d’une sorte de paralysie faciale. Quelque chose d’énorme venait de me traverser l’esprit, une idée complètement conne, à l’envers du bon sens, à contre-courant de ma vie actuel. Je voulais vivre heureux avec pour compagne mes trois soumises, en faire mes épouses légitimes. Pour ça, il n’y avait qu’au moyen orient que je pouvais le faire et encore, en nous convertissant à cette religion, la leur. Mais si c’était officiel, par exemple, nous pouvions revenir après, ici. Putain, c’est quoi cette idée pourrie.en fait, pas si pourrie que ça quand j’y pense. Je reprends mes esprits, mes deux anges me fixent d’un il inquiet. Je ne me retire pas de ma belle black, au contraire, je la défonce, me défonce en elle. Je la déchire, lui élargis son vagin à grand coup de rein. Quand elle décolle, mon idée à la manque revient, s’impose dans ma tête comme l’idée du siècle. Je n’arrive plus à me concentrer sur mes douces.
Je roule sur le côté, fixe le plafond sans comprendre comment j’ai eu cette foutue idée. Sidonie et Yvana sont inquiètes, elles se pressent près de moi. Je m’assois, les regarde un moment.
« Désolé les filles. Mais j’ai eu une sorte de vision, je me voyais marié à vous trois avec Gisèle. Ne riez pas, c’est était si clair dans ma tête. On était allé dans un émirat, nous avions tous adopté leur religion, je vous avais épousé l’une après l’autre et nous étions parti je ne sais plus où, si, oui, ici. C’est complètement con ! »
« Pas tant que ça, Monsieur mon oncle. L’idée est bonne, c’est la religion que me fait peur. »
« Ah, ça, la connerie humaine n’est pas prête à s’en débarrasser. Mais cela étant, partout où nous irions, on ne pourrait rien nous reprocher, ben oui, vu que ce serait officiel. Seulement, la religion, ok, mais prendre la nationalité, en plus. Là, ça coince. Hum, pas marrant tous les jours d’avoir des idées à la con ! »
Je me levais pour me doucher, une douche bien fraiche pour me remettre les idées en place. De moins en moins étonnée par notre mode de vie, Yvana s’oublie dans les bras de ma Sidonie, je peux les voir de la douche. Je m’émerveille devant cette grâce toute féminine. C’est à chaque fois un régal pour mes yeux. Et puis Gisèle arrive, pose le déjeuner, se joint lentement à ce couple entièrement féminin. Je me sèche, enfile mon short et sors en silence.
Dans la cuisine, seul, je me sers un double que je vide d’un trait avec cette idée farfelue dans ma tête. L’idée de les épouser toutes les trois me plait, me ravit même. Mais c’est la manière dont ma tête voudrait que je m’y prenne qui m’agace et je n’arrive pas à la chasser de ma cervelle. En haut, les clameurs de plaisirs mérités me parviennent, je souris autant que je bande. Je me garde bien de les rejoindre même si l’envie est forte. Je me rends dans ma bâtisse. J’y fais un peu de rangement et m’assois en regardant un mur, la tête enfin vide. Les clameurs continuent, Yvana me plait autant que les deux autres, je ne peux pas le nier. J’appelle le journal, annule la parution de mon annonce quand une femme pénètre dans ma bâtisse, un petit journal à la main, elle me le tend, c’est ma sale gamine.
Je me lève, jette le journal, l’enlace en lui disant que j’arrête tout et l’embrasse tendrement. Elle ne semble pas surprise par ma décision.
« Où que tu iras, tu recommenceras, c’est plus fort que toi. Tu sais, je lis en toi, je sais comment tu fonctionne. T’es un homme, un vrai comme on voudrait en rencontrer souvent. Seulement, depuis l’histoire avec ton frère, tu as perdu tous tes repères dans la vie. Épouse Sidonie, épouse Gisèle, épouse Yvana, barrez-vous loin des humains, vivez heureux entre vous. Ici, c’est en train de changer, il va y avoir du grabuge, je vois des morts, des innocents sacrifiés au nom d’une liberté qu’on vue nous enlever à cause de ce que tu déteste, la religion. Dans un an, ici, ce sera l’enfer sur terre. Non, ne me demande pas comment je sais. Je sais, je vois, c’est tout. Emmène ta sur, son fils et son père, dis à Martine et son toutou de rentrer au pays. Ils comprendront si tu leur dis avoir eu une vision. Ils comprendront ce que je n’ai pas pu te dire quand j’étais sous ton emprise, une délicieuse emprise. Je vais partir, moi aussi, rejoindre les miens dès demain. Adieu mon père, on se reverra où que tu sois avec tes épouses. Je te marie à ces femmes, c’est tout ce que je peux faire maintenant. Adieu et à bientôt dans ton paradis, il est par-là, dans cette direction. »
Le temps que je regarde dans la direction indiquée, elle n’était plus là. Seul un bracelet de cuir était posé sur le journal dans lequel elle écrit si bien. Je ramasse le tout, me mets son petit bracelet de cuir tressé pour ne pas l’oublier, j’ai beau regarder, écouter, non, elle a disparue comme elle était venue, sans un bruit.
