La première fois
Cette histoire a commencé alors que j’étais en terminale, j’avais 18 ans, j’étais un jeune homme adorant le sport et ce jour là j’avais fait quelques misères à deux élèves au cours d’un match de hand-ball, à la fin du match les deux m’avaient dit ’T’inquiète
pas, tu nous as ridiculisés et ça tu vas le payer’.
Je n’avais porté aucune attention à leurs paroles me disant qu’une fois la déception passée ce ne serait plus qu’un mauvais souvenir.
Fidèle à mon habitude alors que le cours était terminé, je me mis à faire quelques tours de piste.
Alors que je courrais le prof me dit ’Damien, j’ai laissé le
vestiaire ouvert ainsi que les douches, n’oublie pas de tout
fermer quand tu auras fini.
– D’accord’.
Une demi-heure après je rentrais dans le vestiaire, je pris mes affaires de toilettes et après m’être déshabillé j’allai sous la douche.
Après m’être longuement lavé, je me rinçai à l’eau froide et je retournai dans le vestiaire, je pris ma serviette et commençai à m’essuyer.
J’entendis la porte du vestiaire d’ouvrir, je me tournai et vis que c’était le prof, j’étais un peu gêné de me trouver nu devant lui et il me dit ’J’ai oublié mon portefeuille’.
Il ouvrit son casier et récupéra son bien, il s’approcha de moi et me dit ’Tu es bien musclé, c’est fin mais bien’.
Il posa ses mains sur mes épaules et commença à les masser, j’étais embarrassé et je lui dis ’Mais que faites-vous monsieur ?
– Appelle-moi Max et ne t’en fais pas, il n’y a pas de mal à se
faire du bien.
– Oui mais..
– Laisse-toi aller, tu vas voir tu vas te sentir bien’.
Il faut dire que le contact de ses paumes sur ma chair nue me faisait ressentir une douce sensation inconnue et à ma grande honte mon sexe commença à se dresser.
Max s’en aperçut et me dit ’Tu vois que ça commence à te plaire,
tu bandes’.
L’homme se colla à moi et prenant mon pénis dans sa main commença à me branler lentement.
C’était la première fois qu’une main autre que la mienne touchait mon phallus et je le sentis grossir encore plus.
Tout en me masturbant Max commença à m’embrasser dans le cou, j’étais rouge de honte de savoir que c’était un homme qui me caressait mais je ne pus m’empêcher de gémir tout en fermant les yeux.
Les caresses de Max étaient expertes, chaque fois qu’il sentait que j’allais jouir il stoppait son branle, j’étais en feu et je sentais contre mon postérieur le Priape gonflé de Max, bien qu’elle soit dans son pantalon de survêtement la chose me semblait énorme.
Les baisers de Max m’enflammaient et je commençais à perdre pied, mon sexe me faisait mal mais un autre sentiment pointait en moi.
C’était la première fois que je ressentais une telle chose, j’étais en sueur, tout mon corps était brûlant je dus bien me résoudre au fait que j’avais envie de cet homme.
A cet instant je sentis mon sexe sursauter et poussant un feulement j’explosais, un jet de sperme gicla de ma verge tandis que Max continuait à me masturber.
Quand le calme revint au niveau de mon phallus Max était toujours en train de me suçoter le cou tout en me caressant les fesses avec son bas-ventre.
Bien qu’ayant joui j’étais encore très excité mais pas de manière normale, ce que je voulais maintenant c’était découvrir le corps de l’homme qui me donnait du bonheur.
Max arrêta et me demanda ’C’était bon ?
– Oui très.
– Veux-tu que je continue à t’embrasser ?
– Oui.
– Que veux-tu encore ?
– Je veux..
– Oui ?
– J’ai honte.
– Pourquoi ?
– ..
– N’aie pas peur dis-moi.
– Je veux voir ton corps, je sais que c’est mal, mais je ne peux
pas résister.
