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Soubrette Sissy Boy – Chapitre 1

Soubrette Sissy Boy - Chapitre 1



(Cette histoire aura plusieurs chapitres… vous y trouverez du fétichisme/soumission, relations hétérosexuelles et homosexuelles, transgenre, etc. Je suis toujours ravi de lire vos commentaires/remarques, merci !)

1.

— Alors, tu es content de toi ? Enfin, ce nest quand même pas possible dêtre aussi con !!!

Je nosai répondre, regardant mes sandales, attendant que lorage passe Faut dire que jen avais fait une belle ! Je mappelle Alain, et jai 20 ans. Ayant totalement raté mes études, sans aucune chance davenir, sans famille, la directrice de lécole, par pitié, ma engagé comme homme à tout faire, pour lécole et linternat y attenant. Mais voilà, je ne suis pas très fort, ni très ordonné, ni très courageux

Malgré les engueulades répétées de la directrice, jai pu continuer à travailler pour elle, très petitement payé, mais intégralement logé, nourris, blanchi par linternat Le travail navançait pas vite, et mes maladresses senchaînaient Mais là, javais fait une très grosse gaffe. En voulant aider à décharger le nouveau matériel informatique, javais appuyé sur le mauvais bouton, et la palette sétait renversée tous les PC, écrans, tout était foutu

— Tu te rends compte que ce matériel était très couteux ? Comment vais-je retrouver des subsides pour tout racheter ?

Josais timidement lever la tête vers elle. La directrice, Mrs. Benson me foudroyait de ses yeux noisette. La quarantaine, toujours habillée dun tailleur sombre et veste assortie, avec un chemisier qui contenait avec peine son opulente poitrine, des escarpins avec talon aiguille qui mettait ses longues et jolies jambes en valeur, un chignon strict retenant ses cheveux bruns, elle mexcitait et mapeurait tout à la fois. Cétait une très belle femme, mais très sévère aussi. Même un groupe de voyous de 18-19 ans, qui sévissaient dans lécole il y a un moment, nosaient lui tenir tête quand elle se fâchait Elle aussi logeait dans linternat. Je ne lui connaissais pas de famille. Comme moi.

Son ton de voix cassant me rappela à la réalité.

— En plus, tu as vu de quoi tu as lair mais quest-ce que je vais faire de toi ???

Son bureau en acajou, parfaitement ciré, renvoyait une image floue de ma personne. Jétais toujours en sandale, en short quand il faisait beau (ou en jogging en hiver), T-shirt élimés, et mes longs cheveux blonds et ondulés montraient leur manque dentretiens Imberbe et maigrichon, timide et gauche, je nai jamais plu à aucune fille. Pour ça que je ne soignais pas trop mon apparence. Ce nétait absolument pas ma priorité. Et le regard des autres et les moqueries, je connais ça depuis si longtemps que cela ne matteignait plus. Tout ce que jaimais, cétait me vautrer devant la TV, regarder des reality-show ou des séries et le porno sur le web, la seule chose qui me fasse vibrer pour le reste, basta !

— Je je nai pas fait exprès sil faut, je je rembourserai

— Tu nas pas fait exprès, tu nas pas fait exprès tu dis ça à chaque fois ! Et rembourser ? Avec quoi ? Il te faudra des siècles ! Là tu es vraiment aller trop loin ! Je tavais prévenu pourtant !

— Vous vous allez me virer ???

La question resta en suspens. Pour la première fois depuis des années, tout mon univers chavirait, jétais sur le point de tout perdre de me retrouver à la rue !

— Non, à quoi ça servirait je vais te dresser, Alain ! sur ces derniers mots, elle sétait brutalement levé en claquant ses deux mains sur le bureau en acajou, ce qui me fit sursauter Je vais tapprendre à être courageux, efficace et à obéir ! Tu vas apprendre la discipline ! Et tu nas pas le choix ! Oh oui tu vas rembourser, mais pas comme tu le crois ! Tu

Tout en parlant elle continuait à claquer ses mains sur le bureau, ce qui faisait tressauter sa poitrine dans son chemisier. Les deux premiers boutons en étaient ouverts, plongeant vers la chaire exquise de ses seins, et le troisième semblait prêt à sauter à nimporte quel moment. Je ne pouvais dévier mon regard de cette appétissante poitrine, et hélas pour moi elle sen était rendu compte

— Tu continues ? Tu ne mécoutes pas et tu fixes quoi, là, du regard ??? Je vais tapprendre !

