Je me décide à mon tour de me confier à vous pour ma plus grande honte mais je dois le reconnaître, aussi pour mon plaisir.
Je suis une femme de 40, je m’appelle Anne, nous avons 4 jeunes enfants, je suis mariée à Jean depuis 17 ans. Avec les années, mon mari à perdu de sa vigueur. Peut-être ses activités hautement intellectuelles ont fait de lui plus un donneur de leçons qu’un amant.
Il faut reconnaître qu’en dehors la chorale, les cours de reliure et membre de l’association des abbayes rénovées, mon mari a oublié qu’il était marié. Si bien que j’ai du, bien malgré moi, apprendre petit à petit à me donner du plaisir autrement. Moi-même, ayant de nombreuses activités fors charitables, je suis amené à rencontrer beaucoup de personnes. C’est ainsi, que je fis la connaissance de Bouma, un jeune noir fraîchement arrivé d’Afrique pour rejoindre notre association humanitaire pour le développement du Bénin. Faisant parti des femmes de tête de notre association, je pris soin de l’héberger dans notre domaine, le temps que le foyer de Saint-Estèphe puisse libérer une chambre pour l’accueillir. Bien entendu, ce genre d’initiative restait tout à fait exceptionnel, et si je n’avais pas été certaine que Bouma eu d’excellentes recommandation du Père Pria installé au Bénin. Bouma, jamais il ne serait venu sous notre toit. Bouma était un jeune noir d’excellente présentation et d’une éducation sans faille. Un jeune homme de bonne famille.
Jean, mon mari, naïvement, lui a lui-même proposé de libérer une des chambres des nos 5 enfants afin qu’il se sente ’ chez lui ’, j’avoue que je ne pensais qu’il serait autant choyé, et qui plus est, par moi-même et à l’insu de mon mari, enfin presque.
Il faut dire, que malgré mes allures et mes principes, j’ai toujours eu un faible pour des pensées plutôt osées, mon mari, diraient ’ scandaleuses ’, c’est vrai, qu’il n’avait pas tord.
Bouma, gentiment salua mon mari en le remerciant de son hospitalité.
— Je vous en prie jeune homme, c’est bien naturel lorsque l’on habite une si belle demeure, de pouvoir aider son prochain.
— Oui monsieur
— Mais je vous en prie, je vous laisse entre les mains de mon épouse
De voir Bouma, au coté de mon mari me rendit, comment dire, soudaine troublée…en effet, Bouma, était de très loin bien mieux bâti que mon mari et en détaillant son corps, je me suis rendu compte à quel point mon mari avait pu s’engraisser ! Un cochon à côté d’un nègre me disais-je intérieurement… mais à choisir, j’avoue que mon nègre doit avoir une queue bien plus grosse et appétissante que celle de mon pauvre intello de mari. Je me demandais en moi-même si mon Bouma sentait qu’une salope se devinait sous mes formes puritaines. Il faut dire que ma forte poitrine attire sur moi les regards les plus vicieux, d’autant plus qu’il sont franchement gros et tout à fait bien conservés.
Je me demandais si Bouma avait des pensées perverses aussi fortes que les miennes. Ce qui est certain c’est que dès qu’il était à moins d’un mètre de moi, je sentais que mes engagements maritaux (fidélité et compagnie) ne pesaient plus bien lourds dans la balance devant cet étalon.
C’est en faisant son lit que j’eus la réponse. Oui Bouma était un cochon, mon coeur de femme mariée se mit à battre à toute allure lorsqu’en soulevant le matelas pour border le drap, je découvris une de mes culottes souillées de traînées de foutre séchées. Pour m’en assurer, je portais la culotte à mes narines et je fus surpris par une intense odeur de foutre séché si bien que je ne pus m’empêcher de mettre ma main par-dessus ma robe pour me caresser vite fait sachant que mon mari ne devait pas se trouver bien loin. Ce salaud se branlait dans mes culottes et ne se gênait pas pour bien étaler sa crème épaisses dans le fond de mes culottes. En parfaite observatrice je remarquais (tout en me touchant négligemment par-dessus mon tailleur) que ce cochon avait pris soin de se répandre sur le renfort de ma culotte là où bien entendu mes sécrétions sont les plus nombreuses ainsi que mêmes sur les quelques traces brunes dues à un essuyage bâclé de mon anatomie la plus intime.
