Amira venait d’être découverte par sa mère alors qu’elle s’adonnait au plaisir oral avec son chien. Elle s’était imaginé lui dispenser une pipe pour lui souhaiter une bonne nuit, et remonter dans sa chambre pour se masturber en y repensant. Maintenant, elle avait bien l’impression d’aller au-devant d’au-moins une heure d’ennuis.
Sa mère l’attrapa par le poignet et la fit se lever. Choquée, elle regarda le corps nu, rouge d’excitation, de sa fille, et lui infligea une gifle pour lui montrer son offusquation. Silencieuse et frustrée Amira se contentait d’attendre. Par terre, Orion ne comprenait pas tout. Sa grande verge était toujours bandée, et le bas résille tendu dessus rendait la scène encore plus obscène.
Sans laisser sa fille se rhabiller, la mère d’Amira l’entraîna à-travers le jardin, sur le porche, puis dans le salon, devant son père qui regardait les informations à la télévision. Il se redressa immédiatement en voyant arriver sa femme verte de rage et sa fille nue, avec un seul bas en résille et des sandales de danseuse du genre qu’on sait.
S’ensuivit une longue discussion entrecoupée d’éclats de voix, de quelques sanglots, et d’une manière générale, une humiliation caractérisée de la jeune fille, qu’on ne laissa même pas aller s’habiller.
Choqués, ses parents lui interdirent dorénavant de se retrouver seule avec son chien. Elle essaya de faire pression, mais devant la menace que ses parents le donnent à un refuge, elle se plia immédiatement.
Quelques jours après, elle intégrait un groupe de réflexion où elle rencontra des gens qui avaient des problèmes d’ordre sexuel. Certains étaient attirés par les enfants et craignaient de succomber, d’autres ne supportaient pas les conséquences de certains fantasmes. Il y avait aussi des homosexuels qui se refusaient, et surtout, une certaine Joanne, zoophile à qui les parents avaient arraché son chien et sa chienne en découvrant que la chambre de la jeune fille était devenue le lieu de partouze bestiale de leur fille bisexuelle.
Amira se rapprocha naturellement de Joanne, parce qu’elles avaient le même âge. Mais elles avaient plus d’un point commun, et quand l’occasion d’en discuter se présenta, chacune se rendit compte que l’autre était aussi là contre son gré, et que toutes deux n’aspiraient qu’à remettre le couvert. Et comme Amira était la seule à avoir encore son partenaire canin, elle décida d’inviter Joanne chez elle.
Les parents d’Amira ne savaient pas où leur fille avait rencontré son amie, ce qui allait contribuer à l’enfumage recherché par celles-ci. Après des présentations sommaires, elles montèrent à l’étage, dans la chambre d’Amira, et s’assirent sur le lit de la jeune fille pour discuter. Amira attendait quelque chose, et quand elle entendit les escaliers craquer, elle interrompit Joanne:
— Attends, mets la main dans mon pantalon.
— Quoi? Mais…
— Chut! Fais vite!
Joanne obéit, et Amira se pencha un peu en arrière. Une seconde après, sa mère entra, sursauta en voyant Joanne retirer précipitamment sa main, et s’enfuit en s’excusant. Quand la porte fut fermée, Joanne s’écria:
— Tu veux passer pour une lesbienne maintenant?
— Oh non! Répondit Amira. Je voulais juste m’assurer que Maman me laisse tranquille. Si on sort pas de ma chambre, on est bonnes jusqu’à ce soir.
— …pas mal! Commenta Joanne.
Amira se leva et demanda:
— Tu veux regarder Orion?
— Ton chien? Où il est?
Amira ouvrit sa fenêtre et le désigna, dans la cour:
— Il est là.
Joanne jeta un coup d’oeil au dogue allemand qui dormait à-côté de sa niche, et lâcha:
— Il est vraiment beau!
Amira retourna au milieu de sa chambre et ouvrit une commode, dont elle sortit une paire de bottines à talons aiguille.
— Tu vas voir un truc, attends…
Joanne la regarda se déshabiller et enfiler les bottines. Quand elle fut prête, Amira alla s’asseoir à-cheval sur le bord de la fenêtre, et appela le chien pour qu’il contemple sa nudité. Même de loin, elle pouvait l’exciter en exhibant ses belles jambes magnifiquement chaussées, et se livrait souvent à cet exercice.
— Regarde-le, il est en train de bander! Nota-t-elle.
Joanne ne répondit pas, alors Amira se tourna pour la chercher. Elle s’aperçut alors que son amie s’était déshabillée elle-aussi, et qu’elle mettait une paire de chaussures.
— Mes chiens adoraient que je m’habille sexy. Expliqua-t-elle. Ca me manque de faire l’amour avec eux.
