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Mes belles soeurs – Chapitre 1

Mes belles soeurs - Chapitre 1



C’était en 1973, je venais d’avoir un accident de voiture qui m’avait laissé 15 jours à l’hôpital. Ma femme devant aller en suisse pour une formation de 15 jours et ne pouvant rester tout seul du fait de mon manque de mobilité, je débarque chez la belle famille. Je suis installé au sous sol, aménagé en T4, comme l’étage supérieur, avec salon, 3 chambres, cuisine, salle de bain et WC. Ma femme a deux soeurs plus jeunes qu’elle. Claire et Anne ont respectivement 19 et 18 ans. L’une fait des études d’infirmière et l’autre est en terminale. Elles vivent encore chez leurs parents. Elles sont en vacances de pâques pendant 15 jours. Je m’entend excellemment bien avec Anne, beaucoup moins bien avec Claire. Anne est une fille simple, très enjouée et d’une grande tendresse, elle est grande, fine et très bien faite, j’en sait quelque chose car nous avons passés avec sa soeur aînée une semaine à lîle du Levant . Claire est sûre d’elle, autoritaire et très jalouse de sa grande soeur, c’est aussi une très belle femme, avec une très belle poitrine et de jolies jambes, elle fait bander tout le monde sauf moi. Ne tombant pas sous son charme, nos relations sont courtoises sans plus.

Dés que je suis installé, je sent une ambiance assez tendue. Mes beaux parents sont adorables avec moi, mais les filles semblent gênées de ma présence. Petit à petit, l’atmosphère se détend et au bout de quelques jours tout va bien.

Je suis là depuis 1 semaine, Anne est aux petits soins avec moi tandis que Claire me fait plus ou moins la gueule, j’ai l’impression de la déranger. Tout est normal.

Un après midi, je part faire une sieste. Ne pouvant plus dormir au bout d’un petit moment, je me lève et me dirige vers la cuisine. En passant devant la chambre d’Anne, jentends un drôle de bruit. On dirait des soupirs. Je tend l’oreille mais je n’entend plus rien. Je vais a la cuisine me servir un verre, au retour je tend de nouveau l’oreille. Pas de doute il se passe quelque chose dans cette pièce. Je jette un oeil par le trou de la serrure mais n’étant pas dans l’axe je ne vois que la baie vitrée en face de la porte. Au moment ou je vais partir, je vois Claire passer devant la baie vitrée. Elle est nue et c’est la chambre d’Anne. Je la vois nue pour la première fois, je l’ai bien vu en maillot de bain, mais là je vois tous les détails. Sa poitrine est haute et ferme, son ventre plat, elle a le pubis épilé, ce qui est rare à cette époque, des fesses d’enfer et toujours ses jambes longues et magnifiques. Là elle pourrait me faire bander. Elle tire les rideaux et disparaît de nouveau. Un peu frustré de retourne dans ma chambre pour m’astiquer un bon coup. Le soir, après manger, je me retire dans ma chambre car marchant avec des béquilles, je me fatigue vite. Je suis dans mon lit, à poil comme d’habitude quand quelqu’un frappe à la porte.

— Entrez.

C’est Anne qui vient discuter un peu avec moi comme elle le fait souvent. La discussion va bon train quand soudain elle me demande.

— Tu t’entend bien avec Manue?

Manue, c’est ma femme, sa grande soeur.

— Je doit dire qu’en ce moment, ça ne se passe pas comme je le voudrais.

— Que se passe t il?

— Et bien tu sais, l’accident que j’ai eu s’est produit au moment ou j’allais à l’appartement, en roulant comme un fou, pour foutre toutes ses affaires par la fenêtre.

— A bon, pourquoi?

— Parce qu’elle avait dragué un mec toute la soirée et était parti avec lui. De plus, après mon accident, elle est venue avec lui pour me voir à l’hôpital. Et quand je suis revenu à l’appartement, j’ai bien vu qu’elle n’était pas resté toute seule pendant les 15 jours de mon hospitalisation.

— C’est pas vrai, elle t’a fait ça?

— Exactement.

— Elle est quand même un peu conne.

— Je ne te le fait pas dire. Bon assez parlé de ta soeur. Toi qu’est ce que tu deviens.

— Je deviens gouine.

— Quoi?

— Exactement, je m’intéresse de plus en plus aux femmes, j’aime leur peau, leur odeur, leurs câlins. C’est beaucoup plus doux qu’avec un homme.

— C’est bien dommage, un canon comme toi.

— Tu es gentil mais les hommes m’intéressent de moins en moins sauf peut être quelques uns. De plus Claire est comme moi et elle m’a initié.

— Vous étiez ensemble cet après midi?

— Tu nous a entendus.

— Oui, mais je n’ai rien vu.

