte niveau sexe, j’ai quand à moi beaucoup de fantasmes, beaucoup d’envies, parfois j’ai du mal à les contrôler et je dois me branler pour que ça passe. Je mesure 1m80, des poignées d’amour dont je me passerai bien, une bite de 18cm en érection et 4-5 cm de diamètre.
Ce jour là je devais passer chez une collègue de travail, J. à qui j’avais prêté un diable pour son déménagement.
Elle est à peine plus jeune que moi, elle doit mesurer dans les 1m65, blonde, de très légères (mais alors très légères) courbes, un sourire magnifique et une bouche sublime. J’allais bientôt découvrir que tout son corps était magnifique.
J’arrive donc à son nouvel appartement un samedi après-midi, il devait être 17h.
Il restait quelques cartons mais globalement tout était en place.
Elle m’ouvrit pieds nus, portait un grand tee-shirt blanc, style débardeur qui laissait percevoir un soutien gorge noir et un mini short en jean.
Nous faisons un peu la discussion, elle me fait visiter son petit appartement, mais je n’arrivais pas à décrocher mon regard de son décolleté qui laissait voir un peu plus ses seins qu’au travail.
Juste avant de partir je lui demande si je peux aller aux toilettes, elle me dit qu’il n’y a pas de problème et me montre le bout d’un petit couloir.
Je rentre dans la salle de bain, là où les toilettes se trouvent et en voulant verrouiller la porte je remarque qu’il n’y a pas de clés dans la serrure.
Après tout ce n’est pas grave, nous sommes que les deux, elle sait que j’y suis.
Je remarque aussitôt que sur le sol au pied de sa baignoire traine un pantalon et un string rouge avec une fine dentelle.
Je ne sais pas pourquoi, ni ce qu’il m’a prit mais j’ai eu la soudaine envie de le regarder de plus prêt, de le sentir, le lécher, je ne sais pas mais je le voulais. De savoir qu’elle l’avait porté m’excitait !
J’allais m’approcher de son string quand j’entendis un très léger bruit derrière la porte. Je décidais donc de m’en approcher doucement et rapidement je me baisse au niveau de la serrure pour vérifier si J. était à côté.
Je ne m’attendais pas à trouver ce que je vis : son oeil qui m’espionnait.
Rapidement, je décide de me relever et d’ouvrir la porte.
J. venait de disparaitre du petit couloir pour arriver dans son salon, elle savait que je l’avais vue me regarder.
Je m’approcha d’elle et lui dit :
— Je me sentais observé, j’ai voulu vérifier et je sais que tu me regardais par le trou de la serrure.
— Écoute, c’est pas ce que tu crois, je ne voulais pas t’espionner…
En lui coupant la parole, et ravis :
— Tu voulais me voir pisser, ou en tout cas voir ma bite, je vois pas d’autres explications si tu m’espionnais pas.
— … Je me sens horriblement gênée là – en rigolant nerveusement et en fuyant mon regard.
— Ben écoute, pour être honnête ça me flatte, et t’inquiète ça ne sortira pas de chez toi, je n’en ferai pas allusion au taf ou quoi que ce soit, c’est cool t’inquiète.
— Ouais peut être mais ça reste gênant….
— Ne soit pas gênée je te dis, c’est flatteur ça me fait plaisir. Tiens tu sais quoi, quitte à briser la glace, si tu veux je te laisse voir ma bite là maintenant, au moins tu la verras mieux qu’au travers le trou de la serrure.
— Hein ?! Non, non je sais déjà pas où me mettre.
— Puisque je te dis que ça me flatte, ça me gêne en rien et au moins tu ne te seras pas fait griller à m’observer pour rien.
— Ahah, oui dit comme ça c’est sur mais bon…
Je ne la laisse pas finir sa phrase et déboutonna en une seconde les 4 boutons de mon jean et déballa ma bite, en mi-molle (je commençais à être excité par la situation) et mes couilles.
Elle la fixa, en souriant, puis un peu gênée elle me dit :
— Ah ben là oui il faut en parler à personne.
— Exact, ce sera notre secret, et quitte à rester dans le secret, si tu veux la toucher, elle est toute à toi, personne le saura (j’en voulais plus !).
— Ahah! Sérieusement ? Et ta copine ?
— Je te l’ai dis, personne ne le saura (et je ne voulais surtout pas laisser filer la possibilité de voir J. me toucher la queue).
Avec beaucoup de gêne, elle commença par soupeser timidement ma bite, en effleurant mes couilles.
Ma queue se raidit presque instantanément dans sa main. Elle ne parlait plus et commença à laisser apparaitre mon gland dans sa paume, en le regardant.
Elle me fixa quelques secondes en souriant, puis me demanda :
— Elle devient vraiment dure là…, je peux la branler un peu ?
— Comme je te l’ai dis, elle est toute à toi.
