Je regarde l’avocate. Elle m’a demandé de venir à son cabinet pour clore le dossier du divorce avant de voir la juge. C’est une petite brune,mince. Elle est vêtue d’un pantalon assez serré ce qui lui fait un beau cul, d’un chemisier classique un peu transparent qui permet d’apprécier sa poitrine. Elle a les cheveux mi-long, maquillée avec discrétion. Elle demande à sa secrétaire d’amener mon dossier.
Celle-ci rentre dans la pièce avec une chemise sous le bras, elle me regarde avec un petit sourire et quand elle marche, je vois ses fesses bougées comme si elle était dans un peep-show. Elle est blonde plus grande que sa patronne, une belle poitrine. Elle donne le dossier à l’avocate et attend.
— Bien, dit l’avocate, voilà les griefs de votre femme à votre égard. Ils sont, disons, étonnant. Elle ne vous reproche rien de spéciale sur la vie sociale et même sur le partage des tâches ménagères. Non, son reproche est clair, vous avez un trop grand besoin sexuel pour elle. Je cite : En semaine, vous lui faisiez l’amour tous les matins au réveil, le soir quand vous rentriez du travail et juste avant de vous endormir. C’est-à-dire trois par jour, mais ce n’est pas tout, le week-end, vous lui faisiez en plus l’amour le midi et dans l’après midi c’est-à-dire 5 fois par jour. Elle ne le supporte plus, elle ne vous supporte plus. Elle a juste envie d’entrée au couvent.
Je la regarde et rigole.
— Qu’elle rentre au couvent, de toute façon, elle ne sait pas baiser
— A parce que, c’est quoi savoir baiser selon vous
— C’est savoir remuer son cul, faire plaisir à l’homme et obéir à son homme.
— Obéir à son homme? Vous croyez que la femme doit être soumise à son homme peut être?
— Oui. Chez moi, c’est comme cela. La femme doit obéir et être à ma disposition
— Et savez-vous baiser? Parce que, la quantité, c’est une chose mais la qualité, c’est une autre
— Voulez-vous essayer? Essayer, c’est m’adopter et vous savez de quoi il retourne
Elle a fait le tour du bureau pour s’approcher de moi.
— Nous sommes deux. Laquelle voulez-vous en premier, la grande blonde ou la petite brune?
Je ne réponds pas, me contentant d’attraper ses cheveux, de la forcer à se mettre à genoux. Je me lève, sors mon sexe.
— Commencez par me sucer pour voir
Julie, c’est le prénom de l’avocate, ne se fait pas prier. Au bout de cinq minutes :
— C’est vrai, tu es une bonne suceuse, Voyons si la blonde suce aussi bien que toi
— Allez, à toi de jouer Carine dit Julie
La blonde se met à genoux à côté de Julie et entame une fellation avec ardeur
— Difficile de vous départager toutes les deux.
Pendant ce temps, Julie s’est déshabillée. Elle est menue avec de petits seins et des tétons tous durs
Un minou très peu poilu pour une brune. On peut bien voir ses grandes lèvres. , les petites lèvres dépassent légèrement.
Je relève Julie en la prenant par les cheveux, m’assoie sur la chaise, la fait mettre à califourchon sur moi. Elle prend ma queue avec sa main et la guide dans son vagin. Il suffit d’un va et vient pour que ma queue rentre. Julie ferme les yeux. Je lui prends les tétons et m’amuse à les tirer, les tourner.
Je regarde Carine :
— Déshabilles toi et mets toi à quatre pattes, ton cul vers moi que je le vois bien.
Carine sexécute pendant que je continue à m’amuser avec les tétons de l’avocate. Je tire dessus vers le haut et ensuite vers le bas forçant Julie à suivre le mouvement. Elle gémit doucement, met ses mains dans le dos. Au bout de quinze minutes de ce traitement, je dis à Julie de se mettre à côté de Carine et dans la même position. Je vois les deux culs.
Je me lève, me mets à genoux derrière le cul de Carine et je l’empale d’un seul coup. Cela rentre tout seul, ma queue est bien lubrifiée et Carine mouille. Je fais plusieurs va-et-vient et ressors, me mets devant le cul de Julie et lui fait la même chose, je ressors et recommence avec Carine. De ma main droite, je caresse les fesses de Julie, lui donne quelques claques bien sonores et commence à rentrer un doigt dans sa chatte, puis deux doigts, un troisième. Je continue à pilonner la blonde qui couine de plus en plus fort. Je sors d’elle et rentre dans la chatte de Julie et de ma main gauche fait subir à Carine le même traitement qu’à Julie. Je fais cela plusieurs fois, les fesses des deux filles sont bien rouges. Enfin je me retire, je vais devant elles et j’éjacule sur leurs visages. Je vise la bouche, les yeux, le nez.
Une fois finie, je me lève, me rhabille et m’assoie comme si de rien n’était. Les deux filles restent à quatre pattes et se lèvent à leur tour. Le sperme commence à sécher, elles se passent un kleenex sur le visage et s’habillent.
Julie retourne à sa place et me fait face. Carine reste à côté de moi.
— Je pense que Carine sera d’accord avec moi, vous êtes un bon baiseur et endurant ce qui ne gâte rien.