Elle vint vers moi comme une furie et me pris par le bras. Comme je lai dit, je suis plutôt format gringalet, je ne faisais donc pas le poids contre elle. Serrant mon bras elle me projeta contre son bureau.

— Aïe ! Mais ça fait mal ! Je

— Tais-toi ! Tu nas plus le droit à la parole, que quand je te le donne. Je vais tapprendre la discipline !

Elle plaqua durement mon visage contre le bureau dacajou. Ma joue sécrasa contre le bois laqué, reflétant en flou un visage grimaçant, tandis que jétais arque bouté sur son bureau soudain, en un coup, elle baissa mon short et mon caleçon, en une fois ! Je me retrouvais cul nu

— Mais quest-ce que vous faites ? Cest Aïïïeeeeee !

Sa main sécrasa à plat et avec force sur mes fesses.

— Je tai dit que tu navais plus le droit à la parole ! Je commence par 10, à chaque parole que tu sors, ce sera 5 de plus Dix ! Paf ! Neuf ! Paf ! Huit ! Paf !

A chaque fois quelle décomptait, je recevais une fessée.

— Sept ! Paf ! Six ! Paf ! Cinq ! Paf !

— Aïe, ça fait mal !

— On en remet cinq de plus ! Dix ! Paf ! Neuf ! Paf ! Juit ! Paf !

Jessayais de ne pas crier, mais elle sen donnait à cur joie, et des larmes perlaient au coin de mes yeux. Enfin elle sarrêta. Une sensation de brûlure sourdait au niveau de mon fessier, qui devait être bien rouge. Mais lorsque je réalisai la situation, moi cul nu devant elle, sa main sétant abattue sur mes fesses, je sentis mon sexe légèrement se tendre.

— Redresse-toi !

Je me redressai avec peine, ce qui fit glisser mon short le long de mes jambes. Elle me toisa de haut en bas.

— Mais, mais, mais tu es entièrement glabre ? Pas de poils aux jambes ?

— Non je je nai jamais été très poilu. Ni aux jambes, ni sur les bras, ni sur les joues. Jai juste un peu de poils sur mon pubis et sous mes aisselles, cest tout

Mais pourquoi je lui avais dit ça ? Cela ne la regardait pas du tout ! Je me rendis compte quavec son autorité naturelle et ma timidité, elle me dominait complètement. Je la vis prendre un objet sous son bureau. Elle vint vers moi, avec une sorte de badine à la main, un peu comme pour léquitation, mais en plus souple, et en cuir noir daprès ce quil me semblait. Elle me tourna autour, me regardant, réfléchissant intensément. Parfois, elle arquait ses sourcils. Je sentis le bout de la badine frôler ma cuisse, remonter vers mon entrejambe, passer sur ma verge à demi dressée

— Elle nest pas très grosse, ni très grande

— Hum je rougis intensément Non elle est petite

— Combien environ ?

— Mais cest

Schlap ! Je reçu un coup de badine sur larrière de la cuisse

— Aïe ! Elle est toute petite ! Daccord ! 10,11 cm tout tendu sur jsais pas, mais elle est toute petite !

— Bien intéressant

Les larmes me remontaient aux yeux. Je me sentais si humilié. Mon sexe avait toujours été ma plus grande honte. Comme pour ma pilosité, il ne sétait jamais développé. Pour ça que durant toute ma scolarité, javais évité les vestiaires, piscines, et autre endroit où lon aurait pu la voir

La badine repris son chemin, marrachant à mes pensées, redescendant le long de ma petite verge, roulant sur mes testicules, puis tandis que Mrs. Benson tournait autour de moi, le bout de la badine passa sur lintérieur de mes cuisses me quitta avant de revenir, sur le bas de ma fesse gauche. Elle roula ensuite jusquà mon sillon, et remonta la fente de mes fesses ce qui me fit frissonner

— Intéressant

Après avoir répété cela une seconde fois, Mrs. Benson repassa devant moi, et pris mon menton entre ses mains. Elle tourna ma tête sur la gauche, sur la droite, en haut, en bas, sans ménagement, mobservant très attentivement.

