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Fessée, humiliée et dressée par ma cousine – Chapitre 1

Fessée, humiliée et dressée par ma cousine - Chapitre 1



Je m’en souviens comme si c’était hier, j’étais encore jeune et vivais chez ma mère. C’était à l’époque où nous venions tout juste d’avoir un ordinateur, chose pour laquelle j’avais insisté et pour laquelle ma mère, qui n’y connaissait pas grand chose, avait cédée. C’était une femme gentille mais stricte. Elle était un peu vieux jeu et n’aurait certainement pas appréciée connaître mon historique internet.

Cette histoire se déroula au cours d’une semaine où nous hébergions ma cousine à la maison. Ses parents étant partie en vacances, ma mère avait gentiment accepté de la garder pour une dizaine de jours. Elle s’appelait Sarah, était brune, certe très jolie, mais insupportable. On ne peut pas dire que je l’appréciais, et c’était réciproque. C’était le genre de fille à faire remarque désagréable sur remarque désagréable. Elle était vicieuse, méchante et dangereuse de par son intelligence. C’était une vrai peste, mon ennemie jurée, et elle allait passer ses vacances sous le même toit que moi.   

Le mardi soir, tandis que ma mère était au boulot, je profitai tranquillement de la télévision quand ma cousine vint me casser les pieds.

    ─  Dis, c’est quoi le mot de passe de l’ordinateur ?

    ─  Pourquoi, je te le dirais. C’est pas le tient, je te rappelle !

Bien sûr, je savais que cela ne suffirait pas pour qu’elle en reste là. Elle me harcela un bon quart d’heure avant que, excédé et voulant qu’elle me laisse tranquille, je lui donne le mot de passe. Elle monta s’enfermer dans ma chambre où se trouvait l’ordinateur. J’étais pour ma part content car elle allait me foutre la paix pour le reste de la soirée. Ma quiétude disparut une heure plus tard, quand je réalisai qu’elle avait la possibilité de voir mon historique internet. Ce qui posait problème quand on sait qu’il était en grande partie composé de site porno. Cette simple pensé me terrifia et me fit gravir quatre-à-quatre les escaliers menant à ma chambre. Arrivait dans celle-ci, je put constater qu’il n’y avait personne et que l’ordinateur était éteint. J’eus alors un soulagement relevé par une pointe d’inquiétude. Je me dirigeai alors vers la chambre de ma cousine. Je frappai et elle m’autorisa à rentrer. Elle était assise sur son lit dans une robe de chambre rose qui laissait ses jambes nues en-dessous des genoux. Je ne fus pas rassuré très longtemps, et aussitôt inquiet à la vue du sourire qu’elle me lança. Sourire auquel elle mit fin juste avant de me parler.

    ─  Tu sais cousin, j’ai pu voir ton historique internet.

Ça y est, j’étais fait comme un rat. La garce, qu’est-ce qu’elle avait besoin d’aller voir dans mon historique internet ?

    ─  Et alors ? répondis-je, sachant pertinemment de quoi elle était au courant.  

    ─ Alors ? Et bien on sait maintenant que tu es un gros cochon, un gros cochon de gros pervers. Et je suis certaine que ta mère ne sera pas ravi de l’apprendre.

    ─  Je t’en supplie, ne lui dit rien !

Si ma mère était au courant, se serait la correction assurée, sans parler qu’elle m’enlèverait l’ordinateur, et ce à tout jamais.

    ─  Tu ne veux pas que je le lui dise ?

    ─  Non, surtout pas, ne lui dit rien !

    ─  OK, je veux bien ne rien lui dire.

    ─  Merci !

    ─  En échange, tu me laisses te corriger moi même en te donnant une fessée.

    ─  QUOI ?!

Je n’en crois pas mes oreilles, cette gamine de trois ans ma cadette veux me donner une fessée, à moi ? C’est pas possible, je dois être en train d’halluciner. Et pourtant, ceci est bien réel. Je suis perdu dans ma consternation quand elle me rappelle à la réalité.

    ─  Alors, quel est ton choix ?

Je suis mortifié, je n’arrive pas à y croire. Soit je me fait fessé par cette garce, soit elle raconte tout à ma mère. Je suis obligé d’accepter.

Bon, tu te décides !

j’accepte.

Et tu acceptes quoi ?

une fessée » dit-je à voix basse. La peste, elle était aux anges. Moi, je voulais que ça s’arrête au plus vite. Je m’approchai donc d’elle pour lui présenter mes fesses. Elle était assise sur son lit, dans sa robe de chambre rose, à me regarder d’un air choqué.

Non, mais qu’est-ce que tu crois ? Que je vais te donner une simple claque sur les fesses et que tu pourras repartir comme si de rien n’était !

Qu’est-ce que tu veux dire ? lui répondis-je en commençant à comprendre ce qu’elle avait en tête.

Ce que je veux dire, mon cher cousin, c’est qu’une vrai fessée se donne cul nu !

Tu ne crois quand même pas que je vais me mettre tout nu devant toi ?

Mais bien sûr que si !

J’étais estomaqué, elle n’avait pas pu dire ce qu’elle venait de dire. J’étais trop vieux pour être fessé cul nu, surtout par cette peste qui avait trois ans de moins que moi ! Ce n’était pas possible.

    ─  Je ne le ferais pas !

    ─  Pourquoi tu chipotes comme ça. Tu n’as pas le choix de toute façon !

Elle avait raison, je n’avais pas le choix, j’étais vaincu.

    ─  Bon, je vois que tu n’est pas décidé à le faire. T’inquiète pas, je vais m’en occuper ! Approche toi et mes tes mains derrière la tête !

