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Mes premiers congés payés – Chapitre 6

Mes premiers congés payés - Chapitre 6



Lorsque nous eûmes rempli le coffre, nous reprîmes la jolie route de campagne qui nous ramenait chez mes cousins, des champs à perte de vue et des bois. A un moment Jeanine me demanda, tu as du papier toilette dans ta voiture ? » alors que je répondais par la négative elle repris, cest dommage, jai une de ces envies de pisser, il va falloir quon sarrête, tiens le bois là-bas, tu nas quà tourner dans un des petits chemins » ce que je fis, Jeanine ouvrit la portière puis me regardant alors que je ne bougeais pas me dit « ben quest-ce que tu attends, pas de papier daccord, mais il va falloir que je messuies alors tu vas me suivre et messuyer comme tu las fait à lautre vielle salope de Germaine », je mis moins de temps quelle à descendre de la voiture. Jeanine rentra dans le bois sarrêta derrière un arbre et me dit « ôtes moi ma culotte je ne veux pas la tremper » je mexécutais, javais tellement envie de voir enfin son sexe, je me trouvais face à un buisson très fournis de poils, Jeanine me dit « recules et mets toi à genoux quand jaurais finis tu messuieras », elle déboutonna un peu plus sa robe, saccroupit et commença à libérer sa vessie, un joli liquide doré en sortait et moi bien sur je bandais comme un fou, alors quelle se vidait, elle me dit « tu aimes me regarder pisser petit dévergondé, montres moi comment tu aimes, sors ta queue », je fis ce quelle me demandait et bien sur cest un sexe en érection quelle eut à regarder, elle fit « humm, elle est vraiment belle, quelle dommage » je me rappelais ce quelle mavais dit plus tôt dans la matinée et me le tint pour dit.

Quand elle eut fini, elle se releva, sadossa à larbre qui était derrière elle et dit simplement « viens messuyer avec ta langue » je ne me fis pas prier, je mapprochais et commençais à lécher sa fente humide durine je reculais pour retirer quelques poils qui étaient dans ma bouche, elle me saisit par la nuque et me remit la tête entre ses cuisses « essuies bien mon trésor, jadore la douceur de ta lange », je trouvais rapidement son clitoris qui était gonflé de plaisir et le titillait doucement pour voir ce que Jeanine allait dire, elle appuya encore plus fort sur ma nuque en gémissant, elle était tellement excitée quil ne me fallut que quelques minutes pour la faire jouir, et cest avec plaisir que je recommençais à lessuyer, je la fis jouir une seconde fois alors quelle hurlait son plaisir puis elle baissa sa robe, et me dit « on rentre, tu mets ma culotte dans ta poche ».

Nous rejoignîmes la voiture comme si il ne sétait rien passé, sauf que je bandais comme un âne.

Arrivés à la maison, je vidais le coffre tout seul, pendant que Jeanine allait se changer et passait juste un tee-shirt, lorsquelle elle arriva dans la cuisine, jattendais sagement,

Jeanine « quest ce que tu fous, tu es encore habillé, enlèves ça tout de suite, tu as de la chance, je suis contente que tu maies fait du bien tout à lheure sinon cétait la fessé, pendant que je range, tu vas mattendre à genoux sur la terrasse ». Ce que je fis immédiatement de peur dune nouvelle fessée, mes fesses me cuisaient encore de celle du matin.

Quand elle me rejoignit, elle sassit dans sa chaise longue, une jambe de chaque côté ce qui moffrait une vue superbe sur sa chatte poilue, elle vit que le regardais et avec un sourire me dit « tu ne dois pas voir grand-chose, que te faut-il pour menlever tout ça » et de sa main elle saisit une touffe de poils sur laquelle elle tira doucement. Je lui répondis quil fallait le rasoir et la mousse quelle venait dacheter mais également des petits ciseaux pour préparer son sexe, de même quune bassine avec de leau chaude et un gant de toilette. Elle se leva, me dit « restes là » et retourna dans la maison.

Quelques minutes plus tard elle revenait avec un sac quelle vida sur la table de jardin, il y avait une petite paire de ciseaux, le rasoir et la mousse achetés quelques heures auparavant, elle sabsenta à nouveau et revint avec une bassine deau chaude dans laquelle un gant trempait déjà. Puis elle me demanda, « comment veux-tu que je me mette pour me raser mon chéri », je lui répondis que sur la table ce serait plus facile, elle sy assit puis le lui demandait de poser ce pieds sur la table et surtout de bien écarter les cuisses, elle se mit en position, en appuie sur ses coudes, je lui demandais de se rapprocher du bord de la table, une fois quelle y fut et alors que je posais les accessoires sur une chaise à côté de moi, elle me dit « vas me chercher deux coussins pour que je sois mieux installée, je fis ce quelle me demandait et quand elle fut installée confortablement, elle me dit « vas-y je suis toute à toi », prenant le gant dans la cuvette, je lessorais un peu et commençais à le passer partout pour bien mouiller les poils, je ne pu mempêcher de le passer tout le long de sa fente en appuyant mon majeur ce qui écarta ses grandes lèvres et la fit gémir « salaud, tu en profites »

