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Deux soeurs VS un mec – Chapitre 1

Deux soeurs VS un mec - Chapitre 1



Deux jeunes asiatiques profitent de vacances avec leurs parents pour réaliser un de leurs fantasmes : coucher avec un étranger … Une histoire bien hard, avec un soupçon d’inceste …

Elles l’avaient repéré dès le premier jour : un brun d’une trentaine d’années, athlétique et fier comme un prince. Il portait des vêtements de marque, des lunettes de vue à la mode et des chaussures en cuir souple. Sa barbe et ses cheveux de jais étaient coupés à ras

Il n’avait pas l’air d’un tendre avec ses tatouages de fauves stylisés sur les bras, mais elles étaient persuadées que c’était un genre qu’il se donnait, qu’au fond, il s’agissait juste un touriste branché parmi tant d’autres. Elles pensaient aussi qu’il avait peut-être du sang arabe du fait de sa peau mate et de ses grands yeux sombres. Sur ce dernier point, elles ne se trompaient pas.

Des mecs qu’Amaryle et Lussie trouvaient canons, il y en avait d’autres dans ce grand hôtel étoilé. Mais celui-ci avait pour lui d’indéniables atouts : d’abord, il était installé au troisième étage, quasiment en face de leur chambre. Ensuite, il ne semblait pas avoir d’amie. Tous les autres grands mâles dont elles auraient volontiers fait leur quatre-heures étaient en couple avec d’adorables nanas, avec lesquelles – stupidement – elles ne se sentaient pas capables de rivaliser.

Alors elles avaient commencé à le draguer à distance, à l’insu de papa et maman qui prenaient leurs deux princesses pour des pucelles timides. Elles lui avaient lancé quelques regards appuyés dans les couloirs ou au moment des repas. Lussie, la plus jeune, était même allée tordre du cul sous son nez, au moment du petit-déjeuner, le matin du deuxième jour. A linstar de son aînée, elle portait alors une robe à fleurs courte et légère et des sandales à talons très hautes et très pointues qui lui faisaient des jambes divines. Elle était passée devant la table du beau brun en tordant du cul à outrance. De là où elle était, Amaryl avait vu le garçon dévorer des yeux les jolies petites fesses de sa cadette. Plus d’un homme avait d’ailleurs été troublé par le petit numéro de Lussie …

Amaryle et Lussie se ressemblaient beaucoup. Elles étaient minces mais néanmoins dotées de petits seins ronds et des fesses bien rebondies. Leurs cheveux étaient lisses et très longs et leurs adorables frimousses les faisaient ressembler à des poupées: elles avaient des yeux immenses en forme d’amandes, des nez minuscules et des lèvres parfaitement dessinées. Celles de Lussie étaient toutefois beaucoup plus pulpeuses. Bien que parfaitement minces, elles possédaient des fesses qui donnaient aux garçons l’envie de les pincer. Quant à leurs petits seins en poire, fermes, agressifs, bien des messieurs les auraient volontiers sucés. L’aînée dépassait sa sur d’une dizaine de centimètres et l’on disait généralement qu’elle était la plus jolie des deux. Elle avait les plus belles fesses et des jambes ahurissantes. Mais certains garçons préféraient néanmoins Lussie car à la regarder on devinait sans peine qu’elle était la plus coquine des deux. Elle souriait davantage qu’Amaryl et contrairement à celle-ci ne manquait pas d’assurance.

Le garçon, en tout cas, semblait les trouver très à son goût. Il était impossible de dire laquelle des deux il préférait. Il interceptait parfois leurs regards, soutenait celui de Lussie, faisait se détourner celui d’Amaryl. Il regardait ouvertement leurs jambes sous la table et au passage celles, encore très présentables, de leur jolie maman. Il les trouvait mignonnes les deux surettes. Bien apprêtées, maquillées comme des stars. Même les ongles de leurs petits pieds fragiles l’étaient. Des filles de la classe moyenne supérieure. Leur père devait être chef d’entreprise. Ou militaire. Un gradé sans doute.

Cela faisait deux jours qu’Amaryle et Lussie faisaient les yeux doux au jeune homme. Il aurait toutefois parié que les choses ne dépasseraient pas le stade du simple jeu de séduction. Il voyageait dans la région depuis des mois – pour affaires – et avait l’habitude de ce genre de minettes. Elles étaient souvent vierges, frustrées et sous étroite surveillance jusqu’au jour de leurs noces. Alors elles se défoulaient en chauffant les mecs, en direct ou sur la Toile. Généralement, elles se contentaient d’allumer à mort.