— Oui je vais pouvoir faire quelque chose de toi finalement. Déshabille-toi ! Entièrement !

— Mais non, cest

Schlap ! Nouveau coup de badine. Jobéis tout de suite. Jenlevai mon T-shirt, envoya balader mon short et mon caleçon, mes sandales. Jétais nu devant elle. Le bout de la badine recommença à se promener sur mon corps, remontant lintérieur de mes cuisses, ma verge, mon ventre, roulant sur mes petits tétons, puis vers mon menton, ma joue Mrs. Benson souriait maintenant. Mais quelle idée avait-elle en tête ?

Elle passa près de moi, et me caressa la poitrine Accroc à manger des chips et boire du soda devant la tv, je navais pas une carrure athlétique, ni des « tablettes de chocolat » aux abdominaux. Les travaux que je faisais mavaient donné un ventre assez plat, mais javais un tout petit peu de bourrelets sur les hanches, et comme une légère poitrine. Oh pas des seins, faut pas exagérer, hein, mais un léger renflement au niveau poitrine. Ses doigts essayèrent de rouler mes minuscules tétons, qui à ma grande surprise pointèrent. Puis sa mains descendit le long de mon dos, et caressa très sensuellement ma fesse droite Tandis que jessayais de cacher comment tout ça me faisait bander (et ce nétait pas difficile, mes mains pouvant cacher ma petite verge, même en pleine érection), Mrs Benson se pencha et pris tous mes vêtements quelle jeta dans sa poubelle ! Je nosais dire « Mais » par peur de recevoir un coup de badine, mais mes yeux sécarquillèrent mes vêtements !

— Suis-moi !

— Mais je suis nu et

Schlap ! Un nouveau coup de badine zébrant mon derrière en feu, je la suivi sans rien dire. Honteux, humilié, je marchais nu derrière elle. Son bureau était à lintersection du bâtiment « école » et du bâtiment « internat ». Nous prîmes la direction « Internat » Heureusement à cette heure, les étudiants étaient à létude, nous ne risquions donc pas de rencontrer grand monde. Au rez-de-chaussée de linternat se trouvait la grande salle détude, la bibliothèque, une salle de détente, le grand réfectoire, et les cuisines avec le local de réserve et de maintenance. Au premier lappartement de Mrs. Benson, qui serait fort spacieux selon certain commérage (et fort luxueux ?) mais personne navait pu y entrer pour confirmer ou infirmer la rumeur… Aux deux étages suivants se trouvaient les chambres des étudiants, et au dernier étage le grenier et ma chambre. Fort petite, mais avec salle de bain, lit, ordi et TV, bref, juste ce quil me fallait

Assez étonnement, nous prîmes la direction de la chambre de Mrs. Benson. Elle en ouvrit la porte, avec la clé qui ne la quittait jamais, et nous entrâmes. Nu et gêné, jentrai dans son antre. La légende ne mentait pas, lappartement était grand et luxueux. Des pièces spacieuses, toutes meublées avec goût, des meubles de styles, en bois, des tableaux assez intéressant beaucoup de nus, remarquai-je

— Par ici !

Je la suivi et compris quelle me menait à la salle de bain. Une grande et belle salle de bain. De la tête, elle mindiqua la baignoire.

— Rentre là-dedans et fais-toi couler un bain !

