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Déchéance d'une belle-soeur…ou salope parisienne en devenir ! – Chapitre 9

Déchéance d'une belle-soeur...ou salope parisienne en devenir ! - Chapitre 9



Alors que Paul se demandait quel jeu érotique il allait bien pouvoir organiser pour le gentil petit couple qui l’hébergeait, Sylvie et Raphaël, il se passait la vidéo obtenue chez le patron du sex-shop, lors de la performance très remarquée de sa belle-sur !

Alors, on lui fait faire quoi ce soir à ma salope de femme ? T’as un plan génial comme d’habitude ?

Et bien pour dire vrai, je suis un peu à court d’imagination. On a exhibé ta femme, dans un sex-shop, dans une voiture au bois de Boulogne, je lui fais porter des tenues très sexy dans la rue, au travail, avec ordre de ne rien cacher de sa nudité en dessous de ses vêtements, on la baise tous les deux tous les soirs depuis 15 jours maintenant, on l’attache, on la fouette… Putain ! je sais plus moi ! T’as pas des idées un peu vicieuses ? T’es son mari après tout !

Là, tu me déçois ! Et j’avoue que ton manque de conviction m’interpelle ! On dirait que tu as déjà fait le tour de ma femme ? Je n’ai qu’une crainte néanmoins !

Laquelle ?

Qu’elle commence à se lasser des nuits que l’on passe ensemble. Ce matin, avant de partir au travail, elle m’a demandé si tu avais prévu un truc plus excitant que d’habitude. Parce que, m’a-t-elle dit, le triolisme c’est bien, mais… bof !

Comment ça? Bof ?

J’ai l’impression qu’elle commence à se faire chier avec nous. Tu perds le contrôle, mec !

Bon, écoute, tu veux quoi au juste ? Je vais pas ameuter une dizaine de mecs dans votre appart pour le gangbang de Madame tous les soirs… Tu imagines la tête des voisins ? J’ai pas de réseau ici. Ta femme connaît beaucoup de monde à la mairie. Imagine qu’on l’emmène dans un club, et qu’elle tombe sur une connaissance… Cela ruinerait votre vie professionnelle à tous les deux. Non, franchement je me sens coincé, là…

Les deux hommes ruminaient, assis dans un fauteuil, un verre de whisky à la main, quand Sylvie apparut dans le salon :

Bon, les garçons, je sors ce soir… ne m’attendez pas, je risque de rentrer très très tard !

Les deux hommes n’eurent pas le temps de prononcer une parole que la "tornade" Sylvie avait claqué la porte d’entrée, laissant la vision aux deux hommes, du manteau de fourrure et des coutures des bas de couleur chair, plus la fragrance de Chanel n=° 5 dans le couloir.

Bon sang, va voir par la fenêtre si elle prend le métro ! Toute cette histoire ne me plaît vraiment pas !

Raphaël revint 5 minutes plus tard, les épaules avachies, la tête courbée :

Alors qu’as-tu vu qui te met dans un tel état ?

Rien de sécurisant pour nous deux ! Ma femme est entrée dans un superbe cabriolet coupé sport, Mercedes noir. Tu sais le genre de bagnole pour mec hyperfriqué… un coup à 100.000 euros ! On fait pas le poids mon pote !

Elle est montée, tu as vu le conducteur ?

Non, il est parti en trombe !

Merde ! Je suis en train de me faire doubler ! Mais comment est-ce possible ? Je crois qu’on le saura bien assez tôt !

Alors que les deux compères s’étaient endormis dans le salon, en attendant la belle, Raphaël fut réveillé par un bruit feutré. Silencieusement, il alla voir dans la chambre si sa femme était rentrée. Encore plus démoralisé, il réveilla Paul et lui dit :

Tu devrais venir voir ! Ça vaut le coup d’il, mais c’est vraiment pas bon pour nous !

Les deux hommes s’avancèrent silencieusement à l’entrée de la chambre pour observer Sylvie.

Cette dernière était couchée sur le lit, au-dessus des draps; le manteau de fourrure abandonné sur le sol. Elle était nue, en porte-jarretelles, les cuisses bien écartées et les bras serrant l’oreiller, elle ronflait légèrement. Son état était pitoyable. Les deux hommes avaient l’impression de voir une "professionnelle" revenant du bois de Boulogne… les fesses rougies, l’anus complètement dilaté et cramoisi, des marques rectangulaires sur le bas du dos, et des zébrures rouge vif sur le haut du dos et des épaules. L’observant en détail, Paul s’aperçut qu’elle avait de petits trous avec du sang séché sur le côté des seins. Ses cuisses étaient également lacérées par des marques.