Mais Amaryle et Lussie étaient déjà passées aux travaux pratiques. L’aînée avait eu deux petits copains. Peu imaginatifs, ses deux amants – des jeunes gens de la haute – s’étaient contentés de la prendre dans la position du missionnaire. Mais elle avait apprécié ces brèves étreintes et était impatiente de recommencer. Lussie, elle, avait eu quatre partenaires différents. Des garçons de son âge, des compatriotes. Le dernier en date, un jeune voyou de 19 ans, se débrouillait plutôt bien : il était infatigable et savait se servir de sa petite pine bien dure. Mais elle avait désormais envie d’essayer un autre format et d’autres sensations.

Une tendre complicité unissait les deux surs. Plus jeunes, elles s’étaient livrées à des jeux sexuels poussés sur un de leurs cousins. Depuis ces premiers émois – et ces premières fellations gourmandes, elles se disaient tout. Elles avaient l’habitude de regarder du porno ensemble, dans le lit d’Amaryle, sur son ordinateur portable d’étudiante. Elles se tripotaient discrètement l’une à côté de l’autre, la main dans leurs petites culottes en soie hors de prix. Amaryle faisait rouler son clitoris sous ses doigts effilés tandis que Lussie se les enfonçait carrément dans la chatte. La plupart du temps, elles jouissaient au même moment, sans un cri, sans se regarder. Dans ces moments-là, leurs corps secoués de spasmes se rapprochaient parfois et le contact de leurs peaux douces faisait s’envoler Lussie au septième ciel, car, au plus profond d’elle-même, elle éprouvait pour sa sur adorée d’inavouables désirs lesbiens. Le soir, seules dans leurs lits, dans leurs chambres respectives, elles se masturbaient à nouveau, plus ouvertement, plus sauvagement, en utilisant des fruits enveloppés dans des préservatifs ou les manches en bois laqué de leurs brosses à cheveux. Elles rêvaient aux sexes en érection des touristes qu’elles rencontreraient bien un jour, quand leurs parents se décideraient enfin à les emmener comme promis en vacances à Bali …

Amaryle fantasmait beaucoup sur le fait de sucer. Elle avait très envie de sentir à nouveau une pine palpiter dans sa bouche, de préférence une grosse. Lussie, plus instinctive, voulait tout simplement se faire mettre dans toutes les positions. Contrairement à sa sur, elle était fermement décidée à passer à l’acte.

Cela faisait donc deux jours qu’elles s’excitaient sur le grand brun. Au moment du dîner, le deuxième soir, celui-ci s’était assis non loin de la petite famille. Pendant tout le repas, il avait reluqué les deux surs – bandantes avec leurs mini robes noires en dentelles et leurs chaussures à talons de bimbo – et s’était même payé le luxe de saluer leurs parents d’un sourire. Puis il avait attendu la fin du dîner pour se lever à son tour. Très joueur, il s’était engouffré dans l’ascenseur en même temps. Lussie et Amaryl ne savaient plus où se mettre. L’aînée avait les joues en feu. Concernant Lussie, c’était autre part que cela la brûlait ! Heureusement, leur père, occupé à échanger des courbettes et des sourires polis avec le jeune homme, n’avait rien remarqué de leur trouble. Leur mère, elle, était trop occupée à essayer de dissimuler le désir qu’elle éprouvait pour ce bel athlète. Elle était certaine qu’il avait regardé ses cuisses pendant tout le dîner … Puis les parents s’en étaient allés dans leur chambre, et les filles dans la leur, et le garçon dans la sienne, en toisant d’abord Amaryl et Lussie d’un air narquois, avant de pousser doucement sa porte.

Dès qu’elles s’étaient retrouvées seules, Lussie, folle d’excitation, avait essayé de convaincre sa sur :

— On y va ! On va le voir ! Maintenant !

— Ah oui ? Et tu vas lui dire quoi ? rétorqua son aînée.

— Mais rien ! On frappe, on entre …

— On sera ridicules !

Elle considéra sa sur avec un air qui voulait dire " mais tu es folle ma pauvre " alors qu’en réalité son cur battait la chamade et qu’elle savait que l’idée de Lussie était bonne …

— Allez Amar’ … supplia la cadette en se dandinant sur place, les deux mains plaquées entre ses jambes.

— Et les parents ?

— Dans trente minutes ils dorment …

— Et s’ils se réveillent ?