Je pensais qu’elle resterait debout à me masturber un peu puis qu’elle lâcherait ma queue en se disant que c’était trop gênant, mais non, elle se mit à genou, commença à l’embrasser sur le long, en remontant sur le gland, puis en descendant l’autre côté de ma bite et embrassa mes couilles. En me regardant elle commença à me sucer, vraiment comme une déesse, c’était tellement bon, elle me tenait les fesses d’une main et me massait les couilles de l’autre.
Je ne voulais pas l’arrêter, c’était trop bon, mais je me sentis obligé de lui dire que j’allais jouir si elle continuait.
Elle me dit juste "Je sais." et continua.
Quelques secondes après, j’éjaculais dans sa bouche.
J’étais aux anges, elle a tout avalé et n’en a pas laissé une goute.
En se relevant, elle sourit et me dit :
— Cette fois ça reste obligatoirement entre nous, un vrai plaisir tu peux pas imaginer !
— Aide moi à voir ce que c’est, tu me laisse voir ta chatte ?
— Je n’avais pas prévu ça, mais vu comme je mouille et ce que tu viens de me donner je ne vois pas comment refuser.
Je me baissa alors au niveau de sa taille, et je déboutonna son short en jean, laissant apparaitre un tanga noir, certainement assortis avec son soutien-gorge. Je fis glisser son short doucement le long de ces cuisses, elle a des jambes superbes qu’elle soulèva légèrement afin que je puisse enlever son short complètement.
Je passa mes mains sur ses fesses et ses cuisses, je la retourna délicatement pour observer son cul, il est magnifique, des fesses rondes et fermes, le tanga les mets parfaitement en valeur.
Toujours dos à moi je commença à lui retirer son tanga. Le tissus reste légèrement collé à sa chatte. Je passe alors mon index entre le tanga et ses lèvres, en effet, c’est trempé.
Je rebande presque instantanément.
J’ai une vue parfaite sur ses fesses et sa chatte, légèrement entrouverte, jappuyai un peu sur le bas de son dos pour qu’elle se penche un peu. En se baissant je commençais à apercevoir son anus, j’étais fou d’excitation.
Je commenças à lui embrasser les fesses, à placer mon visage entres-elles et à lui lécher la chatte et son petit trou. Elle poussait des petits gémissements très excitant.
Je la baisait avec ma langue durant plusieurs minutes, jusqu’à ce qu’elle se retourne et me demanda de la prendre !
Je me relevait et pendant que je me déshabillait complètement elle partit chercher un préservatif.
Elle est revenue quelques secondes plus tard, complètement nue, je pouvais enfin admirer sa poitrine. Des petits seins qui tiennent parfaitement dans les mains, avec de beaux tétons pas trop gros.
Elle me mit le préservatif et se coucha sur le dos sur sa table basse à côté de nous.
Je rentra en elle très facilement tellement elle mouillait.
Je commença le va et vient de plus en plus rapide, tout en massant et embrassant ses seins. Elle faisait du bruit, je n’aurait pas imaginé pas autant d’ailleurs. Je sentais que j’allais bientôt jouir à nouveau et comme pour la première fois je n’ai pas pu m’empêcher de lui dire :
— Tu m’excite trop, je sens que je vais pas tarder à éjaculer.
Elle me stoppa net et me répondit :
— Attend ! On est d’accord que là de toute façon nous sommes loin dans le secret ?
— Oui bien sur (en faisant rentrer ma bite plus doucement, mais au plus profond d’elle)
— Dans ce cas, il y a un truc que j’adore par dessus tout, c’est sentir venir un mec dans mon cul…
Je devais rêver c’est pas possible ?! Cette fille qui a été mon fantasme durant plus d’un an, me demande de faire des trucs que j’adore par dessus tout et que ma copine déteste. Je lui fis un grand sourire.
Je me retirai de sa chatte et elle se mit en levrette, les fesses bien ouvertes. Je pouvais voir son anus briller avec toute la mouille qui avait coulée dessus. Je décidait de le lécher quelques secondes, en forçant avec ma langue, comme pour la sodomiser avec, puis je posa mon gland doucement sur son petit trou.
Même en y allant en douceur, elle se crispa plusieurs fois au début, elle me dit qu’elle n’a jamais prise de bite aussi large par là, mais elle tient ma bite pour la maintenir à l’intérieur au début puis elle se caressa le clito.
Je repris mon va-et-vient mais dans son cul cette fois, et je dois l’avouer, je n’ai pas tenu longtemps… J’ai jouis tout ce que j’avais à lintérieur, elle poussa un cri en même temps et je la sentis se raidir sur ma bite.
En me retirant, elle se retourna et embrassa plusieurs fois ma queue et mes couilles.
Nous avons continué à nous voir en cachette après cet après-midi. Nous avons même baisé au bureau et j’ai pu tenter de nouvelles choses que je ne connaissais pas avec J.
Si vous aimez mon témoignage, je prendrai plaisir à vous les raconter dans de prochains chapitres.