Comme elle tenait toujours la badine, jobéis. Pourtant je ne sentais pas mauvais Bon, ya bien un jour ou lautre ou je passais la douche, par fainéantise, mais puer, ça non Je massis dans la grande baignoire et fit couler leau, à bonne température, fantasmant sur le fait de voir Mrs. Benson se déshabiller et me rejoindre dans cette jolie baignoire Lorsque le niveau me semblait décent, je coupais leau, et vis Mrs Benson (toute habillée, dommage pour le fantasme !) venir avec un flacon, quelle versa dans leau. Cela sentait bon, mais ne moussa pas, donc pas du savon. Elle ne disait pas un mot, je pus néanmoins lire sur le flacon que cétait un truc pour fille, pour rendre la peau plus douce. En tout cas ça sentait bon

— Surélève ton bassin !

Allait-elle me faire une gâterie ? Enfin, allais-je moi aussi connaître le plaisir et éjaculer dans autre chose que ma main ???

Lorsquelle sapprocha de mon bassin, instinctivement, ma main se dirigea vers sa si jolie poitrine, encore prisonnière du chemisier je réalisais alors ce quelle tenait à la main un rasoir, ancienne version. Et voyant mon geste, elle pose la lame que je devinais affutée à la base de mon pénis

— Essaye de me toucher, et tu deviens eunuque !

Tout penaud, ma main retomba dans leau du bain.

— Tu dois bien comprendre que tout a changé Alain ! Maintenant, tu es fini, tu nes plus rien. Tu obéis et cest tout. Tu ne caresse toi ou quelquun dautre que si je te dis de caresser. Tu manges que quand je te dis de manger. Tu pisse que quand je te dis de pisser. Tu parles que quand je te dis de parler. Chaque désobéissance appellera une punition. Les désobéissances à répétition rendront les punitions de plus en plus sévère et douloureuse. Lobéissance sera récompensée. Cest tout ce que tu as à comprendre. Tout ce qui sera toi dès maintenant. Compris ?

— O Oui !

— Et je veux que tu mappelles « Maîtresse ». Cest ce que je suis à présent. Ta maîtresse. Tu ne pourras plus mappeler autrement. Compris ?

— O Oui, maîtresse !

— Bien.

Avec application, elle me rasa les poils de mon pubis, et sous les bras. Elle me demande de me laver les cheveux aussi, ce que je fis. Elle me fit même mettre un après-shampoing et un démêlant. Tous des trucs de fille

Elle me fit ensuite sortir de la baignoire et me demanda de messuyer.

— Dorénavant chaque journée commencera par un bain comme cela. Tes cheveux doivent être propres comme maintenant. Je ne veux plus jamais voir de poils nulle part sur toi, compris ?

— Oui, maîtresse.

— Je veux aussi que chaque matin tu lisse tes cheveux. Aujourdhui je vais le faire, pour te montrer. Après chaque matin tu devras le faire, compris ?

— Lisser mes cheveux ?

Schlap !

— Aïe ! O Oui maîtresse !

Elle me montra comment fonctionnait le lisseur, et me montra comment lisser mes cheveux. Puis, elle me les attacha en faisant une queue de cheval. Cest en me regardant dans le grand miroir que je commençais à comprendre ce quelle faisait. Et cela me fit peur. Ma longue silhouette gracile, mes jambes et mes bras fins et glabres, mes cheveux lissés et attachés en queue de cheval instinctivement je cachais mon petit sexe et mes testicules de mes mains, ce geste faisant légèrement gonfler ma poitrine Dieu ce que je ressemblais à une fille ! Et autant jétais banal en garçon, je ressemblais à une fille un peu plate, mais fort mignonne dans lensemble

— Parfait, je savais que le résultat serait aussi bon !

— Ecoutez, Mrs Benson, vous ne pensez pas que

Schlap ! Schlap ! Schlap ! Schlap !

— Aïe ! Oui maîtresse, vous avez raison, je suis très beau comme ça

Schlap ! Schlap !

— Tu es très BELLE comme ça, noublie pas Aline ! Et surtout, je te veux comme ça tout le temps ! Maintenant, tient, enfile ça.

