Histoires de sexe fétiche Histoires de sexe hétéro

Les métamorphoses de Sylvie – Chapitre 17

Les métamorphoses de Sylvie - Chapitre 17



17 – Une première visite très intime.

Une fois que j’ai été bien nettoyée, il m’a mise debout et, très tendrement, il m’a essuyée. Il m’a demandé de lui donner le tube de vaseline. Il en a fait sortir un grosse noix qu’il a mise sur mon anus avant de m’enfoncer un doigt puis deux dans le rectum. Il m’a demandé :

Ça va ?

Sur ma réponse affirmative, il a mis un troisième doigt, imbibé lui aussi de vaseline. Il a commencé à faire quelques mouvements d’aller-retour avec ses doigts. Je sentais que je m’ouvrais de plus en plus. Il a ajouté un quatrième doigt et là, j’ai eu l’impression qu’il allait me faire éclater. Heureusement, il a immédiatement remis de la vaseline et, bientôt, j’ai eu la surprise de constater que je n’avais plus mal. Il m’a dit, en souriant :

Tu vois que tu es vraiment la déesse de l’amour et du sexe.

Il m’a allongée sur le dos, sur le lit. Il m’a appris :

Pour cette première fois, il faut que nous nous voyions. Je ne veux pas te prendre comme un chien prend une chienne.

Quand il voulait faire ça, mon mari me prenait toujours à quatre pattes.

Ça ne m’étonne pas ! Écarte bien tes jambes, s’il te plaît.

Il a enduit son gland de vaseline puis il l’a posé près de mon petit trou. J’ai eu un instant de panique, qu’il a senti. Il m’a rassurée :

Ne t’inquiète pas ! Nous allons faire ça tout doucement et tu vas voir. Tu es maintenant bien prête.

Je l’ai cru ; c’est incroyable comme je pouvais lui faire une confiance aveugle alors que je me méfiais de tous les hommes, sauf de Parrain et de Charles. Il était l’autre exception. Pour faciliter son introduction, j’ai mis mes mains près de mon petit trou et je l’ai ouvert. Il a souri :

Ça va être merveilleux pour nous deux,… Sylvie.

Comme il avait un peu hésité à m’appeler par mon prénom, je me suis demandé s’il n’allait pas prononcer « ma chérie ». J’ai eu bientôt d’autres pensées en tête.

Lentement, doucement, il progressait dans mon ouverture forcée pour la première fois par un instrument de cette taille. Il remettait un peu de vaseline et, d’un seul coup, il a triomphé : son gland était en moi. Il m’a dit :

Le plus difficile est fait. Maintenant, il faut que tu t’habitues.

Je crois qu’il a mis à peu près cinq minutes, en progressant doucement, avant que je sente ses poils pubiens toucher mes fesses. Je n’ai pas pu contrôler un cri de victoire :

Marc, ça y est, tu es tout entier dans moi ! Je suis complètement à toi, maintenant !

Il ne m’a pas répondu, il s’est contenté de me fixer. Il a commencé, à ce moment-là, à faire des allers-retours amples mais lents dans mon rectum.

Je n’y tenais plus. Je me suis un peu masturbée en le regardant progresser dans moi puis, d’un seul coup, j’ai déclaré :

Ça y est, ça entre tout seul ! Va, plus vite, plus fort !

Il a commencé relativement doucement à entrer toute sa longueur dans moi et, surtout, à la faire presque ressortir, ne gardant dans mon rectum que le gros champignon de son gland.

À un moment, je me suis emparé de sa grosse tige et je l’ai tirée à l’extérieur, puis je lui ai dit :

Va fort, maintenant, mets-moi tout ! D’un seul coup !

Il m’a obéi avec un hurlement. À partir de là, il ne s’est plus contrôlé : il est redevenu la bête sauvage qui est en train de saillir sa femelle dans le cul, il est sorti à plusieurs reprises pour revenir dans moi d’un seul coup. Mon petit trou était ouvert comme jamais il ne l’avait été, j’étais aussi heureuse, j’étais enfin toute à lui.

Il a accéléré ses mouvements. Alors que j’étais quasiment évanouie, il ma envoyé un véritable lavement de sperme dans le fondement, puis il s’est abattu sur moi. Sans m’en rendre compte, j’avais serré mes cuisses et mes mollets tant que je pouvais autour de ses reins ; il ne pouvait plus partir de moi.

Nous sommes restés ainsi, après son éjaculation, sans qu’il mollisse, pendant une bonne dizaine de minutes. Je contemplais son regard halluciné et surtout les cernes de ses yeux. Je me disais que je devais être pareille. J’en voulais encore et j’ai mis mes reins en marche.

Sentant mon désir, il a fait la même chose. Mes intérieurs étaient bien graissés par la vaseline et son sperme, mon petit trou était maintenant béant, je n’avais pas mal, il glissait bien en moi. Il n’a pas hésité et nous nous sommes relancés violemment, de plus en plus violemment même, l’un contre l’autre. Il m’a donné ses dernières ressources en avouant :

Tu m’as tué, Sylvie ! Mais quelle belle mort !

Je l’ai serré dans mes bras et nous avons pris un petit temps de sommeil.

Un bon quart d’heure après, nous avons de nouveau émergé. Il est sorti de moi en prenant de multiples précautions, puis il m’a dit :

Regarde-toi dans le miroir.

Il a mis nos deux oreillers sous ma tête et je me suis vue avec mon visage radieux mais mes yeux cernés et surtout mon petit trou, qui n’avait plus rien de petit, ouvert comme il ne l’avait jamais été, avec du sperme et de la vaseline autour, tout rouge. J’ai mis ma main droite juste à côté pour voir. Je n’avais pas mal, mais ça me faisait une drôle d’impression. Il m’a dit :

Il va falloir que nous dormions, mais tu sais, il est bien possible que demain tu aies un peu mal.

Je ne lui ai pas répondu, mais je l’ai pris par le cou et je l’ai embrassé à pleine bouche. Il s’est allongé sur le dos et m’a prise dans ses bras. J’ai choisi notre position : j’ai pris sa main gauche, j’ai passé son bras autour de mon cou et j’ai posé sa main sur mon sein gauche. Une fois bien calée contre lui, j’ai pris sa main droite et je l’ai conduite à mon sexe ; j’ai même glissé un doigt contre ma fente, ce qui l’a fait sourire. Après, heureuse, repue, je me suis tout bêtement endormie.

(à suivre)

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire