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Camping en Bretagne – Chapitre 1

Camping en Bretagne - Chapitre 1



Je m’appelle Estelle, j’ai 19 ans. Je suis une jolie fille rousse avec de grands yeux bleus. Je suis plutôt mince mais j’ai une poitrine et un cul que les mecs trouvent magnifiques. Mes seins ne sont pas trop gros et mon cul est bien ferme et rebondi ; cela vient du fait que je fais beaucoup de vélo.

Je suis assez fier de mon corps que j’aime mettre en valeur en portant des minijupes et des décolletés.

J’étudie actuellement la biologie à l’université, cela me plait beaucoup. Je suis célibataire car les études me prennent le plus clair de mon temps et je n’en ai donc pas beaucoup pour sortir avec mes amis ou faire de nouvelles rencontres.

C’est enfin les grandes vacances d’été, je vais pouvoir me reposer et avoir plus de temps pour moi.

Avec mes parents, nous avons décidé de partir une semaine au sud de la Bretagne pour faire du camping et voir de nouveaux paysages.

Nous sommes lundi midi, toutes nos affaires sont prêtes. Nous montons dans la voiture et partons direction la Bretagne. Nous avons plusieurs heures de route à faire alors je pose ma tête contre la vitre et essaie de m’endormir.

Lorsque je me réveille, nous sommes déjà presque au camping. Je regarde autour de moi et je peux apercevoir l’océan au loin. Le camping est seulement à quelques kilomètres d’une petite plage entourée de falaises où j’ai hâte d’aller me baigner.

Nous sommes arrivés. Pendant que mes parents montent la tente, je décide de me promener un peu dans le camping pour voir ce qu’il y a à faire.

Au cours de ma promenade, je vois une place de jeu, une piscine, un petit bar ainsi qu’une terrasse, qui doit sûrement se transformer en piste de danse certains soirs car il y a des projecteurs et des haut-parleurs suspendus autour.

Quand l’heure du repas approche, je retourne vers notre place. Nous mangeons des pâtes avec de la sauce tomate, préparées sur un petit réchaud à gaz.

À la tombée de la nuit, j’entends de la musique venir du bar. Je décide d’aller danser un moment tandis que mes parents préfèrent se reposer.

Quand j’arrive sur la terrasse, une vingtaine de personnes sont en train de danser ou de boire des verres au bar. Je me dirige vers la piste de danse et me joins au groupe.

Après quelques minutes pendant lesquelles je fais bouger mon corps au rythme de la musique, je sens quelqu’un se coller à moi avec insistance. Je me retourne, prête à lui mettre une claque, mais au moment où je la vois, je me fige. La personne collée à moi est une magnifique jeune fille qui doit avoir 20 ou 21 ans, je ne peux pas détourner mon regard d’elle.

Elle a de longs cheveux châtains qui entourent son visage d’ange et ondulent jusqu’au milieu de son dos. Ses yeux marrons me regardent tendrement et ses lèvres pulpeuses me sourient. Je suis comme hypnotisée par cette déesse au déhanché envoutant.

Le reste de son corps est tout aussi parfait. Elle porte une longue robe en soie blanche avec un décolleté plongeant qui laisse deviner de beaux seins fermes et de magnifiques courbes. Sa robe se termine au milieu de ses jambes, amincies par des chaussures à talons noires.

Le fait que nous soyons collées-serrées ne me dérange plus du tout et m’excite même un peu. Je lui rends son magnifique sourire et me colle encore plus à elle. Elle glisse ses mains dans mon dos et les descend sur mes fesses. Elle me les caresse, ce qui fait encore plus monter l’excitation en moi.

La chanson se termine. Elle me fait un baiser sensuel dans le cou et se dirige vers le bar. Je reste quelques secondes sur place, sans bouger, à me demander ce qu’il vient de se passer.

Je me suis toujours considérée hétéro même si parfois j’aime regarde les jolies filles dans la rue. Cependant, cette fois-ci est différente, j’ai envie de cette belle inconnue, elle m’excite, j’ai envie de lui arracher ses vêtements et de lui bouffer la chatte.

Je la vois qui me regarde depuis le bar et me fait signe de venir. J’y vais et m’assieds sur le tabouret à côté d’elle.

— Je m’appelle Émilie, ravie de te rencontrer. Je t’ai trouvée magnifique sur la piste de danse.

— Merci. Moi c’est Estelle. Je te trouve aussi très belle.

