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elle me trompe au bord de l'isere – Chapitre 1

elle me trompe au bord de l'isere - Chapitre 1



Cétait durant une merveilleuse journée dété, il faisait chaud, nous avions décidé daller nous promener à vélo le long de lIsère. Après plusieurs km, une pause simposait, il faisait si chaud, nous voulions nous tremper. Après avoir découvert une petite plage isolée, posé nos affaires, nous nous sommes jetés dans leau fraîche, tout nus, nayant de toute façon pas de maillot.

— Cest pas grave mon chéri, Chouf,il n’y a personne

— Moi ça ne me dérange pas tu sais bien, répondis-je.

Mais en regardant un peu mieux aux alentours, je vis un homme assis sur un rocher, immobile, loin là bas au bout de la plage. Je décidais de ne rien dire, il est si loin. Il me semblait quil était nu, raison de plus il ne fera pas le malin.

Leau était trop fraîche pour un câlin, il était temps de remonter se poser sur lunique paréo que tu avais pris. Ta peau était fraîche, avec la chair de poule. Tes tétons étaient durs, je les suçais pour les réchauffer et posais ma main sur ton minou gelé pour le réchauffer.

— Je vais le laisser se réchauffer au soleil et jen profite pour pédaler jusquau Touvet

— Ok moi çà me va mon nounours, je tattends là, bien sage, tu me retrouveras comme tu mas laissé

— Ok à mon retour je te ferai lamour sil y a toujours personne

— Je serais prête mon chéri

Je pris lappareil photo et Jenfourchai mon vélo, çà fait du bien un peu de sport pensais je.

Te retrouvant seule, nue, tu te sentais moins à laise, donc tu décidas de remettre ton string, au moins.

Allongée en plein soleil, les rayons ne tardèrent pas à chauffer ta peau, Après quelques frissons de plaisir, tu savourais pleinement ce moment de bonheur.

Quelques minutes plus tard, il était temps de passer de lhuile, histoire de bronzer un peu plus. Dabord les bras, puis les jambes, quand tu entendis un bruit de pas, au loin. Tu vis alors un homme, grand, mince, arriver avec son sac à dos. Il nétait vêtu que dun paréo « tiens, çà me rappelle un WE çà » pensas tu. Plus il approchait mieux tu distinguais sa silhouette. Il avait un beau corps, bien bronzé, malgré ses 40 ans bien tassés. « Joli promeneur du dimanche » pensas-tu.

Tu cessas de le regarder, continuais à te huiler, mais tu sentais au bruit de ses pas quil venait vers toi. Ton cur saccéléra car tu nétais quen string çà craignait un peu

— Bonjour dit-il dune voix calme et posée

— Bonjour répondis-tu

— Vous voulez surement de laide, vous pourrez pas vous huiler partout toute seule. Le soleil est méchant à cette heure.

— Hum daccord c’est gentil. Répondis-tu après avoir hésité.

Tu te mis à plat ventre par pudeur, il saccroupit, posa son sac, et commença à te passer de lhuile dans le dos. Cela ressemblait plus à des caresses quà un étalage dhuile. Il avait les mains douces et larges. Tu avais conscience quavec le string il voyait parfaitement tes fesses. Cela tintimidait mais au bout de quelques instants, tu te relâchais enfin, il en profita pour te caresser les jambes, puis les fesses. Là tu commençais à être émoustillé. Cela devenait vraiment excitant ce bel homme avec ses caresses.

Il vit rapidement que tu appréciais, alors en remontant sa main, il fit exprès de laisser traîner son majeur dans ton entrejambe, frôlant ton petit trou, à chaque fois. Tu frissonnais à chaque passage. Il écarta la ficelle du string sur une de tes fesses.

Son doigt descendait de plus en plus, maintenant il caressait aussi ton minou. Rapidement son doigt était mouillé, il sourit mais tu ne le vis pas. De lautre main il se caressait sous son paréo, ça aussi tu ne le voyais pas. Tu sentais que ta chatte sécrétait beaucoup de cyprine mais tu espérais quil ne sen apercevrait pas trop. Cétait raté. « Et si Carl revenait maintenant » pensais tu. Cette pensée texcita encore un peu plus.

— Retournez vous jolie jeune femme, dit-il.

Sans rien dire tu téxécutas et alors tu vis que son paréo nétait pas sur lui. Tu nosas pas regarder son sexe, mais tu aperçus que cétait énorme. Là tu compris que cela irait plus loin que le massage.

