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Catherine – Chapitre 1

Catherine - Chapitre 1



Enfin de retour. Beaucoup de travail en juin-juillet, les vacances en août et puis la rentrée.

    Beaucoup de problèmes matériel informatique et puis surtout une pluie de virus, une grosse averse, un énorme orage, un véritable déluge, une attaque bactérienne, une guerre bactériologique. Bien sûr vous vous en moquez, mais c’est pour dire à ceux qui m’ont écrit et à qui je n’ai pu répondre, que beaucoup de messages ont disparu avant que j’ai pu écrire ( c’est le problème de la guerre totale) Merci à eux pour leur courrier. Merci aussi à tous les lecteurs qui m’ont permis d’être parmi es meilleurs récits, il faudra encore être indulgents pour que je retrouve cette place les mois prochains. Merci encore à tous, mais revenons à ce qui nous intéresse tous, la suite de la série ( je ne ferais pas de rappel des épisodes précédents)

    Il était 13h30 quand Cédric arriva devant le portillon de la maison de son copain Jacques Granger. Il appuya un coup bref sur la sonnette et donna un violent coup de pied à un caillou qui traînait sur le trottoir. Il était encore très en colère contre Jacques à cause de leur conversation téléphonique du matin. Ils avaient prévu d’aller au nouveau complexe aquatique qui venait d’ouvrir et Jacques avait décidé, ’unilatéralement’, d’amener Vanessa.

    Les deux garçons étaient copains depuis… depuis la maternelle. Ils avaient toujours été ensembles dans toutes les classes. Ils étaient unis par une connivence à toute épreuve, cela en était parfois pénible pour leurs camarades parce que même séparés, ils devinaient ce que l’autre avait pu dire. Quant aux plaisanteries ou autres manigances, ils s’entendaient comme larrons en foire. Jacques toujours devant avec sa ’belle gueule’ et son côté hâbleur, Cédric plutôt en retrait mais c’était lui qui sauvait la mise à chaque fois que ça tournait mal.

    Et puis voilà que Jacques s’était entiché de Vanessa que Cédric ne supportait pas parce qu’elle en faisait toujours trop, toujours à se montrer, à aguicher les garçons et surtout à promener son copain par le bout du nez. Elle avait réussi à semer la zizanie entre les deux garçons et cela Cédric ne lui pardonnait pas.

    La porte électrique se déclencha et Cédric pu entrer. A son arrivée au pied du perron de la villa, la porte d’entrée s’ouvrit pour laisser apparaître Madame Granger dix marches plus haut. Elle était rayonnante dans son ample chemisier bleu imprimé de fleurs exotiques multicolores. Il était serré à la taille par une ceinture blanche, ce qui accentuait les formes de la poitrine de Solange que l’on devinait avantageuses sous le fin tissu du chemisier généreusement entrouvert. Mais ce que Cédric remarqua d’abord, c’était la courbe merveilleuse de ses hanches soulignée par la jupe droite serrée qui moulait les cuisses de la mère de Jacques. La jupe en lin écru s’arrêtait au dessus des genoux et était fendue sur le devant pour faciliter la marche. Elle était chaussée de talons haut à lanière qui enserrait de manière exquises ses chevilles délicieusement bien dessinées. Les talons exagéraient la cambrure de sa chute de reins permettant d’apprécier l’arrondi de sa croupe, et propulsaient son buste vers l’avant.

    Cédric n’avait pas rêvé de silhouette plus agréable à regarder. Les cheveux auburn de Solange brûlaient de magnifiques reflets dans le soleil et son maquillage la rendait plus que séduisante, plus qu’attirante. Il la connaissait depuis qu’il était tout petit, c’était la maman de Jacques, mais depuis quelques temps quelque chose avait changé. Il avait grandit et l’appel de la féminité épanouie de Solange avait résonné dans son corps. Solange aussi avait changé, surtout depuis son dernier anniversaire.

    Chacun s’était arrêté à l’escalier, Madame Granger se campa sur la dernière marche de manière à dominer le jeune homme, Cédric restant en bas, car finalement cette fente de la jupe facilitait aussi la vision sur des parties du corps de Solange que Cédric désirait découvrir.

    – Qu’est ce que tu as fait à mon fils, il est dans une rage folle et je crois qu’il t’en veut à mort ! fit Solange avec un demi sourire, posant ses poings sur les hanches faussement en colère, bien campée sur ses jambes écartées.