Elle avait raison. Deux jours plus tard, à la radio, on annonçait ce qu’elle m’avait dit, des émeutes, des morts, des femmes et des enfants au nom d’un être dont on ne sait même pas s’il existe. Isabelle est paniquée. J’avertis Martine et son toutou. On rassemble nos affaires, on récupère nos billes à la banque et on dégage. Martine et Charles en direction du nord-ouest, la Belgique. Et nous en direction de l’est. En Australie, Isabelle, Paul et mon neveu nous quittent après une longue nuit de plaisir. Ils retournent au pays.
Après des adieux plus que déchirant, nous continuons notre périple en direction de la Martinique. C’est là, non loin d’un village que nous prenons nos quartiers dans une ancienne maison coloniale. Très vite, nous reprenons notre vie.
Quelques mois plus tard, dans une petite maison, avec deux témoins, Gisèle et Yvana, j’épouse ma nièce Sidonie devant un maire un peu surpris en lisant nos noms de famille, ben oui, c’est les mêmes. Mais il perd pied quand, après nous être embrassé copieusement, nous embrassons nos témoins de la même manière, du même amour. C’est bras dessus bras dessous que nous nous offrons le gueuleton du siècle dans un petit resto en bord d’océan.
On se fait un petit voyage de noce, on passe visiter Isabelle et sa petite famille, Martine et son époux toutou et on rentre après un mois. En chemin, nous faisons une courte escale de trois jours sur l’ile de Porto-Rico. Là, moyennant quelques milliers de dollars, mes deux petites donzelles, nos témoins deviennent officiellement mes épouses. Facile quand on à l’aide d’une personne haut placée avec beaucoup de relation. Trois nuits de noce plus tard, nous voilà de retour sur le sol de la Martinique et officiellement marié à mes trois femmes.
Comme nous nous attendions, notre drôle de couple est soumis à une inspection et une enquête en règle de la part des officiels. Nous on s’en moque, on veut juste jouir de nos corps comme bon nous semble.
Vous allez rire, chassez le naturel, il revient au galop, pire qu’un boomerang. Mes trois épouses, sans me consulter, redeviennent mes soumises et se comportent comme telles. Tenue légère, collier en cuir avec courte laisse, menotte de cuir au poignet et cheville. C’est ainsi qu’elles me font nos courses. Ce qui nous surprend la plus, après que l’enquête de police soit classée sans suite, c’est le nombre d’invitation adressée à monsieur et mesdames. Pour la moindre occasion, on est de la fête et on en profite. Sidonie, de sa belle plume nous pond un livre sur nos dernières années de vie commune, nos rencontres, nos amours, tout quoi.
Et puis, il y a la fête, celle du nouvel an 1999-2000. On est très officiellement invité par le député de l’ile. Une grande soirée festive avec tout le toutim avec tout le gratin de l’ile. Une occasion en or pour parler de notre vie à part et, peut-être y faire des adeptes. Notre arrivée fait sensation, mes trois épouses sont en laisse avec des robes plus déshabillées qu’habillées. Ouverte de partout sauf là où on le voudrait, plus provoquantes que ça, tu meurs. Les robes de mes douces créent l’événement. Faut dire que Gisèle n’a pas chômé pour les dessiner avec Yvana, les couper et les coudre. Et puis, il y a les colliers avec leur laisse. Là encore, on ne passe pas loin du scandale. Mes femmes sont très courtisées, surtout qu’elles ont ordres de prendre du plaisir comme elles le désirent. Moi, je suis en chasse de l’âme solitaire, féminine si possible. Je trouve, je trouve cette femme qui semble royalement se faire chi.biiiip. Je récupère une coupe, viens m’assoir près d’elle, lui offre la seconde coupe.