– Pourquoi dis-tu que c’est mal ?
– Parce que nous sommes deux hommes.
– Et alors ?
– Ca veut dire que je suis un pédé.
– Et ça te gène ?
– Oui quand même.
– Si tu veux on peut arrêter là, pour l’instant tu n’as rien
fait, c’est moi qui t’ai branlé.
– Non je ne veux pas arrêter.
– Bien dans ce cas, alors allons-y’.
Max ôta son tee-shirt puis enleva son pantalon, il était très poilu, son torse était musclé et avait des jambes et des bras puissants mais ce que je vis quand il baissa son short me laissa bouche bée, son Priape dressé était énorme, il faisait au moins 20 cm de long et était très gros.
Mon amant vit mon regard et me dit ’Ah oui ma bite est un peu plus
grosse que la tienne.
– Elle est énorme.
– Mais non elle est seulement belle’.
Max m’attira contre lui et ses lèvres s’écrasèrent sur les miennes, ce contact intime me causa un trouble inconnu et sans réfléchir j’ouvris la bouche, la langue inquisitrice de mon mec vint caresser la mienne, je fermai les yeux et m’abandonnai totalement à ce baiser fougueux.
Mon amant m’embrassa longuement et sans m’en rendre compte je mis mes mains autour de ses épaules musclées et me collai tendrement à lui.
Quand Max délaissa ma bouche j’avais le souffle court et le rouge aux joues, mon homme me sourit puis il commença à me téter les seins.
A ce contact je sentis mes tétons se dresser et durcir, je fermai les yeux et un gémissement pulsa de ma gorge.
Au bout de quelques instants de ce traitement j’étais tellement fébrile que le moindre effleurement me faisait frémir, Max prit une de mes mains et la mit autour de son phallus bandé.
Le contact avec cette chair chaude et douce me provoqua une émotion intense et je me mis à caresser le membre en faisant aller et venir ma main dessus.
Mon mec continua à me titiller longuement puis voyant à mon comportement que j’étais à sa merci, il ôta ma main de sur son Priape érigé et me dit ’Mets-toi à genoux et suce-moi’.
Malgré une gêne évidente j’obéis, je me retrouvai au niveau du pénis raide sous lequel pendaient deux bourses velues gorgées de sève.
Le gland de Max était complètement décalotté et tout brillant de liqueur translucide, mon homme me dit ’Allez vas-y prends-moi dans
ta bouche, je sais que tu en as envie, montre-moi comment tu
suces’.
Sachant bien que j’allais franchir un interdit j’approchai mon visage de la hampe turgescente et je portai un petit coup de langue sur le bout durci.
Cette caresse fit se tendre encore plus le sexe, je posai une main sur les testicules velus et je les caressai.
Perdant toute retenue je pris la verge à la base et me mis à la lécher sur toute sa longueur, le pénis avait une odeur qui ne me déplaisait pas.
Max se cambra pour s’offrir d’avantage et poussa un soupir de satisfaction, je lapai encore quelque temps cette merveilleuse queue ramassant au passage quelques gouttes de semence diaphane.
Ce sperme avait un petit goût salé, je me dis que j’étais vraiment en train de me comporter comme une femelle mais ce que je voulais c’était sucer ce membre.
J’ouvris tout grand la bouche et embouchai le Priape puis je me mis à monter et descendre lentement dessus, mon amant gémit et posa ses mains sur ma tête pour rythmer la cadence à laquelle il voulait que je le pompe.
J’enroulai ma langue autour de la colonne de chair et la mordillai doucement.
Au bout de quelques instants de ce traitement mon mec me dit dans un souffle ’Ah vraiment tu suces bien ma petite salope, ta bouche
est à ravir et dire que c’est la première fois que tu fais ça,
tu es sublime, allez vas-y pompe mon gros sucre d’orge’.
