Le chantier.
Deux jours se sont écoulés depuis que Panaris et Katia avec la complicité de leur nouveau complice Diop, le jardinier des Guillet de Saint-Hilaire, sont venus chez eux et qu’ils ont abusés de Sophie et d’Ambre sous le regard de Jean-Yves pendant que celui ci était contraint de filmer cette terrible scène. Sophie subi toujours les pires humiliations de la part de son patron au Cabinet d’Avocats. Elle doit s’habiller avec des tenues de plus en plus provocantes et ses collègues hommes commencent à se permettre des réflexions qui la font rougir de honte. Maitre Christian Panaris en a même mis certains dans la confidence faisant passer Sophie Guillet de Saint-Hilaire pour la dernière des salopes et elle a du subir une humiliante exhibition devant certains de ses collègues qui l’ont palpé sous toutes les coutures. Désormais, il ne se passe plus une journée sans qu’on lui glisse une main sous sa jupe pour vérifier si elle n’a pas de culotte. Pour faire bonne mesure, Katia se charge d’Ambre, elle aussi vêtu de façon indécente la plupart du temps, et l’accompagne à la Fac. La faisant passer pour une fille facile, une pétasse, auprès de ses camarades. Elle a par hasard rencontré la conseillère d’éducation qui a trouvé très étrange qu’Ambre Guillet de Saint-Hilaire soit accompagné de cette fille si vulgaire. Elle commence à poser des questions gênantes et Katia a demandé à Maitre Panaris si elle ne pourrait pas s’en charger et « l’éduquer ». Ambre, comme sa mère, doit subir des réflexions de la part de ses copines, notamment la fille du Maire de Bordeaux qui la traite régulièrement d’allumeuse.
Ce fut vendredi que Maitre Panaris décida qu’il allait organiser une sortie au chantier ou travaille les cousins de Diop. Il arrive donc au volant de sa voiture découvrant Diop dans le jardin avec Sophie, nue, en train de faire du jardinage d’une façon bien particulière ! Un gode plantée dans son cul, à genoux, elle doit arracher les mauvaises herbes à la main, soufflant et gémissant chaque fois que Diop lui donne un coup de badine sur ses grosses fesses. Elle relève la tête en entendant Panaris.
— Eh bien, Mme de Saint-Hilaire, je ne savais pas que vous aimiez jardiner.
Sophie, de la terre sur la figure, tout à l’heure, Diop l’a obligé a brouter le gazon comme une vache ne répond pas. Le regard vide de toute expression. Panaris, Diop et elle reviennent dans le pavillon. Ils y découvrent Ambre, simplement vêtu d’un tablier blanc et des bas noirs, à genoux en train de sucer la chatte de Katia. Elle donne de grands coups de langue, léchant la mouille qui dégouline de sa vulve.
Maitre Panaris donne le signale du départ pour le chantier. Sophie est vêtu très bourgeoise, c’est ce qui va plaire à mes cousins à argumenter Diop. Un tailleur blanc sur des bas blancs et des talons aiguilles de même couleur lui donne un air angélique. Ambre, par contre, a été contrainte de s’habiller avec des vêtements ramenés par Katia. Une minijupe écossaise lui cachant a peine la moule et laissant apparaitre la lisière des bas noirs auto-fixant qu’elle a du mettre avec un chemiser transparent laissant apercevoir un soutien-gorge pigeonnant gonflant encore plus sa poitrine. Elle porte des bottes avec des talons vertigineux. La voiture, toujours conduit par Jean-Yves, démarre direction le chantier des nouveaux logements sociaux en construction.
Pendant le trajet, comme à son habitude, Maitre Panaris ne s’est pas privé de tripoter Sophie, lui retroussant sa jupe, lui introduisant ses doigts dans sa fente, la branlant sans ménagement. Katia a fait de même avec Ambre pendant que, à l’avant, Diop filme avec le caméscope qu’il a pris soin d’emporter. Il arrive près du chantier et Jean-Yves aperçoit déjà plusieurs personnes qui attendent et cela lui donne le vertige.Combien sont ils donc, se demande t’il, inquiet pour sa femme et sa fille. A peine la voiture garée, les hommes s’approchent de la vitre que Panaris a baissée et commence à reluquer les belles bourgeoises que leur cousin leurs a promis moyennant finance.Argent que Panaris va empocher mais avec un petit pourcentage pour lui. Certains ont déjà sortie leurs pines et se masturbe en regardant Sophie et Ambre recroquevillées de terreur dans la voiture. Katia sort Ambre et la présente aux ouvriers. Ils sont nombreux et de toutes nationalités et de tous continents.
