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2 trous et 23 cms – Chapitre 4

2 trous et 23 cms - Chapitre 4



Suite..

Les deux femmes, mère et fille s’occupèrent toute la matinée, Julia rangea la maison, pendant que Cécile, s’en alla en ville faire quelques courses, elle avait décidé de ne pas aller à la fac l’après-midi pour seulement une heure trente de travail. Vers midi, elles se retrouvèrent pour prendre un repas léger. Pendant qu’elles faisaient la petite vaisselle à la main, Julia demanda à sa fille ce qu’elle comptait faire :

— Rien de spéciale maman ! Je vais bronzer un peu, ranger ma chambre, mais si tu as une idée particulière, je suis toute ouï !

— Non ! Rien de spécial, je vais préparer le repas de ce soir, puis ensuite on verra. Tu sais que ton père va rentrer dans le milieu de l’après-midi et j’ai envie que nous lui fassions une surprise, qu’en penses-tu ?

— D’accord avec toi, mais qu’elle surprise veux-tu lui faire, as-tu une idée ?

— Non, justement je comptais un peu sur toi pour apporter de l’eau à mon moulin.

— Et bien, j’en ai une idée et je suis certaine qu’elle va te plaire. Nous allons nous mettre toute nue toute les deux, comme si nous étions dans un camp de nudiste, nous, on ne se touche pas en l’attendant d’accord ?

— Je suis partante ma chérie, il va être drôlement surpris.

— Tu me laisseras faire lorsque je te ferai signe, car je veux le punir de t’avoir tout dévoilé sur mon envie de faire l’amour avec lui comme avec toi.

— D’accord ma fille chérie, ma petite salope, tu es comme moi, à la maison je veux vivre rien que pour baiser et maintenant que tu participes avec nous, je vais me régaler, une baise à trois lorsque ton père sera présent et une baise avec toi lorsqu’il sera absent, rien que d’en parler, je vois déjà la scène, j’ai des picotements dans le bas ventre et toi ma chérie ?

— Moi aussi ma salope de maman, on se ressemble comme des jumelles et en plus on aime baiser à en crever et comme en plus papa à une queue extraordinaire, on ne peut qu’en redemander, sa liqueur d’amour est délicieuse et le mieux, c’est qu’il bande encore après avoir largué la purée. Je regrette de ne pas avoir parlé avec lui et avec toi quelques années avant. Viens que je t’embrasse à défaut de te faire jouir !

Les deux femelles en chaleur n’avaient qu’une envie se lécher la moule, de s’introduire un ou plusieurs doigts ou la langue dans le vagin, mais la sagesse l’emporta sur le désire mutuel. L’une à côté de l’autre, on constatait la même grandeur, un mètre soixante-dix, les cheveux tombant juste sur les épaules, une poitrine aussi ferme de l’une comme de l’autre elles pouvaient être fière de leur seins, même un Saint ou voir le diable n’auraient pu résister à la tentation de les toucher, de les caresser voir de les lécher. Je ne décrirai pas le ventre, le fessier et les jambes, car vous lecteurs ou tout autre personnage banderai comme un turc et aurait des envies de les toucher.

Pour Claude, il pouvait assouvir son envie de les caresser, de promener sa langue sur toutes la surface des deux corps, déjà qu’il ne pouvait s’empêcher de bander dès qu’il les voyait, quelle chance il avait, il faut dire, qu’il aimait baiser et comme sa femme faisait l’amour à merveille, qu’elle aimait tout, la fellation, la sodomie, qu’elle jouissait par tous les trous et qu’il était certain que sa fille serait identique à la mère alors que pouvait-il demander de plus.

Après le long et fougueux baiser, les deux jouisseuses s’installèrent dans le salon avec chacune une bière, et vers 15 h30, Claude entra dans la maison, à l’instant même, où il fermait la porte d’entrée, il vit les femelles toute nue et celles-ci en cur, elles dirent :

— Bonjour mon chéri !

Voyant la tête de Claude, éberlué, scotché devant les deux nymphes à poil, elles se regardèrent et éclatèrent de rire. Elles entourèrent de leurs bras le mari et papa et chacune l’embrassa sur la joue.

— Tu as repris tes esprits mon chéri ? Lança Julia, on voulait te faire une surprise, je crois qu’elle est réussie.

— Comme vous êtes belles toutes les deux sans vêtement, je parie que vous avez baisé en mon absence ?

— Non ! Reprit Cécile, nous avons fait l’amour ce matin, mais depuis rien, nada, on t’attendait, et maman et moi, avons décidé de ne pas se toucher avant ce soir dans la chambre, nous allons rester dans cette tenue le reste de l’aprèm et aussi pour le dîner, voilà mon chéri, ensuite tu nous baiseras comme tu le voudras, tes deux salopes vont te vider les couilles, ensuite le temps que tu recharges les batteries, maman et moi nous allons se léchouiller le minou, c’est un programme qui t’enchante ou pas ?