Moi : « mais non tata cest juste quil faut que ce soit bien mouiller pour que le rasoir glisse bien », et je recommençais en remontant vers son clitoris qui commençait à sortir de son écrin, quand je fus juste dessus, je le titillais doucement, puis je redescendis jusquà son ptit trou que je titillais à son tour « pas là, je naime pas, arrêtes tu feras ça après si tu veux, mais rases moi tout de suite » je lui répondis que je voulais faire correctement ce quelle me demandait et que là aussi il y avait des poils, puis je pris les ciseaux et, par petites touffes, je coupais les poils de manière à ce que ce soit plus facile à raser, bien sur pour cela je devais les tirer un peu et cela lexcita encore plus, elle gémit encore « putain même sans me caresser tu mexcites », une fois les poils raccourcis, je pris de la mousse dans mes mains et commençait à lappliquer, jen profitais pour écarter ses grandes lèvres avec mon majeur, mais sans le gant cette fois, puis à titiller à nouveau son clito « arrêtes merde, tu me rases et tu feras ce que tu veux après » ça nétait pas tomber dans loreille dun sourd, je procédais à lélimination de toute sa toison, puis je rasais tout le tour de son anus, une fois que ce fut fait je passais doucement ma main sur sa peau nue, elle frémit, je lui demandais « je peux vérifier quil ne reste rien ? »

« Tu as intérêt quil nen reste pas un seul sinon je te punirais, alors vérifies bien »

Je massied sur la chaise qui était derrière moi en la rapprochant de son entrejambe offerte et penchant la tête en avant je commençais par passer un grand coup de langue sur toute la peau que je venais de mettre à nue et qui était dune douceur très agréable, Jeanine gémit et dit « non, cest mal, je ne veux pas » mais elle ne bougeait pas pour se retirer à ma caresse, je replongeais entre ses cuisses et recommençais, elle gémit à nouveau, releva ses jambes les posa sur mes épaules et les serra pour que je ne puisse pas bouger et que je continues, je ne men privais pas, je descendis même jusquà son anus, qui frémit au contact de ma langue alors que Jeanine disait « non pas ça, pas là, je naime pas » mais son ptit trou disait le contraire et je le sentais palpiter sous mes coups de langue, je remontais et ouvrant ses grandes lèvres avec mes mains je plongeais ma langue dans son sexe, elle hurla « ouiiiiiiiii, vas-y bouffes moi, fais moi jouir avec ta langue mon chaton ».

Je fis ce quelle me demandait je forçais ses grandes lèvres avec ma langue et la fouillais alors que mon majeur descendait doucement vers son anus et le caressait, elle sursauta et gémit un « nonnnn » mais je nen tins pas compte et commençais à le caresser, puis alors que je sentais quelle nallait pas tarder à jouir, je poussais un peu mon doigt et la première phalange rentra dans son cul, elle gémit à nouveau « oh cest trop bon, personne ne ma jamais fait ça, tu es doué mon chaton, continues, fais moi jouir », jenfonçais mon doigt en entier dans son cul et commençais à lui limer lanus au rythme de mes coups de langue, elle gémissait de plus en plus fort,, donnait des coups de reins pour sempaler sur mon doigt et finit par jouir, en hurlant son plaisir, alors que je buvais son plaisir, je sentis ses jambes mollir sur mes épaules, et jétais dans un état pas possible, je navais pas jouis et jen avais envie, javais très envie de glisser ma queue dressée au fond delle, doucement , je retirais mon doigt, elle poussa un petit soupir, jagrippais ses cuisses et me relevais lentement, quand je fus debout, ses jambes sur mes épaules, elle était plaquée sur la table, et mon sexe était à la hauteur du sien, je le passais doucement sur sa fente en la caressant, Jeanine sursauta et dit en gémissant « que fais-tu ? Pas ça, il nen est pas question je suis ta cousine » mais sa voix tremblante disait le contraire, jappuyais mon gland sur sa fente et donnait un coup de rein en avant, sa chatte trempée de son plaisir, souvrit toute seule sous ma poussée, je rentrais dun coup au fond delle et commençait de lents va et vient qui memmenaient à chaque fois au fond de son sexe alors quelle gémissait « oui, prends moi, fais moi du bien avec ta bite, je la sens bien, vas-y, plus fort » jobtempérais bien sur et dans un recul un peu plus fort que les autres je sortais carrément de son sexe, javais envie de son cul, je serrais un peu plus ses cuisses pour ne pas quelle se dérobe et profitant que jétais bien lubrifié, je posais mon gland sur son anus, Jeanine sursauta et gigota pour se libérer, mais je la tenais bien, « non arrêtes pas là je tai dit, ta langue, ton doigt, mais pas ta queue, tu vas me faire mal » faisant fi de ses paroles, je donnais un petit coup de reins qui fit entrer mon gland dans son tunnel, et la regardais, elle avait ouvert la bouche et était sans parole, je poussais doucement et enfilais mon sexe entier dans son cul, cest lorsque je fus au fond, et après quelques minutes, quelle recommença à gémir « oh putain cest trop bon, pourquoi personne ne ma jamais fait ça avant ? Vas-y mon chaton encules moi fort, je veux te sentir au fond de mon cul, défonces le, fais lui du bien avec ta bite », alors je me lâchais complètement et donnant de grands coups de reins je la fis jouir à nouveau, elle hurlait de plus en plus fort et je me dis que si ça continuait les voisins, que nous avions vu le matin même et qui étaient à peine à une centaine de mètres, allaient finir par lentendre, après de longues minutes de va et viens Jeanine me dit « jouis dans mon cul, vides toi les couilles au fond de moi, je ten supplie, je veux sentir ton foutre me cingler le fond du cul », toujours très obéissant je refis quelques va et viens et explosais au fond de son cul alors que Jeanine jouissait une fois de plus.

