Avant de commencer l’histoire, je tiens à dire que c’est la première histoire que je poste sur ce site, alors soyez indulgent s’il vous plait…
L’histoire que je vais vous raconter s’est déroulée lorsque j’avais 17 ans. Je m’appelle C., et ma mère S. Elle a 49 ans au moment des faits. Je dois vous avouez que je fantasme sur ma mère depuis longtemps, et je me branle souvent en lisant les histoires érotiques de XStory et en m’imaginant avec elle. Ah oui, j’allais oublier : mon père n’est là que les week-end, car il n’a pas pu être muté quand nous avons déménagé, et il travaille donc dans notre ancien lieu de résidence.
Donc, comme je vous disais, je me branle souvent en m’imaginant que je baise ma mère. Mais je ne me suis jamais permis d’essayer quelque chose avec elle. Pourtant, un jour, je fus pris d’une sorte de pulsion et je me mis en tête qu’il fallait ABSOLUMENT que je la prenne !
Le soir, quand ma mère rentra du boulot, elle alla comme à son habitude se faire couler un bain. Moi, en entendant cela, je descendis immédiatemment au rez de chaussée et attendit un peu. Lorsque j’estimais que j’avais assez attendu, je me déshabillai, entrai dans la salle de bain et fermai la porte à clé(ce que ma mère ne fait jamais). Ma mère ne me vit pas tout de suite, car son bain la détendait, et j’attendis donc. Elle ne mit pas longtemps à ouvrir les yeux et à m’apercevoir. Lorsque ce fut fait, elle hurla :
-MAIS QU’EST CE QUE TU FAIS LÀ C. ? !
A ce moment-là, je me dis que j’allais lui apprendre qui était le patron ici, tout en réalisant mon fantasme. Je ne répondis donc rien à ma mère et entrait dans la baignoire avec elle, puis je commençais à lui téter un sein tout en caressant l’autre. Pendant que je faisais ça, elle me criait de m’arreter car elle était ma mère, mais je ne l’écoutai pas et continuai. Mais, au bout d’un moment, j’en eu marre de ses cris, et j’enfonçai donc un doigt dans sa chatte. Constatant qu’elle était trempée, je lui dit crument :
-Inutile de lutter, tu mouilles comme une salope et tes tétons sont durs comme le roc !
Immédiatemment, ma mère s’arreta de crier. Quant à moi, ayant eu un aperçu de la quantité de mouille pouvant s’echapper de sa chatte quand j’y avais enfoncé mon doigt, je commencai à lui lécher. Heureusement, elle ne protesta plus.
Une fois que je me fus bien occupé d’elle, je voulus qu’elle s’occupe de moi. Je présentais donc ma bite à l’entrée de sa bouche et lui demandai de me sucer. Elle refusa, arguant qu’elle était ma mère. Énervé, je lui mis donc une gifle et répétai mon ordre. Elle refusa une fois encore. Je lui mis donc une autre gifle, plus forte cette fois, et lui demandai une fois encore de me sucer. Ayant peur que je la gifle à nouveau, elle prit ma verge en bouche et s’appliqua à me sucer. Dieu que c’était bon ! Ma mère était une suceuse hors-pair, même quand elle le faisait sous la contrainte ! Ce traitement dura pendant 5 bonnes minutes, puis je sentais que j’allai jouir, mais je ne prévenai pas ma mère. Lorsque la jouissance arriva, ma mère reçut mon sperme dans sa bouche mais elle en recracha. Je lui assénai donc encore une gifle et lui dis d’avaler. Elle s’exécuta en pleurant, puis je me retirai de sa bouche et sortais de la baignoire. Ma mère, voyant cela, sortit à son tour et me posa une question :
-Pourquoi tu m’as fait ça ?
-Tais-toi ! Répondis-je violemment. A partir de maintenant, je veux que tu m’obéisse au doigt et à l’oeil !
-Ça va pas non ? ! C’est toi qui doit m’obéir ! (Grosse baffe de ma part) D’accord, je ferais tout ce que tu veux
-Bien ! Mets toi à quatres pattes !
Ma mère s’exécuta et je m’approchai d’elle par derrière. Je pris ma bite en main et l’entrai dans sa chatte, en levrette. Je commençais par faire de lents va et viens, permettant à ma mère de s’y habituer, puis accélérait le mouvement. Au début, je n’entendis que des sanglots du côté de ma mère, mais ces sanglots se transformèrent rapidement en gémissements de plaisir et je su que j’avais gagné. J’accélérai donc le mouvement de va et viens, intensifiant ainsi les gémissements de ma mère, et continuai de la baiser ainsi pendant un bon quart d’heure. Durant ce quart d’heure, je réussit à la faire jouir 2 fois. Enfin, lorsque ma jouissance arriva à son tour, j’éjaculai en elle une énorme quantité de sperme, qui dégoulina le long de ses cuisses.
Epuisé, je me calmai et prit la parole :
-Tu as aimé finalement ?
-Oui, ça faisais longtemps qu’on ne m’avais pas baisé comme ça ! Et puis j’aime bien quand tu me soumets !
Depuis ce jour, nous baisons souvent avec ma mère, et elle m’est toujours aussi soumise !