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L'envol des tourterelles – Chapitre 11

L'envol des tourterelles - Chapitre 11



Sophie se retrouva brusquement par terre, à genoux, devant son père toujours assis à la petite table bistro et dont l’organe viril avait commencé à grossir. L’alcool l’avait déjà passablement alourdie et sa tête commençait à tourner. Sa mère demeurait assise sur le lit, observant la scène. La fille sembla ravie de voir enfin un pénis en érection, un vrai et non une imitation en silicone.  Le prenant de la main gauche, elle en apprécia la chaleur qu’elle avait déjà hâte de ressentir entre ses fesses et à l’entrée de son anus. Elle apposa un baiser sous le gland chaud et congestionné tout en observant son père qui, les yeux fermés, restait silencieux dans sa méditation. Jérôme se concentrait en effet pour garder le contrôle du calibre de son organe afin de ne pas effaroucher celle qui était en pleine découverte de son anatomie.

 Sophie continua la fellation en saisissant le gland du bout des lèvres, après quoi elle le laissa pénétrer dans sa bouche dans un voluptueux mouvement de succion. Sa luette goûtait maintenant à la chaleur de l’organe que la jeune avait dorénavant bien en bouche. Mordillant gentiment le membre viril à l’occasion, elle le faisait glisser en va-et-vient en prenant soin de bien serrer ses lèvres afin de garder l’effet de succion sur la hampe, le tout en exprimant des « humm, humm » de satisfaction.

 En poursuivant ses mouvements, Sophie crut sentir dans sa bouche quelques menues secousses provenant du membre viril de son père, lui rappelant que ce qu’elle se plaisait à sucer et à lécher depuis déjà plusieurs minutes était bien vivant et non un artifice.

 « Tu as suffisamment fait la pipe à ton père, intervint Jasmine. C’est à l’autre extrémité de ton tube digestif que les choses vont se poursuivre »

 Sophie laissa retomber le pénis de son père qui rebondit sur sa cuisse velue dans un bruit mou.

 Jasmine aida sa fille à se relever alors que Jérôme prenait place sur le bord du lit conjugal, les pieds bien au sol, lui permettant d’adopter derrière sa fille une position plutôt semi-assise. Sophie fut placée, debout, devant son père, dos tourné, lui présentant une superbe paire de fesses bien dodues qui ne demandaient qu’à s’ouvrir pour recevoir la délicieuse expérience anale que lui réservait son père. Une chaise fut placée devant la fille afin de lui permettre de prendre appui lorsqu’elle aurait à se pencher ou à s’asseoir sur son père.

 « Ce qui va suivre est inspiré de la philosophie du petit livre oriental, commença Jérôme. La personne qui reçoit, en soumission à celle qui donne, doit d’abord se purifier de toute souillure afin de pouvoir accueillir son offrande. »

 Il s’enduisit l’index de cyprine provenant du sexe de sa fille et introduisit doucement le doigt dans son anus. Celle-ci gardait les yeux fermés, un sourire détendu, prenant de grandes respirations, pendant que sa mère, positionnée face à elle, la soutenait par les épaules. L’examen ne prit que quelques secondes :

 « Tu n’es pas pure, Sophie, il va falloir te débarrasser de tes souillures.

 – Très bien, répondit la fille, je passe à la toilette et je reviens dans cinq minutes.

 – Ce n’est pas comme ça que ça se passe, reprit le père. Tu dois te purifier devant la personne qui va t’offrir sa semence. »

 Sophie fit un pas de côté pour se diriger vers la salle de bain.

 « Non, ma fille, l’empêcha Jasmine. On se purifie en présence du partenaire afin qu’il ait la preuve de ta purification et de ta soumission.

 – Oh shit! murmura Sophie, c’est quoi cette histoire de fou? On n’est pas au douzième siècle, sacrament! blasphéma-t-elle. »

 Se repositionnant devant son père, debout et prenant appui sur la chaise tout en se penchant légèrement, elle ferma les yeux et ne bougea plus. Elle se demandait de plus en plus, dans son état d’ébriété avancée, si elle rêvait ou se trouvait dans une réalité démente.

