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Fête des voisins – Chapitre 1

Fête des voisins - Chapitre 1



C’est le vendredi 19 mai, la fête des voisins. Les quatre couples se sont réunis, comme chaque année,  dans le jardin d’Athanase. Pour eux, c’était évident, avoir le même un prénom que celui qui a créé la fête des voisins, prénom rare s’il en est, il devait recevoir ses voisins.

Athanase est marié à Annabelle, une jolie brune, pétillante, souriante, toujours de bonne humeur. Il y a aussi Pierre et Sylvie. Pierre aime s’occuper du barbecue, Sylvie est une vraie pie, un peu boulotte. Didier et Marie, un couple un peu particulier, Marie a des jupes ou robes toujours un peu courtes, Didier n’est pas très bavard. Marie regarde toujours ou il se trouve, comme pour se rassurer et enfin, Gilles et Nadège qui sont toujours en retard. Ils ont tous a peu prêt le même âge Cela fait une vingtaine d’années qu’ils ont fait construire, les enfants sont grands.  Ils profitent de toutes les occasions pour se rencontrer et faire la fête.

Comme à leurs habitudes, les hommes sont autour du barbecue à discuter. Pierre manie avec dextérité les pinces retournant les saucisses, vérifiant la cuisson des pommes de terre. Annabelle leur sert un petit rosé bien frais et retourne voir ses copines. La conversation continue, une fois les différents sujets abordés, le foot, la météo, la dernière voiture de Gilles, la conversation commence à dévier sur leurs femmes. C’est  Athanase qui dit :

— Vous savez que c’est Annabelle qui m’ a dragué, et d’une manière pas banale et très convaincante.

Les trois autres attendent la suite.

— C’est une soirée estudiantine.  Comme je m’emmerde,  pour passer le temps, je détaille toutes les nanas et cherche à voir avec qui je vais pouvoir repartir. C’est là que je la remarque. Elle me fait un petit sourire. Elle est assise en face de moi. Elle a une jupe bleue, mi-cuisse, comme celle que porte ta femme, Didier. Il fait chaud et elle a un top qui laisse deviner une belle poitrine. Mon regard se dirige vers ses cuisses. Elles les écartent doucement. Je vois sa culotte rose. Je ne peux détacher mon regard de ce bout de tissu. Elle se lève et part. Je ne bouge pas, elle doit penser que je ne suis qu’un pervers. Au bout de quelques minutes, elle revient et elle se rassoit au même endroit. Elle commence à écarter les cuisses doucement. Mon regard se dirige vers son entre-jambe. Une moitié de sa  culotte est rentrée dans sa fente laissant apparaître sa lèvre droite. Elle laisse ses cuisses écartées un petit moment, les referme et se lève. Je veux la suivre, elle me fait un signe que non avec sa main. Je bande comme un fou. Elle revient et s’assoit et ouvre ses cuisses. Je vois sa culotte complètement rentrée dans sa fente, les deux lèvres dépassant de chaque côté. Elle s’amuse à refermer et ouvrir ses cuisses. Elle se lève. Je ne bouge pas et attends impatiemment son retour. Elle s’assoit et ouvre un tout petit peu ses cuisses, les referme, les ouvre de nouveau. La culotte a disparu et laisse apparaître un superbe sexe, avec des poils noirs très court qui laissent bien voir ses lèvres, elles sont luisantes. J’ai une belle bosse sur le pantalon. Elle se lève, vient vers moi et me dit. J’ai perdu ma culotte, pourriez-vous m’aider à la retrouver? Je ne me suis pas fait prier. La culotte était cachée au fond de son vagin. Et depuis, nous sommes ensemble et elle perd souvent sa culotte.

Les mecs éclatent de rire et disent qu’en effet, ce n’est pas banal et qu’Annabelle cache bien son jeu..

Athanase dit

— Et toi, Pierre, une anecdote un peu croustillante à raconter.

