Chapitre 9 : Lucas se dévergonde.
Après la nuit où il a pénétré dans ma chambre pour me baiser, je me suis demandée combien de temps il faudrait à Lucas pour qu’il me demande de recoucher avec lui. Cela n’a pas tardé : à peine deux jours plus tard, alors que nous sommes dans ma chambre en train de travailler, il me confie qu’il a envie de moi. Je le repousse en prétextant que nous sommes en train d’étudier pour voir s’il va insister, je cède quand il commence à caresser mon corps. Il me fait l’amour passionnément ; il est toujours maladroit, mais il prend de l’assurance ; et surtout, il cherche à me faire jouir la première. Pour le récompenser de s’être retenu jusqu’au bout, je l’ai sucé pour le faire éjaculer dans ma bouche. Il était aux anges.
Les semaines passent et nous avons des rapports réguliers. Je le sens de plus en plus à l’aise ou fur et à mesure que nous baisons. Pourtant, je le trouve encore trop timide. Il est trop "doux" à mon gout. J’aime qu’on me malmène un peu, qu’on me surprenne, sauf qu’il reste beaucoup trop conventionnel.
Il ne m’a toujours pas enculée, alors qu’il sait normalement très bien que j’aime ça et que ça fait aussi partie de ses propres fantasmes. Il n’a qu’à tenter sa chance, je n’émettrait aucune objection, je n’attends que ça. Je n’ai pas envie de devoir prendre les choses en main en lui disant ce qu’il peut ou ne peut pas faire. Je veux qu’il me prenne et qu’il m’utilise. Il me donne néanmoins beaucoup de plaisir et parvient à me faire jouir, j’ai juste hâte qu’il passe à l’étape supérieure.
Si j’aime être dominée, j’aime aussi avoir de temps en temps le dessus et prendre des initiatives. Un weekend pendant une de ses siestes, j’entre dans sa chambre et j’abuse de lui aux limites du viol. Je le suce pour le faire durcir dans ma bouche, puis je le chevauche pour m’empaler sur sa bite. C’est la première fois où c’est moi qui réclame de s’envoyer en l’air, il semble particulièrement apprécier. J’ondule du bassin pour bien le sentir au fond de moi. Il pose ses mains sur mes hanches pour accompagner mon rythme. Je ne suis pas surprise de le voir se laisser faire. Il est mon esclave et je peux faire ce que je veux de lui. Je me sers de sa queue pour me faire du bien. Il se redresse vers moi pour m’empoigner les seins et me sucer les tétons.
Erika, je t’aime, me dit-il.
Je t’aime aussi, Lucas.
Lorsque j’estime qu’il en a bien profité, je le plaque contre le matelas et reprend le contrôle de la situation. Je rebondis sur lui pour me marteler la chatte. Je m’enfonce son chibre jusqu’aux couilles. J’ai besoin de le sentir écarter mes chairs. Je prends un pied monstrueux. Je remarque combien il essaie de se retenir. Il sait que je l’utilise comme une gode et il s’efforce de rester dur pour moi pour que je prenne du plaisir. Je suis au bord de l’orgasme, mais il n’y a qu’une chose qui pourrait me le déclencher. Je resserre mon vagin autour de son pénis et je cherche à le traire. Je veux le faire fondre avec ma chatte, le sentir éclater en moi. Il me résiste, cela le torture, alors je lui dis qu’il est inutile qu’il se fasse autant de mal :
Ne te retient pas, Lucas. Je veux te sentir éclater en moi. Jouis pour moi, mon chéri. Jouis dans ta petite chatte.
Il se détend aussitôt. J’accélère la cadence pour nous achever tous les deux. Je comprends ce qui va arriver quand il pousse un râle. Je me laisse alors aller à mon propre orgasme quand je sens son sperme m’envahir. Nous jouissons tous les deux. J’adore sentir mon homme me remplir de son foutre. Après nous être apaisés, je l’embrasse tendrement et me colle contre lui.
Erika, tu es incroyable, déclare-t-il.
Je ne dis rien, je me contente de sourire à son compliment.
Les fois suivantes, pour le pousser à être plus brutal avec moi, je lui lance des phrases de plus en plus salaces. Je lui dis qu’il peut me prendre comme sa chienne, qu’il peut m’utiliser comme sa chose ; il me traite de salope en me sautant violemment, il me donne même ses premières fessées, mais ce n’est pas encore suffisant.