— Tout à fait, cela faisait longtemps que je n’avais pas joui comme cela, ajoute Carine
— Et bien, vous voyez ce que perd mon ex femme
— En parlant de votre ex femme, elle m’a dit quelque chose qui m’a étonnée. Vous l’auriez vendue aux enchères? dis Julie
— C’est exact. A William, son futur mari d’ailleurs.
— Comment cela vendue aux enchères?
— Très simple. Je l’ai mise sur une estrade, nue. Je lui ai demandée de tourner sur elle-même, de soulever ses seins en prenant les tétons, d’écarter ses grandes et petites lèvres , de faire voir son cul, de se baisser jambes tendues, d’écarter ses fesses. Les personnes qui étaient présentes ont pu la palper, voir pour certaine rentrer des doigts dans ses orifices, d’ailleurs William lui a mis deux doigts dans le cul et lui a fait lécher après.
— Vous êtes un salop
— Mais non, je vous assure, elle mouillait comme une folle.
— Remarquez, dit Carine, rien que d’entendre ce que vous dites, cela me fait de l’effet
— Et, ensuite, les personnes qui étaient là ont enchéri
— Mais c’est interdit
— Bien sûr, c’est interdit mais j’en connaissais l’issue, je m’étais mis d’accord avec William et l’assistance. Il n’y a qu’elle qui ne savait pas. Et d’après ce que m’a dit William, elle a su le remercier plus que ce qu’il n’escomptait. Et l’enchère nous a permis d’aller au restaurant tous les trois. Ah, j’oubliais de préciser, William était déjà son amant.
Pendant que je parle, je caresse le cul de Carine qui ne dit rien. Julie me voit faire.
— Vous êtes…vraiment, vous êtes…incroyable. Vous nous dites cela, tout en caressant les fesses de ma secrétaire, comme quelque chose d’ordinaire. Alors que non, ce n’est pas ordinaire.
— Merci, je le prends comme un compliment
Un long silence s’installe
— Heu… Je voulais vous dire, que nous avions lu votre dossier, Carine et moi et que… que cela nous avait excité et c’est pour cela que nous avions convoqué à la fermeture du cabinet au cas où, mais la suite n’était pas prévue.
— Et la suite vous a convenu?
— On a été beaucoup plus loin que je ne le pensais
— Vous n’avez pas répondu à ma question, Julie. La suite vous a-t-elle convenu?
J’ai parlé d’une voix ferme, sans crier ni hausser la voix, mais avec une intonation qui ne laisse aucun doute. Je veux une réponse
— heu…
Elle baisse les yeux
— heu…Oui…j’y ai pris beaucoup de plaisir, comme Carine, cela faisait longtemps que je n’avais pas joui comme cela. Mon mari n’est pas un très bon amant et la chose ne l’intéresse que très peu.
— Et bien voilà, ce n’est quand même pas difficile à dire. Tu a pris ton pied.
J’ai gardé le même ton et employé le tutoiement à dessein. Pendant tout le temps de cette conversation, j’ai caressé le cul de Carine en lui pinçant de temps en temps légèrement les fesses. Carine ne dit rien et a juste écarté un peu les cuisses.
— Oui, comme tu dis, j’ai pris mon pied, répond Julie
— Je ne t’ai pas permis de me tutoyer. Ce n’est pas parce que je t’ai baisée que je te permets de me tutoyer
— Veuillez m’excuser
— Voilà, tu comprends vite Julie et toi Carine , enlève ta culotte et donne la moi.
Carine l’enlève, me la tend. Je la prends, la regarde, elle est trempée.
— Ouvres la bouche et penches toi vers moi
Carine ouvre la bouche. Je prends la culotte et lui mets dans la bouche.
— Fermes ta bouche et mets toi en position à côté de moi, mains dans le dos, cuisses écartées.
Carine se met en position. Ma main passe sous sa robe et je m’amuse à tirer sur ses grandes lèvres. Je regarde Julie qui n’a rien dit. Elle est toujours assise à son bureau.
— Je vous propose une chose, dis je. Julie téléphone aux maris, trouve une excuse quelconque et on passe la soirée ensemble. J’ai envie de m’amuser et il faut que je baise. Carine, si tu es d’accord , hoche la tête.
Carine hoche la tête. Je n’avais aucun doute, Carine n’attend que cela et elle ne sera pas déçue
— Et toi, Julie?
Julie ne dit rien, décroche le téléphone et appel.
— Allo, Chérie… Voilà, j’ai un dossier à finir, je ne sais même pas si je vais rentrer, tout dépend à quelle heure ont fini avec Carine. Si on finit trop tard, je me débrouillerai pour coucher à l’hôtel. Bisous mon amour.
Elle raccroche et appelle le mari de Carine. A ce moment, je m’amuse à mettre deux doigts dans la chatte de Carine. Je remue mes doigts, sa chatte est trempée, elle fait du bruit quand je remue de plus en plus vite mes doigts, un va-et-vient rapide. Je sens Carine jouir, un son étouffé sort de sa bouche.
— Allo, Léo…Oui, c’est Julie. C’est pour vous dire que nous avons du retard sur des dossiers et que nous allons travaillé très tard ce soir. Carine ne sait pas si elle rentrera, vous habitez assez loin et elle n’est pas très rassurée la nuit. Alors, si vous ne la voyez pas, ne vous inquiétez pas. Au revoir
Julie me regarde:
— Voilà, c’est fait.
— Très bien, on va pouvoir s’amuser