— Il n’y a pas si longtemps que ça, l’année dernière, il faisait super beau, on était tous les deux. Alors que je m’occupais du barbecue, ne riez pas les mecs, j’aime m’occuper de barbecue vous le savez bien. Je disais donc, alors que je m’occupais du barbecue, je vois ma douce s’approcher, minaudant, souriante, très chatte. Elle commence à me caresser le torse, m’embrasse, descend sa main sur ma braguette. L’effet a été immédiat,  je bande comme un âne. Elle a descendu ma braguette, sorti mon sexe et me dit : Occupes toi des saucisses, moi, je m’occupe de la tienne. Et là, elle entame une fellation, putain, je crois qu’elle ne m’avait jamais sucé comme ça. C’était tellement bon, que j’en oubliais mon barbecue. Elle a eu son apéritif . Elle a tout avalé, c’est relevé, souriante et m’a dit : et maintenant à mon tour. Je ne me suis pas fait prier, je me suis mis à genoux, est descendu son string et je lui ai fait un cunnilingus comme je n’en avais jamais fait. Quand elle a joui, un petit jet m’a éclaboussé. Une fois fini, on a été faire une omelette, les saucisses étaient complètement brûlées.

— Sympa ton histoire, la prochaine fois que tu fais un barbecue, tu nous inviteras ?

Athanase se tourne vers Gilles. Celui-ci commence à raconter

— Nous étions à un dîner de famille, la famille de Nadège. Il y avait ses grand-parents maternels, ses parents, ses deux surs et leurs maris et son frère. Le repas était terminé et nous prenions un digestif dans le salon. Le salon est un peu étriqué. Nadège , n’ayant pas de place,  s’assoit sur mes genoux. De sentir ses fesses contre mon pubis me fait bander, elle le sent et s’amuse à appuyer plus fort. La discussion va bon train. Je continue à bander. Je sens les fesses de ma femme bouger, cette salope sait y faire. Elle se lève, va aux toilettes et revient. Elle lève un peu sa jupe et s’assoit. En passant discrètement ma main sous sa jupe, je sens qu’elle a enlevé sa culotte. Mon excitation redouble. Alors qu’on se retrouve tout seul dans la pièce, ils sont tous partis, soit pour aller pisser, ou chercher un verre, fumer dehors, etc. Elle se lève, baisse ma braguette, sort ma queue, et s’empale dessus. Personne ne peut voir, sa jupe cache tout. Ils reviennent, chacun leur tour. La discussion repart. Je dois dire que je ne participe pas beaucoup, tout occuper à sentir le sexe chaud de ma femme qui enveloppe ma queue. Nadège, elle parle, discute avec l’un ou l’autre, rit, bouge, et moi, je fais tout pour me retenir. Elle fait semblant de se lever et se rassoit. Je n’en peux plus. Je n’ai qu’une envie, de la prendre, de bouger, de sentir son sexe palpiter, mais tout le monde est là et je ne peux rien faire. Cela s’éternise. La pièce se vide, il ne reste qu’ Élodie, la grande sur de Nadège. Celle-ci sourit et dit, vous pouvez y aller, je veux voir. A ces mots, Nadège, se met à monter et descendre rapidement et tellement excité,  je jouis en même temps que ma femme. Nadège part aux toilettes. Alors que je vais pour me rhabiller,  Élodie s’approche en disant laisse moi-faire. Elle prend doucement ma queue et commence à la caresser. J’ai peur que tout le monde rentre. Elle a dû deviner et me dit qu’ils sont partis faire un tour. Je bande de nouveau.  Nadège rentre, Élodie lui dit, je te l’ai préparé petite sur, tu peux remettre cela. Nadège ne se fait pas prier et vient s’empaler sur moi. Alors que nous recommençons, je vois   Élodie se masturber et qui dit, depuis le temps que j’ai envie de vous voir baiser tous les deux, vous êtes vraiment très beau. Après avoir joui, nous remettons de l’ordre dans nos vêtements et attendons le retour de la famille. Nadège et Élodie discutent toutes les deux comme-ci rien ne s’était passé.

— Ouah, dit Athanase, pas froid aux yeux, je ne la voyais pas comme cela Nadège. Et toi Didier. Je crois te connaître et je suis certain que tu en as plusieurs

Didier sourit

— Oui, j’en ai plusieurs. Vous savez qu’elle ne peut rien me refuser.