Elle me jeta un morceau de tissu. Une petite culotte en dentelle. Je la déroulais. Cétait un string en dentelle, blanc. Je la regardais, interloqué, mais vis à son regard que je navais pas à discuter. Je lenfilais. Mon petit pénis rentrait bien dans le petit triangle de tissu, mais mes testicules avaient tendances à vouloir en sortir.

— Mmmm trop petit. A mon avis, deux tailles au-dessus. Enlève-le, je vais te chercher autre chose.

Jenlevais le string, et elle revint avec un autre, en dentelle noire cette fois. Je le mis. Tout mon attirail rentrait bien dans le tissu noir, laissant un léger renflement, pas désagréable à regarder. La fine dentelle passant entre mes fesses les mettait en valeur. Je madmirai dans la glace, me trouvant du coup pas mal

— Et tu nas encore rien vu. Tiens passe ceci Aline.

Elle me tendit un soutien-gorge, noir, en dentelle lui aussi. Comme je ne men sortais pas, elle me montra comment le mettre. Il était légèrement rembourré, style push-up en plus, certainement pour mettre en valeur des femmes ayant une fort petite poitrine Mais leffet était bluffant, avec ce soutien et le string, je ressemblais à une jolie fille limage que le miroir me renvoyait me plaisait de plus en plus.

— Les bas maintenant !

Elle me passa des bas noirs, en fine résille, que jenfilai également. Jétais de plus en plus jolie. Elle me lança une robe.

— Termine de thabiller, et rejoins moi dans le salon et quest-ce quon dit à sa maîtresse ?

— M merci Maîtresse

Elle quitta la salle de bain. Je mis un moment pour comprendre comment devait senfiler la robe, et une fois enfilée, je compris quil sagissait dune robe de soubrette. Noire, courte, elle marrivait mi cuisses. Il y avait un petit tablier blanc, en dentelle, et une coiffe blanche. Jenfilais le tout. Le dernier élément me fit plus peur : des chaussures ouvertes avec de petits talons. Je les mis, ce qui fut plus facile que je ne pensais par contre pour marcher aïe aïe aïe

Je me regardais une dernière fois dans le grand miroir. Jy voyais une jolie femme de chambre, aux cheveux longs ramenés en queue de cheval, aux longues jambes gainées de noir, aux petits seins effrontés grâce au soutien-gorge push up jen bandais presque tellement jétais jolie

— Tu es magnifique Aline !

Je paradais devant Mrs. Benson, qui me regardait de haut en bas, devant et derrière.

— Par contre enlève les chaussures, tu vas te fouler la cheville. Je veux que dans tes prochaines journées tu trouves du temps

pour tentraîner. Dici la fin de la semaine, tu dois savoir marcher normalement avec ces chaussures, compris ?

— Oui, Maîtresse.

— Tu feras aussi le ménage, ici, et dans mon bureau, compris ?

— Oui Maîtresse.

— Bien Quelle transformation ! Te voir comme ça mexcite tellement ! Tu vas devoir aussi apprendre à me satisfaire ! A genoux !

Jobéis et me mis à genoux. Elle me présenta un de ses pieds je compris ce quelle attendait de moi, et commençais à lécher le cuir de la chaussure Le contact de ma langue avec le cuir ne me dégouta pas cétait un contact étrange, mais pas écurant après un moment, elle guida ma tête vers ses jambes si jolies ma langue passa sur le nylon de ses bas, autre contact nouveau et étrange, mais pas déplaisant ma langue montait le long de sa cheville, roulant, tournoyant, avant de lécher le genou dinstinct, je partis ensuite vers lintérieur de la cuisse Je la sentait de plus en plus excitée, de ses mains elle se caressait fortement la poitrine je voulus aller vers son entre-jambe mais elle me repoussa un peu je mattardai donc en léchant mintérieur de sa cuisse, jusque au niveau du tailleur une jambe puis lautre Du coin de lil, je la vis ouvrir son chemisier, et pétrir ses gros seins que contenait à peine son soutien en dentelle noire. Elle tira sur son tailleur, dévoilant quelques centimètres de cuisse en plus je léchai de plus belle, mouillant ses bas, de plus en plus pris par lexcitation elle tira encore, dévoilant de jolies jarretelles et la peau laiteuse de ses cuisses ma langue parti vers la lisière de ses bas pour goûter à la peau de ses cuisses, que ma langue parcourait avec gourmandise je mapprochai de plus en plus de son entre-jambe du coin de lil, je vis son soutien tomber sur le sol même si jen avais une énorme envie, je nosais aller regarder ses seins, quelle devait pétrir de ses mains, et continuant à lécher lintérieur de ses cuisses, jarrivais à la lisière de son slip boxer, noir et bordeaux