Je me laissais tomber sur le fauteuil qui était derrière moi, complètement vidé, les jambes de Jeanine toujours sur mes épaules, javais en face des yeux sa chatte béante doù coulait encore son plaisir et son anus ouvert et dilaté, une vue très agréable. Jeanine repris ses esprits et me dit : « petit salaud je tavais dit non, cet après-midi je vais te punir pour ne pas mavoir obéis, et je ensuite je te remercierais pour mavoir désobéit, je vais prendre une douche et après pendant que je préparerais le repas, tu iras en prendre une, ensuite tu memmènes chez le coiffeur, tu vas tondre la pelouse des voisins et je tappellerais chez eux quand jaurais fini, et quand on rentre, je moccupe de toi jusquà ce soir. Tu sais je navais jamais joui comme ça, tu mas fait des trucs que Bernard ne ma jamais fait et jai adoré ».

Jeanine était maintenant appuyée sur ses coudes et me regardait avec des yeux encore plein du plaisir que je venais de lui donner, je lui répondis « oui tata, je ferais ce que tu voudras, et moi aussi jai beaucoup aimé te faire jouir » disant cela je baissais les yeux et vis quun filet de mon sperme commençait à couler de son anus ouvert, voyant cela je ne pus mempêcher de baisser la tête en disant « tu as des fuites tata » et avec ma langue je ramassai le sperme qui coulait.

Je continuais à la lécher et remontais vers sa chatte grande ouverte, Jeanine dit « non, arrêtes pas tout de suite, cest trop » et alors que jattrapais son clitoris qui recommençait à durcir entre mes lèvres puis entre mes dents pour le mordiller, elle se laissa retomber sur la table et en gémissant dit « tu vas me rendre folle, je vais exploser », je redescendais vers le ptit trou ouvert et glissais ma langue dedans, récupérant ainsi une partie de mon sperme, Jeanine gémit en disant « salaud jadore ce que tu me fais, bouffes moi, ta langue est tellement douce, dévores moi, nettoies bien mon cul, vide le de ton foutre », je continuais à moccuper de son cul tout en massant son clitoris dun doigt, et je sentais à ses gémissements quelle nallait pas tarder à jouir à nouveau, alors jaccélérais mes coups de langue en les appuyant bien, et quelques secondes plus tard, alors que ma langue tournait dans son ptit trou, Jeanine jouit, et expulsa son plaisir, je pris en pleine figure, plusieurs jets de cyprine, jen avais partout, je continuais à la lécher et à branler son clito, alors quelle hurlait son plaisir, puis elle me supplia « arrêtes sil te plaît arrêtes tout de suite », mais je sentais quelle repartait et je continuais jusquà ce quelle jouisse à nouveau, je me levais, je bandais à nouveau, je posais mon gland sur son anus et dun coup de reins je fus au fond de son cul et commençais à le limer, Jeanine secouait la tête dans tous les sens « oh putain que cest bon, défonces moi le cul mon poussin, exploses moi mon ptit trou et remplis moi encore avec ton sperme » je venais de jouir et je pu la limer de longues minutes pendant lesquelles elle gémissait et hurlait que jamais elle ne sétait fait mettre aussi bien et quelle navait autant jouit, je réussis à jouir au moment ou elle-même jouissait et ce fut une longue plainte qui sortit de sa bouche. Je retombais sur le fauteuil, complètement crevé et surtout les couilles vides, Jeanine se releva doucement, me tendit la main pour que je laide à descendre de la table, se pencha sur moi et membrassa longuement et très tendrement, quand elle lâcha mes lèvres elle murmura « merci mon poussin, cétait divin, je nai jamais jouit comme ça, je sens que la semaine va être super et que je vais rattraper le retard que jai ».

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