Voici une histoire écrite d’après les confidences d’une de mes lectrice que je remercie encore et qui reste sa propriété. Bises Laura.
*******************
Prélude
Je suis assise à la terrasse d’un café, sous un beau soleil du mois de juillet, dans cette île ou j’ai passé de merveilleux moments pendant mon adolescence. La Sicile.
Je fais une petite pose et derrière mes lunettes de soleil, je regarde la mer limpide qui brille au gré des vaguelettes et je fais bronzer mes jambes. J’ai relevé ma robe qui déjà courte, m’arrive maintenant à la limite ou la décence le permet en public sur les côtes de la Sicile. A quelques mètres de moi, je remarque un homme d’environ 45 ans, attablé avec une jeune fille de tout juste 18 ans, dont le comportement m’intrigue. Une de ses mains me semble entre les cuisses de la jeune fille qui lorsqu’elle me regarde pique un fard et resserre ses cuisses.
De son côté, l’homme me regarde et sans aucune gêne, fixe mes jambes allongées et surtout mes cuisses dévoilées.
Je m’apprête à bouger, mais d’un seul coup, cet homme qui se permet de caresser la chatte d’une jeune fille en public tout en mâtant les cuisses d’une autre, me rappelle mon oncle Salvatore. Macho et pervers.
Derrière mes lunettes de soleil foncées, je vois ses yeux qui vont de ma tête à mes pieds, lentement, comme s’il étudiait chaque partie de mon anatomie, alors que la jeune fille tente de retirer sa main baladeuse d’entre ses cuisses.
S’il ne peut deviner mon âge, 31 ans, il imagine fort bien la taille de mes seins et leur forme car je porte un t-shirt assez décolleté qui moule parfaitement ma poitrine, d’un bon 95 D en forme de grosse poire, avec de beaux tétons qui grossissent rapidement dès que je suis excitée. Brune aux cheveux mi long bouclés et surtout une belle paire de fesses bien charnues sur une taille cambrée qu’il ne peut voir pour l’instant mais qui fait beaucoup tourner la tête des hommes je croise lorsque je me promène au bord de la plage. Un cul à faire bander un eunuque, comme dit mon mari. Des yeux Bleu, dans un visage resté jeune,
Lui, il doit avoir dans les 45 ans, bien bâti, bel homme tout comme mon Oncle quand j’étais jeune fille et qu’il me faisait fantasmer… Jusqu’au jour ou.
Chapitre 1 : Oncle Salvatore
Mon Oncle s’appelle Salvatore et c’est lui qui m’a initiée aux jeux de l’amour et du sexe. J’avais tout juste 18 ans à l’époque et lui 42.
C’était pendant mes vacances en Sicile ou habite mon oncle un bel homme fort macho et très sexiste qui, pour lui, une femme doit rester à la maison s’occuper des enfants et le servir .
Je suis la première de ses nièces et j’ai les mêmes yeux bleus que sa tante à lui. Je me suis toujours demandée s’il y eu quelque chose entre eux mais j’ai jamais eu la confirmation, mais je suis sa nièce préférée.
Mon oncle est un paysan qui cultive la terre de nos ancêtres et sa maison est à côté de celle de mes parents qui y vont très rarement.
Un soir du 15 août, comme chaque année, toute la famille est réunie autour d’un barbecue et on boit du vin. Mes cousins et cousines et moi-même attendons avec impatience minuit car la coutume veut qu’on brûle un gros tas de bois pour en faire un Fallot (un grand feu) et on se réunit autour pour discuter ou raconter des histoires. Mais moi j’ai l’habitude juste après de partir me promener sur les terres car le feu exerce sur moi une certaine fascination et fais ressortir certains fantasmes que je ne devrais pas avoir si j’étais une jeune fille sage et bien élevée comme dit maman.
Cette année-là, plus que d’habitude je restais près de mon oncle, parfois un peu provocante pour qu’il me regarde avec les yeux d’un homme qui désire une fille.
Il y a quelques jours, lorsqu’il était en train de fendre des bûches de bois, torse nu, je le fixais des yeux et je pense qu’il m’a repérée et il en jouait aussi en faisant rouler ses biceps et autres muscles de son torse bronzé. Moi, assise sur un tronc d’arbre je remontais ma robe sur mes cuisses et j’écartais un peu mes cuisses. Lorsqu’il se baissait pour ramasser une bûche, il s’attardait un peu, le regard fixe sur moi et me souriait avant de se relever. Je me demandais s’il pouvait voir ma petite culotte
Cette nuit du 15 août je suis partie me promener et je me suis allongée prêt de mon arbre préféré, un olivier plus que centenaire.
