Quelques jours après, c’est le 14 juillet. Au petit matin, je me lève précipitamment avec une énorme envie de pisser. J’arrive devant les toilettes et je constate de la lumière sous la porte. Comme Delphine dort encore, ça ne peut être qu’Alexandra.
Alex, tu en as encore pour longtemps ?
Pourquoi ?
J’ai envie de pisser, ça urge !
Attends un peu.
Non, tant pis, je vais pisser dans la douche.
Aaaaah, c’est dégueu !
D’une, non ; et de deux, je n’en peux plus !
Bah, ouvre la porte et pisse ici.
Sérieux ? On ne peut pas pisser à deux en même temps, surtout un mec et une fille !
Bah, moi j’écarte les cuisses et toi debout devant moi.
J’hallucine ! Il y a encore quelques semaines, elle était vierge et n’avait vu que deux ou trois bites ; et là, elle me propose que je pisse devant elle J’ouvre la porte et je la trouve nue, assise sur le trône, les jambes déjà écartées me laissant une vue imprenable sur son mont lisse et son jet doré sortant d’elle.
Tu as assez de place pour pisser ?
Ça va aller, oui.
Je prends ma bite en main et commence à uriner. Ne pouvant pas diriger le premier jet, il atteint accidentellement sa cuisse droite. Alex sursaute, écarte un peu plus les jambes et pose ses mains derrière elle, ce qui lui fait bomber le torse. Je la regarde ; elle est magnifique : une nymphe transpirant le sexe. Je constate qu’elle a la tête en arrière, les yeux fermés, et qu’elle tétonne. Est-elle excitée par la situation ? Une idée me passe par la tête ; je remonte ma bite pour diriger le jet sur son mont de Vénus. Je vais voir sa réaction et, au pire, je lui dirai que c’est un accident.
Le jet atteint sa cible. Elle sursaute de nouveau, redresse la tête, me fixe avec un regard interrogateur mais ne dit rien et ne bouge pas. Je remonte donc plus haut. Je suis sur son ventre ; toujours pas de réaction de sa part. Je me lâche. Je l’arrose complètement de mon urine. Sa poitrine, sa gorge, ses bras, tout y passe ; l’urine ruisselle sur sa peau ambrée sans marque de bronzage. Je redescends sur son sexe puis remonte. Je sens que je suis sur la fin ; j’ose aller encore plus loin : je dirige le jet sur son visage et l’inonde. Je suis stupéfait par sa réaction ; elle ne se recule pas : bien au contraire, elle ouvre la bouche et accueille ce jet doré.
J’ai fini. Alex laisse couler le liquide de sa bouche sur son menton et goutte dans la cuvette. Avec une de ses mains, elle attrape ma bite et commence à me sucer. Je grossis dans sa bouche : elle devient une experte en fellations ! Alternant entre masturbation et fellation, je ne vais pas tarder à gicler Au point où elle en est, je l’agrippe par les cheveux, lui arrache ma bite de la bouche et des mains, et je me branle à deux centimètres de son visage. La première salve lui atteint l’il ; les suivantes arrivent sur son nez, ses joues et son menton. Je lui claque les joues avec ma bite ; des bruits obscènes dus à la pisse et au sperme résonnent dans les toilettes.
Ayant fini de la souiller, je sors sans un mot, la laissant seule assise sur son trône, recouverte de pisse et le visage maculé de mon foutre. Après coup, je regrette de ne pas l’avoir prise en photo dans cet état de dégradation.
Je remonte dans ma chambre chercher des vêtements pour aller à la douche. En redescendant, j’entends la douche couler : Alex m’a devancé. Je la laisse tranquille et vais me préparer un café dans la cuisine en attendant. Mon portable clignote. Je regarde et je m’aperçois que c’est un MMS d’Alex. Je l’ouvre et constate que c’est un selfie d’elle devant le miroir de sa chambre ; elle est encore toute mouillée de ma pisse et le visage enduit de mon sperme. En guise de message, juste « Merci pour cette nouvelle leçon. » Je m’assois avec mon café ; je n’arrive pas à quitter la photo des yeux. Je reste bouche bée : non seulement j’ai une femme merveilleuse, mais maintenant j’ai une filleule qui accepte tout ce que je pourrai lui faire subir.
Alexandra arrive dans la cuisine ; elle est nue et toute luisante.
Bonjour, parrain !
Bonjour ! La douche était bonne ?
Oui. Maintenant je vais parfaire mon bronzage pour ce soir.