Katia a ouvert le chemisier d’Ambre et lui a dégagé les seins en baissant les balconnets du soutien gorge. Elle les malaxe en regardant les ouvriers droits dans les yeux.
— Personne ne veut en profiter ? Vous avez peur ou quoi ? leur lance t’elle, les défiants.
Panaris et Diop sont sortis, le Sénégalais filmant toujours, tout en prenant soin de ne filmer que le visage de Sophie et Ambre et pas ceux des ouvriers. On retrousse la jupe du tailleur de Sophie découvrant ses bas et surtout qu’elle ne porte aucun sous vêtements ce qui provoque des réactions venant de la part des ouvriers qui s’interpellent dans leurs langues d’origines. On commence à palper Sophie Guillet de Saint-Hilaire. Des mains se faufilent dans l’échancrure de son tailleur.On lui triture les seins, lui tirant les mamelons. On lui introduit des doigts dans sa fente et son cul. Panaris la pousse en avant la faisant avancer.Il a plu le matin et elle enfonce ses talons aiguilles dans la boue, les salissant. Les mains avides qui la tripote ont déjà souillé son élégant tailleur et cela doit exciter encore plus les ouvriers qui vont pouvoir profiter de cette belle femme si distinguée.
On a contraint Ambre à s’agenouiller dans la boue, les hommes autour d’elle ont sortie leurs queues épaisses et lui présentent.Un des hommes frotte sa bite contre son visage. Un autre lui caresse les seins. Instinctivement, elle ouvrit la bouche et commença à sucer le membre épais. L’homme fait coulisser sa bite entre ses lèvres. Deux autres la forcèrent à les masturber, une bite dans chaque main.Plusieurs hommes se pressent autour d’elle, des mains se glissent sous sa minijupe et pénètre son intimité.celui qu’elle pompait éjacula lui giclant un torrent de sperme contre son palais la contraignant à avaler sa semence pour ne pas ’étouffer. Lorsqu’il se retira de sa bouche, elle crut pouvoir respirer mais un autre morceau de chair la remplaça et elle recommença à sucer tout en continuant à branler les queues qu’elles tenaient dans ses mains …
— Allez-y ! Servez vous, cette salope n’attends que ca ! s’écrie Maitre Panaris en désignant Sophie.
Jean-Yves, a l’écart, n’en perd pas une miette et comme toujours et a sa grande honte, il bande en regardant sa femme et sa fille se faire humilier. Diop filme tout.
On oblige Sophie à soulever une jambe pour s’exhiber.Plusieurs des ouvriers s’approchent pour lorgner la vulve de Sophie. On lui palpe les fesses par derrière. Un des ouvriers, le plus jeune, avança timidement la main sous les encouragements des autres et il prit un des seins de Sophie à pleine main. Elle n’est plus qu’une poupée qu’on manipule comme on veut.Son cour cogne dans sa poitrine.Des doigts s’enfoncèrent dans son vagin pendant qu’un index s’introduisait dans son anus.Elle poussa un petit cri, ce qui fit éclater de rire les ouvriers. On la branle devant et derrière faisant coulisser les doigts dans les deux orifices guettant sur le visage hébétée de cette bourgeoise des manifestations de plaisir.
— Elle aime ça cette chienne, elle a le feu au cul.
Ils la poussèrent contre une palissade et certains s’agenouillèrent pour mater son cul.
— Ecarte les jambes ! lui ordonne Maitre Panaris qui surveille le déroulement des opérations.
Elle obéit lâchement et elle sent qu’on lui écarte les fesses. On lui introduit de nouveau des doigts dans son vagin et son anus, elle est malaxée par plusieurs mains. Puis on la positionne à quatre pattes et comme avec sa fille, on lui demande de sucer les bites qui se présentent à elle.
Elle ouvrit la bouche et se pencha sur le premier membre qu’elle aperçut. Le garçon lui enfila son sexe dans sa bouche pendant qu’un autre se plaçait derrière elle et s’enfonçait dans sa chatte commençant à la baiser, son ventre claquant contre ses fesses. La bite coulisse rapidement entre ses lèvres. On lui tient la tête pour aller plus vite. L’homme qui la baise lui donne des coups de reins de plus en plus violents. Il ne tarde pas à éjaculer pendant que celui qu’elle suce se retire et asperge son visage de filaments gluants.