Longtemps je pratiquai sur mon amant cette lente fellation, tout en allant et venant je câlinai les burnes duveteuses, Max avait rejeté la tête et arrière et poussait des râles de plaisir.
Sucer cette hampe érigée me procurait un sentiment inconnu, c’était un mélange de honte et de bonheur mais le bonheur l’emportait largement.
Soudain bloquant ma tête entre ses mains, mon homme se mit à aller et venir rapidement entre mes lèvres tout en disant ’Tiens ma
petite nana, prends ma bite, vas-y avale la, montre que tu es
une pipeuse de classe, tiens prends’.
Voir ce sexe coulisser dans ma bouche me faisait basculer dans un univers que je ne connaissais pas, je ressentais une sensation d’extase.
Au bout de quelques minutes je sentis le phallus tressauter sur ma langue, il me sembla que le gland doublait de volume, mon homme plaqua mon visage contre son pubis et éjacula en râlant.
Je reçus un flot de semence crémeuse au fond de la gorge que j’avalai avec délice tandis que mon mec disait ’Oui ma petite
salope avale, avale tout, bois mon lait’.
Je continuai à me délecter du jus qui coulait de la verge tout en la cajolant jusqu’à ce que le calme soit revenu puis Max ôta ses mains et je pus me détacher de lui.
Son sexe était toujours en érection et mon amant me demanda ’Tu as
aimé ?
– Oui.
– Tu sais que tu suces très bien, on m’a rarement si bien sucé la
pine comme tu viens de le faire, tu es extra.
– Merci mais tu sais j’ai aimé te sucer et aussi boire ton
sperme.
– Tu sais que tu es une vraie cochonne.
– C’est vrai ?
– Oh oui crois-moi c’est vraiment rare qu’on avale la première
fois.
– Eh bien j’ai aimé.
– C’est bien tu es un petit trésor, je suis sur qu’avec toi je
suis tombé sur une vraie salope.
– Mais..
– Quoi ?
– Pendant tout ce temps j’avais honte.
– Mais de quoi ?
– Je me disais que j’étais un pédé.
– Et alors ?
– Rien car même si j’avais honte, le plaisir était plus grand.
– Alors il n’y a pas de problème, tu aimes les mecs c’est tout.
– C’est vrai.
– Allez viens relève toi que je t’embrasse et que je m’occupe
bien de toi.
– Mais que veux-tu faire ?
– Tu m’as superbement sucé et maintenant je vais te faire
découvrir l’amour.
– C’est à dire ?
– Je vais tout simplement m’occuper de ton petit cul.
– Non.
– Pourquoi ?
– Je ne sais pas..
– Et voilà tu ne sais pas, alors comment peux-tu dire non.
– C’est que..
– Quoi tu as peur ?
– Oui.
– de quoi ?
– Je ne sais pas.
– Tu as peur d’avoir mal ?
– Oui et en plus..
– En plus quoi ?
– Tu sais pour moi il y a une heure je ne pensais pas à tout ça,
je me croyais normal, j’ai déjà flirté avec des filles et je
pensais bien qu’un jour je ferais l’amour avec l’une d’elle et
au lieu de ça..
– As-tu ressenti autant de plaisir avec une gonzesse qu’avec moi.
– Non.
– Et donc tu ne veux pas continuer parce que tu te dis qu’au lieu
de baiser une fille, c’est toi qui va te faire baiser.
– Oui.
– Pour revenir au début je t’assure que je vais faire en sorte
que tu ai le moins mal possible, je vais être très doux, bien
sur la première fois c’est un peu comme pour les vierges mais
tu vas voir après tu ne pourras plus t’en passer. Quant à ce
qui est de te faire baiser, tu m’as dit que tu avait aimé me
sucer alors dis-toi bien que si c’est le cas tu aimeras te
faire baiser. Regarde moi je t’ai branlé tout à l’heure mais
jamais je ne te sucerai, je n’y prendrais aucun plaisir.