    Elle connaissait Cédric depuis qu’il était tout gamin. Elle avait toujours apprécié son côté gentil et prévenant et surtout l’influence régulatrice qu’il avait sur Jacques. Solange lui faisait plus confiance qu’à son fils. Et puis elle avait une profonde affection pour ce gamin qui avait perdu sa mère vers l’age de six ans dans un stupide accident de la route. Les deux mamans avaient rapidement sympathisé et c’était tout naturellement que Solange s’était un peu occupé de Cédric au moment du drame. Et puis Louis, le père de Cédric, s’était remarié avec la secrétaire de sa boite, Josiane que tout le monde appelait Josy, diminutif que Solange trouvait vulgaire. Bref peu d’affinité entre les deux femmes et Solange ne faisait plus que ramener parfois Cédric chez lui, pour que les deux copains jouent encore un peu.

    – Alors, tu n’as rien à dire, rajouta Madame Granger, fronçant les sourcils pour ne pas éclater de rire.

    Elle se mit à faire bouger ses genoux d’avant en arrière en signe d’impatience, ce qui eu pour effet de dévoiler la chair tendre de la face interne de ses cuisses à Cédric. Celui-ci, n’ayant rien perdu de la situation, se décida à répondre pour que son interlocutrice reste à sa place.

    – C’est à cause de Vanessa !

    – J’avais cru comprendre. Qu’est-ce qu’elle a encore fait celle-là, tu n’as vraiment pas l’air de l’aimer, fit Solange en se déhanchant et gardant la position le tissu de sa jupe tendu au maximum.

    – Elle allume tous les mecs et elle se fout de la gueule de Jacques, rétorqua Cédric, les yeux rivés sur l’ouverture impudique de la jupe.

    Solange se rendit compte que Cédric fixait un point particulier. Elle réalisa très rapidement que du bas du perron, le jeune homme pouvait fantasmer sur son anatomie intime. Elle se sentit gênée. Solange allait lui faire une remarque quand elle se dit qu’elle devait se faire des idées, qu’elle risquait de blesser le jeune homme et que de toute façon le sujet de la conversation était ailleurs.

    – Mais ils sortent ensembles !? fit-elle remarquer, Pourquoi dis-tu qu’elle se moque de lui ?

    – Ca pour sortir, ils sortent. reprit Cédric sans ciller du regard.

    Solange se sentait troublée, de plus en plus troublée. Le regard du jeune homme électrisait ses sens. Une sensation lourde envahit son ventre, au plus profond d’elle même, au plus profond de son sexe. Elle voulait se ressaisir, ne pas laisser ses sens la dominer, et pour se donner une contenance commença à descendre les marches une par une, très lentement en prenant bien soin de faire s’écarter les pans de sa jupe à chaque pas. Si Cédric voulait voir, elle allait lui mettre l’eau à la bouche, mais le laisser sur sa faim pour le punir de son audace.

    Le jeune homme souriait à son interlocutrice puis planta son regard dans les yeux de Solange qui s’arrêta un pied sur chaque marche, la jupe paraissant prête à se déchirer. Cédric jeta un profond regard sur cette peau délicate offerte à ses yeux. Au bout de quelques secondes qui parurent une éternité à tout deux, il releva son visage pour fixer à nouveau Solange qui reprit sa lente descente comme si Le jeune homme lui en avait donné l’autorisation.

    – En fait, Vanessa se frotte toujours à lui, le frôle de ses mains où l’embrasse furtivement mais c’est surtout pour l’exciter et l’amener à faire tout ce qu’elle veut. Elle le promène, le balade l’excite, l’allume mais surtout se moque de lui.

    Arrivée à l’avant-dernière marche, Madame Granger laissa échapper son sac qui tomba sur le gravier. Instinctivement elle s’accroupit genoux serrés pour le ramasser, mais Cédric l’avait devancée et ramassait déjà ses affaires. Il l’a fixa plus intensément, ce qui impressionna Solange.

    – Je lui reproche d’en faire trop, de se montrer, d’allumer tous les mecs, Jacques et les autres, et surtout de ne rien donner de ce qu’elle promet !