Si Raphaël avait une tête d’enterrement en regardant sa femme, Paul, lui, était visiblement très excité par la situation !

Raphaël s’en aperçut, anéanti par l’état de délabrement physique de sa femme, il sauta littéralement à la gorge de Paul :

Mais putain ! Qu’est-ce qui lui est arrivé ? Qui l’a mise dans un tel état ?! Tout ça, c’est de ta faute, avec tes conneries de soumission, ma femme est tombée sur un vrai pervers.

Bon, alors tu vas te calmer, et je vais t’expliquer… enfin imaginer ce qui a pu se passer. Je te signale que tu étais bien content de pouvoir faire tout ce que tu voulais à ta femme. C’est toi qui m’as quasiment demandé de la soumettre… Tu te souviens ou pas ?

Bon, alors, ta femme est tombée sur un maître, mais un vrai pro celui-là ! A côté, je suis un véritable agneau ! D’après ce que je constate, elle a été fessée de nombreuses fois, on lui a cinglé le dos et les cuisses avec un martinet, voire un petit fouet… et on l’a cravachée aussi, c’est les marques rectangulaires ici. On lui a mis des aiguilles sur les seins, les petites marques rouges, et évidemment elle a été enculée et baisée à de très nombreuses reprises.

Paul passa un doigt sur l’anus, et introduisit très facilement son index dans le conduit dilaté. De même, il passa aussi sa main sur la vulve, elle aussi bien ouverte. Enfin, il s’approcha de la bouche de la femme.

Elle a bu pas mal d’alcool, à voir, elle est complètement pompette. Il y a du sperme dans son cul et également dans sa chatte. A première vue, c’est pas un seul type qui lui a fait tout ça. Maintenant, reste à savoir, combien lui sont passés dessus, et l’ont rudoyée.

Mais c’est abject, il faut appeler la police ! Elle a été violée, torturée ?

Hop hop hop ! On se calme ! Regarde-la bien dormir profondément et paisiblement. Tu crois que c’est une réaction de femme violée ? Tu veux en avoir le cur net ? Tu vas voir, c’est fou ce qu’on peut déblatérer comme infos dans un demi-sommeil en état alcoolisé !

Mais qu’est-ce que tu fais ?

J’encule ta femme !

Et sous le regard abasourdi de Raphaël, Paul se déshabilla et se coucha sur Sylvie; il introduisit très facilement sa bite dans le cul de la débauchée. Celle-ci eut un sursaut et commença à feuler telle une panthère :

Ho mon Dieu ! C’est trop bon d’avoir vos bites dans mon cul ! Vas-y doucement, Charles Édouard, huuummmm ! Oh ouiiii ! Mon petit trou est tout irrité d’avoir accueilli… Aaahhhhh !

La voix était pâteuse, la diction malhabile, mais Sylvie parvenait à sortir des morceaux de phrases cohérentes, au milieu de ses cris de plaisir et de jouissance.

Ouii, c’est trop bon ! Jean Paul, fouette-moi à nouveau, pendant qu’ils me défoncent !

Après quelques minutes de plaisir dans le fondement de Sylvie, Paul se vida dans son entrée. Raphaël observait tout cela, et écoutait sa femme sortir les "horreurs" que lui avaient faites les inconnus. Il était visiblement écuré par l’avilissement très rapide de son épouse…

Putain ! Mais c’est qui ces mecs ?

Alors tu vois qu’on ne l’a pas forcée. Elle en redemande ! J’avoue que je ne pensais pas que ta femme puisse agir ainsi. En définitive, c’est une pure masochiste ! Elle adore être soumise, mais être violentée aussi. Cela arrive parfois…

Alors qui ? En tout cas des hommes puissants. Les prénoms sont plutôt désuets, mais reflètent des strates sociales supérieures. Quant à la voiture, je ne te fais pas un dessin. Ta femme a mis le nez dans un cercle de types riches et vicieux !

Mais tu sauras bientôt qui…

Comment cela ?

Ce genre de pervers adore sentir la faiblesse du mari qui voit sa femme s’enfoncer dans la débauche. Il va jouir de te tourmenter à distance, en évoquant ce qu’il fait à ta femme avec ses amis. A mon avis, tu auras bientôt des nouvelles de lui. Il va te frustrer et prendre possession de ton épouse corps et âme. Et il se régalera de ton impuissance… schéma classique !

Mais, mais c’est monstrueux !