Tout en m’astiquant généreusement, je me mis à ricaner tout haut en disant à haute voix dans la chambre ’ ce n’est toi mon petit mari chéri qui pourrait en faire autant ’…et je me mis à rire de façon obscène. Je me fis jouir comme une véritable petite salope si bien qu’en parfaite épouse dévouée, je pris soin de bien me branler dans ma culotte pour faire un cadeau à mon Bouma chéri.
’ Tu vas voir comme ta vice-présidente de notre association traite les cochons nègres ’ !!!! Elle prit soin de bien rentrer sa culotte entre ses lèvres et de bien la rentrer dans sa raie en se torchant l’anus avant de la mettre à la place de celle qu’elle avait trouvé. ’ Branle-toi en passant à ce que je fais en plus mes occupations charitables’ .
Je me demandais bien comment il allait réagir et je décidais de mettre la culotte que Bouma avait souillé et de préparer un petit apéritif pour mon mari chéri et Bouma.
A 19h j’avais pris soin de disposer sur mon plateau d’argent tout un assortiment de toasts ainsi que les verres de cristal de mon beau-père, quelques glaçons et quelques fins alcools.
— Jean ?
— Oui ma chérie ?
— J’ai servi un apéritif, tu va chercher Bouma ?
— Quelle bonne idée mon amour, oui, il est dans l’atelier, je le préviens.
Honteuse mais excitée, j’avais pris soins de choisir un tailleur écossais m’arrivant aux genoux afin de pouvoir montrer mon entre cuisse à l’intéressé.
— Quelle bonne idée mon amour, vous voyez un peu mon cher Bouma comme mon épouse est une femme d’exception ?
— Je n’en ai jamais douté Monsieur, votre femme est vraiment une exception
Quel salaud quand même, il jute dans mes culottes et fais le jeune homme de bonne famille. Excitée, je m’arrangeais pour m’asseoir à côté de Bouma.
— Oh vous savez, Bouma, c’est bien normal de faire plaisir à mon époux et vous êtes vous-même si gentil.
Tout en parlant, j’avais écarté mes cuisses négligemment afin d’offrir à mon mari, une vue imprenable sur ma culotte maculée de foutre de nègre. Je trouvais cela parfaitement indécent d’autant plus que mon pauvre mari n’y prêtait guerre attention. ’ Hé bien si cela ne t’intéresse pas ’, pensais-je en moi-même, ’ peut-être que Bouma appréciera davantage la vue que je te donne. Prétextant un manque de glaçons, je partis en prendre quelques-uns uns en m’essayant aux côtés de mon époux, face à Bouma.
— J’ai été chercher quelques glaçons mon chéri, je sais que tu es un gros consommateur de glaçons.
— Oui mon amour, je t’aime
— Vous voulez aussi un glaçon Bouma ?
— Volontiers madame !
Je m’avançais au bord du canapé pour attraper la pince à glaçons et tout en servant Bouma, j’ouvris largement mes cuisses mais de façon à laisser penser que cela était involontaire.
— Un deuxième ?
— Heeuu oui, vous savez ils fondent vites les glaçons devant une boisson aussi agréable
— Tenez alors, ne laissons pas fondre votre glaçon trop vite (tout en écartant bien ses cuisses de femmes de bonne famille.) Je me risquais à lui sourire mielleusement sans que mon mari puisse s’en apercevoir.
Le salaud en profitait pour constater que j’avais remis la culotte souillée de son foutre car il me répondit : ’ les bonnes choses ont besoin d’être partagées et appréciées ’ et répondit à mon sourire.
Soudain le téléphone sonna, c’était pour Jean, probablement un problème d’organisation pour la visite monastique de demain ou un de ces nombreux passionnés de reliures ennuyeuses à mourir. En effet, il enfila sa veste en s’excusant auprès de Bouma mais qu’il devait chercher l’historique de l’abbaye des Florentins chez son ami Emint. Je restais donc seul avec Bouma.