Je la regardai un instant, immobile, l’esprit encore choqué par ce qu’elle venait de dire. Et puis, j’exécutai ses ordres. Je m’approchai du lit où elle était assise, et mis les mains derrière la tête. Elle eu un sourire de satisfaction, elle avait gagné.  

    ─  C’est bien, je vois que tu as enfin compris qui commandée dans cette maison. Garde bien tes mains derrière la tête et tu n’as pas intérêt à me désobéir.   

Je resté immobile, choqué par la situation. Elle commença à me déshabiller, défaisant la boucle de ma ceinture avant de s’occuper de ma braguette. Elle prit les deux coté de mon jean et le fit descendre le long de mes jambes jusqu’à ce qu’il rejoigne mes pieds. Là, elle m’en fit lever un, puis l’autre, pour me retirer complètement mon pantalon qu’elle jeta dans un coin de la pièce.      

    ─  Lève bien les bras s’il te plaît !

Je les levais tandis qu’elle prenait le bas de mon t-shirt et le remontait le long de ma poitrine jusqu’à le retirer complètement, lui aussi. Elle le jeta en boule dans le même coin que mon jean. J’étais maintenant en slip devant elle. L’humiliation était de plus en plus forte, et je pouvais voir à sa mine ravis, que ce n’était là qu’un début. Dans un sursaut d’orgueil, je trouvai le courage de lui dire « Pas le slip, s’il te plaît !

    ─  Allons cousin, on ne vas pas s’arrêter en si bon chemin !

Sur ces mots, elle prit mon slip et le descendit d’un seul coup, me faisant lever un pied, puis l’autre, avant d’envoyer mon slip avec mon pull et mon jean. J’étais alors complètement nu, mon entrejambe offert au regard de ma cousine.

    ─  Je savais bien que tu avais une petite bite. Mais je ne l’imaginais pas si ridicule.

Elle eu un sourire en observant mon sexe complètement recroquevillé par l’humiliation que j’étais en train de subir.

    ─  Bon, on a bien ri, passons maintenant aux choses sérieuses !

Elle me fit placer mon corps en travers de ses genoux. Elle caressa légèrement mes fesses de sa main droite.

    ─  Quand les petits garçons ne sont pas sage, une bonne fessé déculotté, il n’y a que ça de vrai !

Pour lier l’acte à la parole, elle commença à frapper mes fesses avec ses mains. Si le châtiment ne fit pas bien mal au début, l’enchaînement continu des claques commença à me faire ressentir une vive douleur. Quand elle commençait à avoir mal à une main, elle passait à l’autre. Moi, j’étais condamné à subir sans broncher. Je ne pouvait pas me permettre de pleurer devant cette petite peste. Elle dut bien me donner une centaine de claques avant d’arrêter le supplice. Quand elle le fit, ce fut un soulagement tant je pense que je n’aurais pas pu tenir plus longtemps.

    ─  Tes fesses sont déjà bien rouges ! Lève toi et garde tes mains derrière la tête !

Je m’exécutais, trop content de ne plus avoir à subir la fessé. Le regard de ma cousine s’arrêta sur mon pénis, que le fait d’être nu devant elle avait mit en érection.

    ─  Mais tu bandes ! Espèce de gros porc ! Tu n’as pas honte de bander devant ta cousine ! Tu mérite une vrai punition ! Ne bouge pas, je reviens.

Ses paroles m’avaient terrifiées au plus haut point. Qu’avait-elle en tête. Quand je la vie revenir avec une brosse à cheveux dans les mains, je compris que j’allais passer un sale quart-d’heure. Elle me fit me remettre en position pour la fessée et me tambourina les fesses avec son instrument de torture improvisé. Si je put résister au début, je fus vite envahie d’une douleur que je ne put contenir. Je fondis en larme, la suppliant d’arrêter.

    ─  Je t’en supplie arrête. Tu as gagné ! Je ferais tout ce que tu voudras, mais arrête !

    ─  Absolument tout ce que je veux ?

    ─  Tout ! Mais arrête, je t’en supplie.

À cet instant, elle arrêta la fessé, je lui en fus infiniment reconnaissant. Elle posa la brosse sur le lit et me laissa me lever. Je n’était pas encore complètement droit qu’elle se remit à me donner des ordres.

    ─  Met toi à genoux ! Tout de suite !

J’obtempérais, trop content de ne plus avoir à subir la fessé.

    ─  Maintenant, je veux que tu dises que je suis la plus belle !

J’avais été trop malmené jusque là pour pouvoir résister.

    ─  Tu es la plus belle.

Aussitôt avais-je fini ma phrase que je me pris une énorme baffe dans la figure.

    ─  Comment tu oses me tutoyer ?! À partir du maintenant tu vas me vouvoyer !

    ─  Oui.

    ─  Oui, Maîtresse Sarah !

    ─  Oui, maîtresse Sarah.  

    ─  Bien, bon chien !

J’étais au comble de l’humiliation, elle m’avait maté, apprivoisé.

    ─  Maintenant, baise-moi les pieds !

Et vous savez quoi ? Je l’ai fait, j’ai baissé la tête et lui est embrassé les pieds. Je l’ai fait comme le bon petit chien qu’elle avait fait de moi. Je lui est embrassé les pieds, à genoux et totalement nu. Et je peux le dire sans honte, j’ai aimé ça. Oui, et même qu’à partir de ce jour, je n’ai eu de cesse d’aimer Maîtresse Sarah, celle dont je suis devenu le chien fidèle.               

    

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