Je me présente Aurélien, 22 ans, jhabite dans les Ardennes. Je suis en couple avec Mathilde, 23 ans. Nous nous sommes connus à lécole primaire, puis au collège. On sentendait plutôt bien à lépoque, mais sans plus. Puis nous nous sommes perdu de vue à lâge de 13 ans, pour se retrouver 8 ans plus tard (merci internet). Lalchimie a opéré dès les premières retrouvailles, et depuis nous vivons une histoire formidable. Au bout dun an que nous vivons ensemble, Mathilde ma parlé de son souhait de se rapprocher de sa famille habitant les Deux-Sèvres.
Elle partit donc en « éclaireuse » à la recherche dun appartement, pendant ce temps elle était retournée chez sa mère (Sylvia, 47 ans) où vivait encore deux de ses petits surs (Amélie 19 ans et Anne-Sophie 17 ans), deux jolies métisses issues dun deuxième mariage.
Pendant ce temps je restais dans les Ardennes, le temps de finir les cartons. Cela fait maintenant 1 mois quelle est partie et que nous navons pas pu nous revoir. Nayant toujours pas trouver dappartement là-bas, elle me dit que sa mère nous logerait sans soucis, le temps den trouver un. Je la rejoignis donc après 7 longues heures de routes ennuyeuses.
Jarrive enfin devant chez ma belle-mère, il était 20h. Ma petite princesse mattendait avec impatience et me laissa à peine le temps de me garer pour me sauter au cou! Après de longues minutes de baisers langoureux, nous rentrâmes à lintérieur où ma belle-mère et mes petites belles-soeurs maccueillirent chaleureusement. À table, ma bien-aimée me caresse le pied avec le sien, puis sa main se posa sur ma cuisse. Je la sentais limite prête à passer sous la table pour dévorer ce qui lui a manqué pendant un long mois!
Une fois le repas terminé, jaidais tout le monde à débarrasser, mes petits belles-soeurs étaient déjà en tenue du soir, Amélie dans une nuisette opaque mais plutôt moulante, laissant apparaître de jolies petites fesses bien rebondies, quand à Anne-So, elle était en pyjama assez simple, mais ne cachant pas sa poitrine bien développée, la plus grosse de la famille malgré son jeune âge.
Quand à ma belle-mère, elle était toujours dans ses vêtements de la journée, rien de bien excitant malgré une jolie silhouette.
Mathilde était vêtue dune jupe courte et dun débardeur où mon regard était en permanence plonger, autant dire qu’après un mois de branlette en solo, je nai quune envie, et ma queue commence à souffrir dêtre autant à létroit!
Après avoir terminé la vaisselle, Sylvia et Anne-So partirent se coucher, tandis quAmélie, Mathilde et moi nous installions dans le canapé 3 places à regarder un DVD. Prétextant avoir froid, Mathilde nous couvrit tous les 3 dune couverture.
Au bout de quelques minutes je sentis déjà sa main se poser sur la bosse que formait ma bite surexcitée, discrètement je fis de même en glissant une main entre ses cuisses, sa jupe était légèrement remontée, et je remarquais très vite labsence de string la coquine avait-elle déjà tout prévu?
Humm il ne men faut pas plus pour y glisser un doigt, pendant que Mathilde déboutonne doucement ma braguette, laissant échapper ma queue bien dressée
Soudain Amélie se leva brusquement prétextant avoir soif, embarquant la couverture avec elle et découvrant mon doigt enfoncé dans la chatte de sa sur, et ma bite fièrement dressée avec la main de Mathilde autour.
— « Ah bin on ne perd pas de temps les amoureux » dit-elle avec le sourire aux lèvres.
— « Amélie tu me connais, 1 mois sans un sexe dhomme, ça me manquait » répondit Mathilde, souriant également.
Quant à moi, je restais bouche bée, me demandant pourquoi elle spécifiait « sexe dhomme ».
Je compris très vite lorsque Mathilde se tourna vers moi, me branlant à nouveau et en me disant:
— « Il a bien fallu que je me fasse du bien pendant ce temps »
— « Et heureusement que jétais là » enchérit Amélie.
— « Ah oui, et puis-je en savoir plus? » répondis-je stupéfait!