Nous avons discuté un moment de tout et de rien. J’ai appris qu’elle travaillait comme coiffeuse et qu’elle aussi était en vacances avec un groupe d’amies. Elles ont plusieurs tentes pas très loin de la mienne.

Pendant la discussion, j’avais remarqué qu’elle s’était rapprochée de moi et qu’elle avait posé sa main sur ma cuisse.

Soudain, elle me dit :

— J’ai envie de toi, je veux te faire du bien.

Et mêlant le geste à la parole, elle glisse sa main sous ma minijupe et appuie deux doigts contre ma culotte, juste sur ma fente.

Mon excitation monte en flèche, je n’arrive plus à bouger, je ne sais plus quoi faire.

Elle fait bouger ses doigts sur ma culotte. Je suis rouge comme une pivoine et je commence à transpirer.

Je n’en peux plus, je suis trop excitée, j’ai aussi envie d’elle alors je décide de ne plus réfléchir et de foncer.

— Moi aussi j’ai envie de toi, tu m’excites trop.

C’est le signal qu’elle attendait. Elle se lève, me prend la main et s’éloigne du bar. On traverse le camping au pas de course jusqu’à une tente quatre places. Elle rentre dedans et je la suis.

À l’intérieur, il y a deux gros matelas de camping posés l’un contre l’autre avec une grande couverture dessus. Sur la gauche, il y a plusieurs sacs entassés et des habits qui trainent.

Elle s’assied sur le matelas, m’attire contre elle et m’embrasse. Je lui rends son baiser et nous nous embrassons pendant de longues minutes.

Elle retire sa robe et dévoile un soutien-gorge en dentelle bleu roi, assorti à sa culotte. Elle le dégrafe pendant que j’enlève mon top. Ses seins sont magnifiques, ils sont gros mais assez fermes pour rester en place même sans rien. Ses tétons sont durs d’excitation et pointent vers moi.

Elle m’embrasse à nouveau et me couche sur le dos. Elle me fait des baisers dans le cou puis sur les seins. Elle m’enlève mon soutif et commence à me lécher les tétons. Ils durcissent instantanément. Elle les lèche, les suce, les mordille. Mon souffle s’accélère, c’est trop bon.

Elle continue sa descente en me faisant des bisous sur le ventre puis sur les cuisses. Elle fait glisser ma culotte et entreprend de me faire un cunnilingus. Elle pose sa langue sur ma chatte humide et la fait bouger de bas en haut, de mon périnée à mon clitoris. À chaque coup de langue, elle l’enfonce un peu plus dans ma fente.

Après plusieurs minutes de ce traitement, elle est au fond de mon vagin et fait bouger sa langue dans tous les sens. Je me tortille sur le matelas, mon excitation est au plus haut, je n’en peux plus, je commence à gémir de plaisir sous ses coups de langue experts.

D’un coup, elle ressort sa langue et me met deux doigts au fond du vagin. Elle fait des va-et-vient de plus en plus rapides et suce mon clitoris en même temps.

Je n’en peux plus, je commence à crier. Des gens pourraient m’entendre mais je ne pense plus à ça.

Je suis au bord de l’orgasme et soudain, j’explose, le plaisir à son paroxysme. Des spasmes me traversent le corps et ma chatte dégouline de mouille. Émilie en profite pour me mettre un troisième doigt et continuer de plus belle. Elle me maintient dans un état d’extase. Mon corps est à bout, je crie de plaisir et mouille encore plus. Sa main est entièrement recouverte de cyprine.

Soudain, une nouvelle série de spasmes me traverse et je m’effondre sur la couverture. Je suis à bout de souffle. Émilie sort ses doigts et lèche tout le liquide qui sort de mon vagin. J’ai laissé une grosse tâche sur la couverture.

Elle se relève et me regarde avec un air satisfait.

— Ça t’a plus apparemment.

— Oh oui, j’ai adoré, tu es une déesse du sexe.

Elle éclate de rire et vient se coucher contre moi pour m’embrasser.

Nous restons un moment dans les bras l’une de l’autre, puis je me rhabille car il est déjà tard et que je dois retourner dans ma tente, sinon mes parents vont s’inquiéter.

Nous échangeons nos numéros, je l’embrasse une dernière fois et je pars en direction de ma tente.

Je n’ai pas pu la faire jouir mais ce n’est pas fini, je compte bien la revoir et lui rendre la pareille.

Quand j’arrive dans ma tente, mes parents dorment déjà, je me couche et m’endort rapidement.

Ma nuit est remplie de rêves érotiques où je fais jouir Émilie à n’en plus finir.

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