— Tu veux venir ici et exciter Orion avec moi? Proposa Amira.
— On va faire mieux que ça, attends… Fit Joanne, en s’approchant.
Elle vint s’asseoir elle-aussi à-cheval sur la tablette de fenêtre, faisant les ciseaux avec Amira. Charmée, celle-ci confia:
— J’ai jamais fait l’amour avec une fille… Ni aucun être humain d’ailleurs!
— Moi j’ai déjà essayé, mais je préfère les chiens. Répondit Joanne.
Amira jeta un coup d’oeil nostalgique à son chien, et confia:
— Mes parents surveillent beaucoup trop Orion pour que je puisse le toucher. Ça fait un mois qu’on fait plus rien.
— Tu le faisais jouir souvent? Demanda Joanne.
— Quasiment tous les jours.
— Sans te faire attraper?
— Je le faisais loin d’ici la plupart du temps, mais je me suis fait prendre ici.
Joanne jeta un coup d’oeil à Orion, qui les regardait encore, et demanda encore:
— Tes parents savent que je suis zoophile moi-aussi?
— Non, t’es folle! S’ils l’apprennent ils vont te tuer. Fit Amira.
Joanna hocha la tête pensivement, mais n’ajouta rien.
Assises sur le rebord de la fenêtre, les filles se firent plaisir pour calmer leurs ardeurs, et se rhabillèrent tranquillement en prévision du dîner. Quand elles descendirent, elles affrontèrent la mère d’Amira, qui croyait maintenant sa fille devenue lesbienne, et Joanne profita d’un moment de calme pour "remarquer" la présence d’Orion:
— Oh! Vous avez un chien? Comment il s’appelle?
— Orion. Répondit le père d’Amira. Vous pouvez aller le voir si vous voulez.
— Il a pas le droit d’entrer? Insista Joanne.
— Ah, si! Avoua-t-il.
Il avait le droit d’entrer, mais c’est maintenant Amira qui n’avait plus le droit de le faire entrer si elle n’était pas sous surveillance. Quoiqu’il en soit, Joanne profitait d’une innocence par-défaut qui semblait permettre l’exception, et Amira commençait de comprendre son plan…
Quelques minutes après, les filles remontaient dans la chambre d’Amira, et Orion les suivait.
— Couche-toi, Orion. Couché, vas à ta place! Ordonna-t-elle.
Amira prit le relais et le fit s’installer au pied du lit. Elle interrogea son amie du regard, et celle-ci demanda:
— Allume ton ordinateur, on va sur Facebook le temps que ta mère vienne nous contrôler.
Elle avait bien compris la mécanique de la maison apparemment. Amira s’assit devant son bureau, et Joanne se mit en-travers sur ses genoux. Comme prévu, la mère d’Amira ne manqua pas de leur rendre visite, et comme sa fille faisait mine de s’intéresser de près à sa nouvelle amie, elle s’en alla sans protester.
Dès que la porte fut fermée, Joanna se releva et appela:
— Allez, montre-moi ton chien!
Amira hésita un peu, mais elle ne pouvait pas passer à-côté de cette occasion en or. Elle se leva et s’approcha de son chien pour le serrer contre elle et lui lécher la truffe. Il répondit en la léchant elle-aussi, et elle murmura:
— Tu m’as tellement manqué mon joli…
Elle se tourna vers Joanne et déclara:
— On va se mettre toutes nues et mettre des belles chaussures, il aime ça.
Joanna obéit, et elles se retrouvèrent dans la même tenue que pendant l’près-midi. Devant leurs magnifiques silhouettes sublimées par les hauts-talons, le chien sombra dans l’euphorie et se coucha sur le dos, les laissant disposer comme elles voulaient de ses attributs. Amira s’approcha et posa un pied sur son fourreau, titillant son extrémité avec celle de son talon. Le chien se mit à bander, et la jeune fille fit glisser sa chaussure le long de son vît qui se développait. À sa grande surprise, il atteignit une fois de plus la dimension de soixante centimètres: c’était sa nouvelle longueur de manière définitive.
— Oh putain! S’écria Joanna. C’est la plus grosse bite que j’aie vue de toute ma vie. Il peut te la mettre en entier?
— Dans le cul, oui. Répondit Amira. Mais je l’ai un peu délaissé ces derniers temps et aujourd’hui il risquerait de me faire mal.
— Tu parles de se faire péter le cul! Lâcha la jeune fille, visiblement excitée.
Amira masturbait toujours le pénis canin avec son pied, et elle finit par s’accroupir afin de continuer avec les mains. Joanna la rejoignit, et elles dressèrent le sexe du chien à la verticale pour le lécher, les deux en même temps.