— Tu sais bien qu’ils ne viendront jamais nous déranger dans notre chambre … Papa nous a souhaité bonne nuit !

— Mmmm …

— Allez, viens …

Et Lussie prit la main d’Amaryle et l’entraîna dans le couloir. Elles le traversèrent en silence, en regardant à droite et à gauche comme si un bolide pouvait surgir à tout instant. Lussie inspira profondément puis frappa à la porte du jeune homme.

— Il dort déjà, protesta Amaryle qui sentait ses jambes se dérober.

Mais la porte s’ouvrit subitement et le garçon, un sourire conquérant au coin des lèvres, s’effaça pour les laisser entrer. Les deux surs se réfugièrent dans sa chambre et se retrouvèrent au pied de son lit, pratiquement l’une dans les bras de l’autre …

— Farid, je m’appelle Farid, annonça le jeune homme en marchant droit sur elles.

Puis, sans autre préambule, il enlaça vigoureusement Lussie et l’embrassa avec passion, en lui pétrissant les fesses. La jeune fille s’abandonna et lui rendit ses baisers langoureux. Et bientôt, ce fut le tour d’Amaryle. Elle se retrouva dans les bras de Farid, serrée contre sa petite sur, à se faire rouler des pelles et peloter le cul presque douloureusement. Au bout d’un moment, le garçon souleva leurs robes et glissa ses mains dans leurs slips sexys pour mieux caresser la peau soyeuse de leurs fesses. Il allait d’une bouche à l’autre, ne s’arrêtant jamais de les tripoter sous leurs robes en dentelles. Les petites culottes des deux surs, à moitié baissées, étaient désormais trempées. Ce fut Lussie qui la première osa poser sa main sur la protubérance qui déformait le short du jeune homme. Elle fut surprise par la dureté de ce qu’elle toucha. Elle avait toujours entendu dire que plus les queues des garçons étaient grosses plus celles-ci étaient molles. Mais visiblement, ce n’était pas toujours vrai …

— Tu veux toucher ma belle ? proposa le garçon dans un anglais parfait.

Et sans attendre, il baissa son short et son slip, faisant jaillir une belle bite circoncise et bien raide dont la taille était sans commune mesure avec celles que les deux surs avaient déjà testées. Lussie la prit dans sa main et commença à la branler doucement sous le regard stupéfait de son aînée.

— Voilà, c’est bien, souffla Farid. Et toi, tu as peur ? demanda-t-il à la belle Amaryle qui osa finalement prendre le gland entre ses ongles peints en rouge. Puis, comme hypnotisée, elle s’accroupit et introduisit la bite du garçon dans sa bouche. Elle goûta d’abord avec sa langue puis ne tarda pas à le sucer plus franchement, comme elle l’avait si souvent vu faire sur les sites pornos.

— Aaah c’est bon ! Putain mais tu as faim toi ! commenta Farid. Je la croyais coincée ta sur, mais en fait non ! Pas du tout ! gémit-il encore à l’intention de Lussie qui à regret fut bien forcée d’abandonner le gros pénis à Amaryle …

Et Amaryle suçait et suçait encore pendant que Farid roulait de délicieux patins à sa surette adorée. A un moment, le jeune homme lui tira brutalement la tête en arrière, en l’agrippant par les cheveux :

— Arrête ou je vais juter ! … Ah putain, tu es une sacrée suceuse toi ! On va voir si ta sur assure autant !

Il se leva, se débarrassa de son short et de son slip. Puis, sans autre forme de procès, il fit se mettre à genoux Lussie et enfonça son membre dans sa bouche humide.

— En tout cas, tu as les lèvres qu’il faut pour pomper ma jolie ! grogna-t-il … Ah mais tu te débrouilles bien ! dit-il encore en soufflant, alors que la jeune fille faisait glisser la verge dans sa bouche.

Lussie se donnait du mal, mais sentait son estomac se contracter. Mais comment donc sa sur pouvait-elle engloutir une telle saucisse ? Quand Farid lui appuya sur l’arrière de sa tête et commença à lui baiser la bouche, elle recracha l’énorme pine en se mettant à tousser. Elle faillit vomir. Des larmes roulèrent le long de ses joues, faisant couler un peu de son mascara. Le garçon se mit à rire et s’enfonça à nouveau entre les lèvres délicates d’Amaryle, qui attendait sagement son tour, comme la demoiselle bien élevée qu’elle était.

— Regarde comment elle fait ta sur, ah mais elle … Mais elle le fait bien bordel ! s’écria Farid.