Les autres hochent de la tête d’un air convenu.  Didier continue :

— il y a quelques jours, nous faisions les courses. Dans la galerie marchande, elle aperçoit une robe dans une vitrine. Elle me demande ce que j’en pense, je lui dis qu’il faut qu’elle l’essaye pour qu’on puisse voir. Nous rentrons dans le magasin. C’est un samedi après-midi, il y a du monde. Elle regarde les tailles, prend la robe et se dirige vers la cabine d’essayage. Les vendeuses sont occupées avec d’autres clientes. Une cabine est disponible au fond. Elle est assez grande et a une porte.  Une fois la robe passée, elle ressort de la cabine. Je souris, elle lui va bien. Je m’approche, lui caresse discrètement les fesses. Elle rentre dans la cabine, je la suis. Elle ne dit rien, enlève sa robe. Elle n’a pas de sous -vêtement. J’aime la savoir ainsi.

Je lui dis de poser des mains sur la chaise et de regarder dans la glace. J’enlève ma ceinture, baisse mon pantalon et présente ma queue devant son sexe. Je n’ai aucun mal à rentrer, elle mouille. Elle adore le sexe et se faire baiser dans des endroits insolites, c’est ce qu’elle préfère. Une fois que j’ai fait plusieurs va et vient, je ressors ma queue et la mets contre son anus. Je rentre doucement. Je l’encule souvent, son anus est souple maintenant. Une fois bien profond, je ressors et rentre de nouveau, doucement. Elle se caresse le clito pendant que je l’encule. Elle soupire. Au bout de quelques va-et-vient, j’éjacule dans son cul, elle jouit au même moment. Elle se rhabille, nous sortons de la cabine, une couple d’un certain âge nous regarde, la femme nous sourit. Elle a tout deviné. Je dis à ma femme, on prend cette robe, elle te va très bien.

Athanase dit :

— Je vois que vous êtes tous une bande de pervers, mais comme dit le dicton : qui se ressemble, s’assemble

Les filles viennent les voir. Elles viennent se renseigner où en est la cuisson. Annabelle demande :

— ça cuit? de quoi parlez-vous les mecs, vous avez l’air bizarre?

— Je leur ai raconté comment tu m’avais dragué, mon ange, ils ont apprécié et ils ont raconté chacun leur tour quelques histoires croustillantes. Et vous, que faites-vous

Annabelle rit :

— nous, rien, nous sommes des femmes très sages. Je vois que vous avez des conversations très intéressantes . Vu comment tu étais timide , mon chou, j’ai dû mettre le paquet et il fallait que je sois à la hauteur de ma réputation.

Elle regarde l’assistance :

 – vous savez comment on m’appelait?

Personne ne dit rien

— La pute de la fac, et j’en suis fière. Je n’avais rien pu faire avant la fac. Mes parents me surveillaient. J’étais leur petite perle. Alors, quand je me suis retrouvée à la fac toute seule, la petite perle, elle s’est tapé tout ce qui bougeait, fille, garçon. Il suffisait de me siffler, et j’accourais. Je me faisais prendre n’importe où et par n’importe qui. J’en ai vu des queues et des chattes. Je rattrapais mon retard. Et, j’ai rencontré ce beau gosse qui m’ a fait jouir comme jamais et depuis, il n’y a plus que lui qui profite de mes trous.Ils ont tous été jaloux de lui, certains ont même essayé de le dissuader de rester avec moi. Mais, comme je lui ai tout dit avant sans rien lui cacher, il est resté. Au fait, mon chou, j’ai envie de me faire épilée comme l’ait Marie. Elle nous a fait voir. J’aime beaucoup. Didier a eu raison de lui ordonner de se faire épiler

Tout le monde sourit à cette sortie.