Pourquoi ? Qu’est-ce qu’il y a ce soir ?
Tu me sors : c’est le 14 juillet. Je veux aller au feu d’artifice.
Ah bon Mais je ne sais pas si Delphine sera en forme.
Delphine passe la tête par la porte.
Bonjour, vous deux ! Je ne pense pas venir au feu d’artifice, mais vous pouvez y aller tous les deux, ça ne me dérange absolument pas.
T’es sûre ?
Oui. Emmène ta filleule, et amusez-vous.
Merci, tata ! Tu vois, tu dois m’y amener.
Delphine entre dans la cuisine ; elle est en nuisette. On distingue encore quelques traces et bleus sur les parties visibles de son corps. Je me dis que j’ai été vraiment fort avec elle et qu’elle mériterait plus de douceur ces prochains jours.
Bon, comme c’est décidé, aujourd’hui je m’occupe de toi, Alex ; et demain, ce sera ton tour, ma chérie.
Doucement, Ben ! Tu sais bien que je n’ai pas encore récupéré totalement des dernières attentions de ta part envers moi.
Ne t’inquiète pas ; demain, rien de sexuel : je t’emmène en ville et te paie une séance de massage bien-être.
Ah, ça, je suis pas contre ! Merci, mon amour.
Nous finissons de petit-déjeuner. Alexandra part sur la terrasse en mode bronzage, rejointe par Delphine qui, débarrassée de sa nuisette, s’installe sur le transat à côté d’Alex. Je m’occupe de la vaisselle et pars prendre une douche bien méritée. Sous la douche, je repense à ces derniers jours : la séance SM, l’épisode uro avec Delphine, l’épisode dans les toilettes avec ma filleule. Je n’ai jamais été attiré par cette pratique ni même y avoir pensé, mais là le fait d’avoir carte blanche avec ces deux femmes plus avides l’une que l’autre et surtout prêtes à tout pour me combler me fait aller au-delà de mes pensées les plus torrides. Je souris et cherche ce que je pourrais bien faire de plus.
En sortant de la douche, je vois Alex en train de caresser le ventre rond et les seins énormes de sa tante ; quant à Delphine, sa main est posée sur le sexe d’Alex et, vu les mouvements de son poignet, je pense qu’elle la doigte. Je les regarde un peu et décide de les laisser tranquilles. Je prends les clés de la voiture et pars faire un tour sur le marché.
Arrivé sur les lieux, je flâne au gré de mes envies ; j’arrive dans une allée où se trouve un commerçant bedonnant et mal rasé. Il vend du matériel pour animaux domestique. En regardant son étalage, une idée me vient en tête ; je trouve un collier en cuir rose avec dessus une plaque rivetée où l’on peut graver un nom.
Bonjour, ils sont à combien vos colliers ?
Bonjour ! Ceux en cuir sont à 20 ; c’est du cuir véritable, et si vous le désirez, je peux vous faire la gravure : c’est gratuit.
Super ! Je vous prends le rose.
Vous avez une petite chienne à la maison ?
Oui Une sacrée, même ! Docile, mais il faut que je lui mette un collier si je ne veux pas la perdre. Vous avez des laisses ?
Oui, bien sûr. Elles sont assorties aux colliers. Elles sont à 10 normalement, mais je vous fais le tout à 25 . Quel est le nom de votre chienne ?
Merci. Elle s’appelle Alex.
D’accord. Je vous propose de continuer vos achats et de repasser dans 10 minutes ; le collier sera gravé.
Merci. À tout à l’heure, alors.
Je m’écarte du stand avec un sourire aux lèvres. J’imagine la réaction d’Alex quand je vais lui offrir son bijou et que je vais lui demander de le porter ce soir pour aller au feu d’artifice. Dix minutes plus tard, je suis de retour devant le stand.
Ah, Monsieur, votre commande est prête. Vous voulez voir le résultat ?
Oui, faites voir
Voici la gravure ; elle est profonde : elle durera plus longtemps comme ça.
Parfait !
Je peux vous poser une question ?
Faites.
Je suis un grand amoureux des chiens. Je pourrais savoir quel âge a le vôtre, et quelle race de chien vous avez ?
Bien sûr : elle à 19 ans, mais c’est une race encore très peu connue.
Dites toujours, je dois sûrement connaître.
J’ai une photo, si vous voulez.
Oui, montrez-moi.