 « Cela va te libérer de tes tabous et de tes inhibitions, dit la mère, et le Paradis des plaisirs t’ouvrira grandes ses portes. Laisse-toi aller, ne te soucie de rien, on a tout ce qu’il faut avec nous. »

 La jeune femme fit le bilan de la situation:

 « Je me trouve chez mes parents, complètement à poil et au trois-quarts saoule, sur le point de me faire sodomiser par mon père, en présence de ma mère qui m’encourage à chier pendant qu’ils m’observeront. Ben là, j’ai mon criss de voyage!»

 Une voix qui lui semblait de plus en plus lointaine se fit entendre :

 « Allez  la puce, lâche tes trucs! », insista Jasmine, pendant que Sophie sentait des mains féminines lui écarter grand les fesses.

 À bout de ressources et d’énergie, la tête dans les nuages, la fille céda aux ordres de sa mère. Sentant la pression exercée par les matières sur l’extrémité de l’ampoule rectale, elle laissa son sphincter anal lentement s’ouvrir, bloqua sa respiration et s’abandonna aux agréables sensations que procure la défécation. Dans son esprit, l’alcool aidant, la recherche de plaisir et d’exotisme avait pris le dessus sur la honte et le sens des convenances. Elle se serait exécutée devant mille personnes, cela ne l’aurait nullement affectée.

 Soulagée de son fardeau et revenant un peu plus à elle, Sophie crut reconnaître des doigts maternels réexaminer son trou de cul, puis essuyer délicatement ses fesses.

 « Tout est beau, maintenant, chéri, conclut la mère. »

 Exaspérée, épuisée et en ayant marre de toute cette histoire, Sophie manifesta finalement son impatience d’une voix empâtée par l’effet du vin, dont elle venait de vider un autre verre :

 « Écoutez-moi maintenant vous deux. Vous êtes très gentils et je vous aime bien, mais je suis venue ici dans l’espoir d’avoir du fun. Du fun, OK? Est-ce que ce serait possible pour moi d’en avoir MAINTENANT? »

 – Viens ma belle fille, répondit le père. Tu peux faire ta cochonne maintenant.»

 Sans plus tarder, Jérôme la prit par la taille et l’attira par le bas vers son organe en érection qu’il avait généreusement graissé de lubrifiant. Sentant le gland chaud et humide en contact avec son anus, gardant ses deux mains sur le dossier de la chaise, Sophie sentit ensuite son père saisir ses fesses pour les écarter et les soutenir et se laissa descendre par à-coups sur l’organe viril qui la pénétra jusqu’au fond, alors que tout son postérieur reposait sur un coussin moelleux de poils pubiens et abdominaux.

 L’alcool aidant, l’intromission, quoique rapide, fut presque sans douleur. La fille gardait les yeux fermés, un large sourire de plaisir et de satisfaction se lisant sur ses lèvres.

 Totalement en coït avec son père, elle s’alloua une pause avant d’entreprendre des mouvements de va-et-vient de haut en bas, les mains de Jérôme soutenant toujours les fesses de sa fille afin de faciliter la chose. Sophie s’abandonnait de plus en plus à cette invasion masculine qu’elle semblait apprécier au plus haut point, comme en témoignaient les gémissements aigus qu’elle exprimait, les yeux fermés, la tête levée au ciel :

 « Oui! Oui! Oui! C’est ça, encore, encore! Plus loin, plus loin. Ouiiiiiii! »

 L’enculée effectuait des poussées abdominales (manuvre de Valsalva) afin d’englober au maximum l’organe qui la labourait maintenant sur toute sa longueur, alors que Jérôme perdait graduellement le contrôle sur l’expansion de son pénis qui gagnait de plus en plus en calibre et en longueur.

 Au bout de quelques minutes de plaisir intense, elle s’arrêta net. Tournant la tête vers son père, elle lui empoigna les hanches velues et, avec l’hardiesse que lui procurait le vin :

 « Papa, fais-moi jouir comme tu fais jouir Maman. Apparemment, tu encules mieux que ça, d’après ce qu’elle m’a dit.»

 Les deux parents se regardèrent, Jérôme d’un air interrogateur auquel Jasmine répondit par l’affirmative. La mère savait sa fille prête.

 Dans l’heure qui suivit, Sophie connut les moments les plus voluptueux et les plus tristes de sa vie.

 (À venir : Une promesse brisée)

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