— Votre mari semble souvent occupé Madame
— Oh mon cher Bouma, vous savez, mon mari a oublié depuis longtemps qu’il était marié
— Pourtant, lorsque l’on a la chance d’admirer vos charmes, difficile d’oublier !
— Oh Bouma, mais de quoi me parlez-vous ? (je savais cependant de quoi ce salaud parlait)
— Hé bien, je crois avoir reconnu quelque chose
— Ah oui ? (prenant un air puritain et intéressé)
— Oui Madame, et je crois que vous le portez admirablement
— Vous parlez de ma culotte que dans laquelle vous avez eu le toupet de vous branler (je rougis en prononçant ce mot à châtier de mon langage) ?
— Absolument espèce de salope !
— Moi une salope ? Vous n’avez pas honte de vous adressez à une femme de mon rang de cette façon ? Je devrais appeler mon mari au téléphone sur-le-champ pour lui faire-part de votre façon de parler de moi !
— Cela serait vraiment dommage, vous ne croyez pas ? (Dit-il tout en posant sa main sur la braguette et me montrant l’énorme bosse qui s’était formée).
— Vous êtes dégouttant !
— Avouez que vous n’attendez que cela.
Je marquais un moment de silence ou tout se bouleversa dans ma tête, c’est vrai, il avait raison, il m’excitait ce salaud et en plus, il a l’air d’avoir un sacré morceau entre les cuisses, je lui sucerais bien la queue à ce nègre. En plus mon mari n’est pas là. Oh oui, je ferai mieux de prendre sa grosse bitte dans ma bouche plutôt que de jouer à la sainte ni touche. Mais tout de même, même si je veux bien qu’il me jute à la gueule en me traitant de pute, je ne dois pas oublier ma condition sociale, que je suis mariée et que j’ai toujours été élevée dans la plus stricte tradition et qu’une femme du monde n’est pas censée se livrée à de telles horreurs. Pourtant, là j’en avais vraiment envie. J’en ai marre de la petite quequette à mon mari, de son petit haricot tout mou.
— J’avoue que la proposition est alléchante Bouma, vous avez quelque chose de bien à me proposer ? (lui-dis je d’un ton vraiment obscène)
— Regardez ce que j’ai à vous proposer !
Il descendit sa braguette et j’aperçus une espèce de bosse diaboliquement énorme derrière le nylon noir de son caleçon.
— Mon Dieu, mais c’est pas une bitte que vous avez !
— Si mais c’est sûr qu’une bitte de noir c’est quand même autre chose, non ?
— C’est vrai que celle de mon mari à coté de la votre, ça n’a rien à voir
— Il a une petite bitte ?
— Plus que ça, quand je le suce, j’ai l’impression de sucée une dragée, et encore ! par contre la votre Bouma, si je n’étais pas non plus bien élevée, je crois que je vous la sucerai tout de suite et que je vous laisserai remplir ma bouche de foutre
Le téléphone se mit à sonner. Je fus énervée, je me disais en moi-même quel est ce con qui m’appelle au moment ou j’ai failli voire enfin un vraie bitte !!
En plus, c’était mon crétin de mari. Celui là alors ! Non seulement c’est un mauvais baiseur mais en plus, il me dérange alors qu’une vraie bitte allait se découvrir devant mes yeux de bourgeoise. Je fis un signe à Douma que c’était Jean mon mari et que surtout il ne fallait rester sage. Seul petit détail, j’oubliai de refermer mes cuisses et pendant que je parlais à mon mari, je laissais ce sale vicieux admirer ma culotte sale de son foutre me rentrer dans la chatte. Plutôt que de rester assis, il en profita pour venir caresser par-dessus son caleçon sa grosse bitte debout devant moi à 40cm de mon visage.. J’étais décontenancée et faisais de terribles efforts pour ne rien laisser paraître à mon mari. J’étais troublée mais très existée et au lieu de dénoncer son attitude à mon mari, je pris sa grosse bitte dans ma main tandis que j’avais le téléphone dans l’autre main. Ce salaud avança son bassin et fis des va et viens obscènes juste devant moi. Je ne pus laisser échapper quelques gémissements de surprises…
— Ca va ma chérie ? s’interrogea Jean
— Oui oui mon amour ta femme est en train de manger une orange en même temps, c’est pour ça (quelle menteuse je fais quand même)
— Ah d’accord, elle est bonne j’espère ?