Soudain elle me prit la tête entre ses mains, et écrasa mon visage sur son entre-jambe, faisant glisser mon visage sur le tissu de son slip, se frottant indécemment contre ma joue, mes lèvres Et là, je compris pourquoi elle était seule comme moi, malgré sa beauté, son assurance, son charisme je compris pourquoi elle avait cette force, pourquoi elle nétait pas comme les autres : au fur et à mesure que ma bouche, ma joue, frottaient contre son slip, une bosse de plus en plus grosse le déformait bientôt, une petite tête rouge commença à dépasser de son slip Mrs. Benson avait un pénis ! Et pas un petit, apparemment ! Mais lérotisme ambiant dans la pièce, lexcitation de ma transformation, cette image de moi si belle dans le miroir, tout cela fit que je ne trouvais pas ça repoussant, la barrière des genres nexistait plus. Et lorsquelle attira mon visage vers le bord de son slip, vers ce gland turgescent qui en sortait maintenant, je ne fis pas un mouvement en arrière, non, je me sentais comme attiré par ce bout de chaire ma langue le toucha timidement, parcourant le dessus, où une perle liquide se voyait, avant de tourner autour, de le lécher, comme jaurais fait dune glace Le gland était tiède et doux Elle poussa ma tête plus fortement contre son gland instinctivement, jouvris la bouche, et commença à lavaler il entra dans ma bouche, caressant mon palais elle poussait sur ma tête, mon menton ourlait son slip, le descendant, faisant apparaître la hampe de sa verge, qui entrait petit à petit dans ma bouche Là jeus un peu peur, il me semblait si long ! Au moins 18 centimètres, et le double du mien en largeur ! Elle dut le sentir, car elle arrêta de pousser sur ma tête elle la tint fortement entre ses mains, et commença à me faire aller et venir le long dune bonne moitié de son sexe il entrait, sortait, entrait, dans ma bouche, caressant mon palais, ma langue

Cela mexcitait si fort que je senti soudain mon propre sexe battre et se cabrer dans le tissu du string Tandis quelle enfonçait sa verge dans ma bouche, jéjaculai dans mon string, sentant mon sperme chaud contre le tissu, contre mon propre gland Ma tête suivait le mouvement de sa verge, si bien quelle me lâcha, recommençant à se caresser les seins, à se titiller les tétons, pendant que je lui suçais le sexe jusquau moment où je le senti battre Là jeu peur, et je reculais soudainement ma tête, juste à temps ! Elle éjacula sur mes lèvres, sur mon visage le reste tombant sur le parquet laminé, au sol. Je sentais sa sève chaude couler le long de ma joue soudain, de son pied elle me poussa et me fit basculer en arrière, je tombais lourdement sur le sol

— Comment as-tu osé ? Refuser le nectar de ta maîtresse !!! Cest le fouet que tu mérites !

Elle sétait relevé, me toisant de son regard furieux, son sexe débandant, doù perlait encore un peu de sperme

— Non ! Je désolé maîtresse, mais cest une première fois pour moi je je regrette je

— Bon, tu veux te racheter ? Dabord, lèche le sperme que tu as sur tes lèvres, et sur tes joues Tout de suite !

Jhésitais encore tremblant, ma langue sortit doucement de ma bouche. Elle ramassa un peu de sperme qui était sur mes lèvres Le goût était fort, et salé.

— Tu thabitueras au goût ! Et crois-moi ce nest pas mauvais du tout ! Allez, avec tes doigts, prend le sperme de tes joues, et mets le dans ta bouche !