– Tu me promets que tu ne me feras pas mal ?
– Le moins mal possible.
– Tu crois vraiment que je dois me faire baiser.
– Oui.
– Alors d’accord je te fais confiance.
– Bien allez viens dans mes bras que je te fasses découvrir
pourquoi tu es faite’.
J’avoue que je n’avais résisté que pour la forme, malgré la sensation de déshonneur qui m’habitait je voulais aller jusqu’au bout de cette aventure.
Je me relevai et me collai à mon amant tout en lui offrant ma bouche, posant une de ses mains sur ma nuque Max approcha son visage du mien, nos lèvres se soudèrent et nous échangeâmes un baiser passionné.
Perdant toute pudeur, je mis mes bras autour de la taille de mon mec et m’abandonnai totalement à ce baiser brûlant.
Tout en continuant à me butiner les lèvres mon homme commença à me caresser le dos, sa main courrait le long de ma colonne vertébrale s’arrêtant à la naissance du sillon de mes fesses.
Au fur et à mesure des attouchements que mon mec me procurait je sentais une douce langueur prendre possession de mon être, j’étais en sueur et une boule de chaleur prenait forme dans mon bas ventre.
Je me lovai contre mon amant caressant ses épaules musclées.
Max était maintenant en train de me lécher le visage tout en me massant la nuque, je ressentais un fort désir et je ne pus m’empêcher de gémir.
Au bout de quelques instants mon mec se détacha de moi, j’étais pantelant, il me prit dans ses bras et m’amena jusqu’à la salle de gymnastique où il me déposa à plat ventre sur un coussin de sautoir.
Mon homme s’étendit à mes côtés et commença à me suçoter et à me mordre les bras puis sa langue se positionna à la base de mon cou et descendit le long de ma colonne vertébrale s’arrêtant au creux de mes reins, ce contact me fit frémir et je me cambrai légèrement.
Max pratiqua quelque temps sur moi ces caresses délicieuses me faisant monter au septième ciel, jamais je n’avais ressenti un tel plaisir et je râlais chaque fois que mon mec me touchait.
Soudain mon amant arrêta son effeuillage, il se leva et prit des sacs qu’il roula en boule et qu’il glissa son mon ventre de sorte que je me retrouvai le postérieur surélevé.
Mon mec ouvrit mes jambes et se mit à genoux entre elles, il empauma mes fesses et les écarta puis il enfouit son visage entre elles.
Quand sa langue râpeuse entra en contact avec mon oeillet il me sembla qu’une décharge électrique me transperça et je poussais un lourd gémissement.
Mon homme commença à me bouffer le cul, il promenait sa langue tout le long de ma raie puis s’arrêtant contre mon antre pour la suçoter.
Sous les attouchements lingués que Max pratiquait sur mon intimité, je sentis mes miches s’enflammer, et un profond désir s’empara de moi.
La honte que je ressentais encore à me comporter ainsi s’envola devant les ondes de plaisir qui s’emparaient de mon être enfiévré.
Peu à peu s’insinua dans mon corps de délicieuses sensations inconnues, j’étais complètement en nage et des bouffées de chaleur prenaient naissance dans mon bas-ventre pour remonter par vagues exploser en mille étoiles vers mon visage.
Quand la langue pointue s’infiltra dans ma corolle je poussai un râle langoureux, je sentais mon anus s’ouvrir sous l’insistance du baiser que mon amant échangeait avec ma grotte embrasée et j’écartai plus encore les cuisses tout en tendant mon fessier vers celui qui me donnait toute cette volupté.
Longtemps mon mec pratiqua sur moi ces délicieux sévices, j’avais la raie pleine de salive et mon sphincter s’ouvrait un peu plus chaque fois.
Jamais je n’avais ressenti un tel plaisir et tout en râlant et soupirant je m’entendis dire ’Ahh c’est bon, viens je te veux’.
La bouche de mon homme abandonna mon derrière et il m’enfonça délicatement un doigt dans le fondement, jamais on ne m’avait fait ça et je poussai un petit couinement.
Max fit aller et venir son doigt lentement en moi me faisant monter chaque fois un peu plus dans le bonheur.
Un deuxième puis un troisième doigt vinrent rejoindre le premier, mon amant faisait coulisser ses doigts en moi tout en tournant sa main de manière à m’ouvrir de plus en plus la pastille.
Sous ces actions répétées je me mis à onduler tout en poussant des petits cris de bien-être, chaque fois que la main de mon homme s’enfonçait dans mon rectum en feu je sentais ma corolle s’agrandir.
Je ne sais combien de temps mon mec exécuta sur moi ces merveilleuses caresses, la seule chose que je savais c’est que je ressentais un plaisir impossible à décrire, j’avais l’impression que tout mon corps était en feu, j’étais tellement excité que le cul tendu vers mon mec je braillais sans arrêt.
Jugeant que j’étais à point Max ôta ses mains de mon antre béant, il prit mes jambes et les replia sous moi de telle sorte à ce que je me retrouvai à genoux la croupe en l’air reposant sur les avant-bras.
Mon amant se positionna derrière moi et je sentis quelque chose de doux, chaud et énorme coulisser dans ma raie bouillonnante, je sus aussitôt que c’était le gland de mon homme.
Bien qu’étant terriblement excité je fus pris de panique quand je me rendis compte des dimensions de ce qui s’apprêtait à entrer en moi que je tentais de me dérober.
Mon mec me maintenant solidement aux hanches me dit ’N’aie pas
peur, je vais te faire le moins mal possible, décontracte-toi
et laisse-toi faire, tu verras au début ça va être un peu dur
mais quand ton cul sera bien détendu tu prendras beaucoup de
plaisir, fais-moi confiance’.
Max promena son bout durci tout le long du sillon de mes fesses s’arrêtant chaque fois contre mon anus jusqu’à ce qu’il sente que je m’étais relâché puis il posta son gland tuméfié à l’orée de mon sphincter et commença à peser dessus.
Bien que je sois bien ouvert par les attouchements manuels qu’il avait exercé sur moi une douleur effroyable m’envahit quand la grosse tête du phallus écarta mes chairs, je poussai un hurlement et je dis ’Non arrête, j’ai mal, c’est trop gros, ça ne peut pas
entrer’.
Mon amant suspendit sa poussée et aussitôt la douleur diminua, il me dit ’Calme-toi, tu as mal parce que tu n’es pas détendu, et que
c’est la première fois que ton petit cul reçoit une bite.
Maintenant si tu veux que j’arrête tu n’as qu’à le dire et je
me retirerais’.
Malgré la souffrance que je venais d’éprouver je ne voulais pas que mon mec arrête, j’étais si excité et j’avais été trop loin pour stopper maintenant, je lui répondis ’Non je ne veux pas
arrêter, mais je t’en supplie fais doucement, c’est très
douloureux.
– Bien sur ma petite chatte que je vais faire doucement mais
détends-toi, abandonne-toi et tu verras ça fera beaucoup moins
mal’.
Mon homme plaça de nouveau son pénis contre ma porte étroite et se remit à pousser, lentement millimètre par millimètre le fabuleux gland me pénétra, je me mordais les lèvres pour ne pas hurler tant j’avais mal.
Quand le bout durci fut en moi je pleurais en silence, Max resta immobile quelques instants puis doucement il sortit de mon antre et l’introduit de nouveau.
Ce mouvement eut pour effet de m’assouplir la pastille et petit à petit la douleur disparut pour faire place à une douce langueur.
Mon amant s’en aperçut et me demanda ’Alors ça va mieux ou tu veux
toujours que j’arrête ?’