« Alors, on s’ennuie ? »
« J’étais bien toute seule, je pouvais regarder ce ciel magnifique. » Aie, le râteau que je ne me prends d’entrée de jeu
« Effectivement, on est bien seul pour le dévorer de nos yeux. » J’allais me lever quand sa main prend la mienne et la serre fortement.
« Ne partez pas Monsieur le curé. Oui, c’est moi, ça te la coupe, non ? Je ne suis là que par le fruit du hasard. Personne ne sait qui je suis. T’inquiète, à minuit, je serais partie. »
« Non, surtout pas. On a une maison, tu peux venir ma sale gamine. »
« Je ne peux pas rester, j’ai déjà une autre mission. Je t’abandonne ce corps, il est bien seul, son compagnon est là, au fond de cette eau, disparu à jamais. Elle se prénomme Alaine, c’est une irlandaise. Rousse comme tu le vois, une vraie rousse, tiens, regarde sa chatte, n’est-elle pas mignonne. Elle se cherche. Si tu ne fais rien, elle va aller rejoindre son petit ami au fond de l’océan. Oh, il va être leur. Je ne lui laisse aucun souvenir de moi, seulement que tu lui plais, qu’elle désire te suivre dans tes vices. Mais, mets y les formes sinon elle coule. Adieu mon père, à un de ces jours. Je veille sur toi désormais ! » Et voilà, elle m’échappe encore ma sale gamine.
« Bonsoir, je suis Alaine et vous ? »
« Hein, moi, personne, je passais par là et je vous trouvais bien trop seule pour une si belle femme. »
« Oh, mais je vous reconnais, vous êtes l’homme qui a trois épouses, trois sublimes épouses. On dit d’elles que ce sont vos esclaves, c’est vrai ? »
« Ça l’est, effectivement. Là-bas, c’est Sidonie, ma nièce, ici, cette beauté black, c’est Yvana et elle, ma douce Gisèle. Et oui, je vous le confirme, ce sont mes soumises. Je n’aime pas le mot esclave, c’est si méchant. »
« Si je comprends bien, vous les punissez alors ! »
« Seulement quand il la faut ou, mais n’en dites rien à personne, pour les faire jouir. C’est si beau une femme qui jouit. Si vous pouviez vous voir jouir, c’est juste sublime. Mais une femme horriblement moche devient sublime dans l’orgasme. »
« Mais c’est douloureux d’être fessée ou fouettée, personnellement, je ne voudrais pas. »
« Vous ne savez pas ce que vous perdez alors. Demain, quand nous serons réveillés, je les fesserais toutes les trois pour avoir folâtré avec ces hommes et ces femmes. Je vous promets qu’elles vont jouir. Oh, il va être minuit, je vous invite à me suivre sur ce petit promontoire là-bas, on y sera mieux. »
Elle me suivit. Nous étions sur un gros rocher bien lisse et plat. Ce fut un spectacle magnifique, un feu d’artifice comme on aimerait en voir et en entendre plus souvent. Alaine jouit comme toutes les femmes, merveilleusement, mieux que ce minable feu d’artifice tiré en toute hâte. Non, je parlais des orgasmes d’Alaine, de rien d’autre. C’est quand elle a insisté pour gouter à ma fessée maison que je n’ai pas résisté. Heureusement, j’ai toujours ma pommade avec moi, parce que je ne l’ai pas loupée. Si elle a eu des larmes, pour sûr que oui, mais au moment suprême, seules mes trois épouses la dépassent, mais ça ne serait tarder. De toute le reste de la nuit, elle me suit, docile, restant toujours en arrière, son épaule contre la mienne. Mes donzelles ne sont pas en reste, y a qu’à les voir suer en sortant de pièces normalement interdites aux visiteurs, les cheveux en pétard et ajustant leur robe.
À l’aube, après avoir fait l’amour une dernière fois avec Alaine, je la quitte en lui laissant un mot, celui qui lui dit d’être à quinze heures précise derrière notre maison, côté océan. Je sais qu’elle l’a lu, je l’ai vue ouvrir ses yeux quand je le posais devant sa bouche que j’embrassais.
Elle est là, je l’ai aperçue se glissant dans la propriété. Mes épouses sont en place, solidement attachées nues à cette belle et solide barrière, les corps soigneusement penchés en avant, les culs prêts pour une bonne grosse fessée et ma queue prête à les transpercer. À poil, bandant devant ces trois culs magnifique, je commence, âge oblige, par Gisèle. Derrière moi, cherchant à se faire discrète, Alaine longe la maison quand je me retourne brusquement et lui fais signe d’approcher.