Mes doigts passèrent sur mes joues, enlevant la semence blanche, tiède, puis je les portais à ma bouche

— Il y en a encore au bout de mon sexe vas-y, nettoie !

Je me remis sur mes genoux, et levai la tête vers son sexe, qui débandait doucement. Du sperme maculait son gland, sa hampe, et il y en avait qui suintait encore de son gland Je léchai celui-là dabord, puis léchait son gland, sa hampe le goût était meilleur à la source !

— Et qui va nettoyer le sol ?

Je me cabrais, et la regardais, implorant Elle leva sa jambe, mis son pied sur mon épaule et me fit tomber en avant, le nez dans la petit flaque de sperme quil y avait sur le parquet. Je léchai le tout, avec appréhension il était là depuis quelques minutes déjà et était nettement moins bon que celui qui perlait de son sexe Mais je mappliquais pour contenter ma maîtresse, et lorsque je relevais la tête, il ny avait plus une goutte de sperme sur le parquet.

— Bien, nettement mieux ! Mais tu dois apprendre la leçon, la discipline. Enlève ton string !

Je me relevais, et fit descendre le string noir le long de mes jambes, libérant mes testicules et mon petit sexe, mais qui restaient cachés sous la robe de soubrette.

— Donne-le-moi. Cest bien ce que je pensais, cest quoi ça ?

Elle me montrait la tâche humide et blanche de mon propre sperme

— Je

— Lèche-le !

Elle me retendit le string. Je le pris et mexécuta. Il y avait lodeur de ma queue, de ma transpiration, de mon sperme. Je léchai le tissu de la culotte. Mon sperme avait un goût plus léger que celui de Mrs. Benson.

— Cest bon pour aujourdhui. Demain on recommence lexercice. Dès maintenant, Aline, tu dormiras dans la petite chambre, attenante à la mienne. Tu dois être disponible pour moi à nimporte quelle heure du jour et de la nuit. Je suis ta maîtresse, et toi, tu nes plus rien, compris ?

Une petite larme coula sur ma joue. Je sentis alors le contact doux de la main de ma Maîtresse, caressant ma joue, essuyant la larme.

— Ecoute Aline, en tant quAlain, tu nas jamais rien fait de bon. Tu as tout raté et a failli finir à la rue. Je te donne une seconde chance. En tant quAline tu peux racheter toutes les bêtises dAlain, et en plus tu pourras y trouver des gens qui tapprécient, et du plaisir. Mais cela passera par lobéissance et labandon total !

— O oui Maîtresse. Merci Maîtresse !

— Bien. Alain est viré, définitivement. Je te présenterai au personnel de linternat comme ma nouvelle soubrette. Tu mangeras au réfectoire, en tenue de soubrette. Jen ferai venir quelques-unes pour demain, ainsi quun échantillon de sous-vêtement à ta taille. Tu ne thabilleras pas autrement, sauf si je te donne une autre tenue. Interdiction de quitter la maison sans mon ordre. Interdiction de te masturber sans mon ordre. Interdiction de faire quoi que ce soit sans mon ordre. Clair ?

— Oui maîtresse.

Elle me donna une paire de ballerine, sans talon, puis mamena aux cuisines, où je fus présenté comme sa nouvelle soubrette. Je passai le reste de la journée à nettoyer son bureau, cirer lacajou, puis nettoyer la salle de bain. Ensuite je pris mon dîner au réfectoire, avec le personnel de linternat et les étudiants. Lorsque je quittai le réfectoire, je senti le regard dun ou deux jeunes sur mes jambes, sur mon cul. Jentendis même une remarque un peu salace. Je ne pus mempêcher de rougir tout en regagnant ma chambre.

Mrs. Benson me donna les dernières recommandations : elle se levait à 7h00. Je devais déjà être habillée, et lui apporter son plateau déjeuné, qui attendait dans le monte-plat. Et javais intérêt à être ponctuel. Je la saluais et parti dormir, éreinté par cette journée riche en émotion

(à suivre)

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