Tout sentiment de honte avait disparu, bien que je sois le cul en l’air complètement offert au mâle tel une chienne en chaleur, je ne voulais plus qu’une chose c’était de me faire baiser comme une salope, je voulais connaître ça, je ne voulais plus reculer et je répondis ’Non je ne veux pas que tu arrêtes, je veux que tu
t’enfonces entièrement en moi, je veux sentir ta bite me
baiser.’
Posant ses mains sur mes lobes charnus mon homme s’enfonça en moi jusqu’à la garde, lorsque je sentis les poils follets de son pubis contre mon prose brûlant je sus qu’il était en moi complètement.
Mon mec resta immobile me laissant m’habituer à la monstrueuse présence qui m’obstruait le fondement, j’avais l’impression que mes fesses allaient se détacher tant j’étais distendu par la queue fichée en moi, je sentais au fond de mes entrailles le membre palpiter et cela me fit monter encore d’un cran dans le plaisir.
Quant au bout de quelques instants je sentis mon anneau de détendre je dis à Max ’Vas-y baise-moi fais-moi du bien, je veux
connaître le plaisir par ta bite’.
Mon amant commença à aller et venir lentement dans mon rectum bouillant m’arrachant à chaque mouvement des petits cris de douleur qui peu à peu se muèrent en gémissements.
Mon homme me possédait de toute la longueur de son pénis turgescent, le sortant presque entièrement de mon fondement pour le replonger au fond de mon cul la seconde suivante.
Au bout de quelques temps de ce traitement mon anus céda complètement et le superbe Priape pu coulisser en moi sans gêne aucune.
Sentir cette pine roide coulisser en moi me faisait basculer dans un univers inconnu, je ressentais des bouffées de chaleur embraser mon bas-ventre, jamais je n’avais ressenti de telles émotions.
Ce que j’éprouvais était indéfinissable, il me semblait que mon corps flottait dans un océan de félicité.
Max, les mains posés sur mes hanches, me possédait avec une régularité de métronome, chaque fois que la fabuleuse verge s’enfonçait au fond de mes entrailles, je poussai de lourds gémissements.
J’avais le sentiment que seul mon cul existait, jamais je n’aurais cru possible de ressentir un tel émerveillement en me faisant sodomiser.
Sentir la bite de mon amant s’enfoncer en moi me procurait une indescriptible effervescence, je n’avais rien connu de pareil, j’étais complètement offert à l’homme qui me donnait un plaisir immense.
Sous les coups de boutoir répétés de mon mec je sentis la volupté prendre possession de mon être, chaque fois que la pine roide s’enfonçait aux tréfonds de mes entrailles je me sentais perdre pied un peu plus et je poussai de lourds râles de joie.
J’avais fermé les yeux et rejeté la tête en arrière savourant l’incroyable bien-être qui m’envahissait par tous les pores de ma peau excitée à l’extrême.
Mon amant les mains crispées dans la chair de mes hanches me besognait toujours lentement, il sortait son sexe entièrement de mon antre en fusion pour le replonger jusqu’à la garde la seconde suivante.
J’avais le cul complètement éclaté et j’avais l’impression que de la lave coulait dans mon rectum en fusion, tout mon corps était en feu et je savais que seul le phallus qui me forait les reins pouvait éteindre l’énorme brasier qui me consumait.
Je ne savais plus depuis combien de temps Max me baisait mais c’était si bon que je voulais qu’il continue indéfiniment et je me cambrai au maximum pour me donner encore plus au formidable pénis qui me défonçait.
Chaque fois que le membre plongeait entre mes fesses bouillantes m’ouvrant la corolle un peu plus, je sentais les testicules gorgées de sève de mon mec me caressaient les miches.
Jamais je n’avais ressenti un tel plaisir, j’avais atteint la plénitude rectale et je planais littéralement sous les assauts que mon homme m’assénait.
A chaque poussée je me sentais sombrer un peu plus dans un univers où seul comptait le Priape qui cassait le fion, tout mon corps tremblait et la bouche grande ouverte je criai mon plaisir.