Amaryle agrippait le cul musclé du garçon tout en lui taillant la pipe de sa vie. Et pourtant ce n’était pas – loin de là – la première fois qu’il se faisait pomper ! De temps en temps, elle palpait les grosses couilles épilées de la jeune brute avant de les lécher et de les gober. Lussie, vaguement humiliée, ne savait plus quoi faire. L’air triste, elle caressa les cheveux de sa grande sur tout en se disant que c’était une fille splendide. Elle l’aimait tellement sa frangine adorée ! Et qu’il était troublant de la voir s’occuper ainsi d’un membre aussi magnifique …

Enfin, Farid se retira, terrassé. Il poussa un long râle et son pénis cracha plusieurs jets de foutre épais qui vinrent s’écraser contre le visage de princesse d’Amaryle, éclaboussant ses paupières fardées, ses faux cils, son adorable nez et ses lèvres luisantes. Quelques gouttes giclèrent même sur sa jolie robe et dans ses beaux cheveux … Toujours en érection, il glissa à nouveau sa pine dans la bouche d’Amaryle et l’enfonça profondément, en gémissant d’une voix rauque. La jeune fille sentit du jus arroser son palais et le fond de sa gorge. Malgré tout, elle continua à sucer, inlassablement. Elle ne se rendait même plus compte de la façon dont elle se comportait …

*

Hari n’arrivait pas à dormir. Il tournait dans le grand lit, en proie à une érection terrible. Cela faisait des années qu’il ne touchait plus à la mère de ses deux princesses. Elle était encore belle et très bien faite et plus d’un homme la convoitait. Mais vingt-quatre ans de vie commune avaient anéanti tout désir. La voir sous les draps, allongée sur le côté, plongée dans un profond sommeil, en nuisette, le laissait donc de marbre.

Il décida de redescendre prendre un verre, au bord de la piscine. Des Blanches se baignaient jusque tard le soir et certaines d’entre elles portaient des maillots vraiment minuscules. Il avait remarqué une Allemande aux longs cheveux noirs et bouclés, une brune superbe, avec des yeux verts cruels et des seins en obus. Son bikini vert pomme était tendu comme la corde d’un arc et elle semblait tout à fait consciente de l’effet tsunami qu’elle produisait sur les hommes. Si elle était là, il pourrait toujours enregistrer des images mentales de son cul et de ses nichons pour se branler ensuite dans la salle de bains, avant de retourner sagement auprès de sa femme.

Il se rhabilla et quitta la chambre à pas de loups. Il passa devant celle de ses filles et tendit l’oreille. Pas un bruit. Les deux beautés devaient dormir comme des bébés. Il sourit à cette idée. Elles faisaient sa fierté. Elles étaient si belles, si brillantes et si bien éduquées ! Il couchait parfois avec des minettes d’une vingtaine d’années dans des salons de massage louches, mais aucune de ces jeunes putes, en matière de beauté, ne leur arrivait jamais à la cheville.

Amaryle ressemblait de plus en plus à sa mère à l’âge auquel il l’avait rencontrée. Une jeune femme superbe et très élégante. Il s’était parfois surpris à bander quand elle portait des jupes très courtes. Elle ne s’asseyait jamais n’importe comment, mais quand elle croisait les jambes, on voyait souvent son petit slip. Mais il savait que le Seigneur ne le quittait pas des yeux et que ce n’était certes pas un comportement adéquat pour un père digne de ce nom … Lussie le troublait parfois, elle aussi. Quand elle n’était pas à l’université, elle pouvait passer des jours entiers en chemisette de nuit. Il était alors très facile, quand elle était vautrée dans le canapé, de voir ses seins pointus ou sa petite culotte. Le plus souvent, Hari trouvait la force de détourner les yeux, mais parfois, la tentation était trop forte, surtout quand elle portait des mini slips transparents.

Il continua en direction de l’ascenseur. Mais lorsqu’il passa devant la chambre du grand jeune homme qui les avait salués plus tôt dans la soirée, il entendit distinctement des cris de jouissance en provenance de celle-ci. Il s’arrêta aussitôt et s’approcha de la porte. Il écouta attentivement et comprit qu’une fille était en train de se faire brutalement baiser. Elle poussait des cris d’animal blessé. " Ces jeunes occidentales, songea-t-il avec amusement, quelles petites dévergondées ! Quelles petites salopes ! " Dans son slip, son gros sexe se remit à durcir. Il aurait donné cher pour assister à la scène. La fille devait se faire vraiment démonter ! Soudain, il l’entendit couiner de plus belle et le garçon se mettre à grogner. Il avait sans doute juté ce petit salaud … En tout cas, la fille avait décollé.