En fermant mes yeux je vois dans ma tête mon oncle torse nu et je m’imagine voir une grosse bosse qui enfle dans son pantalon quand j’écarte mes cuisses relevées devant lui. J’ai un coup de chaud dans ma tête mais aussi dans ma chatte. Sans vraiment m’en rendre compte je me mets à me caresser en dessous de ces magnifiques branches d’olivier. J’arrive même à mouiller naturellement mon sexe quand je projette dans mon esprit fiévreux les vieux tabous de l’inceste et de l’accouplement d’un Oncle avec sa nièce tout juste sortie de l’adolescence.
Je suis au bord de la jouissance lorsque j’entends un bruit. J’ouvre mes yeux et j’aperçois, à quelques pas, mon oncle qui me regarde en caressant son sexe probablement en érection devant la vue de sa nièce qui se doigte sous ses yeux.
— Tonton ! Qu’est-ce que tu fais là !
— C’est plutôt à moi de te demander ce que tu fais ma grandetu penses à ton amoureux ?
— Je n’ai pas d’amoureux !
— Pas de petit copain, pas même un?
— Non !
— et biencompte tenu de ce que je viens de voir il est temps que tu ais un amant ma petite Laura.
— Mais je n’en veux pas !
— Petite menteuse ! Tu as envie de sexe et c’est tout à fait normal pour ton âge. Tu veux voir le mien ?
— Tonton ! Tu as trop bu ! Il est temps d’aller te coucher !
La pensée de voir son sexe me fait ressentir à nouveau ces sentiments mitigés. Une partie de moi me dit qu’il faut que je me sauve, tandis qu’une autre partie, plus intéressante, à envie de voir enfin son sexe qui parfois m’empêche de m’endormir. Sans attendre ma réponse il commence à dégrafer son pantalon et lorsqu’il sort son sexe de son slip je me sauve comme une petite fille qui a peur du grand méchant loup.
Dans ma chambre je repense à la queue de mon oncle et ma main qui est posée sur ma cuisse se déplace sur mon ventre pour glisser presque toute seule vers la douce touffe de poils qui couvre mon pubis. Mes doigts frôlent mes grandes lèvres assez grosses, les écartent légèrement et instinctivement mon index glisse entre elles. Pendant son parcours, je frôle mon bouton d’amour et j’ai de plus en plus chaud. J’appuie sur mon clito et une sorte de force inconnue pousse mon doigt profondément entre mes deux lèvres humides. Je gémis doucement et j’introduis un deuxième doigt dans ma chatte en imaginant que c’est le bout de la queue de mon oncle Salvatore.
En même temps je me demande comment la grosse queue de mon oncle pourrait entrer dans ma chatte si étroite. Je fais aller venir mes doigts dans ma chatte et très rapidement c’est 3 doigts qui vont et vienne dans mon sexe qui s’adapte parfaitement à cette pénétration merveilleuse et délicieuse
Mes doigts reviennent souvent sur mon clito qui est devenu beaucoup plus gros et tous les muscles de mon corps sont tendus. Je retiens un cri quand je jouis et quand mon corps cesse de trembler et que mes muscles se détendent, je peux enfin enlever ma main qui était retenue sur mon sexe par une sorte de force magnétique. Haletante, je n’ai qu’une idée en têteil me faut la queue de mon oncle dans ma chatte. Je me lève et je cours presque vers la chambre de mon oncle Salvatore.
Lorsque je pénètre dans sa chambre mon oncle est allongé sur son lit, nu, et il se branle doucement.
— Ah te voilà petite coquine ! La prochaine fois que tu te caresses, fait un peu moins de bruit. Regarde ce que ça me fait !
Il libère son sexe en le maintenant juste à sa base pour me le montrer en pleine érection, son gros gland décalotté et humide
Il a vraiment un gros sexe et beaucoup plus long que celui d’un copain que j’ai branlé il y a quelque temps.
Je m’assoie sur le bord du lit et je regarde ce sexe que je rêve depuis un moment de toucher.