Max avait posé ses mains sur mon postérieur et écartait mes deux lobes charnus pour augmenter sa pénétration, je me sentais perdre totalement pied, je ne vivais plus que pour et par la magnifique pine qui me bourrait.
Perdant toute retenue je me mis à hurler toutes les phases de la félicité par lesquelles je passai.
Je sentis une boule de feu exploser sur mon visage, un spasme me foudroya et un orgasme déferla sur moi, je tendis ma croupe enflammée vers la bite de mon mec pour accentuer la pénétration, un hurlement pulsa de ma gorge et je sombrai dans l’inconscience.
Quand je repris le sens des réalités, j’étais allongé sur le dos, mes jambes écartées étaient repliées vers l’avant et reposaient sur les épaules de Max qui ,couché sur moi, était toujours fiché dans mon anus.
Mon amant me dit ’Bienvenue au pays des vivants.
– Merci
– De quoi ?
– De m’avoir fait jouir comme ça, jamais je n’aurais cru qu’on
puisse jouir du cul comme j’ai joui.
– Mais tu n’as encore rien vu, tu te rends compte que je suis
encore en toi ?
– Oui.
– Donc ça veut dire que moi je n’ai pas joui et que je vais
encore bien te baiser et te faire bien reluire ma petite
salope.
– J’en veux encore.
– Mais tu vas en avoir’.
Mon homme commença à aller et venir en moi lentement, sous ces va et viens le désir, un instant retombé par le fade que je venais d’avoir, s’insinua de nouveau en moi.
Je fermai les yeux et me laissai emporter par cette déferlante irrésistible, mon mec appuyé sur les avant-bras me besognait de toute la longueur de son fabuleux membre, chaque fois qu’il m’empalait ses couilles duveteuses venaient caresser mes fesses en feu.
Chaque fois que la splendide hampe plongeait au fond de mon cul dilaté je montai d’un cran dans le plaisir et je ne fus pas long à perdre totalement pied.
Max me possédait de plus en plus violemment, à chaque assaut son pubis venait claquer contre mes miches bouillantes à me faire mal.
J’avais l’impression que s’il continuait à m’enculer de la sorte il allait me déchirer mais ce que je ressentais était si bon que je voulais qu’il continue indéfiniment.
Mon amant avait lové sa tête dans le creux de mon épaule et me pilonnait l’arrière train avec brutalité, tout mon être était en feu, j’étais en nage et un incendie me ravageait l’intérieur.
Je ne vivais pour que pour mon cul et par cette merveilleuse bite qui me donnait tant de bonheur, j’avais rejeté la tête en arrière et la bouche grande ouverte je râlai sans discontinuer.
Sentir la grosse pine de mon homme me défoncer la pastille me rendait fou de joie, je tendais ma croupe vers cette source de plaisir pour m’offrir plus encore.
Les virils coups de boutoir que je recevaient avaient achevé de me faire perdre toute notion des réalités, je me tordais sous mon mec comme un damné.
Je ne savais pas depuis combien de temps Max me baisait mais ce que je voulais c’est qu’il continue à me faire tant de bien le plus longtemps possible.
Dans la pièce, en dehors de mes halètements, on entendait les bruits de succion que faisait mon cul chaque fois qu’il avalait le sexe turgescent qui me forait les reins m’élargissant le fondement un peu plus à chaque poussée.
Mon amant avait lâché mes jambes et posé ses mains au-dessus de ma tête de telle sorte que mon derrière se relève et il me sodomisait en larges coups de reins.
Totalement abandonné je nouai mes jambes autour des reins de mon homme et passai mes mains autour de ses épaules musclées.
Mon mec m’enfilait avec des ’HAN’ de bûcheron, de la sueur perlait de son front et les grimaces qu’il faisait prouvaient le plaisir qu’il prenait aussi.
