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Le petit cul de Jade dépucelé – Chapitre 2

Le petit cul de Jade dépucelé - Chapitre 2



Les vacances d’été battaient toujours leur plein, deux semaines s’étaient écoulées depuis la fête chez Michael et son grand frère Sylvain. J’avais beaucoup pensé à lui et à notre petite aventure dans le cabanon depuis, presque à chaque jour. J’espérais de tout mon cur de jeune fille de le revoir. Mon souhait se réaliserais peut-être aujourd’hui, nous allions ma bande d’amies et moi passer la journée à la plage d’un grand lac situé juste en dehors de la ville. J’avais su à travers les branches que Sylvain y était avec ses amis, ils y passaient la semaine en camping.

Il faisait beau et chaud, après plusieurs heures à se faire dorer et se baigner dans les eaux chaude du lac, toujours pas de Sylvain et sa bande en vue. Je scrutais constamment la plage d’est en ouest, espérant nerveusement l’apercevoir, j’avais l’estomac noué par une certaine anxiété. malgré nos ébats récents, Sylvain m’intimidait toujours autant, j’espérais qu’il ne m’avait pas déjà oubliée.

Puis peu après le déjeuner, ma nervosité monta d’un cran quand je l’aperçu enfin, arrivant au loin avec ses copains, transportant un glacière sûrement pleine de bière. Il était en maillot, torse nu, toujours aussi grand et bien bâti avec cet air confiant qui me chavirait. Ils ne mirent pas longtemps à nous voir et vinrent s’asseoir avec nous. Sylvain vint à mes côté sans hésiter et amorça la conversation. Ma nervosité avait fait place au soulagement et à la fierté. Fierté car il était le plus beau et aussi plus vieux que nous toutes de quelques année. Toutes mes copines flashaient dessus autant que moi. Toutes étaient au courant qu’on avait été ensemble et maintenant il s’intéressait à moi à nouveau, je devinais la jalousie des copines. Nous passâmes l’après-midi à se baigner et boire de l’alcool. Je prenais plaisir à me lever juste devant lui et marcher lentement vers l’eau pour m’y rafraîchir. Je savais qu’il me reluquait sous ses lunettes soleil. Mon bikini ajusté couvraient à peine mes petites fesses qui se dandinaient, laissant peu de place à l’interprétation. Au retour de mes escapades aquatiques, c’est ma poitrine qu’il devait s’amuser à regarder. Elle avait toujours paru plus grosse qu’elle ne l’était en réalité vu ma fine taille. Mes mamelons, durcis sous l’effet du contraste de température entre l’eau et l’air ambiant, pointaient sous le mince tissu de mon haut de bikini, brûlant de désir d’être lécher à nouveau par ses douces lèvres.

Au fil de nos discussions, nos corps se rapprochaient l’un de l’autre naturellement. Il m’expliqua qu’il était au camping et logeait dans la roulotte qu’un ami lui avait prêtée pour la semaine. Il m’invita à y aller afin d’y continuer la discussion, nous nous levâmes aussitôt et parcoururent les 10 minutes de marche qui nous séparaient de notre lieu d’intimité promis. Dès notre arrivée, à peine pénétrés dans son logis roulant, je brulais déjà d’envie, je n’attendis même pas le premier baiser, je le plaquai doucement contre le mur, magenouillai devant lui et abaissa son maillot pour lui tailler une pipe. Il sembla surpris par mon initiative et ma fougue et me laissa continuer dans mon élan. Sa queue se révéla à moi, large, longue, décontenançante. La dernière fois, vu la noirceur, l’empressement et l’état d’ébriété dans lequel j’étais, je ne l’avais pas vu de mes yeux. Cette fois, elle m’était révélée au grand jour. Je ne pu retenir une exclamation de surprise devant cette chose. Je me la mise aussitôt en bouche, elle était encore au repos bien que je sentais entre mes lèvres la tension s’installer rapidement. Trois petits aller-retours de ma bouche furent suffisant pour induire l’expansion totale. De décontenançante, sa bite devint carrément effrayante. Je ne pouvais qu’entrer le premier quart de son pénis entre mes lèvres, aussi j’enroulai mes deux mains autour de sa base et pompa sa verge activement en le suçant. Je serrais mes lèvres au maximum autour de son gland et le branlais de mes deux petites mains puis j’osai un regard vers le haut. Il avait la tête penchée vers l’arrière et la bouche ouverte, totalement contenté, j’étais rassurée, ma chatte commença à s’humidifier de plus en plus. Il me laissa le sucer ainsi pendant quelques minutes puis soudainement, se retira de ma bouche et me plaqua sa verge sur le visage sans la bouger. Je compris que je devais lui lécher les testicules pendant qu’il prenait plaisir à observer sa verge passant entre mes yeux. Je lui lécha les couilles docilement, il semblait excité par la vision de son énorme engin cachant presque entièrement mon jolie minois. Il se mis à s’astiquer ainsi pendant que je faisais reluire ses valseuses sans broncher.