— Tu peux peut être faire quelque chose pour me soulager
— C’est possiblemais quoitu es mon oncle et.
— Arrête tes simagrées, Laura. Depuis le temps que tu m’aguiches il est temps d’assumer tes envies. Caresse-moi ! Tu sais au moins faire ça !
Je suis fasciné par son sexe et je me dis que c’est quand même énorme quand je pose ma main à côté. Je prends sa queue dans ma main et je passe mon pouce sur son gland rougeâtre.
Mon oncle attrape un oreiller pour le mettre sous sa tête et me regardant il me dit. Ou plutôt il m’ordonne.
— Retire ta chemise de nuit ! Et branle-moi un peu. Je te regarde.
Je m’exécute et toute nue, je commence à le branler. J’ai l’impression que sa bite grossit encore plus et qu’elle devient de plus en plus dure. Mon oncle gémit et d’un ton qui ne demande aucune réplique il dit.
— Suce ma bite Laura !
Je prends tout d’abord son gland entre mes lèvres et je le suce comme une sucette et en passant ma langue dessus. Mon oncle pousse un grognement et je lui demande.
— C’est agréable tonton ?
— C’est un bon début pour une pucelle. Au faittu es encore pucelle ?
— Heuuu, presque
– T’es pucelle oui ou non !
– Benune fois j’ai essayé de me mettre une petite courgette dedans et j’ai déchiré un peu mon hymen
— Petite salope ! Tu aurais dû venir voir ton tonton ! En attendant que je finisse de te dépuceler, suce ma queue ! Prends-la dans ta bouche. Les hommes adore fourrer leur bite dans la bouche des femmes Ne l’oublie jamais si tu veux une queue bien dure pour la fourrer dans ta chatte.
Je descends ma bouche sur son sexe le plus possible et j’aime bien cette façon de sentir sa bite. C’est excitant et ma bouche est bien remplit. En la ressortant je laisse son gland entre mes lèvres et je passe ma langue dessus.
— Huuummm elle est bonne ta queue Tonton. Je crois que maintenant je vais aimer les gros champignons.
Sa queue est maintenant dure comme de la pierre et il m’attire sur lui pour embrasser mes seins et lécher mes tétons qui n’ont jamais été aussi gros et longs.
– A mon tour maintenant ! Allonge-toi ! Je vais te goûter.
Il écarte mes jambes et sa bouche se plaque sur mon sexe. Sa langue me pénètre et ses doigts écartent mes grandes lèvres pour aller le plus loin possible.
— Ooooohhh, tonton ! Ouiiiiiiiiii
— Tu es prête LauraJe vais te baiser maintenant.
— Oooohhh, oui mon tonton ! Prends-moi !
Il s’est positionné au-dessus de moi en appui sur ses deux mains et il m’ordonne.
— Prend ma queue dans ta main et guide là dans ta chatte !
Je fais glisser son gland le long de mes lèvres trempés et me soulevant légèrement je fais entrer son gland dans mon sexe brûlant de désir.
Sa bouche prend la mienne et sa langue pénètre dedans en même temps que sa bite glisse dans mon sexe. Je pousse un cri étouffé par sa langue qui tourne sur la mienne mais ce n’est pas de douleur. Je le sens glisser en moi et c’est sublime. Je fais l’amour avec mon oncle ! Sa queue n’en finit pas de me remplir la chatte et mon vagin s’ouvre pour lui laisser la place.
Je soulève mes jambes et je les écarte le plus possible pour mieux le sentir en moi et il me fait l’amour lentement pour profiter de mon sexe tout neuf que je viens de lui offrir.
Je gémissais à chaque pénétration et j’ai fini par le supplier d’aller plus vite et plus fort.
Il se retire presque entièrement et me pénètre d’un seul coup en claquant son pubis contre le mien.
— Aaaahhhhh ! OUIIIiiiiiii tonton ! Baise-moi fort !
Pour me baiser il m’a baisé ! J’ai fini à quatre pattes et il m’a défoncé ma petite chatte qui n’en demandait pas tant ! Mais quel pied j’ai pris ! J’ai eu deux orgasmes avant qu’il ne vide ses couilles en moi en me traitant de salope et de petite pute et en me promettant des parties de baise mémorables.
J’ai découverts le côté pervers de mon oncle. Un sacré vicieux le tonton !