———————————————————————Un mois et demi plus tard———————————————————————–
En cette belle journée de début d’été, je pense que mes cheveux ont suffisamment repoussé pour aller chez le coiffeur …
… En fait non, je les trouve parfaits, voire un peu courts, mais j’ai l’irrépressible envie de retourner voir ma belle coiffeuse que je n’ai pas encore recontactée alors qu’elle m’avait si gentiment glissé son numéro de téléphone.
Bon, j’avoue, la situation de la dernière fois m’avait tellement excité que je voulais juste reproduire l’expérience.
Je me dirige donc d’un pas joyeux vers l’enseigne, j’ai vérifié en ligne et ils sont ouverts aujourd’hui. Je rentre, la cloche de la porte sonne, et une coiffeuse en plein travail me demande :
Vous avez pris rendez-vous, Monsieur ?
Non, par contre, est-ce qu’Amélie est disponible pour me faire ma coupe ? J’étais … vraiment content du résultat la dernière fois.
La coiffeuse trentenaire se retourna vers moi, un peu trop vite à mon goût d’ailleurs.
Amélie ? dit-elle hâtivement. Non, elle ne travaille pas le vendredi, désolée. Sinon, j’ai bientôt fini la coupe de Monsieur, si tu veux bien attendre 5 minutes, je te promets de faire au moins aussi bien qu’Amélie, c’est moi qui lui ai tout appris.
Elle parle de quoi là ? De coiffure ou de … ? Un peu décontenancé et ne sachant pas quoi répondre, je pris bien 5 secondes avant de finalement lâcher :
Euh, pas de problème, ça marche.
Je m’assieds donc sur un fauteuil prévu à cet effet et commence à patienter. Le siège étant dirigé vers la coiffeuse, j’en profite pour apprécier ses formes. Ses fesses et sa poitrine sont plus larges que celles d’Amélie, ce n’est pas pour me déplaire, après tout, je ne suis pas très sélectif là-dessus. Ce qui m’intéresse, c’est le feeling, je n’aime pas quand elles sont trop coincées, chacun ses goûts, on va dire !
Le temps passe et elle ne m’a pas menti, presque 5 minutes plus tard, elle va encaisser son client. Vient alors mon tour et elle me dirige vers les lavabos.
Installe-toi et baisse la tête en arrière.
Je m’exécute et elle commence le shampoing.
A part la dernière fois avec Amélie, tu étais déjà venu chez nous ?
Non, j’allais chez un petit coiffeur de ma rue qui a dû fermer l’année dernière, il avait trop peu de clients, malheureusement pour lui.
C’est vrai que les grands salons comme le nôtre ont tendance à attirer les clients, je suis navrée pour lui … Oups !
Elle vient juste de me verser plein d’eau sur le t-shirt ! Sur le moment, je sursaute un peu et me retourne vers elle, les cheveux encore trempés. Alors que je sentais l’énervement monter, il redescendit aussi vite lorsque je vis sa mine désolée.
Mince pardon, je suis confuse, ça ne m’était jamais arrivé avant …
Pas grave, c’est que de l’eau ! Il fait 25°C dehors, ça ne va pas trop me déranger, ça séchera vite.
Non, mais ça me gêne, vraiment … Tu sais quoi ? Je termine ton shampoing puis on va aller te chercher un t-shirt du salon, on en a plein en stock.
Ça me va !
Elle termine rapidement puis on se dirige vers la réserve.
J’espère qu’il y a ta taille … Essaie celui-là.
Alors que je commence à retirer mon t-shirt, je remarque qu’elle ne se retourne pas, au contraire, elle me fixe. En croisant mon regard, elle rougit un peu et détourne le sien. Tout va bien, ça ne doit pas être la première fois qu’elle voit un jeune homme torse nu, et je ne suis pas si musclé que ça après tout. Je prends le t-shirt qu’elle me tend et l’enfile.
Eh bien, il te va comme un gant !
Oui, c’est vrai, mais il est quand même un peu serrant, j’ai l’habitude des t-shirts plus larges.
Moi je le trouve très bien …
Je n’avais pas remarqué, mais elle s’est rapprochée de moi, elle glisse maintenant une main sur mon torse. J’ai un mouvement de recul.
Wow ! Qu’est-ce que …
Pardon, Amélie m’a tout raconté, quand je t’ai vu rentrer tout à l’heure, je t’ai tout de suite reconnu, je vous avais un peu observé quand elle t’a coiffé et, comme on se dit tout, il ne lui a pas fallu longtemps pour tout me déballer.
Ah ! Mais c’est-à-dire que …
Ne fais pas semblant, j’ai repéré tes regards quand j’étais occupée avec l’autre client. Amélie ne m’a dit que du bien de toi, et j’aimerais bien vérifier ses propos …
Elle disait ça tout en m’enlevant le t-shirt que je venais à peine de mettre.
Je ne retire pas ce que j’ai dit, il te va vraiment bien, mais je te préfère clairement sans.
Remis de mes surprises, je repris peu à peu mon assurance.
Alors comme ça, elle t’a parlé de moi ? Très bien, je vais m’occuper de toi puisque tu le demandes si gentiment. Et puis, comme tu m’as vu torse nu, ce ne serait que justice que tu retires ton haut !