    Le regard du jeune homme se fit plus pesant, plus sévère. Madame Granger n’avait plus envie de plaisanter. L’idée de s’être ’innocemment’ exhibée l’avait passablement excitée et les yeux sombres et durs de Cédric lui firent perdre le contrôle d’elle même. Lentement elle desserra ses genoux pour offrir au camarade de son fils une vue imprenable sur la chair tendre de l’intérieur de ses cuisses. Cédric baissa les yeux pour voir le panorama qui se dévoilait à sa vue, puis refixa Solange, qui comprit qu’il en attendait plus. Elle écarta davantage les cuisses, sa douce peau se décollait lentement de manière à lui enfin dévoiler la fragile dentelle de sa culotte couleur saumon. Malgré sa position inconfortable Solange se sentit soulagée de la lourdeur qui avait envahi son bas-ventre. La moiteur, qui naissait sur sa vulve, collait le fin tissu à sa peau et permettait de distinguer tous les merveilleux reliefs de son anatomie. Cédric replongea son regard vers l’entrejambe de Solange et apprécia la beauté et la finesse de la lingerie mais surtout l’ombre de la courte toison et le bombé des lèvres charnues et humides. De par l’échancrure du chemisier, il constata que Madame Granger portait un soutien-gorge coordonné à sa culotte. Il savait que cette femme avait beaucoup de goût et il était heureux de voir qu’elle savait choisir sa lingerie.

    Le jeune homme releva la tête et, avec un charmant sourire, tendit le sac à Solange.

    – Très joli… sac, fit-il, Faites attention en ville, on pourrait vous le voler !!!

    Il aida Solange à se relever. Elle le remercia avec un sourire à la fois gêné et pervers, puis se dirigea vers sa 206 couleur émeraude. Elle savait que les yeux du jeune homme étaient posés sur elle et plus particulièrement sur sa croupe. Elle exagéra sa démarche chaloupée, aidée en cela par ses talons sur le gravier de l’allée. Arrivée à sa voiture Solange s’assit à demi, laissant une de ses jambes à l’extérieur pour s’offrir à nouveau au regard de Cédric.

    – Ne te fâche pas avec Jacques, ce serait dommage que l’on ne se voit plus !

    – Ne vous inquiétez pas, lui répondit Cédric sur un ton ambigu, je ne laisserai pas Vanessa s’immiscer entre nous deux !

    Toujours souriante madame Granger ferma la porte de sa voiture, démarra et s’éloigna dans l’allée. Solange était songeuse. Que venait-il de se passer ? Qu’avait-elle fait ? Que voulait dire réellement leurs dernières paroles à chacun.

    Cédric se dépêcha d’escalader le perron pour rejoindre son copain qui passait ses nerfs sur un jeu de ’baston ’ à la Playstation.

    – Je te mets une rouste et on ne va pas chercher Vanessa ! proposa Cédric

    – Ne me gonfle pas, je lui ai dit qu’on passait à deux heures et demi

    – Ok, consentit Cédric, je peux qu’en même te mettre minable à la Play

    – C’est toi qui va pleurer, rétorqua Jacques en lui tendant la deuxième manette.

    Et les deux garçons se réconcilièrent rapidement en échangeant plaisanteries et fanfaronnades devant l’écran.

    Une demi-heure plus tard Jacques et Cédric étaient devant la maison de Vanessa. Jacques allait sonner quand Cédric lui montra que le portail n’était pas fermé.

    – On entre et on lui fait la surprise à ta copine, ne put s’empêcher de se moquer Cédric, je suis sûr qu’elle est en train de se pomponner pour te faire passer une après-midi inoubliable !!!

    – Tu vas pas recommencer Cèd, souffla Jacques et pour que tu me foutes la paix, sache que Van m’a promis de faire l’amour dans le sauna, ça t’en bouche un coin, hein !

    Cédric fit une moue dubitative mais arrivé au niveau de la voiture de madame Debarjac, la mère de Vanessa, il fit signe à son copain de regarder la porte du garage.

    – Et lui, il est venu réparer la tuyauterie du sauna ? fit- en désignant la moto de Rémy Dupin, l’ex de Vanessa

    Jacques entra dans une rage folle. déjà les remarques de Cédric l’avait passablement énervé mais le retour de ce foutu Rémy le mettait hors de lui.

