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Sweet Charlène – Chapitre 1

Sweet Charlène - Chapitre 1



Née aux alentours de 1840 en Pennsylvanie, la petite Charlène Dougherty vécut une enfance plutôt heureuse et ne manqua de rien bien qu’elle fut élevée seule par son père Sam, un ouvrier en bâtiment. Sa mère Martha, Charlène ne lavait jamais connu puisque celle-ci était morte en lui donnant naissance. La jeune fille avait hérité delle sa blondeur diaphane, ses yeux aux éclats démeraude et son sourire enjôleur.

Un drame survint lannée de ses 16 ans : Charlène perdit son père, emporté par la tuberculose. On plaça alors la pauvre orpheline chez son oncle William Blackburn, le grand frère de sa défunte mère. Charlène connaissait très peu de choses sur cet oncle mis à part quil était propriétaire dune plantation de coton en Caroline du Sud.

La première année aux côté de son oncle se déroula normalement, mais lannée suivante

Un soir daoût, loncle William, prétextant une surprise, invita sa nièce à laccompagner dans une promenade en calèche au-delà de la rivière voisine. Le cur plein dexcitation et dimpatience, Charlène se mit à rêver durant le trajet : son oncle allait-il lui offrir ce petit poney gris croisé lors dune foire lan passé à Aiken et dont elle sétait prise daffection ?

Après vingt minutes, ils sarrêtèrent devant une ancienne grange abandonnée. Loncle poussa une des portes et invita la jeune fille à entrer. Au milieu de la grange était placé un ancien lit avec des montants en fer. Charlène se demanda à quoi pouvait servir ce lit et au moment de se retourner pour interroger son oncle, elle sursauta en apercevant trois grands hommes noirs, des employés de son oncle, entièrement nus et laissant apparaître des sexes énormes.

Sans un mot, les trois hommes savancèrent vers Charlène. La jeune fille chercha des issues aux quatre coins de la grange mais en vain : toutes les ouvertures avaient été scellées avec des planches en bois. Elle jeta un regard rempli dincompréhension et de panique en direction de son oncle. Mais celui-ci ne bougeait pas et commença même à ricaner.

A ce moment, lun des esclaves empoigna Charlène par le bras. Malgré son petit mètre cinquante-cinq, elle ne se laissa pas faire hurlant et griffant tel un animal piégé. Pour la calmer, lun des hommes lui mit plusieurs grosses gifles dans la figure en lui ordonnant de se taire. Sonnée et apeurée, Charlène cessa de se débattre. Maintenant, elle sanglotait et saignait du nez mais ce détail narrêta pas ces tortionnaires.

On lui arracha sa délicate robe de satin rose et blanc, dévoilant un corps menu et juvénile et des petits seins pâles. On ligota ses mains et ses pieds aux montants du lit à laide de chaînes. Un des hommes sétait placé entre les jambes écartées de Charlène et commença à lui lécher la vulve.

Loncle William sécria : « Bon dieu Dépucelle cette petite traînée ! »

Lesclave sexécuta. Il enfonça sa grosse queue à lintérieur du vagin et poussa contre lhymen de la jeune vierge.

Charlène pleurait et suppliait son oncle : « Jai mal mon oncle Pitié arrêtez ça ! »

Alors, lhomme noir lagrippa fermement par les hanches et soudain, dun puissant coup de rein, il lui transperça lhymen. Charlène poussa un cri et se mit à pleurer. La douleur était aiguë comme une brûlure dans son bas ventre. Mais quelle tristesse, elle venait de céder sa virginité à un inconnu.

« Oui cest ça! Baise cette putain comme elle le mérite ! » Continuait de vociférer son oncle William.

Lesclave commença à aller et venir à lintérieur de létroit vagin de plus en plus vite. La jeune fille serra bientôt les dents sous les coups de boutoir de son agresseur. A lintérieur de son ventre, Charlène sentait le gland de lhomme percuter violemment l’entrée de son utérus.

« Aïe ça fait mal arrêtez» Sanglotait-elle.

Un des esclaves enjamba la poitrine de Charlène et se positionna face à son visage. Il essaya à maintes reprises dintroduire son énorme sexe dans la bouche de la jeune fille mais celle-ci détourna à chaque fois la tête. Alors, lhomme en colère, pinça très fortement les petits seins de la jeune fille, ce qui la fit hurler et pleurer de douleur. Lesclave la saisit par sa longue tignasse dorée et sacharna encore et encore dans sa bouche. Après quil se déchargea copieusement au fond de sa gorge, il lui tira le nez en hurlant : « Avale Avale tout Chienne… ».