Penaude, démasquée, elle s’approche. Elle n’est visiblement pas rentrée, elle porte la même robe. Ma main glisse sous sa robe, sa culotte est encore trempe, comme sur ce promontoire. De mon canif, je la lui retire. Elle se laisse faire quand je retire sa robe qui glisse sur sa peau à peine dorée. Je la pousse vers la barrière, lui écarte doucement ses pieds, les attaches. Elle mouille autant que mes épouses. Je lèche son minou quand ma main la penche en avant. Elle sursaute en poussant un petit gémissement somptueux. Je lubrifie mon majeur de sa cyprine, le glisse dans son anus. Il se resserre sur mon doigt, un délice. Je le fais aller et venir, elle gémit plus fort. Je passe devant elle, baise ses jolis seins en forme de pomme. J’embrasse sa bouche en prenant ses mains dans les miennes. Pendant que je les attache, ses baisers couvrent mon visage. Je lui donne mon majeur, le visiteur de son fondement qu’elle suce agréablement, belle, merveilleuse. La voilà penchée, le corps tendu entre mes cordes. Je reviens vers Gisèle, plante mon pénis dans sa chatte ouverte comme une fleur. Après l’avoir chauffée à blanc, je la fesse, je la caresse, je viole son anus, son sexe de mon pénis. Elle explose, hurle, crie son plaisir. Je passe à ma Sidonie, lui faire subir le même sort. Elle n’est pas longue à prendre son envol en clamant qu’elle est heureuse. Je vois son orgasme disparaitre dans le ciel bleu, j’embrasse sa croupe, la lèche avant de voir jouir Yvana en recopiant mes gestes sur son postérieur. Au moment suprême, elle me supplie de ne pas m’arrêter et me fuit en direction de l’univers infini du plaisir de la chair. Je délivre mes épouses. Arrive le tour d’Alain, sa peau est douce. Je me pose devant elle, la fixe en m’accroupissant, mon sexe devant sa bouche. Ses yeux me cherchent. Son corps est en ébullition, sa cyprine coule sur l’intérieur de ses jambes.
« Tu voulais connaitre mes épouses, ce sont elles qui vont te fesser et tu vas jouir, je te le promets. »
Les premières claques s’abattent sur ses belles fesses tellement fermes. Chacune la fesse du même nombre de gifle reçue sur leurs beaux culs. Alaine me regarde, une larme coule, je l’essuie d’un coup de langue. Sa bouche embrasse mon gland gonflé. Des doigts la fouillent, la pénètrent, elle gémit, ferme ses yeux pour mieux apprécier cet orgasme qui grandit en elle. Je caresse son visage. Je me rends compte, une nouvelle fois, que je ne peux m’empêcher de corrompre les femmes. C’est plus fort que moi. Soudain deux yeux bleus me fixent, une bouche superbe s’ouvre, ça va décoiffer. Un long râle animal sort de cette bouche, je suis sur le cul. Je crois même voir ses yeux sortirent de leurs orbites. C’est impressionnant à la voir jouir. Oui, comme si elle jouissait pour la première fois. Derrière mes épouses continuent à entretenir cet orgasme que dévaste Alaine. Je délivre ses mains, elles prennent mon visage et
« Faites-moi mourir comme ça, je bénirais votre nom en tout temps, tout lieu. Jamais, tu entends, jamais vécu une chose aussi démoniaque, jamais. »
Et sa tête s’affaisse, on la délivre très vite, on la couche sur l’herbe. Elle nous regarde, hagarde cherchant à comprendre qui nous sommes, comment elle a pu jouir aussi fortement. Elle veut nous l’expliquer, ses mots ne parviennent pas à sortir de sa gorge. On l’emporte à l’intérieur, on lui donne de quoi se remettre sur pied. Ses yeux brillent plus que toutes les lumières d’une mégalopole. Elle secoue sa tête, ses mains gesticules, elle cherche ses mots, déçue, elle s’incline. Yvana et Sidonie l’entourent, lui parlent, lui explique qui je suis, comment je fais reste un secret. De toute manière, je n’ai aucune explication qui tienne la route. Après un copieux repas, elle retrouve l’usage des mots. Sa voix est si douce quand elle tente de décrire cet orgasme. À la croire, ce fut comme si une lumière l’éblouissait, pire que le soleil. C’est tout ce qu’elle peut en dire, pour le moment.