Hari haussa les épaules et s’éloigna. Il songea à Amaryle et à Lussie et remercia le ciel qu’elles n’aient pas à supporter de tels beuglements. Elles étaient tellement innocentes les pauvres chéries …

*

Lussie s’écroula sur le lit, les fesses en l’air. Farid venait de la prendre en levrette comme un véritable sauvage. Cela n’avait pas duré longtemps mais jamais elle n’avait éprouvé des sensations aussi animales. Il n’y avait guère que grâce à la masturbation qu’elle arrivait à se mettre dans des états pareils. Mais même avec un concombre ou un manche bien dur entre les jambes elle ne jouissait pas aussi violemment.

Pendant qu’elle se faisait prendre, Amaryle s’était caressée en regardant la scène, nue à l’exception de ses bijoux. Mais déjà, Farid, qui entre temps avait avalé une petite pilule bleue, la sollicitait. Il s’était débarrassé du préservatif luisant de mouille et s’asseyait sur son doux visage rougissant, pour qu’elle lui lèche les bourses.

— Allez, fais-moi bander ma belle, que je m’occupe de toi ! ordonna-t-il à Amaryle qui jusqu’à présent avait toujours fait face à des garçons soumis, peu virils, qui mendiaient ses attentions …

— Et toi, ne reste pas vautrée à ne rien faire, vient me la toucher ! ajouta-t-il à l’intention de Lussie.

Bien qu’épuisée, la jeune fille obéit, elle enjamba le corps superbe de sa grande sur qui déjà tétait les boules de Farid comme un nourrisson affamé suce le sein de sa mère. Puis elle se plaça derrière le garçon et commença à le branler en frottant ses petits seins pointus contre son dos. Bientôt, il se remit à durcir et se pencha en avant pour présenter ses fesses à Lussie. Elle comprit ce qu’il attendait et commença à lui lécher la raie et la base des testicules. Son ventre touchait celui d’Amaryle et elle sentit sa chatte se mettre à palpiter. Farid les traitait de putes et de salopes et débitait d’autres insanités qu’elles ne comprenaient pas forcément. Puis il roula sur le dos et empoigna sa queue :

— Remettez vos chaussures de pétasses, vite !

Les filles s’exécutèrent. Elles ne comprenaient pas pourquoi mais elles avaient constaté que dans de nombreuses vidéos pornos les actrices se faisaient tringler avec leurs hauts talons. Aussi, la requête du garçon ne les étonna pas davantage.

— Parfait, vous êtes canons comme ça ! lança Farid, visiblement satisfait, et maintenant, venez me sucer !

Et en se déhanchant, elles le rejoignirent sur le lit et s’occupèrent de sa bite et de ses couilles avec leurs bouches. Amaryle suçait pendant que sa petite sur léchouillait et embrassait la base de la verge et les gros testicules gris de Farid …

Puis il décréta qu’il en avait assez et repoussa les deux jeunes filles. Il enfila un préservatif et fit s’asseoir Amaryle sur sa pine. Dès qu’il sentit son gland à l’entrée de sa fente, il la pénétra d’un grand coup de reins, sans ménagement. Et il commença à la baiser pendant que Lussie caressait ses couilles d’une main et sa chatte de l’autre.

Pas un son ne sortait de la bouche d’Amaryle. Elle se contentait de fermer les yeux et de se mordre les lèvres. Malgré tout, il était évident qu’elle prenait un pied monstre. Farid la baisait sans pitié et déjà son corps puissant recommençait à transpirer. Tout en faisant rebondir Amaryle sur sa pine – à chaque fois, son gland venait percuter le fond de la vulve de sa partenaire -, il lui triturait les fesses et l’anus. Il écartait le petit orifice avec ses deux pouces, y mettait le bout des doigts, le massait …

Lussie ne perdait pas une miette du spectacle. Sans se rendre compte qu’elle était elle-même terriblement désirable, elle se répétait sans cesse que sa sur était une bombe avec son beau corps souple, ses escarpins impeccables et ses longs cheveux noirs qui ondoyaient à chaque coup de queue. Dès que Farid retirait ses doigts, elle enfonçait un des siens dans le cul d’Amaryle. Le jeune homme ne se rendait compte de rien, quant à Amaryle, elle pensait qu’il s’agissait des doigts du jeune homme et cela ne la gênait pas.