— C’est évident qu’il m’enchante, n’importe quel homme répondrait la même chose que moi ! En attendant, je vais aller me mettre dans la même tenue que vous.

— Non ! Papa tu restes habillé, tu peux te mettre un jean bien serré cela me ferait plaisir, mais tu peux rester torse nu, ok papa ?

— Ok ! Mais ma fille chérie tu veux me faire souffrir jusqu’à ce soir dans la chambre ?

— Oui ! Comme cela tu seras encore plus excité, tu nous baiseras encore mieux, enfin je l’espère !

Une fois Claude partit se changer, Julia posa la question du jean à sa fille.

— Pourquoi lui as-tu demandé de mettre un jean serré ?

— Pour qu’il ait mal aux couilles à force de bander car de nous voir ainsi, sur qu’il va être excité au maximum, jusqu’à ce que l’on dîne, je te demande de me caresser ou de déposer un baiser sur ma bouche puis au repas, tu te placeras à côté de moi car j’ai envie de voir sa tête lorsque je te caresserai tes seins, toi tu enfonceras un doigt dans ma chatte et je te retirerai ta main ensuite on verra sa tête, il va bouillonner sur sa chaise, il va bander comme un âne et on verra sa réaction.

— Alors les filles on y va ? Qu’est-ce qu’on fait maintenant ?

— Toi ! Rien mon chéri ; répondit Julia, tu vas t’installer dans le fauteuil avec une bière et nous enfin si Cécile est d’accord on va se lécher la chatte une fois installée sur le divan. Tu vas être comme au théâtre, un spectateur qui regarde une scène d’amour porno tout simplement.

— D’accord maman j’en ai très envie de ta chatte, mais toi papa, tu ne bouges pas du fauteuil, tu n’auras pas le droit de nous toucher avant ce soir, enfin on verra après.

-Ok, mais je vais bander comme un dingue et en plus je vais être très serré dans mon jean, je vais avoir mal si en plus je n’ai pas le droit de me branler !

— En effet tu n’auras pas le droit de te toucher la queue, c’est ta punition, maman et moi avons décidé de te faire souffrir un peu pour avoir dévoilé rapidement mes envies de baiser avec toi et avec maman. Tu es prêtes maman, puis enfin de compte on va pousser la table basse et on va se mettre sur le tapis on aura plus de place que sur le divan.

Rien que de regarder ces deux femmes si belles en tenue d’Êve, Claude sentait son sexe prendre du volume, instinctivement il replaça sa queue afin d’avoir moins mal, quelle garce ces deux-là se dit-il, mais je vais bien les ramoner après pour me venger. Les deux femelles commençaient par s’embrasser à pleine bouche, leur langue virevoltait entre elle dans la bouche de l’une ou de l’autre, pendant que les mains jouaient avec les seins ou bien caressaient la chatte ou malaxaient les fesses. Claude en oubliait presque de boire sa bière tellement il absorbé par le langoureux baiser et les mains qui s’emparaient du corps de l’une ou de l’autre. Il savait que la tension et l’excitation montaient de plusieurs degrés à chaque seconde qui passait.

Julia vit son mari qui commençait à frétiller sur le fauteuil et qu’il commençait à enlever sa ceinture, le pauvre souffrait de cette situation. Sa tige gonflée à bloc et emprisonnée, ses couilles comprimées primo dans son slip puis par le jean, le calvaire commençait à paraître long et le spectacle n’était pas fini ! Si seulement je pouvais me branler se dit-il !

Les deux femmes s’étaient mises en position du 69, la fille sur sa mère, la tête de chacune coincée entre les cuisses, seule la langue agissait entre les lèvres toutes humides, cette langue s’enfonçait au maximum dans le vagin afin de faire jouir l’autre et de récolter le plus possible de cyprine. Ces deux femelles étaient bien dignes de l’une comme de l’autre. Puis Cécile releva la tête et dit :

— Maman chérie, ma petite salope à moi, je voudrais quelque chose dans le cul pendant que tu me lèches le minou !

— Bien ma chérie, allez ma chérie à quatre pattes, je vais glisser ma tête entre tes cuisses pour pouvoir continuer à te lécher et ce sera plus facile pour moi de t’enfoncer un ou deux doigts dans le fion, toi tu pourras me faire jouir avec tes doigts ou avec ta langue si tu le peux !

Cécile était heureuse, elle avait deux doigts dans le cul qui s’activaient dans le rectum et une langue lapait la cyprine qui coulait en abondance. Après une dizaine de minutes l’une comme l’autre ne voulait plus se retenir, elles voulaient crier leur jouissance.

