Chapitre 3
On a laissé le couple Martine et Enrico, repus et contents de cette première séance d’échangisme, mais parallèlement, Jean et Jane se retrouvent seuls dans leurs lits, également repus.
Qu’est-ce que tu en penses Jane ? C’était bon ?
Oui, j’ai eu bien du plaisir, pas comme toi, très différent, j’avais l’impression de dépuceler un jeune homme la première fois, une fougue incroyable, à peine en moi qu’il n’a pas pu résister. Cela me change vraiment sa fougue et son enthousiasme.
J’ai eu aussi beaucoup de plaisir à initier Martine à la sodomie, elle a vraiment un cul très accueillant et elle est très chaude et réceptrice. Tu as aussi goûté sa moule, elle est vraiment délicieuse, pour moi, ce fut une surprise, j’étais tellement habitué à la tienne que ce fût un vrai contentement.
C’est vrai que d’Enrico, je n’ai pas pu profiter de sa crème, je la voulais exclusivement pour mes ovaires.
Finalement, tu serais partante pour une suite, ils ne t’ont pas déçue ?
Oui, je me réjouis à la prochaine fois, lui répondit Jane.
On le refait ici ou pour une fois on va chez eux pour changer de décors.
On va leur proposer chez eux pour changer, mais je vois un petit problème avec les enfants.
Tu ne veux pas pervertir les enfants quand même ?
Non, mais on pourrait éventuellement les réveiller et qu’ils viennent voir ce qui se passe.
C’est vrai, mais ils sont adultes maintenant, ce ne serait pas une catastrophe.
C’est à ce moment-là que Jane, un peu calculatrice, se dit que si on additionne le sperme de son père et celui de son fils, les chances vont augmenter.
Finalement, on pourrait les inclure dans nos jeux malicieux, mais il ne faudrait pas les choquer, ni les effrayer. Je suis sûr que tu ne serais pas insensible à Cassandre ou à Hélène, pour ma part, Hector serait le bien venu, pour remettre un complément à son père.
Tu ne penses qu’à ta grossesse.
Non, mais c’est un point très important, finalement le point de départ de ces relations.
C’est ainsi que la semaine suivante, lors de la traditionnelle soirée en couple, après le souper d’ Halloween, la danse et le flirt léger sont toujours de mise, mais au début, avec une vraie retenue, vu que les enfants sont présents. Une fois le dessert pris, les plus jeunes sont reconduits dans leurs chambres et les parents partent dans une relation plus poussée.
On peut continuer chez vous demande Jane, pour changer pour une fois.
Pourquoi pas, mais il faudra être un peu discret à cause des enfants, répond Enrico.
C’est ainsi que les quatre vont se déshabiller dans la chambre nuptiale. Enrico, toujours bouillant est déjà fin prêt et les autres ne sont pas mal non plus.
J’ai un petit fantasme, dis Jane, je ne sais si c’est possible, j’aimerais que l’on fasse une image érotique.
… Martine est sur le dos, pendant que je m’occuperai de son minou, Enrico m’enfile ma chatte et comme il faut bien une occupation à Jean, il lui travaillerait la rondelle.
Ces fantasmes de femmes, c’est pas possible, remarque Enrico, mais je veux bien essayer.
C’est ainsi que le quatuor sans corde se met en place pour jouer sa symphonie à deux archets et quatre guitares.
Jean n’étant pas une brute propose quand même un complément culinaire pour ne pas faire trop souffrir Enrico.
De l’huile d’olive vierge (normal pour un cul vierge) ou du beurre de montagne, pour le goût sont indispensables.
On a tout cela à la cuisine, je vais mettre un minimum pour aller les chercher.
Elle se déplace vers la cuisine sans faire trop de bruit et ouvre le frigo saisit la motte de beurre quand tout à coup Héctor apparaît sur le pas de porte.
Tu fais quoi avec ta motte de beurre à moitié à poil. Ce que je trouve très joli, mais quand même.
On va faire un complément de souper avec les voisins.
Je peux y participer ?
Eh, je ne sais pas, je vais leur demander.
En ouvrant la porte, elle ne voit pas que Hector l’a suivie et qu’il découvre ses trois autres compagnons dans une position délicate, non recommandée par les bonnes murs.
Vous faites quoi là ? S’insurge-t-il
Jane qui ne perd pas le nord, répond :
On fait un jeu d’adultes, mais je ne suis pas sûr que tu sois assez mûr pour le comprendre. Où si tu as plutôt envie de prendre des leçons particulières pour apprendre.
Non, on ne va pas mélanger nos enfants à nos turpitudes affirme Enrico, qui d’un coup débande aussi sec.
Jane, le reprenant en main, lui dit :
Il me semble que le mal est fait, mais maintenant, il faut gérer.