Il me souleva d’un seul bras et m’emmena au fond de la roulotte et me déposa ou plutôt me projeta sur le lit. Si mon initiative initiale lui avait plu, la suite des choses lui appartenait désormais, c’était lui le meneur, c’était sans équivoque, j’allais faire comme il le déciderait, je voulais tant lui plaire. Il vint sur le lit à côté de moi et m’enlaça par derrière m’appliquant son dard sur mon derrière à travers mon maillot. Aussitôt, il roula sur lui même pour se mettre sur le dos m’entraînant avec lui, je me retrouva ainsi étendue sur le dos sur lui. Ses main libérées, il me caressa les seins, je sentais dans la vigueur de ses manipulations une excitation débordante. Son bassin bougeait frénétiquement frottant son cylindre entre mes petites fesses toujours protégées de mon mini-maillot. Ses mains abaissèrent mon haut de maillot brutalement, il ne prit pas la peine de détacher la boucle à l’arrière. Il écarta sèchement les deux bonnets, retenues entre eux au centre par un anneau de plastique qui céda sous la force exercée. Mes seins désormais libérés se faisaient malaxer par les mains avides de Sylvain. Il m’ordonna alors de me masturber, j’hésitai, embarrassée par cette demande. Il le répéta, cette fois avec fermeté. J’obtempérai, je portai mes mains à mon entrejambe, de ma main gauche j’écartai le maillot, de la droite, je plongea deux doigts dans ma chatte dans le but de les lubrifier et commença à rouler mon clitoris. Rapidement, le rythme s’installa, ma main connaissait la procédure par cur, ma respiration s’accentua. Allais-je enfin perdre ma virginité vaginale, allait-il me faire l’amour normalement, en prenant mon sexe? Je le souhaitais silencieusement pendant que ses mains caressaient tout mon corps, ses lèvres embrassaient doucement mon cou et ma nuque. Je sentais sa verge bien bandée prise en étau entre mes fesses, le plaisir montait en moi à une vitesse folle. Mes doigts avaient déjà passés l’étape des douces roulades sur mon clitoris et le stimulaient à présent par de décisifs mouvements de bas en haut, visant sans gêne et sans retenue aucune, l’atteinte de la sensation ultime. Les yeux fermés, la bouche grande ouverte, ma lourde respiration se transforma en petits gémissements, j’allais me faire jouir, couchée ainsi sur le dos sur Sylvain. Plus que quelques secondes et ça y était.

Il me prit alors les deux mains et me les éloigna de mon sexe, il me priva sèchement de mon plaisir qui était pourtant si prêt. Je tentais d’y retourner, mes mains voulaient finir le boulot, il les retenait avec faciliter, pas question. Il me fit comprendre que je devais attendre, qu’une petite salope comme moi ne pouvait pas avoir tout ce qu’elle voulait quand elle voulait. Son bras gauche passa sous mes cuisses et les plia vers mon ventre, d’un mouvement de bassin il recula légèrement son membre et positionna son gland à l’orée de l’orifice qu’il voulait prendre, celui auquel je m’attendais, celui que je redoutais. D’un geste brusque, il tira sur ma culotte qui connue le même sort que mon soutif, l’anneau de plastique sur la hanche qui retenait le tissus céda d’un coup sec. Le minuscule maillot hors service fut projeté à l’autre bout de la pièce. Une conclusion limpide s’installa en moi alors que Sylvain s’apprêtait à m’enculer à nouveau, si je voulais plaire à ce gars sur qui je fantasmais depuis toute petite et si je voulais avoir une chance qu’il s’intéresse à moi et qu’on sorte ensemble, j’allais devoir m’habituer à la sodomie et à tous ces autres fantasmes pervers qu’il devait avoir. Son gland poussait déjà sur mon anus démesurément trop étroit pour le laisser passer. M’habituer à la sodomie était une chose, mais m’habituer à la sodomie par une queue d’une taille que je n’aurais pas cru possible, c’en était une autre. Résiliente, je plaça mes deux mains sur mes fesses et tira vers l’extérieur. Sylvain m’encourageait à écarter encore plus ce qu’il appela mon petit cul de gamine. J’écartai tant bien que mal tentant en même temps de me détendre pour permettre la dilatation de mon sphincter, la douleur s’amplifiait, l’énormité continuait sa poussée inexorable, sans succès. Par chance, la cyprine avait coulé généreusement de mon sexe vers mon anus apportant un baume sur la pénétration difficile.