— Allez ! Bande de salopes, de vicieuses, vous allez jouir maintenant, moi je n’y tiens plus et j’ai très très mal aux couilles et à mon glande qui se trouve coincé, vous allez voir tout à l’heure, je vais vous en mettre plein le cul et la chatte, je vais tellement vous ramoner le fion que vous allez me supplier d’arrêter.

— Ouai, ouai ! De belles promesses papa ! Je vais jouir maman, et je veux que tu jouisses en même temps que moi, comme c’est bon, je jouiiiiiii au oui chérie.

— Moi aussi je jouis mon amour de fille salope en plus, c’est merveilleux de te lécher et de te boire, je t’aime mon amour de fille, Cécile je t’aime comme une mère doit aimer sa fille, mais je sens en moi un amour naissant comme on aime une amante ou comme une femme aime un homme.

— Merci maman de me dire cela car je n’osais t’avouer que depuis longtemps je ressens un amour différent pour toi, j’ai toujours celui d’une fille envers sa mère, mais le désir de te posséder et d’être possédée par toi à fait grandir cet amour. Maintenant tu es toujours ma mère mais également mon amante, ma femme, ma salope d’amour. Je serai ta pute et toi la mienne, je veux que ta chatte jouisse sous ma langue, sous mes caresses, je veux t’enculer à fond avec un bon gode ou un légume, je veux te faire jouir en te sodomisant comme papa te le fait avec sa grosse queue, je t’aime tant sale pute !

— Tu pourras tout me faire ma salope de fille, ma fille cette petite pute à moi et à son père, tu peux me croire chérie, je te ferai jouir comme jamais tu as joui, et pendant que je te baiserai n’importe quel trou ton père m’assistera, il t’embrochera le trou du cul avec son énorme bite, tu vas en voire de toute les couleurs ma chérie, car même si tu baises bien, nous avons encore des choses à t’apprendre.

— Maman chérie, je suis partante pour tout, installons-nous sur le divan afin de reprendre nos esprits et regarder papa.

— Et bien mes salopes de femelles on peut dire que vous avez le feu au cul et je trouve que ma punition est peut être mérité, mais elle dure trop longtemps, permettez-moi de me foutre à poil comme vous, et je vous promets de ne pas vous toucher. Puis j’ai une proposition à vous faire.

— J’espère que c’est une proposition honnête, lança Julia. Pas de cochonnerie j’espère !

— Ma douce chérie, au point où nous en sommes dis-moi ou se trouve la limite de la cochonnerie, pour moi, faire l’amour comme dans un film porno et comme le font beaucoup de couples ce n’est pas de la cochonnerie.

— Allez accouche papa !

— Je propose que tous les trois on se mette nu dès qu’on arrive à la maison, puisqu’on aime baiser, on aime se toucher, se caresser, et cela n’importe où dans la maison, à n’importe quelle heure. Je veux enfin je souhaite que si je dis Cécile ma chérie, suce moi ou bien écarte les cuisses alors tu fais tout et acceptes tout sans rien dire, il en va de même pour Julia et pour moi, si l’une de vous a envie d’être défoncée, et je ne refuserai jamais, bref vous voyez ce que je vous demande, que l’une de vous fasse la vaisselle et que je m’amène derrière elle pour la caresser, et la sodomiser, il n’y aura pas à dire NON !

Les deux femmes en cur répondirent par un grand oui ! Puis Julia dit à son mari avec l’accord de Cécile qu’il pouvait enlever son jean et son slip, ce qu’il fit rapidement n’u tenant plus d’avoir la queue et les couilles comprimées dans le vêtement. Cécile se pencha vers sa mère et lui parla :

— Tu n’as pas envie de le sucer ? Moi oui ! Si tu acceptes, on va le branler et le sucer le plus longtemps possible, s’il part trop vite ta main ou la mienne on lui serrera la tige à hauteur du gland pour qu’il ne jute pas tant qu’on ne l’aura pas décidé.

— Ok, d’accord, mais tu veux lui faire encore du mal !

— Oui ! Rassure toi maman ce sera la dernière fois, on y va ?

Les deux femmes se levèrent ensemble et en deux pas elles se retrouvèrent à genoux devant Claude qui d’une main tenait sa queue et de l’autre caressait ses couilles endolories.

— Laisse nous faire mon chérie, dit Julia, Cécile et moi on va te soulager mais à une seule condition, c’est que nous prenions toute la directive de cette fellation ainsi que le moment où tu auras le droit de déverser ta semence, il faudra également que tu partages entre nos deux bouches ta liqueur d’amour.

— Ok chérie ! Mais dans un premier temps, je voudrais vous rouler une bonne pelle.

Il n’attendit pas l’acceptation des deux femelles en chaleur, Il embrassa Julia en premier et pendant ce temps Cécile commença à branler la longue et belle tige de son père, puis deux ou trois minutes après ce fut le tour de Julia de branler la bite de son époux.

Vous aurez la suite début janvier Bonne fin d’année à vous.

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