— Décidément, ce barbecue nous permet de mieux nous connaître. D’autres révélations à faire ? De la même veine, dit Didier

— Que voulez savoir, dit Nadège ? Je suppose que Gilles vous a raconté notre petit week-end familial. Je sais qu’il a adoré. Depuis que nos enfants sont partis, on se lâche et franchement, cela fait du bien. Moi, ce que j’ai aimé…

Elle hésite, regarde l’assistance. Tout le monde la regarde, elle peut voir les bosses sur les pantalons des garçons, le sourire des filles, elle leurs a déjà raconté l’histoire. Un petit signe d’encouragement d’Annabelle, alors elle raconte:

— je disais, ce que j’ai aimé c’est la fois sur l’air d’autoroute, tu te souviens, Gilles ? Hummmm, j’en ai encore des frissons. Cela faisait un petit bout de temps que nous roulions et j’avais envie de pisser. Une envie pressante, qui ne peut pas attendre. On s’arrête sur cet air d’autoroute, une petite aire, il n’y avais pas grand monde. Je descends, me précipite vers les toilettes, relève ma jupe, baisse ma culotte et commence à me soulager. A cet instant, la porte s’ouvre toute grande, j’avais oublié de la fermer dans ma précipitation. Je crie c’est occupé mais la porte reste ouverte et apparaît un mec, grand, un peu gros, puant. Il me regarde et sort sa bite. Il se branle devant moi. Au début, je ne veux pas regarder et puis, c’est plus fort que moi, je le regarde se branler, je vois sa bite grossir. J’ai écarté les cuisses pour qu’il puisse bien mater, pour qu’il puisse voir le jet d’urine. Au moment où il éjacule, je reçois du sperme sur mon visage. Je ne l’essuie pas. Quand il a fini, il referme la porte et s’en va. Je reste encore un peu dans les toilettes, passe ma main sur mon sexe, j’ai très envie de faire l’amour. Je me lève, rejoins Gilles. Je lui dis de venir avec moi. Nous retournons dans les toilettes et là, nous faisons l’amour. Cela a duré longtemps. Il y avait l’odeur de foutre, de pisse qui se mélangeait. Mon homme qui me prenait comme un dieu, j’étais au septième ciel.  Je me suis aperçue que j’aimais cela, faire l’amour dans les toilettes publiques, que j’aimais cette odeur puante quand je faisais l’amour. Maintenant quand on s’arrête sur une aire d’autoroute, c’est toujours une petite aire et j’espère toujours que la porte s’ouvrira

Nadège sourit et passe machinalement la main sur la bosse du pantalon de Gilles

— Voilà, vous connaissez un de nos plaisirs, mais Sylvie et Marie pouvez-vous nous en dire un?

— Moi, un de mes souvenirs, dit Sylvie, c’est avec mon homme. Nous étions sur un voilier avec un couple d’amis. C’était un beau voilier, spacieux. Notre ami, André, est un skipper chevronné. Son métier de convoyeur lui permet de naviguer sur de superbe bateau. Sur celui-ci, André n’avait pas besoin d’aide pour les manuvres. Ils nous avaient proposé de nous emmener ce que nous avions accepté avec joie. Il faisait un temps splendide. Les journées se passaient à faire bronzette et se baigner. Il y avait deux cabines, un salon, un poste de pilotage. C’est par le poste de pilotage que nous devions passer pour aller sur le pont. Le bateau était fait dans un bois rare, je ne me souviens plus lequel.  Le premier soir, alors que nous étions endormis, je fus réveillé par un bruit. Au début, j’ai cru que cela venait de la cabine d’à côté. En tendant un peu l’oreille, je me suis aperçu que cela venait du pont. Vous savez, l’insonorisation dans les voiliers n’est pas la première qualité recherchée. Je me levais pour voir ce qui se passait. Je passais par le poste de pilotage et passais la tête pour voir le pont. Je vis André et Véronique nus et enlacés. Lui en position de lotus, elle sur lui, le clair de lune  les faisait paraître en ombre chinoise. Ils étaient très beaux. Ils émettaient des petits gémissements. Je suis restée à les regarder. Quand ils eurent fini, je me suis éclipsée rapidement dans notre cabine. Je me suis lovée contre Pierre. J’étais trop excitée pour dormir. J’ai embrassé Pierre jusqu’à ce qu’il se réveille. Nous avons fait l’amour comme cela nous est rarement arrivé. C’était vraiment trop bon. Et toutes les nuits, ils ont recommencé, et toutes les nuits, je les matais, et toutes les nuits, on faisait l’amour. Voilà, j’espère que cela vous convient comme histoire.