Eh oui ! Mais que veux-tu faire si ta femme est consentante ? La séquestrer chez toi, l’empêcher de sortir ? En plus, le type doit vraiment avoir le bras long. Mon ami, on est dans la merde !

On fait quoi, on interroge ma femme demain matin ?

Surtout pas. Tu dois attendre que l’autre se manifeste ! Vous êtes tous les deux dans ses griffes. Moi, je ne peux rien faire pour l’instant !

Le lendemain matin, Sylvie, rayonnante, s’habilla toujours sexy et elle partit au travail comme si de rien n’était. Le soir, Raphaël rentra chez lui, très morose, livide et pas du tout en forme… Il prit Paul à part.

Ça y est, tu avais raison, je sais qui c’est. Jean Paul Delerue, dit " la hyène", le chef de service de Sylvie.

Ah ?! Et alors cela pose un problème ? Tu le connais non ?

A peine entrevu à une soirée de la mairie. Tu ne te rends pas compte, ce type est le diable. Cela fait des années qu’il essaye de se faire ma femme.

Et bien, il a réussi, on dirait ?!

Paul, cela ne me fait pas rire du tout ! On le surnomme la "hyène". Il est rigoureux, inflexible, extrêmement intelligent, riche avec du pouvoir… ma femme est pieds et poings liés avec ce type. Il va en faire son jouet sexuel, comme c’est déjà arrivé à d’autres… et comme Sylvie l’a longtemps repoussé, il va enfin pouvoir se venger d’elle… et de moi. Il me méprise, me prend pour un pauvre type…

Comment le sais-tu ?

Il me l’a dit. Mais tiens, il serait plus pertinent d’écouter l’enregistrement que j’ai fait avec mon dictaphone. Tu comprendras mieux à qui on a affaire. C’est le diable ce type. La preuve, tu as vu ce qu’il a fait à ma femme. Et c’est que le début ! Et cette gourde va tout accepter. Tu sais, je me demande si vraiment je ne commence pas à regretter mon choix. J’aurais jamais dû accepter ta proposition de soumission sur mon épouse !

Tu te souviens, c’est la voie ferrée ou la Seine ? ; assume un peu tes actes. Bon, fais écouter le dialogue.

Paul était passablement énervé par les reproches de son beau frère. Après tout, personne ne l’avait forcé à accepter la situation. Il se disait qu’effectivement, le jeu était mal parti…dommage; il allait perdre une soumise de choix ! Pas grave, il se rabattrait sur sa femme ! Et Raphaël… et bien, il n’avait qu’à mieux gérer son mariage ! Tant pis pour lui. Paul se sentait totalement désolidarisé de son compagnon de débauche. Cela aura été une bonne expérience, se dit-il. Il était content de ne pas avoir mêlé sa femme à cette histoire, qui se transformait chaque jour un peu plus en véritable pétaudière… ouf !!

Mais dommage quand même… les deux surs ensemble… hummm, pensa-t-il lubriquement ! Le dialogue débuta :

… Et vous allez comprendre comment on en est arrivé là ! (Raphaël avait raté le début du coup du téléphone, durant lequel M. Delerue se présentait et lui disait avoir une importante déclaration à lui faire. Le type avait un vocabulaire très élaboré et une diction parfaite et efficace, ainsi qu’un timbre de voix autoritaire et peu amère. )

Vous me décevez comme votre femme. Vous l’avez amenée à se quasi "prostituer" pour votre plaisir dans ce sex-shop immonde. Cela vous a-t-il excité de voir votre épouse se déshabiller, et jouer les courtisanes de petite vertu devant plusieurs hommes ? Vous me débectez… Je conchie les "hommes de peu" comme vous ! Votre femme est un joyau… de la confiture au cochon ! Mais quelle pitié !

Je… je ne vous permets pas de m’insulter ainsi. C’est vous l’ordure qui avez martyrisé ma femme ?

Martyrisée ?! Mais M. Martin, vous ne savez pas ce que signifie ce mot… et croyez-moi, vous allez l’apprendre bientôt. Vous en comprendrez la teneur in situ… sur le corps charmant de votre tendre épouse… tendre comme l’agneau que l’on va immoler sur l’autel ! Mais quelle suavité dans ses cris de douleur ! Quelle propension à l’orgasme et la souffrance ! Jamais nous ne nous sommes amusés avec une telle proie ! Votre femme adore souffrir, être humiliée, malaxée, fouettée… Son désir au martyr me ravit les sens et m’étonne. Je sens que nous allons faire de grandes choses ensemble ! Et je crois que vous adorerez participer aussi. Tout d’abord virtuellement et ensuite… l’on verra, mon imagination ne connaît pas de bornes.