    – Attends, calme toi, dit Cédric qui prenait les choses en main comme à son habitude quand la situation prenait une drôle de tournure. On va faire le tour de la maison et essayer de voir si on découvre ce qu’il fait là. Si on le voit on avise, si on voit rien on sonne et on fait comme si de rien n’était ! Ca va comme ça ?

    Complètement dépité Jacques suivait son ami qui essayait de découvrir par toutes les fenêtres où se trouvaient Rémy Dupin et Vanessa. Arrivés derrière la maison, le spectacle qui s’offrit à eux par la baie vitrée du salon les laissèrent pantois. Une véritable scène de film porno se déroulait sous leurs yeux éberlués. Madame Debarjac, en position de levrette, se faisait prendre violemment par le jeune motard sur le canapé du salon.

    – La salope, s’exclama Jacques qui restait figé au bord de la terrasse.

    Cédric toujours plus maître de lui que Jacques, s’empressa d’entraîner son camarade derrière un massif d’hortensias, afin de se dissimuler aux regards des hôtes de la maison et aussi pour pouvoir observer la scène plus tranquillement.

    La mère de Vanessa était entièrement nue, chaussée uniquement de talons-hauts blancs vernis. Elle avait un genou posé sur le canapé et son autre jambe, à peine fléchie, prenait appui sur l’épais tapis du salon. Penchée en avant, les mains accrochées à l’accoudoir, elle offrait sa croupe aux assauts de son partenaire. Rémy Dupin avait gardé son tee-shirt blanc trop serré et trop court qui moulait son corps relativement musclé. Il était à genou sur le canapé, son jeans complètement baissé était resté au niveau de ses mollets. Ses mains maintenaient fermement les hanches de madame Debarjac et il se démenait comme un diable, la besognant violemment.

    Jacques qui avait toujours le sens de la répartie, en était abasourdi. Catherine Debarjarc se faisait défoncer le cul sous ses yeux par un jeune loubard. Cette ancienne du lycée ’Sainte Marie de la Grâce’, amie de pension de sa mère, cette bourgeoise distinguée était en fait une vieille vicelarde, une putain qui aimait se faire ramoner le cul par des jeunes.

    – Putain, la salope, répétait- il en permanence, il l’encule à fond. Qu’est-ce qu’il lui met. Il lui renfonce les hémorroïdes au fond de la gorge. Elle est pas prête de se rasseoir de si tôt sur son cul. La Putain… La Salope…

    Jacques avait prestement ouvert son pantalon et masturbait son sexe gonflé qui dépassait de son slip.

    Cédric n’avait pas tout à fait la même analyse de la situation. Madame Debarjac était une femme de quarante-cinq ans mais son corps et son visage en paraissaient beaucoup moins. Blonde pulpeuse, des cheveux au volume délicieusement ondulé qui couvraient ses oreilles dont on ne voyait que le lobe orné d’un pendentif de perles, la mère de Vanessa avait un corps de déesse harmonieusement proportionné. La couleur de sa peau uniformément dorée était le résultat de séances d’UV savamment dosés pour ne pas la brûler. Sa croupe arrondie, ses reins cambrés pour offrir sa vulve aux assauts de son amant, sa jambe tendue aux muscles fermes et souples dont le galbe du mollet et de la cuisses étaient dignes des courbes des déesses antiques. Ses seins ronds terminés par des tétons turgescents étaient gonflés de plaisir et vibraient délicatement sous les assauts de Rémy Dupin.

    Tout traduisait la grâce, la classe chez cette femme. Même si la situation la faisait passer pour une pute, elle gardait toute la dignité d’une femme du monde qui avait reçu une parfaite éducation.

    Les remarques et la masturbation de plus en plus énergique de Jacques énervèrent passablement Cédric. Il se glissa discrètement le long du massif de fleurs pour accéder à la terrasse et se cacha derrière un fauteuil d’où il avait une meilleure vue sur l’accouplement bestial qui se déroulait dans le salon de cette maison bourgeoise.

