J’étais aux anges. Qui aurait imaginé que Lucie ait elle aussi envie de coucher avec moi. J’étais toujours nu, dans sa tente, elle dans mes bras, tout était parfait. Je profitais de toucher chaque centimètre carré de sa peau d’ange.
Elle avait sa tête dans mon épaule et elle aussi profitais du moment : ce n’est pas toujours que l’on se fait dépuceler. Ses cheveux me chatouillaient le visage, je sentais ses jolis seins sur mon torse. Le fait de les voir plaqués contre mon torse était une vision enivrante.
La courbe de son corps était parfaite. Je pouvais toujours admirer ses fesses, ses longues jambes et ses pieds.
Le temps passa et je commencais à me poser des questions. Qu’allais-je faire à présent. C’était génial et Lucie avait été une formidable amante, mais je n’envisageais pas de relation avec elle. Comment faire pour lui dire ça sans la blesser, surtout après ce qu’on avait vécu.
Heureusement, ce fut Lucie qui fit le premier pas :
— Valentin… Je ne veux pas que tu t’imagines des choses hein… C’était super mais je pense qu’on devrait tous les deux connaître d’autres expériences.
— C’est exactement ce que je ressens aussi, tu me rasssure.
— Content qu’on s’entende bien alors. Je dois avouer que ça me fait un peu mal de t’imaginer coucher avec d’autres filles mais je me dis que je serais toujours un peu spéciale pour toi… Je suis ta première après tout.
— Evidemment que tu seras toujours spéciale pour moi, et j’espère que ça sera pareil pour toi !
— Oui Valentin, je n’oublierais jamais ce que tu m’a fait vivre, la sensation d’être contre toi, de t’avoir en moi… Merci.
Ses paroles me faisaient très chaud au coeur. Je m’en allais de la tente de Lucie changé.
***
La journée avança. J’étais maintenant sur la plage avec tout les autres. Nous étions en train de jouer au beach volley. Comme nous étions un nombre impair, nous avions cherché quelqu’un d’autre pour jouer avec nous. Élise et Lucie avaient fini par trouver un garçon, Max, pour jouer avec nous.
Il était en vacances avec ses amis également, enfin plutôt ses amies. Celles-ci s’apellaient Audrey et Amandine. Il en avait de belles amies le salaud !
Audrey était grande, mince et sexy. Elle avait les cheveux bruns et bouclés, des petites fesses rebondies et une paire de seins à couper le souffle que son bikini bleu mettaient bien en valeur.
Amandine était blonde aux cheveux assez longs et ondulés. Elle se cachait derrière des lunettes de soleil donc je ne pouvais pas voir ses yeux. Son corps était également superbe, de belles grosses fesses bien rebondies et une belle paire de seins.
Max lui était grand et bien bati. Évidemment, les filles n’arretaient pas de lui tourner autour. Il avait l’air d’avoir énormément confiance en lui. Je ressentais donc de la jalousie, c’était un concurrent sérieux.
Audrey et Amandine ne voulant pas jouer, elles sont restées à bronzer sur la plage pendant que moi, Marion et Charles commencions une partie contre Lucie, Élise et Max.
La partie fut assez amusante, bien que gâchée en partie par la présence de Max. Lucie, Élise et même Marion rigolaient à toutes ses blagues. Élise cherchait le moindre prétexte pour avoir un contact physique. C’était énervant !
C’était justement Élise qui me donnait le plus envie en ce moment. Son sourire, sa joie de vivre étaient enivrants. De plus, elle était magnifique en bikini. Au cours de l’après-midi, j’apperçus plusieurs fois un téton furtif sortir de son haut à cause des mouvements qu’elle faisait.
Au cours de la dernière partie, Élise trébucha sur Max en voulant rattraper la balle. Elle l’avait fait exprès c’était sur ! Elle atterit sur le ventre sur Max. Il avait presque la tête dans ses seins. J’aurais tellement aimé être à sa place !
***
L’après-midi se terminait. Quasiment tout le monde était parti. Je discutais avec Charles et Marion. Je ne sais pas comment, mais ils avaient appris pour moi et Lucie.
— Et c’était comment ? Demanda Marion.
— Je vais pas tout vous dire non plus ! Retroquai-je.
— Allez raconte, dit Charles. Elle donnait pas mal envie la dernière fois à poil. Je ne la pensais pas aussi bonne.
— Arrête avec ce mot Charles sérieux, s’exclama Marion.
— C’était super, doux. On était bien ensemble quoi. Et j’en dirais pas plus.
— Trop mignon !! Dit Manon.
— Hey ils sont ou Élise et Max ? Demanda Charles.
Il soulevait un bon point. Cela faisait 10 minutes que je ne les avait pas vu. Ils discutaient près de l’eau aux dernières nouvelles. C’était trop intriguant. Je prétextais le fait d’aller prendre une douche pour me séparer de Charles et Marion.
Je pensais savoir où ils étaient : derrière les dunes. Je m’approchais doucement et je finis par entendre des voix. Bingo !
— C’est bon y’a personne, dit Max.
— Bon tu me la montres cette fameuse bite dont tu parles tant.
— D’accord mais essaie de pas faire de malaise.
Quel vantard !
Il descendit son maillot de bain et un sexe complètement durci et de taille impressionnant en sortit. Ma jalousie était au maximum.
— Ok elle est belle, dit Élise en gloussant.
Sans attendre, elle commença à sucer sa bite vigoureusement. Elle était magnifique. Ses lèvres épousaient parfaitement la forme de son membre dressé. Elle fermait les yeux et essayait de s’appliquer au maximum. Max se laissait faire et semblait bien aimé : Élise avait l’air de savoir s’y prendre !
Pourquoi lui ! Je lui en voulait tellement d’être là. C’est moi qui aurait du être dans sa bouche.
— Alors petit coquin, on aime ça mater ? Fit une voix derrière moi.
Je me retournais en sursaut. C’était Amandine, la pote de Max. Elle me regardait d’un air coquin.
— Je…
— Je suis sur que t’es un petit puceau, trop drôle, fit-elle. C’est la première fois que tu vois une fille sucer une grosse queue ?
Elle était si vulgaire et méchante. Il ne fallait pas que je nie, ça allait être pire. De plus, quelques heures plus tôt elle n’aurait pas eu tord.
— Et alors ? Ça te change quoi à toi ? Retroquai-je.
— C’est qu’il se défend le petit ! Rien c’est juste marrant de se foutre de ta gueule.
— Tu sais pas de quoi je suis capable, tu te bases sur rien c’est pathétique.
Malgré sa méchanceté, j’avais furieusement envie de la baiser de toutes mes forces. Peut-être à cause de la colère que je ressentais face à la scène que j’avais observée. Je devais tout faire en mon pouvoir pour la prendre.
***
J’attends vos avis !