— Dommage, demain je baisserai le roule tout en laissant un espace en bas. Tu n’aura qu’à venir vers 15 heures pour voir ce qui se passe.

Elle me fait une bise et sort de la pièce. Un peu excité, je m’endort péniblement.

Le lendemain vers 15 heures, je sort de la maison et vais me positionner à côté de la baie vitrée d’Anne. L’espace laissé est suffisant pour que je puisse voir le lit en entier et assez haut.

Anne et Claire sont nues entrain de se caresser en s’embrassant à pleine bouche. Leurs mains parcourent le corps de l’autre, allant des seins au sexe. Anne a changé depuis que je l’avait vu nue il y a trois ans. Elle est devenu plus femme, ses seins ont grossis, ses hanches se sont formées, ses fesses sont devenues bien rondes et son sexe, épilé lui aussi, laisse apparaître un clitoris proéminent. Claire pousse Anne à se mettre sur le dos sur le lit et la chevauche, lui présentant sa vulve. Elle penche la tête sur le sexe de sa soeur et commence à la sucer. Je devine, plus que le vois, Claire entrain d’aspirer le clitoris de sa soeur. Anne n’est pas en reste et s’occupe sérieusement de la chatte de Claire. Tout à coup, je vois le corps de Claire se raidir, elle joui. Anne continu de sucer sa soeur qui n’en fini pas d’avoir des orgasmes. Cela dure plusieurs minutes pendant lesquelles Claire ne cesse de se raidir, se détendre et de nouveau se raidir. Soudain, elle s’écroule sur sa soeur, se tourne sur le côté et je peux voir son visage rayonnant de bonheur. Elle se redresse, se penche sur Anne et l’embrasse fougueusement. Je vois Anne jeter un oeil de mon côté. Elle me voit. Je bande comme un âne.

Claire repositionne Anne sur le dos et vient se mettre entre les jambes de sa soeur. Sa tête plonge sur le chatte d’Anne et commence une minette d’enfer. Anne se tortille dans tous les sens, Claire lui caresse les seins en même temps. Anne se cambre tout à coup et joui silencieusement. Je réalise tout à coup, qu’elles jouissent sans le moindre gémissement, ni râle ni quoi que se soit. Elles ne veulent pas alerter tout le quartier. Anne se calme sous les caresses de Claire. Celle ci sort de derrière le lit un godemiché double. Elle le suce des deux côté et en enfonce un dans le vagin de sa soeur. Anne se cambre pour faciliter l’introduction. Claire se positionne et s’enfonce l’autre côté. Je trouve la position bizarre quand je m’aperçois qu’elle a enfoncé le gode dans son cul. Elle fait des va et vient avec son corps. Son cul serre tellement le gode qu’il ne glisse que dans le con d’Anne qui se caresse le clitoris. Elle ne met pas longtemps à jouir. Claire retire le gode du sexe de sa soeur et lui demande de s’occuper de son maniement. Anne saisi le gode, le retire du cul de sa soeur, crache dessus et le réintroduit dans le conduit annal. Elle commence des va et vient dans le cul de Claire en déposant de la salive de temps en temps sur le gode. Les mouvements sont de plus en plus rapides et Claire fini par se raidir en ouvrant la bouche mais aucun son n’en sort. Elle tombe à plat ventre sur le lit et récupère en respirant fort. Anne se redresse et me fait signe de m’éloigner. Je quitte la scène juste au moment ou Anne ouvre le volet roulant. Je retourne dans ma chambre et je me branle comme un fou. Je joui assez vite tellement j’étais tendu.

Le soir, après le dîner, Claire annonce qu’elle sort et propose à tout le monde de venir avec elle. Anne refuse en disant qu’elle est fatiguée, moi je montre mes béquilles, mais les parents acceptent. Claire regarde Anne avec un sourire entendu et s’en va. Sa voiture démarre quelque temps plus tard. Je vais me coucher. Je suis à poil dans mon lit, le drap couvrant à peine mes jambes quand la porte s’ouvre. C’est Anne en peignoir de bain.

— Tu pourrais frapper?

— Oui mais ou serait la surprise?

Je rigole, relève le drap sur mon ventre et l’invite à s’asseoir sur le lit. Elle me regarde avec un sourire, défait la ceinture de son peignoir, le laisse tomber par terre et nue, entre dans le lit.

— Qu’est ce que tu fait?

— Je me couche avec toi, ça te dérange?

— Un peu, je suis à poil, tu es à poil, nos corps se touchent, que crois tu qu’il va arriver?

— On va baiser.

— Je suis ton beau frère quand même, en plus je croyais que tu étais gouine?

— Oui, mais j’aime encore certains hommes et tu en fait partie. Que penses tu de ce qui c’est passé cet après midi?