Je prends mon portable, sélectionne la dernière photo qu’Alex m’a envoyée, celle où elle est recouverte de pisse et de sperme, et la lui tends en disant :
Voici la plus récente d’elle ; c’est une chienne hors norme !
Il reste bouche bée, ses yeux ne quittent pas mon téléphone. Je prends mon sachet avec la laisse et le collier et lui reprends mon téléphone des mains. Je suis ravi de mon effet : j’imagine que ça fait bien des années qu’il n’a pas baisé, et encore moins une belle pépette comme Alexandra.
De retour à la maison, je trouve mes deux nymphes en train de préparer le déjeuner.
Ah, tu étais où ? On t’attendait. Tu peux allumer le barbecue, s’il te plaît ?
Bien sûr, ma chérie ; j’y vais de ce pas.
Je vais au barbecue et allume le feu pour les grillades. Alexandra me rejoint dans la foulée.
Tu as été où, parrain ?
Quelque part
Plus précisément ?
Faire des courses.
Pour tata ?
Non.
Pour moi, alors ?
Oui.
Super ! C’est quoi ?
Tu verras ce soir. Tu es prête pour ta soirée en ville ?
Oui, j’ai hâte de passer la soirée toute seule avec toi. Dis-moi, je peux te poser une question ?
Oui ; comme si tu avais besoin de ma permission pour ça Je t’écoute.
Ce soir, comme tata ne vient pas avec nous, je pourrai jouer ta Lolita ?
Si tu veux ; mais attention : qui dit « Lolita » dit « tout ce qui va avec ».
Oui. Je pense que je t’ai montré que je suis prête à tout pour te faire plaisir.
C’est vrai. Bon, les braises sont chaudes ; va me chercher la viande que je commence la cuisson.
Huuumm aussi chaudes que ta filleule préférée ?
Ah non, quand même pas. Pour être aussi chaudes, il faudrait de la lave en fusion !
Nous éclatons de rire et Alex s’en va chercher les grillades. Je la regarde s’éloigner, dandinant du cul. Une érection monte dans mon short. Quand Alexandra revient avec le plat, elle remarque tout de suite la bosse qui le déforme.
Bah, parrain, tu as un souci ?
C’est de ta faute. À te dandiner toute nue devant moi Je suis qu’un homme faible, tu sais ?
Je vois ça Laisse-moi faire, je vais arranger ça !
Elle pose le plat sur la tablette près du barbecue et se met à genoux face à moi. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je me retrouve short et boxer aux chevilles, et Alex commence à me lécher les couilles. Je me concentre un max pour mettre la viande sur le grill. À peine ai-je terminé qu’Alex me pousse sur une chaise proche de nous et gobe mon dard en érection. Elle s’affaire comme une experte, alternant succions, masturbations, mordillements. Elle passe de la tige aux bourses et un éclair. Je n’en peux plus, je l’attrape par les cheveux et lui impose mon rythme.
Je lui baise littéralement la bouche. Elle a posé ses mains sur mes cuisses et me regarde tant bien que mal. Mon gland cogne au fond de sa gorge, et de temps en temps j’essaie une gorge profonde. Elle y est presque, il ne lui manque pas grand-chose. Ses yeux se révulsent et des jets de salive sortent par ses commissures. Le rythme est sûrement insoutenable, mais elle le subit sans broncher. Je sens que je vais bientôt décharger. J’appuie de toutes mes forces sur sa tête pour caler ma bite au plus profond de sa gorge. De grands jets sortent de moi. Je me vide dans sa bouche et dans sa gorge. Elle tousse ; cela lui fait sortir du sperme par le nez.
Je la rejette en arrière comme un vulgaire Kleenex usagé. La scène est irréelle : elle est le cul dans la pelouse, les jambes de chaque côté de ses hanches, les mains en arrière, son visage est rouge à cause de ses efforts. Un mélange foutre-salive coule sur son menton et sort de ses narines. Ses yeux brillent de larmes, mais elle me sourit, comblée par ce traitement.
Va te laver, petite salope ! Je finis ici et j’arrive pour manger.
Oui, parrain.
Elle se lève et file en direction de la maison. Je me rhabille et finis la cuisson des grillades avant de les rejoindre. Delphine et Alexandra sont à table, habillées toutes deux d’un petit bikini et d’une paire de lunettes de soleil. Nous mangeons normalement en parlant de choses et d’autres sans allusions au sexe. À la fin du repas, je m’installe sur un transat à l’ombre et fais une sieste réparatrice…