    Un sourire moqueur apparu sur ses lèvres. De son poste d’observation, il percevait mieux ce qui se passait. Bien campée sur sa jambe tendue et sur l’accoudoir du canapé, Catherine Debarjac était loin de subir les assauts du jeune mâle qui s’agitait derrière elle. Malgré sa position de femme dominée, c’était elle qui dirigeait les opérations. Rémy avait beau se démener, ses genoux plantés dans le canapé moelleux ne lui fournissaient pas l’appui nécessaire pour que ses coups de butoir perforent ou même déstabilisent la mère de Vanessa. Il ne pouvait même pas bouger ses jambes entravées par son Jeans sous peine de tomber carrément du canapé et surtout de se retrouver les quatre fers et la bite à l’air. C’était pour ça que Rémy Dupin grimaçait comme un perdu car malgré tous ses efforts, il se rendait compte qu’il était impuissant à maîtriser cette femelle qui l’excitait tant.

    Bien sûr, vu leur position, Rémy était loin de sodomiser madame Debarjac comme Jacques se l’imaginait, Catherine se faisait limer la chatte à bon compte, c’était elle qui donnait le rythme en envoyant parfois ses fesses percuter le ventre de son amant. Parfois elle se caressait sa toison dorée de vraie blonde ou glissait ses doigts pour donner du plaisir à son bouton d’amour, puis sa main remontait sur ses seins qu’elle caressait avidement, se pinçant les tétons congestionnés, dressés comme deux petites bites. Parfois tournant la tête vers Rémy avec un sourire pervers elle se pourléchait les doigts, les faisant coulisser entre les lèvres pour simuler une fellation. Cela avait pour effet d’exciter le jeune motard qui redoublait ses gesticulations en s’agrippant plus fermement encore aux hanches de sa maîtresse. Mais Rémy Dupin n’était qu’un godemiché humain.

    La grande baie à la vitre épaisse était fermée et empêchait Cédric d’entendre quoi que ce soit mais aux grimaces de Rémy, le jeune homme comprenait qu’il soufflait, grognait, haletait comme un buffle, et le mouvement pervers des lèvres de la sulfureuse bourgeoise ne laissait aucun doute sur les mots qu’elle prononçait pour exciter son bel étalon à s’activer dans son con baveux.

    Le silence accentuait la violence et l’obscénité de la scène qui se déroulait dans ce salon cossu. Ce silence redoublait la perversité et le surréalisme d’un tel spectacle. Les yeux de Cédric entendaient les râles, les grognements de Rémy, les claquements des deux pubis se percutant et les mots vicieux de cette blonde perfide.

    Au bout de dix minutes de ce régime, Madame Debarjarc glissa sa main vers les deux sexes réunis et tourna à nouveau son visage vers le jeune loubard. Cédric vit dans son regard qu’elle avait décidé de mettre un terme à cette séance. Elle empoigna les couilles de Rémy et plaqua son poignet sur son clitoris. Propulsant violemment ses fesses en arrière et cambrant ses reins aux maximum, elle maintint Rémy en lui broyant les bourses et se fit jouir en comprimant son clitoris fiévreux. Le jeune homme n’eut pas d’autre choix que de plaquer son ventre contre les fesses offertes de sa maîtresse et d’expulser toute sa semence au plus profond de son vagin brûlant. Il jouit violemment mais n’eut pas vraiment de plaisir. Sa partenaire lui avait vidé les couilles mais il n’en tirait pas vraiment de satisfaction. Epuisé de sa cavalcade, il s’affala sur le canapé dépliant ses jambes douloureuses de tout leur long sur le tapis.

    Catherine adorait voler leur plaisir aux hommes prétentieux qui ne désiraient qu’une chose lui bourrer le cul. Elle offrait sa vulve mais ne donnait pas sa chatte. Elle aimait se faire limer profondément et surtout une grosse bite de chair bien chaude bien dure, c’était mieux qu’un gode ou un vibro. Elle jubilait quand la sève brûlante d’un mâle déchainé inondait son sexe, percutait ses parois vaginales, déferlait jusqu’au fond de son vagin. Mais il n’était pas question qu’un homme la possède ou la domine. Elle leur vidait les couilles mais leur laissait toujours un goût amer d’insatisfaction… , qui les faisait toujours revenir d’ailleurs.