— Vous êtes de sacrées salopes, mais d’une discrétion extraordinaire. J’ai beaucoup aimé et beaucoup bandé.

— Tu t’es masturbé après?

— Evidemment.

Elle se tourne vers moi et sa main vient toucher mon ventre.

— Tu sais, depuis l’île du Levant je pense souvent à toi en me masturbant dans mon lit me dit elle.

— Sans blague? Tu étais pourtant jeune je ne pensais pas t’avoir fait cet effet.

— Et oui, mais tu ne te souviens pas que Manue t’avait fait bander pour me montrer un sexe d’homme en érection?

— Oui je m’en souviens.

— Et bien depuis, j’en ais vu d’autres mais le premier, ça marque toujours plus.

Sa main titille mon nombril, descend vers ma taille jusqu’à mon sexe. Je suis rasé depuis l’armée ou on nous a obligé à nous raser suite à une invasion de morbacs. Depuis j’y ais pris goût et je me rase le pubis régulièrement. Ce jour là je suis rasé du matin, donc très lisse.

— Ta peau est douce, Manue m’en avait parlé mais je croyais pas qu’elle pouvait être aussi douce.

Elle arrive à me bite, qui est en érection totale, commence à la masturber doucement avant d’écarter le drap et de se pencher dessus. Elle la gobe goulûment, passe sa langue autour de mon membre, titille le gland, le tout avec une certaine dextérité. Je lui prend la tête entre mes mains et la guide.

— Attention, je viens.

Je lâche sa tête mais elle continue et je lui envois tout dans la bouche. Elle avale avec plaisir, se redresse et me sourit.

— J’aime toujours le sperme tu sais.

— Je vois, je vois. A moi maintenant.

Je la met sur le dos, et me penche sur son sexe. Il est doux, odorant et très humide. Ma langue titille le clitoris et les lèvres. Je met ma langue en pointe et pénètre son vagin le plus possible. Elle se cabre, ondule et émet quelques gémissements sourds. Je prend ses fesses à deux mains, les soulève, les écarte et je commence à lécher son fion. Là se crispe et joui silencieusement, mais je la sent tendue comme un arc. Elle retombe sur mes mains et se retourne vers moi.

— C’est ton sexe que je veux dans mon sexe. Il y a si longtemps que j’attend ça.

— Ok, mais il faut me mettre en forme.

Elle se penche sur mon sexe ramolli et ne tarde pas à lui redonner une forme olympique. Je suis couché sur le dos, elle m’enjambe, face à moi, se saisi de mon sexe et le dirige vers sa vulve. Je sent cette chatte humide sur mon gland et le fourreau m’envelopper la bite petit à petit. Quand elle est sur mes couilles, elle commence un va et vient, d’abord doucement et très ample, ensuite de plus en plus rapide. Elle a la tête renversée en arrière, je sent son vagin se contracter de plus en plus et ceci déclenche ma jouissance. Je lui envois tout dans la chatte, elle se crispe et joui, mais cette fois ci elle s’exprime.

— Oui Jean, c’est bon, je joui, je joui, ta bite dans mon con, la bite de ma soeur dans mon con, je joui, je joui.

Stupéfait par ce qu’elle vient de dire, je l’attrape par les fesses, les écarte et introduit un doigt dans son fion. Elle a un sursaut comme si elle recevait une décharge électrique et s’écroule sur moi. Elle bave de plaisir. Elle sessuie la bouche et m’embrasse passionnément. Je répond à son baiser tout en me demandant ce qui se passe.

— Je t’aime Jean, je t’aime.

— Je te rappelle que je suis marié à ta soeur.

— Vu ce qui se passe, ça ne va pas durer longtemps. A priori elle préfère les bites ds autres.

— C’est vrai.

— J’aimerais passer la nuit avec toi, mais je ne pense pas qu’ils comprendraient.

— Tu as raison.

Elle m’embrasse tendrement une dernière fois et rejoint sa chambre. Une demi-heure plus tard, jentends le voiture de Claire arriver.

Nous avons pu faire l’amour deux autre fois dans la semaine. Au retour de ma femme je demandais le divorce. J’ai eu toujours les mêmes beaux parents pendant 10 ans m’étant remarié avec Anne. Nous avons divorcé depuis car son penchant pour les femmes a reprit le dessus.

Anne est retournée aux femmes mais nous sommes toujours très amis, Claire a trouvé Dieu et est maintenant dans un couvent.

Personnellement j’ai découvert les bites des hommes dans mon fion et j’avoue que j’aime beaucoup ça, ce qui ne mempêche pas d’avoir de temps en temps un petit câlin avec Anne. Etant tous les deux très bien avec notre propre sexe, nous nous comprenons.

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