Il commença par te caresser les seins avec lhuile, sous ses mains habiles, tes tétons devinrent durs, très durs. Il caressa ton ventre, tes cuisses, tes pieds, tes orteils et revint rapidement plus haut. Il écarta doucement tes jambes et sarrêta un instant pour admirer ta petite toison humide en écartant dune main ton string. Il te fit un large sourire et se mit à lécher ta chatte déjà toute trempée. Il souffla sur ton clito avant de le sucer puis de le mordiller. Tu sentis ta chatte couler le long de tes cuisses. Sa langue si douce, si habile ne lassa rien se perdre, il se délectait de ton jus.

Il inséra 2 doigts profonds dans ta chatte avec lautre main et te caressa ton intimité là où tu aimes. Il prenait son temps, tu devins de plus en plus excitée par cet inconnu dont tu ne savais même pas le nom. Ton orgasme fut aussi violent que soudain, ton corps transpercé de frissons puis de spasmes.

Sans te laisser le temps de te remettre de tes émotions, il tarracha ton string, monta sur toi et te pénétra dun seul coup. Il bougeait avec vigueur, il te caressa violemment les seins, avec des petites claques. Tu remontas tes jambes pour mieux le sentir mais il était énorme, tu sentais sa queue frapper le fond de ta chatte. Tellement excitée, la douleur devint du plaisir, mais tu préféras tendre les jambes au sol, de peur davoir mal après, sans pouvoir vraiment me le justifier.

Il comprit, sortit sa queue et saccroupit à hauteur de ton visage. Tu pris sa belle bite avec tes 2 mains, il y avait même encore de la place pour la bouche. Son gland était énorme, chaud et doux.

Après lavoir masturbé quelques minutes sans bouger la tête, il sallongea un peu plus et te fis rentrer sa queue dans ta bouche. Il ondulait du bassin et se branlait entre tes lèvres. Quand tu sentis, 10 mn plus tard que son gland était vraiment au bord de lexplosion, tu lui trituras les boules, déjà bien compactes, prêtes à exploser sur toi. Alors il ne put se retenir plus longtemps. Tu étais prête à recevoir sa giclée dans la bouche, et même à lavaler sil avait bon goût.

Dun coup sec, il se retira, sassit sur ton ventre et jouit sur tes seins. Cela te parut très long, il coulait abondamment, cétait impressionnant. Après avoir ouvert les yeux, il te regarda, se pencha et tembrassa. Son baiser était si bon, sa langue si douce.

Avec sa queue détendue mais toujours monstrueuse, il étala sa semence sur tes seins, qui commença à sécher, en laissant quelques traces blanchâtres. Avec ton doigt tu gouttas et pensas que cétait dommage de ne pas avoir pu ten délecter car il était sucré, délicieux, cétait si rare.

Il se releva, shabilla, me fit un beau sourire et repartit comme il était venu. Tu restas allongée, vidée, apaisée par cet orgasme, avec dans les narines lodeur de son sperme qui séchait sur tes seins, ça sentait lamande. Cétait délicieux et là-dessus tu tendormis.

En te réveillant, jétais là, à coté de toi, ton string déchiré et collé dans la main.

— C’est quoi ça chérie?

— C’est rien, je me suis juste caressée un peu, je lai enlevé pour les traces de bronzage. C’est lhuile qui la collé comme ça, laisse je vais le nettoyer dans leau.

— Ah oui, et tu vas le raccommoder aussi?

Tu ne répondis rien, je te sentais rougir. Je mapprochais de toi et tu vis que je remarquai sur tes seins les traces suspectes de sperme séché.

— Quoi quest que jai? dis tu gênée

— Rien rien tien regardes jai pris de belles photos.

Soulagée de ten sortir aussi bien, tu pris lappareil et commençais à visionner les photos. Mais ce nétait pas du tout la montagne, cétait les photos de tes ébats avec létalon. Prises de loin, certes, mais aucun détail ne manquait. Ne sachant plus quoi dire, tu posas lappareil, tallongeas et dis:

— Quelle conne je suis, pardon mon nounours

Je mallongeais sur toi, tembrassais et tu sentis ma queue toute raide sur ton ventre

— Oh oui, viens prend moi dis tu en écartant les jambes.

Tu me poussas énergiquement entre tes jambes et je neus aucun mal à te pénétrer.

Je léchais tes seins pour te laver, tembrasser pour partager ce goût si particulier et tu mis que quelques minutes pour jouir. Trop excité je venais aussi et remplis ta chatte en une fraction de secondes, par un orgasme brutal, qui marracha un cri rauque

Je restai allongé sur toi, vidé, nos corps ne faisaient quun.

Lorage éclata au loin vers Chambéry, il était temps de rentrer en amoureux

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