    La mère de Vanessa s’était prestement relevée et debout devant Rémy avait plongé sa main droite dans son entrecuisse. Elle la fit remonter vers sa bouche pour sucer ses doigts avec un regard vicieux vers le jeune homme. Sa main gauche avait remplacer la droite et fouillait plus profondément sa vulve pour récupérer le maximum des secrétions qui inondaient sa grotte lubrique. Une fois gorgée de sperme et de cyprine, Catherine appliqua sa main sur le visage de son amant pour lui barbouiller la figure de ses liqueurs et fit pénétrer ses doigts dans sa bouche pour que Rémy goutte au sauvage cocktail. Humiliant à nouveau le jeune loubard elle se fit jouir une nouvelle fois en se caressant violemment le bourgeon dardé de son clitoris enflammé..

    Très excité par ce spectacle surréaliste, Cédric était surtout impressionné par la maîtrise de cette femme superbe et de l’ascendant qu’elle avait sur Rémy Dupin qui ne passait pas pour un tendre et qui aurait du la violer, l’enculer et lui décharger tout son foutre sur le visage. Mais il vit madame Debarjac parler au motard qui parut bien dépité. Devant cette réaction la blonde bourgeoise sembla hausser le ton et Rémy n’eut d’autre choix que de déguerpir. Il s’affala à même le sol les pieds entravés par son pantalon. La mère de Vanessa ne faisait déjà plus attention à lui. Elle pris un kleenex dans une boite posée sur la table du salon et s’essuya ses grandes lèvres souillées de son coït avec l’ex de sa fille. Elle sortit du salon pour se diriger vers l’escalier.

    Cédric s’était relevé et avait rejoint Jacques. Ce dernier avait totalement sorti son sexe et qui le tenait encore dans la main bien qu’il fut tout mou. Il finissait de se caresser pour se remettre de sa violente masturbation et de son éjaculation formidable devant le magnifique spectacle qu’il venait de voir.

    – Putain la salope, si j’avais su qu’elle était si chaude, c’est pas avec Vanessa que je voudrais baiser. Putain je me la ferait bien. Tu sais, elle était en pension chez les soeurs avec ma mère. Elle a pas du suivre les même cours. A les curés, c’est plus ce que c’était ! Putain je me suis branlé et j’en ai mis plein sur les fleurs… Faudra voir l’an prochain la gueule des hortensias après ce croisement génétique !

    – Tu sais au moins qu’il n’est pas venu pour Vanessa !, dit Cédric sans tenir compte des remarques douteuses de son ami, Par contre je pense qu’elle n’est même pas là, et ça, ça s’appelle ’un lapin’ !!!

    – Ta gueule Ced, tu vas pas recommencer. Bon elle est pas là on va sortir l’attendre dix minutes et si elle n’arrive pas on se casse, ça te va comme ça ?

    Cédric réfléchissait. Ils venaient d’entendre la moto de Rémy démarrer et s’éloigner en pétaradant. Puis il sourit intérieurement. Ils étaient venus chercher Vanessa qui, une fois de plus, avait jouer un sale tour à Jacques et à lui par là même. Mais il lui venait une idée pour que son après-midi à lui ne soit pas vraiment gâché.

    – On va demander à la mère de Vanessa si elle sait où est sa conne de fille, dit-il abruptement

    – Pardon, fit Jacques interloqué

    – On… va… sonner… à… la… porte… et… demander… à… madame… Debarjarc… où est Vanessa !, articula méthodiquement Cédric à l’adresse de son copain, C’est pourtant clair, non ?

    – Avec ce que l’autre lui a mit dans le cul, tu crois qu’elle va t’ouvrir la porte ? Elle ne répondra même pas.

    – Aller, on lui donne encore cinq minutes et on va sonner, poursuivit Cédric en ignorant totalement les dénégations de Jacques.

    Il regarda sa montre. Jacques était tout à fait ahuri par la situation. Pour la première fois de sa vie, il ne comprenait pas ce que son copain mijotait. Il ne voyait pas ce que pouvait leur apporter d’aller voir la mère de Vanessa. Il était tellement perdu dans ses cogitations qu’il ne pensait même pas à se dire que c’était l’occasion ’ de se la faire’, comme il disait. Cédric ne le regardait même pas, à quoi pensait-il, que pouvait-il bien avoir derrière la tête ?

    Les cinq minutes écoulées, Cédric entraîna Jacques vers le devant de la maison. Ils avançaient avec précautions pour ne pas se faire voir par les fenêtres. Arrivés devant l’entrée de la maison, Cédric sonna et se glissa sur le coté laissant Jacques face à la porte.

    A SUIVRE….

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