Bien plus tard, dans la nuit, elle se réveille en sursaut, criant un prénom masculin. Je comprends vite qu’elle est en plein cauchemar. Je l’attire contre moi, Sidonie et moi la couchons entre nous. Elle s’endors contre ma Sidonie, toute blottie, telle une enfant. Ma sale gamine, que m’as-tu fait comme présent. Mais ne t’inquiète pas, on va lui donner ce qu’on a de mieux, notre amour.
Dans ma tête, une voix se fait entendre un bref instant et ça me dit : « Je sais ! » Je crois rêver, je me serre tout contre Alaine et Sidonie quand la voix me dit que je ne rêve pas. Je sens comme une caresse sur mes fesses, une caresse presque glaciale. Dans ma tête, je demande à ma sale gamine d’aller se réchauffer ses mains en souriant. Pour toute réponse, je m’endors en écoutant le cur plus calme d’Alaine.
Les jours se suivent, notre ménage à quatre n’est que merveilleusement perturbé par les visites d’Alaine. Elle aime venir prendre sa fessée, sentir la cire brulante échaudé son corps. Elle aime venir subir mes épouses en étant écartelée dans notre galetas, entre deux poutres.
Si au début, elle ne venait qu’une fois ses fesses décolorées du rouge de la dernière fessée, depuis peu, elle vient de plus en plus souvent et ses amies s’en inquiète. Pourtant, devant elles, elle semble tellement radieuse. Du reste, elle ne fait plus de cauchemar.
Ce qui nous amène à ses amies, de jeunes femmes parfois esseulées par leur compagnon. Il en est une qui est venue nous voir pendant que nous dorions nos corps sur l’herbe tendre. Comme Yvana, elle est noir de peau avec un je ne sais quoi d’asiatique sans ses yeux. Les deux femmes se tiennent par la main. Nous les invitons à se joindre à nous. Et Alicia découvre le cul bien rouge de son amie Alaine. Alaine qui rit devant la stupéfaction d’Alicia. Alaine lui explique que je la fesse, la torture brutalement, sauvagement même à l’en croire. Nue, elle fait le tour, nous embrassant amoureusement et se couche entre Gisèle et Yvana sans plus aucun complexe. Alicia hésite, mais voyant Gisèle se redresser pour étaler de la crème sur le corps d’Alaine, elle défait sa robe, hésite à retirer sa culotte. Je devine une chatte velue. En face de moi, elle s’assoit pour la retirer, me dévoilant son minou et ce petit rond de poil qui fait tout son charme.
« Jolie rond de poil, j’espère qu’il est doux au toucher ! » Que je lui lance.
Elle ne répond pas, se contentant de rougir comme une jolie tomate. Par jeu, je lui attrape son pied et l’attire vers moi. Je baise son pied, le lèche et le suce. Elle me fixe, ne sachant pas si elle doit fuir ou rester. Alaine se lève, se pose sur mes jambes, se penche, écarte mes fesses qu’elle vient embrasser avant de plonger sa bouche sur mon anus. Alicia est complètement chamboulée. Sa meilleure amie l’a entrainée dans un piège. C’est ce qu’elle ressent, je le lis sur son visage. Je tiens encore son pied, sans arrêté de lui faire honneur avec ma bouche. Yvana masse Sidonie, le jeu commence. Alaine ne nous avait pas prévenus, qu’importe, Alicia est la bienvenue. Mes attouchements buccaux sur son pied commencent à produire leurs effets, la belle black se détend un peu. Le petit peu qui me permet de la tirer encore plus vers moi. Je veux sa chatte sur ma bouche, je veux la gouter, la boire. Entre ses cuisses, ma bouche lui dévore son minou. Elle cherche bien à me fuir, mais c’est peine perdue, Gisèle lui colle sa bouche sur le sienne et s’en est terminé de sa résistance. Vaincue, elle s’abandonne complètement devant nos vices. Putain que je voudrais que les guerres se règlent comme ça, dans une bonne grosse partouze !
Alicia est sur le point de parvenir au moment suprême quand Gisèle achève de la coucher et j’en profite, pousser par Alaine. Je me glisse sur son corps, baise ses mamelons bien durs. Une main savante guide mon pénis dans ce sexe éclot. Alicia me fixe, étonnée par mon culot, je l’embrasse, effaçant son étonnement. Elle était sur le point de jouir, je lui offre son orgasme en lui chuchotant que si je ne parvenais pas à la faire jouir, elle pourrait me fesser. Elle me fixe, nous nous embrassons en nous enlaçant tendrement et elle part comme Sidonie et Yvana. Derrière nous, Gisèle a une folle envie qu’une jeunette lui broute le minou.