Ambre Guillet de Saint-Hilaire salive sur le membre qu’elle en train de sucer avec application. Il est dur et épais et quand il s’enfonce trop loin elle s’étouffe. L’homme la dirige en l’agrippant par les cheveux, faisant coulisser sa bite.Il sentit qu’il allait jouir et il se retira, lâchant des trainées de sperme sur le visage de cette bourgeoise si belle qu’il n’aurait jamais imaginée pouvoir baiser.Au même moment, les deux qu’elle branlaient éjaculèrent a leur tour libérant leur semence qui gicla sur son front coulant sur ses joues. Katia, debout à coté d’elle, lui donne des instructions.
— Branle celui la, caresse lui les couilles, comporte toi comme une vrai chienne que tu es !
Elle obéit, prenant en bouche une nouvelle queue qu’elle se met en devoir de sucer. S’activant dessus comme si sa vie en dépendait.
Il jouit rapidement, elle recracha la bite.Qui fut remplacé aussitôt par une autre ne la laissant pas respirer. Katia, derrière elle, lui introduit une gode dans son cul et le fait coulisser.
Ambre pousse un gémissement étouffée par la bite qu’elle suce et ondule du bassin comme pour mieux s’empaler sur le gode.
Effondré, Jean-Yves Guillet de Saint-Hilaire regarde sa femme et sa fille se faire baiser par ces ouvriers qu’en temps normal elles n’auraient même pas daigné regarder.Maitre Panaris à coté lui fait remarquer qu’elles se débrouillent bien et qu’elles vont lui rapporté un maximum de fric. Ce qui est pure méchanceté de sa part puisque bien évidemment, il n’a pas besoin de gagner de l’argent touchant déjà des revenues largement supérieur à la moyenne. Mais il veut humilier son confrère et qu’elle meilleur vengeance que de prostituer sa femme et sa fille, deux bourgeoises arrogantes et prétentieuses habituellement ?
Sophie Guillet de Saint-Hilaire a tellement sucé de bites qu’elle en a mal à la mâchoire.L’homme qui la pistonne derrière elle en haletant se retire soudain et éjacule sur son dos. Il est aussitôt remplacé par une autre qui introduit sa queue dans son cul. Elle pousse en cri en se faisant enculer. Aussitôt bâillonnée par une matraque de chair qui s’engouffre dans sa bouche. Et de nouveau, on alterne les coups de reins.
Empalée sur une queue dressée, Ambre, ses seins gigotant dans tous les sens, monte et descend sur la colonne de chair de l’ouvrier qui c’est allongée par terre. Il la tient aux hanches et la fait coulisser. Un autre arrive et enfonce son membre dans sa bouche.Un troisième s’approche et l’encule sans ménagement, la faisant hurler.Prise par les trois trous, elle subi les assauts des trois hommes et elle pousse un gémissement étouffée quand elle réalise que déjà trois autres attendent leur tour en se branlant.
Sophie et Ambre furent prisent encore pendant des heures par ses ouvriers qui voulurent se vider les couilles jusqu’au dernier. Sophie fut celle qui se fit le plus enculer, le cul déjà largement « travailler » par le Plug qu’elle porte en quasi permanence. Ambre, elle, à pas mal sucé et elle n’arrive même plus à déglutir le sperme qu’elle recrache quand les ouvriers ne l’obligent pas à avaler. Le tailleur blanc de Sophie est couvert de boue, ses bas sont déchirés d’avoir été maltraité par ces brutes qui n’avaient pas touché une femme, surtout aussi belle, depuis longtemps. Ca les change des putes de bas étages qu’ils doivent payer habituellement. Ambre rejoint sa mère qui continue de sucer le dernier ouvrier. Elle a du sperme sur le visage et demande un mouchoir à Katia pour se nettoyer. Avec un sourire pervers, Katia lui dit d’attendre. Sophie termine l’ouvrier en le branlant énergiquement, il éjacule en poussant un râle. Il force Sophie et Ambre à lui nettoyer la bite avec leurs langues. Puis, il s’en va les laissant à genoux dans la boue. Katia, Panaris et Diop font cercle autour d’elle. Katia les contraint à se lécher la figure mutuellement pour enlever les dernières traces de sperme. Diop filme Sophie en train de lécher le visage de sa fille pendant qu’elle fait de même avec elle.
Enfin, Panaris donne le signal du départ et ils soutiennent Sophie et Ambre, extenuées, jusqu’à la voiture.