— Quelle queue! Lâcha Joanna.
— Je sens qu’il a les couilles bien pleines… Fit Amira. On va se régaler!
Comme elle terminait, le premier jet jaillit, bien haut, avant de lui tomber sur les cuisses. Elle y passa les doigts pour goûter, regardant Joanna mettre les lèvres au bout du pénis animal pour récolter la suite. Quand elle dut avaler la première gorgée, Amira prit la suite, et elles s’alternèrent pendant quelques instants, avant que Joanna se lève:
— Je le veux dans mon vagin. Je peux essayer?
— Oui si tu veux. Répondit Amira.
La jeune fille avait déjà les pieds de part et d’autre du chien, et essayait de s’embrocher avec son sexe. Pendant ce temps, Amira continua de le lécher en regardant la petite chatte ruisselante de son amie.
— Tu faisais quoi avec ta chienne? Demanda-t-elle soudain.
Joanna répondit en ahanant, car le pénis d’Orion était déjà en train de la traverser.
— Je lui léchais la chatte, et la rondelle parfois.
— Tu aimes lécher des culs?
— Oui, c’est super érotique. Et elle aimait beaucoup ça.
— Et ton chien?
— Je l’ai jamais léché, on pouvait faire assez d’autres choses…
Orion était bien enfoncé dans Joanna, mais il restait deux tiers de sa bite à l’extérieur. De plus en plus excitée, Amira alla chercher un gode ceinture dans sa table de nuit, et elle commença d’attacher le harnais autour de sa hanche. Impressionnée, Joanna s’écria:
— Toi aussi tu veux me sauter?
— Pas exactement, mais je vais commencer par ça. Fit Amira.
Elle introduisit alors son gode dans l’anus de son amie, et entreprit de la visiter avec vigueur, pour lui donner autant de plaisir que possible. Ce faisant, le sperme d’Orion jaillissait toujours dans l’utérus de la jeune fille, et elle finit par pousser de petits cris de bonheur. Amira la bâillonna par prudence, mais n’arrêta pas de lui limer l’anus. Une minute après, la jeune fille jouissait, et elle s’enleva de la bite d’Orion. Alors Amira put commencer ce qu’elle voulait faire. Elle s’agenouilla près de son chien et maintint sa bite à l’horizontale avant de présenter son gode en-face. Joanna s’écria:
— Non, tu fais ça à ton chien?
— Oh oui! Soupira Amira, en commençant d’introduire son vît artificiel dans celui, véritable, de son chien. La chair canine injectée de sang s’écarta facilement pour accueillir cette pénétration, et la maîtresse du chien commença de le travailler vigoureusement. Le chien prenait beaucoup de plaisir, visiblement, et se laissa faire pendant de longues minutes. De temps en temps, Amira sortait complètement son gode de sa bite pour que le sperme puisse s’en écouler, et elle recommençait, arrachant de nombreux orgasmes à son animal ivre de plaisir. Joanna se masturba en les observant, et se donna elle-aussi de nombreux sursauts.
Quand Orion débanda, une heure après, Amira se releva et lui enleva son collier. Elle en retira son anneau de trois centimètres et le brandit devant son amie:
— Tu veux voir une très grosse bite? Demanda-t-elle.
Hypnotisée par la perversité de sa comparse, Joanna hocha vivement la tête. Alors, après quelques minutes de repos, Amira plongea sa main avec l’anneau dans le fourreau de son chien, et l’en ressortit avec une bite toute rouge en pleine croissance. Les soixante centimètres furent atteints en une minute, et quand elle vit que l’animal ne s’arrêtait pas là, Joanna se mit à transpirer:
— Putain… Fit-elle. Oh putain, je rêve.
À sa grande surprise, et même â celle d’Amira, la démesure canine atteignit cette fois-ci un mètre trente, et il leur sembla qu’avec tout le sang investi, le chien était tout juste encore conscient. Son extase allait atteindre des sommets.
Les deux jeunes filles tombèrent ensemble sur l’énorme bite couverte de veines battantes, et la léchèrent ensemble pendant plusieurs minutes. Elles y passèrent machinalement les mains, y frottèrent leurs chattes dégoulinantes, la caressèrent avec leurs pieds en la torturant avec leurs talons aiguille, tendirent des bas résille dessus, les enlevèrent, enfilèrent godes et chapelets dans son urètre, y glissèrent les mains…
Une heure après, le chien était à bout de souffle, et les filles le laissèrent enfin tranquille pour qu’il débande. Quand il se releva, sa bite distendue resta pendante à l’extérieur de son fourreau, et elles recommencèrent de la lécher dans l’espoir de la voir bander à-nouveau, mais en vain…