Charlène ferma ses yeux pleins de larmes et avala la semence amère de lhomme. Écoeurée, elle se mit à prier du fond de son âme : « Papa maman aidez-moi aidez-moi ».

Pendant ce temps, un des esclaves suçait les doigts de pieds de la jeune fille. Il se mit à mordiller fort le talon puis il passa et repassa sa langue entre ses orteils. Ensuite, il commença à frotter son sexe noir contre le petit pied blanc de la jeune fille jusquà léjaculation. Puis il tartina amoureusement son sperme encore chaud sur la plante de pied de Charlène.

Tout excité par la vision de ces mâles noirs vigoureux violant sa nièce, loncle William avait baissé son pantalon et il commença à se masturber.

Lesclave qui limait depuis de longues minutes lentre cuisse de Charlène accéléra les mouvements de son bassin, il était proche déjaculer à lintérieur de la jeune fille et le fit savoir : « Je vais jouir Je vais jouir… ».

Charlène sanglota de plus belle et sécria : « Ooh pitié nooon ».

Mais à peine avait-elle fini sa supplique que lesclave vida le contenu de ses couilles dans son vagin. Au lieu de se retirer, il continua de pilonner longuement lintimité sanguinolente de la jeune fille afin de limprégner profondément avec son sperme.

Loncle William bouscula lesclave et prit sa place entre les cuisses écartées de Charlène. A son tour, il pénétra sa nièce et la ramona brutalement tel un animal en rut. Le vagin lubrifié par le sperme du précédent occupant facilita le coït et loncle William ne mit pas longtemps à venir. « Ah ! Tu me fais jouir comme ta mère ! » Et dans un râle de plaisir ignoble il relâcha plusieurs jets de son liquide séminal en elle.

« Tu es aussi belle que ta mèremais contrairement à toi, Martha y prenait plus de plaisir » Lui murmura-t-il ensuite à loreille. En entendant ses mots, Charlène sanglota de plus belle. Sa mère avait donc été victime, elle aussi, de cet oncle pervers.

Le calvaire était loin dêtre achevé pour la jeune fille : un des esclaves avait fait entrer dans la grange un grand cheval noir. On détacha Charlène du lit puis on la força à se mettre à quatre pattes, le visage contre terre et les fesses levées. Loncle William avait introduit quelques doigts dans le vagin endolori de sa nièce afin dy récupérer un peu de sperme et à présent il lui en enduisait généreusement la rondelle. « Ah ! Maintenant, tu vas prendre cher catin ! » Dit-il fièrement.

La jeune fille comprit avec horreur ce quon allait lui faire subir. Alors, on approcha limposant sexe du pur-sang de lanus de la jeune fille et on lenfonça brusquement dans létroit orifice. Charlène sentit son anus tout entier se déchirer. Elle hurla mais aucun son ne put séchapper du fond de sa gorge. Le contrôle de son corps lui échappait. La souffrance était intense et plus encore à chaque mouvement de va et vient. Létalon continuait de labourer profondément son rectum quand, dun coup, elle sentit le sexe puissant de léquidé se raidir en elle puis un liquide chaud et visqueux se déverser à lintérieur de ses entrailles.

Trop épuisée, Charlène ferma un instant les yeux. Lorsquelle les rouvrit, les trois esclaves et son oncle se tenaient debout autour delle, urinant abondamment sur son visage, sur sa bouche et sur tout son corps.

Enfin, laccalmie vint. Charlène était abattue, meurtrie physiquement et brisée mentalement. Les larmes, la sueur, lurine et le sang ruisselaient sur son visage pendant que du sperme humain et animal coulait hors de son vagin et de son anus dilaté. Elle resta immobile et sans réaction sur le sol de la grange. Elle sinterrogeait : Comment des êtres humains pouvaient il se livrer à autant de sadisme et de cruauté ? Comment son oncle avait-il put loffrir en pâture à des inconnus ? Quavait-elle fait de mal pour mériter un tel acharnement ?

Tant de questions qui restèrent sans réponse pour la pauvre Charlène. Mais il demeurait une seule certitude : à partir de cette nuit-là, son oncle William la livra régulièrement à ses esclaves.

La veille de ses 20 ans, Charlène fugua de la propriété de son oncle. Trois jours après sa disparition, des ouvriers retrouvèrent son corps sans vie pendu par le cou à lune des poutres de lancienne grange abandonnée

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