Le gland entra finalement, je criai. Mon inconfort et mes plaintes semblaient l’exciter davantage, il forçait de plus belle la pénétration, sa bite était maintenant dure comme l’acier. Centimètre par centimètre, le phallus faisait son chemin vers mes entrailles, je savais qu’une fois l’engin complètement introduit, la douleur diminuerait. La moitié de la distance était parcourue, je serrais les dents endurant l’improbable accouplement de mon petit derrière avec ce pénis astronomique. J’avais droit de temps en temps à une ’’petite garce’’ ou ’’jeune dévergondée’’ pendant qu’il continuait sa lente insertion au fond de mon rectum, cela semblait l’exciter, moi, j’adorais être sa petite garce! Mon cul s’habituait à ce corps étranger de plus en plus et bientôt, il parvint à l’accueillir sur toute sa longueur. Sylvain commença des mouvements de va-et-vient un peu plus rapide en gardant sa verge bien au fond, j’étais complètement empalée. Je ne bougeais qu’au rythme des coup de boutoirs, je n’étais plus maître de mes mouvements, tout mon corps était désormais contrôlé par ce pieux qui le traversait. Sylvain ne se gênait plus pour m’enculer plus sévèrement maintenant. Son bassin, traduisant sa folle excitation, pistonnait librement et ses aller-retour entre mes fesses devenaient de plus en plus fermes et résolus. À travers mes cris, je l’entendu me demander de me masturber à nouveau, je n’y portai portai pas attention tout de suite, toute ma concentration étant requise pour m’adapter et résister à ce coït invraisemblable. Éventuellement, après plusieurs minutes, quand mon cul fut mieux accommodé et que son pénis glissait plus librement, j’obéis et portai ma main à ma chatte délaissée. Je me masturbai lentement, la sensation était agréable voir salvatrice, tout mon corps pu enfin se détendre. Décidément, me voir ainsi me branler stimulait Sylvain, il ne pu se retenir d’accélérer ses mouvements. Il m’enculait presque violemment, mon cul maintenant bien ouvert et détendu le permettait. Je maintenait le rythme avec mes doigts sur mon clitoris pendant que sa verge gigantesque claquait au fond de mon intestin. Il stoppa soudainement, je crois pour retenir son éjaculation. Cela me permit de me masturber de plus belle, la chaleur montait en moi, je désirais tant cet orgasme avec la bite de mon homme bien plongée entre mes fesses. Je n’arrêta pas, ma main accéléra, je sentais que ça arrivait, il ne bougeait plus, m’ordonna de me branler comme une petite salope et de me faire venir, mon excitation était à son comble, tout en moi se relâcha, je jouis. Tout le camping dû m’entendre, je criai sans retenu aucune. Mon anus tentant de se contracter autour de l’énorme pénis accentua mon plaisir, à ma grande surprise, ma jouissance fut sensationnelle.

Aussitôt mes clameurs diminuées, il se retira, provoquant une drôle mais combien soulageante sensation de vide entre mes fesses. Il plaça son membre toujours raide sur mon ventre. Malgré qu’il était couché sous moi, sa queue remontait sur mon estomac et se rendait jusqu’au nombril. Comment cette chose avait pu entrer tout au fond de mon cul? Il pris ma main droite et la plaça sur son membre. Ma petite main eu à peine le temps de le crosser pour une dizaine d’aller-retour, il explosa. Mes yeux se fermèrent par réflexe quand le premier jet fut catapulté hors du méat à une vitesse impressionnante. Il m’atteignit sous le menton laissant une longue trainée derrière. Pensant l’orgasme terminé, je retira ma main, il l’a remis aussitôt en place et m’ordonna promptement de continuer, ce que je fis sans broncher. Il continua d’éjaculer sur moi sans relâche à mesure que je le pompais doucement, je compris que l’éjaculation était composée de plusieurs jets! il vint partout sur mon ventre et mes seins, une après l’autre, une dizaine de giclées me décorèrent, partant de mon nombril jusqu’à ma poitrine. J’étais impressionnée par le volume de liquide expulsé, et dire que la dernière fois, il avait tout relâché ça dans mon cul. C’était la première fois que je me faisais éjaculer dessus, en fait, c’était la première fois que je voyais du sperme en vrai! Je fus un peu dégoûtée par tout ce fluide gras et blanchâtre qui me tapissait puis, je réalisa que la sensation de chaleur sur ma peau n’était pas si désagréable. Je continua de branler doucement sa bite en observant mon corps enduit de son foutre visqueux, lui ne bougeait plus, la bouche ouverte et les yeux fermés, il semblait au paradis. J’étais fière de moi, fière d’avoir encore réussi à satisfaire mon amant et de l’avoir fait jouir de la sorte mais j’étais aussi déçue d’être encore vierge. La prochaine fois, il fallait qu’il me prenne au moins un peu par le sexe, juste une fois. Après, s’il préfère me sodomiser à chaque fois, je pourrais m’y faire, je crois…

Nous nous relevâmes finalement, il me proposa de prendre une douche, ce que je fis. Je n’avais plus de maillot, il était tout déchiré, sans fringues, j’étais prisonnière dans la roulotte. Il me proposa de l’attendre ici, qu’il allait revenir avec des vêtements. Pendant son absence, étendue nue sur le lit, je me surpris à fantasmer encore à lui et je me masturba une fois de plus jusqu’à l’atteinte d’un doux et tendre orgasme. Il revint des heures plus tard avec des vêtements de rechange d’une copine. Il sentait la bière, il avait sûrement bu avec ses copains à la plage et leur avait tout raconté. Ça ne me dérangeait pas vraiment, au contraire, ça me plaisais même un peu, j’étais peut-être finalement une petite salope.

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