— Oui, tout à fait, dit Annabelle, je ne savais pas que tu étais une voyeuse, c’est très rare.

— Une voyeuse, mais une voyeuse qui aime la beauté, répondit Sylvie. Maintenant c’est à toi, Marie, tu es la dernière. J’ai hâte d’entendre ton histoire

— Je pourrais raconter la dernière que Didier a inventée, dans la cabine d’essayage.

— Non, intervint  Gilles, Didier nous l’a racontée.

— Comme vous l’a dit Annabelle, Didier m’a demandé de me faire épiler et d’arrêter de me raser. Je pris donc rendez-vous chez une esthéticienne. Le rendez-vous est assez éloigné pour que mes poils poussent un peu. Le jour dit, j’arrive chez l’esthéticienne. Celle-ci me fait passait dans la cabine. Je me mets nue et lui dis que je veux que cela soit bien net, propre sans un poil. Une fois les poils arrachées à la cire, ce qui est loin d’être agréable, elle prend une pince à épiler et s’attaque aux quelques poils qui restent.. C’est à ce moment que je sens sa main caresser mon clito doucement. Je suis prête à lui dire d’arrêter, mais c’est assez agréable et si elle pense qu’elle va me faire jouir, elle peut aller se faire voir. L’épilation est agréable, elle enlève les poils un par un, s’amuse avec mon clitoris.Cela me convient. Enfin, elle a terminé. Je la remercie et lui laisse un bon pourboire. J’envoie un texto à Didier comme convenu. Je devais le prévenir quand je sortais du salon.  Je suis un peu excitée et heureuse d’avoir fait plaisir à mon homme. Je reçois un message, il faut que je rejoigne Didier chez un ami qui habite la campagne.Je le connais, c’est son copain d’enfance et il a fait les quatre cents coups avec lui. En plus, je sais que c’est un grand vicieux et j’aime bien l’exciter. J’arrive chez lui. Didier est déjà là. Ils sont installés dehors entrain de prendre un verre. Michel, c’est le prénom du copain de Didier me dit bonjour et attaque d’entrée.

Alors, il paraît que tu sors de chez l’esthéticienne et que tu n’as plus de poils?

Je vois que tu es bien renseigné. Mon homme s’approche de moi, passe ses mains sous ma robe et attrape l’élastique de ma culotte et la baisse jusqu’aux chevilles. Je ne dis rien, je suis excitée depuis tout à l’heure et m’exhiber devant Michel n’ai pas pour me déplaire . Il lève ma jupe et me force à écarter les cuisses. Michel a une vue imprenable sur mon sexe. Il sourit et une belle bosse apparaît sur son pantalon. Didier me demande de me retourner, de me pencher en avant et d’écarter mes fesses. J’écarte mes fesses avec mes mains. Je suis sure qu’ils peuvent voir que je mouille. Mon homme s’allonge parterre, pantalon baissé, queue bien raide et droite et me demande de venir sur lui. Je le fais sans me faire prier. Je m’empale sur cette bite sans aucun problème. Je me penche en avant, embrassant mon homme. A ce moment, je sens le souffle de Michel sur ma nuque. Il me donne une claque sur les fesses, sa queue qui cherche mon anus. Il rentre tout doucement. Je suis prise en sandwich. C’est le plus cadeau que je peux faire à mon homme. Il rêvait de cela, j’ai pris un pied extraordinaire.

Marie a un grand sourire. Tout le monde l’a écouté avec attention. Il y a des yeux qui brillent. C’est Athanase qui rompt le silence.

— C’est prêt. On peut manger

Tout le monde prend place autour de la table. Il n’ y a qu’ Annabelle qui s’assoit sur les genoux de son homme avec un grand sourire en regardant Nadège et disant:

— j’ai trop envie d’essayer, Nadège. D’ailleurs, j’ai une idée. Si on se donnait des défis à réaliser et au prochain barbecue, on se les raconte….

L’assistance donna son accord.

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