Que… quoi ?

Vous chercherez les mots que vous n’avez pas compris dans le dictionnaire ce soir, en rentrant chez vous. Avant le coït vespéral… si Madame n’est pas en train de s’amuser avec nous. Ah ! au fait, vous le direz à votre ami pseudo-dominateur… mais je vais le lui dire moi-même.

Maître Paul… ah ah ah ! Oui, je m’adresse à vous, car je suis convaincu que votre "ami de peu" enregistre ma conversation, et qu’il vous la fera écouter !

Passez pro, faites-vous aider pour apprendre à soumettre une femme ! Je peux vous donner des conseils si vous voulez ! Madame s’ennuie avec vous ! Vous lui avez ouvert de véritables sentiers de perdition, et puis vous l’abandonnez à l’orée de la forêt ! Quel dommage ! Heureusement que j’étais là, pour la reprendre en main, et la faire aller au bout de ses fantasmes !

Vous… vous êtes un monstre… je vais appeler la police et vous dénoncer !

Vous voulez le numéro de Charles Édouard ?

Qui est-ce ?

Charles Édouard Dupret, le préfet de police. Il a enculé votre femme au moins trois fois. Encore très vert, malgré ses 59 ans ! Peut-être qu’il demandera une enquête à ses services, pour prouver ses propres turpitudes, si vous le lui demandez gentiment ? Faquin ! Vous n’avez pas compris dans quoi vous avez mis les pieds; votre petite femme et vous… laquais ! Vous allez m’écouter parce que je n’aime pas perdre mon temps ! Demain soir, vous allez vous connecter à l’adresse e-mail suivante. Nous aurons une sorte de vidéoconférence, ainsi vous pourrez suivre les efforts de Madame, vers la béatification…

La béatification ?

Eh bien oui, les martyrs étaient béatifiés au Moyen-Age, vous ne le saviez pas ? Vous auriez dû suivre vos cours au lieu de vous livrer à l’onanisme sous votre table de lycéen !

Vous avez ordre d’assister à la séance. Dès 23h00, vous serez au téléphone avec moi, et je vous demanderai comment vous apprécieriez toutes nos petites trouvailles sur le corps excitant de votre épouse. Demain, le thème de la soirée sera la zoophilie ! Votre femme brûle de se faire saillir par un animal. Je vais lui en donner la possibilité ainsi de profiter d’autres charmantes petites bestioles… Vous verrez, vous allez adorer.

Bien évidemment, si vous ne respectez pas votre rôle, les conséquences en seront terribles pour votre petit couple… Vous pouvez déjà prendre un billet simple pour le Guatemala, car votre avenir social, professionnel et fiscal serait grandement impacté !

Mais comme je suis un homme charmant, je vais vous envoyer un petit morceau choisi, de ce qui risque d’arriver à votre charmante épouse, demain. Vous allez vous en lécher les babines, grand veinard !

Au fait, je vous prierais de laisser votre porte d’entrée ouverte… Il pourrait y avoir une invitée surprise !

Il avait raccroché. Paul regarda Raphaël avec un éclat lubrique dans le regard :

Mais putain, ça t’excite ce que cette ordure va faire à Sylvie ? T’es un malade comme l’autre ! On voit bien que c’est pas ta Cécile qui va se faire démonter, et torturer de partout ! Hein, après tout, pourquoi ne l’invites-tu pas à rejoindre sa grande sur? Ce serait moins drôle si c’était ta petite femme chérie qui se faisait baiser sous nos yeux ? Hein ordure ?

On se calme. De toute façon, on ne peut rien faire d’autre, il nous tient par les couilles, et ta femme est consentante, je te rappelle. C’est une grande fille, et elle sait ce qu’elle fait… tant pis pour elle !

Putain, tu vas prendre ton pied à regarder les horreurs que ce sadique va faire à ma femme, et tu feras rien… rien ! On va les payer, notre inaction et notre poltronnerie, tu peux me croire. Après tout, tu sais pas qui c’est, l’invité mystère ?

Peut-être qu’il n’y aura personne. C’est du bluff. Peut-être que ce sera lui qui viendra s’assurer en personne de ton trouble et de ta frustration; venir se gausser lui même du mari, cornu et incapable !

Peut-être …

Après avoir vu ce qui était arrivé à Caroline, la petite archiviste du service, sur la vidéo, les deux hommes avaient une grosse boule à l’estomac, à la fois d’angoisse et d’excitation malsaine.

En tout cas, même Paul n’en menait pas large à présent. Un sinistre pressentiment s’était fait jour dans son esprit !

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