Bientôt, Farid souleva Amaryle en la prenant par les hanches. Le sexe dégoulinant de la jeune asiatique recracha l’énorme verge en émettant un bruit peu ragoûtant. Farid la fit se mettre à quatre pattes et lui ordonna de ne plus bouger. Il s’aperçut alors que Lussie se branlait dur et éprouva pour elle un peu de pitié. Alors il la coucha sur le dos et la pénétra à son tour.

— Attends, j’arrive, je m’occupe d’abord de ta sur. Dit-il à Amaryle.

Il administra à Lussie plusieurs rafales de coups de queue. Puis, alors que la jeune fille chavirait, il s’adressa à elle d’une voix douce :

— Je suis désolé ma jolie, mais je dois garder des forces pour ta grande sur. Que je ne lui aie pas préparé le cul pour rien !

Alors il se retira brusquement et agrippa Amaryle par les hanches. Il essaya de la sodomiser d’un coup, mais sans succès. Alors il empoigna sa queue pour avoir plus de force et poussa. Il parvint à faire passer son gland, puis la moitié de sa bite. Amaryle se redressa en poussant sur ses bras frêles. Elle poussa quelques faibles gémissements de douleur et de plaisir mêlés, les yeux toujours mi-clos. Lussie l’embrassa tendrement et la cajola, pour l’aider à supporter cette épreuve. En proie à un véritable délire érotique, Amaryle entrouvrit ses lèvres et aspira la langue de sa jeune sur. Pendant ce temps, tout à son affaire, Farid faisait coulisser sa verge dans le petit trou de la belle. Bientôt, l’anus se dilata quelque peu et il put se permettre d’enculer Amaryle pour de bon.

Celle-ci, pourtant, ne braillait toujours pas. On entendait seulement sa respiration s’accélérer et se faire plus profonde. Farid bascula sur le dos, en entraînant la belle dans sa chute volontaire. Il la cala contre son poitrail musclé, il lui écarta les jambes en grand et recommença à la pilonner en la tenant par la gorge. Lussie s’allongea entre les cuisses de Farid et d’Amaryle. Elle profita de l’état de semi-conscience de sa grande sur pour assouvir un de ses désirs les plus secrets : lui lécher la chatte en la doigtant.

Le jeune étalon finit par exploser. Il se mit à rugir et déchargea tout son foutre à l’intérieur d’Amaryle. Sentant le sperme chaud inonder son cul – le préservatif, de mauvaise qualité et trop étroit pour Farid, s’était déchiré – et grâce, aussi, à sa petite sur qui lui suçait le clitoris avec gourmandise, la jeune femme atteignit enfin l’orgasme. Son corps se contracta et elle poussa un long gémissement de plaisir qui traversa les murs … Quand la mouille de son aînée lui gicla dans la bouche, Lussie, qui se branlait en même temps, se mit à jouir à son tour. Elle se recroquevilla brusquement tout en faisant aller et venir ses doigts dans sa fente avant de se détendre en jouissant comme une dingue.

Les trois jeunes gens restèrent un moment allongés les uns sur les autres, en sueur, en silence. Farid se redressa le premier. Il administra des claques sonores sur les fesses des deux poupées :

— Allez mes jolies, il est temps d’aller dormir, je me lève tôt demain. Allez, filez, vite ! … Oh putain, déjà deux heures ! Je me lève à six, merde …

Amaryle et Lussie quittèrent le lit, toujours perchées sur leurs talons aiguilles vertigineux. Elles avaient l’air de deux belles antilopes en train de reprendre leurs esprits après avoir été férocement baisées par tout un bataillon de fauves. Elles enfilèrent leurs petits slips en dentelles imbibés de cyprine et leurs robes de soirée souillées et froissées, en se soutenant l’une et l’autre. Elles ramassèrent leurs sacs à main et vérifièrent qu’il ne leur manquait aucune boucle d’oreille. Puis, en titubant, elles allèrent jusqu’à la porte, devant laquelle Farid les attendait déjà, nu comme un ver, en pleine forme. Il ricana en les voyant en aussi piteux état.

— Allez mes beautés, filez avant qu’il ne soit trop tard, vous me faites encore envie. Murmura-t-il. Mais j’aurais trop peur de vous tuer …

Quand Lussie passa devant lui, il lui caressa les fesses.

— Ne fais pas cette tête ma belle, si tu reviens demain, je m’occuperai de ton petit cul en priorité.

Et il referma la porte dans leur dos, en riant franchement, comme le beau salaud qu’il était …

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