— Elle n’a pas l’air mal (je fis un clin d’oeil vicieux à Bouma)
— Mange ma chérie, mange, j’aime entendre le bruit de ta bouche…
— C’est vrai ? Tu aimes ? (je branchais le haut-parleur afin que Bouma puisse suivre la conversation intime entre une épouse et son mari)
— Oui ma chérie, j’aime quand tu es heureuse et que tu te sens pleine de vie…
Je regardais la bitte de Bouma et lui fis signe qu’il pouvait mettre sa grosse bitte dans ma bouche puisque mon cocu de mari pense que sa femme chérie mange sagement une orange. S’il savait le pauvre, ce que j’ai devant les yeux et ce que je vais bientôt sucer et devant lui en quelques sorte.
Bouma comprit qu’il pouvait profiter de la situation et me présenta sa bitte devant ma bouche.
— Alors si cela ne t’ennuie pas, je vais me prendre un gros quartier d’orange et je vais le marcher pour que tu entendes.
— Bonne idée c’est amusant
Alors Bouma mis sa corne d’ivoire, sa grosse bite de noire dans la bouche de sa présidente d’association.
— Hummmm comme elle est bonne !!!!!
— J’entends oui, elle a vraiment l’air bonne ma chérie
— hum mm est qu’est ce qu’elle à l’air juteuse en plus !!!!
Bouma mit toute sa bite dans ma bouche et se branlait en même temps, je sentais qu’il allait se vider dans ma bouche au nez de mon mari alors que je lui ai toujours refusé la moindre éjaculation dans ma bouche. Ce salaud de Bouma en profita et redoubla de vigueur, j’en avais pleins la bouche et comme mon gentil mari pensait que je mangeais sagement mon orange, je pris soins de lécher aussi les couilles de mon amant.
— J’ai bientôt fini mon chéri, je me suis juste gardé les deux morceaux les plus juteux pour la fin, je peux les faire éclater dans ma bouche mon chérie ?
— Bien entendu mon Amour, régale-toi
— Oui Mon amour ta femme va se régaler, elle adore quand il y a beaucoup de jus à sucer.
Bouma excité par mon sourire de salope fini par envoyée sa purée dans ma bouche
— Oh mon chéri, ça jute ça jute !!!!
— Il y a beaucoup de jus ?
— Oh si tu savais, je suis en train de m’en mettre partout ! elle jute cette orange, c’est incroyable, je n’ai jamais eu autant de jus dans la bouche (dis à mon mari en souriant à Bouma)
Et ce salaud en profitais pour jouir aussi sur mon visage, j’en eu partout et même sur le micro et l’écouteur du téléphone que je m’empressais de lécher.
— Il y a du jus sur le micro du téléphone, je lèche pour le nettoyer
— Lèche ma chérie, lèche bien, nettoie bien oui !!
— Oh oui je vais bien nettoyer, regarde comme je nettoie
Je m’enfonçais la grosse bitte noueuse au fond de ma gorge pour bien me prendre toute la crème qui avait couler le long de sa tige ainsi que le foutre qui avait atterri sur le combiné.
— Voilà mon chéri, ton épouse à finie de manger son orange, tu as aimé ?
— Oui c’était amusant…
— Délicieux même !!! (Je ris, la figure pleine de foutre et regardant Bouma) tu voudras en goutter mon amour ?
— Pourquoi pas, moi aussi tu sais, j’aime bien quand il y a du bon jus… !!
— Alors tu y auras droit…
Voilà, ce premier épisode marque le début d’une longue perversion avec mon amant. Rien que de penser à la suite j’étais excitée. Je me demandais même si mon mari n’aimerai pas lui aussi recevoir de ce bon jus.
J’attends vos histoires et vos commentaires, il y aura une peut-être une suite si vous avez aimé mon histoire.
Anne.
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