Qu’est-ce que tu attends ? Viens me l’enlever !
Pas besoin de me le dire deux fois, je me jette sur elle et lui arrache chemisier et soutien-gorge.
Woah, ils sont vraiment beaux ! J’avais cru voir qu’il y avait du volume, mais c’est encore mieux que ce que j’espérais !
Amélie m’avait prévenue que tu parlais beaucoup, mais c’est vraiment grave ! Tais-toi et occupe-toi de moi.
Elle m’attrape la tête et la colle entre ses deux magnifiques seins. Je les embrasse tour à tour puis dirige mes mains vers ceux-ci. Alors que je les pétris allègrement, elle ne reste pas sans rien faire et sa main s’empare de ma queue.
Là non plus, elle ne m’a pas menti, tu bandes dur comme du bois !
Elle va pour descendre sa tête vers mon entrejambe, mais je la retiens.
Attends, j’ai une idée.
Je l’attire vers le centre de la pièce où se trouve une table basse, je m’allonge dessus sur le dos et l’incite à se mettre en quinconce. Je lui retire son pantalon et sa culotte et on entame un 69 comme encore jamais je n’en avais fait.
Elle me suce, je la lèche, on se caresse, le temps semble s’arrêter. Je m’occupe comme je peux de son clitoris et ça semble la satisfaire puisqu’elle arrête sa fellation pour pousser un doux râle de plaisir.
Oh continue ! C’est bon ce que tu me fais !
Je presse ses fesses et enfourne ma langue de plus belle. Je ne me savais même pas capable de telles prouesses ! On continue ce délicieux moment encore 3 bonnes minutes quand elle s’écrie :
J’en peux plus, prends-moi !
J’esquisse un sourire, j’ai comme un sentiment de déjà vu à ce moment précis.
Ni une ni deux, je cherche un préservatif dans mon portefeuille.
Merde ! J’ai oublié d’en remettre depuis la dernière fois !
C’est ça que tu cherches ? me dit-elle en m’en montrant un.
En effet, j’en avais plus !
Je tends ma main pour le prendre, mais d’un air coquin, elle m’arrête :
Laisse-moi m’en occuper, dit-elle avec un clin d’il malicieux.
Elle prend tout son temps pour me l’enfiler, ça m’étonne, elle avait l’air si pressée. Mais elle semble prendre beaucoup de plaisir à faire ça et je dois dire que ça ne me déplaît pas du tout.
Une fois fait, elle pose ses genoux au sol et me tend son cul magnifique.
On a assez attendu, je crois.
Et ce n’est pas moi qui vais lui donner tort !
Je lui agrippe les hanches et la pénètre d’un coup sec.
Han !
J’entame des va-et-vient rapides, faisant grincer la table et couiner Madame.
Putain, ce que j’aime aller chez le coiffeur ! dis-je entre deux coups de boutoir.
On sait… s’occuper … de nos clients … Han !… Ici …
Ça, j’te l’fais pas dire ma belle !
On continue notre affaire, je la tourne sur le dos, pose ses jambes sur mes épaules et reprends de plus belle.
Je remarque qu’elle gémit de plus en plus fort alors je m’allonge sur elle en missionnaire, commence à la prendre plus calmement et pose une main sur sa bouche.
Elle la déplace un peu et gobe mon index et mon majeur, qu’elle suçote avec passion.
Je sens mon orgasme monter et une envie me vient :
Je peux … jouir sur ton ventre ?
Aahhh ! Oui, vas-y !
Je réaccélère le mouvement et, dans un râle, j’en étale jusque sur ses seins.
Espèce de cochon, tu m’en as mis partout ! dit-elle en rigolant.
Elle glisse son doigt sur ses seins et le porte à sa langue.
Hmm, même pour ça, tu n’es pas mauvais !
Elle se redresse ensuite et va se nettoyer à un évier.
Dis-moi, lui demandai-je, quand tu disais que tu lui as tout appris …
Non, je parlais du métier, mais effectivement, je lui ai enseigné quelques petits trucs sur le sexe aussi, nous sommes toutes les deux bi et ça doit faire 2 ans qu’on couche régulièrement ensemble.
Eh bah ! En tout cas, on peut dire qu’il y en a pas une pour rattraper l’autre ! Vous êtes de vraies diablesses !
Et encore, t’as rien vu, à l’occasion, on t’invitera peut-être pour une petite soirée bien animée, me susurra-t-elle à l’oreille.
Je sentais mon entrejambe redurcir.
Ce serait avec grand plaisir !
Elle jeta un il à mon sexe grandissant et rit.
On devrait peut-être y retourner, ils vont finir par se poser des questions !
En vrai, j’avais pas spécialement besoin d’une nouvelle coupe, tu sais …
Petit coquin ! Bon, viens quand même, j’vais pas te les couper trop court.
J’apprécie !
Elle finit de me coiffer tout à fait normalement et, en rentrant chez moi, j’écrivis un message à Amélie pour lui raconter mon après-midi pour le moins surprenant …
… la suite au prochain chapitre … ?