… Alors Hector, qu’en penses-tu ?
Je ne sais pas, il me semble que je suis en trop.
À voir le devant de ton pyjama, tu m’as quand même l’air d’être intéressé. Alors tu préfères te joindre à nous ou d’abord avoir un cours privé avec moi ?
Mais je ne l’ai jamais fait !
Qu’en pensez-vous ? Dit Jane en se tournant vers les autres.
C’est un peu rude pour un début, cela demande ménagement répond sa mère.
Mais maman, si tu penses que je suis encore puceau, tu te trompes, j’ai déjà deux fois consommé avec même une femme de votre âge.
Tu m’en diras tant, c’est qui ?
Maman, sois raisonnable, aimerais-tu que je dise partout que vous faites des parties carrées et que vous voulez les transformer en pentagone avec moi ?
Tu as raison mon fils chéri. Excuse-moi.
Alors pour ton pardon, viens me donner une grosse bise maman chérie et après, je retourne au lit en vous laissant, demain, j’ai une dure journée avec un tournoi super important.
C’est ainsi que Martine, le prenant contre elle et l’embrassant passionnément ne peut s’empêcher de sentir contre son ventre la vigueur de son fils, ce qui l’émeut plus que cela le devrait. Hector à la suite part dans sa chambre leurs laissant le champ libre pour s’éclater.
J’ai bien cru qu’il allait participer, dit Jane avec un petit regret, dommage que demain il ait cette compétition.
Bon c’est pas tout ça, si on s’occupait un peu de préparer le cul de mon mari pour son baptême d’enculé. Mets-toi sur le dos qu’on te tartine bien la rondelle si tu ne veux pas trop souffrir, quoi que Jean n’soit pas très large, cela devrait pas être trop douloureux.
Tu ne veux pas avant me faire un pétale de rose au préalable.
Mais je n’ai pas de digue dentaire.
C’est quoi ce truc ?
Un truc de lesbiennes pour ne pas attraper d’IST lors des rapports, mais je plaisantais. Jean, toi qui es spécialement doué, j’ai vérifié, tu ne veux pas t’en charger.
Bien volontiers, vu que c’est moi qui vais en profiter
Sans attendre, il commence à lui faire un anulingus d’anthologie, ce qui amène rapidement Enrico à avoir une bandaison sublime. Mais Jane, connaissant que c’est une gâchette super rapide, digne d’un bon western et ne voulant pas prendre le risque de recevoir sa douche des ovaires réagit :
Arrête, sinon il va partir et ça, je n’ai pas envie de perdre cette bonne marchandise, tartine-lui le rectum et on passe à l’action.
Vous pouvez déjà vous mettre en place, je vais m’occuper d’Enrico doucement et tranquillement pour qu’il garde un bon souvenir de ma visite.
Les trois autres se mettent en place, Martine en premier en ouvrant grand son compas à la convoitise de Jane. Elle de son côté se fait enfiler brutalement par Enrico qui n’en peut plus d’attendre pour libérer ses spermatozoïdes dans les ovaires de Jane, surtout que Jean, bien intentionné lui prépare avec amour le trou du cul qu’il prend tendrement en enfonçant progressivement son long pénis.
Ça va, pas trop mal ?
Non, c’est bien passé, tu peux continuer.
Jane sent quand son mari lui transmet son amour par l’intermédiaire de Enrico, tous ses bourrages, elle les remarque et bientôt elle reçoit la liqueur convoitée qui lui arrose les ovaires, mais paradoxalement, Enrico ne débande pas, il reste bien raide dans son con, alors que Jean continue inlassablement à lui perforer les boyaux. Martine, les yeux écarquillés de bonheur, voit son homme se faire sodomiser.
Elle n’en revient pas qu’il ait accepté, il faut vraiment qu’il l’aime pour accepter de satisfaire ses fantasmes.
Les léchages de Jane sont un peu désordonnés, on sent qu’elle prend son pied et que le plaisir de sa partenaire n’est pas son sujet principal, mais de calmer ses ovaires le plus possible.
Enrico envoie une seconde salve et du coup débande complètement, malgré le piochage ininterrompu de Jean qui prend beaucoup de plaisir à lui bourrer le fion, c’est bien serré, encore plus que chez Martine, c’est un vrai délice, mais voyant que Enrico n’est plus tendu et est même ressorti du con de sa femme, il se dégage et remarque quelques traces suspectes sur sa tige.
Pour continuer, j’aimerais nettoyer, je n’ai pas envie de polluer quelqu’un.
Va à la salle de bain, tu veux que je t’aide ? Demande Martine désireuse de pouvoir encore bénéficier de cette queue hors paire et inlassable.