Mais là plus un mot, Amélie savança tout simplement vers Mathilde, retira mon doigt pour le remplacer par le sien. Je nen revenait pas, ma chère et tendre avec sa propre sur! Amélie dit soudain:
— « Javais soif, je sais ce qui va me désaltérer maintenant »
Mathilde accompagnait la tête de sa petite sur droit vers ma bite en me disant:
— « Profites-en mon chéri, elle a une bouche denfer »
Amélie goba net ma queue droite comme un I et entama une pipe denfer. Naturellement je vins poser une main sur sa tête, et de lautre main je releva doucement sa nuisette, laissant apparaître son joli petit cul bombé décoré dun string ficelle bien caché entre ses fesses, ainsi quune paire de seins bien fermes. Sa langue joua avec mon gland, tandis que je roulais doucement un de ses tétons. Pendant ce temps, Mathilde me roula une pelle du tonnerre, alors quAmélie lui insérait maintenant une 2ème doigt.
— « Allez, à mon tour, mais avant, allonge toi sur le canapé » mordonna Mathilde.
Une fois allongé, Mathilde sinstalla accroupie au dessus de ma queue, et descendit tout doucement. Pendant ce temps, Amélie me susurra au creux de loreille:
— « Tu ne vas pas me laisser mennuyer mon cher beauf ».
Ajoutant le geste à la parole, Amélie venait saccroupir au dessus du visage, moffrant sa chatte déjà bien humide. Je ne me fis pas prier pour lui lécher son joli minou alors que Mathilde sempalait sur ma queue. Pendant ce temps, les deux surs se roulaient de magnifiques galoches, tandis que lune se défonçait sur ma bite, et que lautre gémissait de mes coups de langues.
Après plusieurs minutes, Amélie suppliait sa sur:
— « Stp ma chérie, prête moi sa queue ».
— « Oui mais et moi? » répondit Mathilde.
— « Pas de jalouses, mets toi à 4 pattes » lançais-je à Amélie « Et toi ma puce, allonge toi devant ta sur en écartant bien tes cuisses, quelle puisse te lécher ton joli abricot.
Ni une, ni deux, les coquines de surs sexécutaient, Mathilde sallongea devant Amélie qui était elle à 4 pattes, son petit cul rebondi remonté vers moi, me disant à voix basse:
— « Vas-y, je nattends que ça!! »
Je lui glissais violemment ma queue dans sa jeune chatte serrée, pendant quelle offrait un cuni denfer à sa grande sur.
— « Humm, oui vas-y lèche moi petite salope » entendis-je doucement.
— « Noublies pas mon petit trou sale traînée, et fais ça bien » renchérissait Mathilde.
Jamais elle navait parlé comme ça, ce qui mexcita davantage, je pilonnais donc plus fort Amélie qui gémissait tout en léchant le trou de balle de sur qui se pinçait les tétons.
Je commençais à caresser à mon tour, le petit trou de sa petite sur, qui tortillais du cul, tout en sortant faiblement un « non, pas par là », mais surexcité comme jétais, je ne voulais pas en rester là et retirais ma queue gluante de sa jeune chatte pour la poser sur son illet, je sentais que le cul de cette petite chienne se rétractait, appuyais un peu plus, ma bite entra nette dans son petit trou, ce qui lui fit lâcher un râle de douleur, mélangé à du plaisir. Pendant que je commençais à lui bourrer le cul, Amélie pour se venger, commença à glisser un doigt dans le propre cul de Mathilde. Cette dernière adorant recevoir toute sorte de choses au fond de son cul, ne se fit pas prier et lui réclamait quelque chose de plus gros. Sa petite sur lui insérait maintenant deux puis trois doigts, tout en lui léchant sa chatte trempée. Je la bourrais de plus en plus vite et fort, excité par cette scène à peine croyable.
Au bout de quelques minutes, je les prévenais de mon imminente éjaculation. Amélie et Mathilde se mettent alors à genoux la bouche ouverte, visage collé lun à lautre, prêtes à recevoir mon foutre. Me branlant devant leurs jolis visages danges, je ne tardais pas à éjaculer sur leurs joues, quelles sempressèrent de lécher lune après lautre.
Nous avons terminé la soirée à nous rouler des pelles sur fond de sperme, mais ce nétait pas tout
À suivre si ça vous a plu !