Jamais je n’aurais cru qu’on puisse prendre autant de plaisir, je sentais des vagues de chaleur m’envahir et mes râles se muèrent en cris de volupté.
Chaque fois que Max s’enfonçait au plus profond de mes entrailles il disait ’Tiens salope, prends ça dans ton cul, ah tu aimes ma
bite ma pute, alors prends la au fond de ton trou du cul
bouillant’.
Ses paroles m’excitaient encore plus, j’avais atteint la plénitude rectale et je planais littéralement sous les coups de boutoirs répétés que je recevais.
Dans mon corps enfiévré de bonheur seul comptait mon cul, je ressentais de telles sensations que je ne réfléchissais plus que par mon trou de balles démoli.
Le rythme auquel mon amant me possédait faisait que je me sentais comme un fétu de paille balayé par la puissance de ce que je ressentais, j’avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer.
C’est à cet instant que mon homme s’enfonçant au plus profond de moi éjacula en râlant, ses abondants jets de sperme crémeux fusant contre mes parois surchauffées me provoquèrent un spasme foudroyant, mes jambes battirent l’air, mon corps s’arqua sous mon mec, je plantais mes ongles dans la chair de ses épaules, un hurlement strident pulsa de ma gorges et je retombai lourdement sur le théâtre de nos ébats flottant dans l’univers cotonneux de la jouissance.
Je sentis mon mec se lever de sur moi et je restai les yeux clos, cuisses écartées savourant les dernières contractions du bonheur sur ma corolle ravagée.
Quand je rouvris les yeux Max n’étais plus dans la pièce, j’entendais l’eau couler, il était en train de se laver.
Quand il sortit de sous la douche il s’essuya tout le corps et me dit ’Tu vois que tu as aimé.
– Oh oui ça a été génial, jamais je n’aurais cru prendre un tel
plaisir par le cul.
– Tu sais moi non plus jamais je n’aurais cru qu’un mec puisse
jouir comme tu viens de le faire.
– C’est vrai.
– Je t’assure, tu n’es pas le premier que je baise mais tu es le
premier qui a les mêmes réactions qu’une gonzesse, tu baises
comme une vraie femme.
– Non !!
– Si tu es une vraie salope, tu es faite pour la baise, ton trou
du cul est aussi bien qu’une chatte, c’est vraiment très bon
de te baiser.
– Mais tu sais j’adore ça, j’adore sentir une grosse bite comme
la tienne me défoncer le cul, maintenant que j’ai goûté à ça je
ne crois plus pouvoir m’en passer.
– Salope.
– Eh oui j’adore vraiment la baise, au fait quand est-ce qu’on
recommence ?
– Si tu veux on peut remettre ça la semaine prochaine, comme
aujourd’hui.
– J’espère que je pourrais attendre, la semaine prochaine c’est
loin.
– Ce n’est même pas une salope que tu es mais une nymphomane.
– Eh que veux-tu quand j’aime quelque chose j’en veux toujours.
– AH AH AH !! En attendant ça, va donc te laver le cul car tu
commences à couler sur le coussin.
– C’est de ta faute, tu m’as complètement inondé.
– C’est vrai que ça a été un bon coup.
– Ca tu peux le dire.
– Bon je te laisse, à la semaine prochaine ma petite poule.
– Au revoir mon super baiseur, la semaine sera longue’.
Max s’habilla et partit, resté seul je me levai et allai sous la douche, le contact de l’eau sur mon corps me fit un bien énorme, j’insistai sur mes fesses et mon anus afin de leur rendre une propreté toute suédoise.
Une fois nettoyé je remarquai que bien que restant encore mou, mon trou de balle s’était un peu refermé
Après m’être séché, je me vêtis, fermai la porte du vestiaire, remis les clés au concierge et rentrai chez moi.
Cette nuit là je dormis très mal, je n’arrêtai pas de penser à ce que j’avais vécu quelques heures plus tôt.
fkroun