Je remets ça une fois tandis qu’il me prend en levrette, il me ramone alors sauvagement :
Salope ! Salope ! s’exclame-t-il alors que je le chauffe comme une trainée.
Je le sens particulièrement excité ; faut dire que cela fait plusieurs jours que nous n’avons rien fait. Je prends un plaisir monstrueux en le voyant de plus en plus animal. Soudain, je le sens sortir de ma chatte, puis sentir une pression contre mon cul. Il m’encule d’un trait. Je hurle de surprise :
Prends ça ! Sale pute !
J’ai dû y aller un peu fort, car il n’a jamais été comme ça. Je m’en réjouis, j’ai enfin ce que je veux. Il se laisse aller à ses instincts primaires sans aucune retenue. Il me prend comme un vrai mâle pour faire de moi sa femelle soumise.
Oh, putain, Lucas, si tu savais depuis combien de temps j’attendais ça !
Tu n’es vraiment qu’une trainée, Erika !
Oui ! Je suis une trainée en manque de bites ! Profite-en pour te soulager !
Je vais te défoncer l’anus, salope ! Tu ne pourras plus t’assoir !
Oui ! Oui !
Il me monte dessus. Il me tire même par les cheveux. Je suis heureuse. Mon cousin se sert enfin de moi comme un vulgaire sac à foutre. Je ne sais pas ce qu’il lui prend, mais cela fait des mois que j’en rêvais. Il me fait jouir plusieurs fois sans se soucier de moi. Son endurance me surprend. C’est qu’il s’améliore, le petit enfoiré.
Lorsque je le sens à l’agonie, je m’attends à ce qu’il se finisse dans mon cul, quand j’ai une nouvelle surprise : il sort brutalement son sexe et me retourne sur le dos. Il se place au dessus de moi pour se masturber furieusement devant mon visage :
Je vais te souiller, grosse cochonne.
Ses mots à peine prononcés, il m’éjacule dessus et m’en fout partout. Ses jets puissants sont particulièrement copieux ; j’en ai dans les cheveux et les yeux. Il se vide les couilles sans aucune considération pour moi. Je dois être tordue, car je me régale de la vision de cette queue dure pour moi en gros plan en train de m’envoyer des giclées à la figure. Je le suce pour récolter en bouche ses derniers flots de sperme, tandis qu’il rugit de bonheur comme un félin conquérant. Je le regarde avec des yeux enflammés, comblée de bonheur. Je suis étonnée de le voir s’affoler brusquement en réalisant ce qu’il vient de faire.
Erika… Je… Merde ! Je suis désolé ! Je ne sais pas ce qui m’a pris. Cela ne me ressemble tellement pas…
Chuuut. Ne dit pas de bêtise, dis-je pour le rassurer. J’ai adoré ce que tu m’as fais.
Sérieux ? Tu n’es pas… dégoutée ?
Je l’ai cherché, non ? Je n’arrête pas de te demander de me sauter comme une chienne, et cette fois, c’est précisément ce que tu as fais.
Il a honte, je le prends dans mes bras. C’est si mignon de retrouver le garçon timide juste après l’animal. Il est bête.
Je me suis laissé importer, excuse-moi, continue-t-il à se morfondre.
Ce n’est rien, je te dis, c’est ce que je voulais. Tu as été parfait. Tu devrais continuer comme ça.
Vraiment ?
Mais oui. Qu’est ce qui te dérange ?
Je sens qu’il y a un autre truc qui le turlupine, mais dont il a peur de me parler.
Je… je dois t’avouer un truc Erika.
Qu’est ce qu’il y a ?
Je ne sais pas pourquoi, je le sens mal.
Il y a une rumeur qui circule sur toi depuis un bout de temps à la maison, de bien avant qu’on commence à coucher ensemble, comme quoi tu couches avec Sébastien.
Mon cur s’emballe. Je panique. Comment diable a-t-il pu en avoir eu vent ? Je me trahis à moitié en lui posant la question :
Où est-ce que tu as entendu ça ?
Lily m’a dit qu’elle aurait entendu nos mères en parler. J’avais du mal à le croire mais…
Mais quoi ?
C’est vrai ? Tu couches vraiment avec lui ?
J’ai honte. Ainsi, tout le monde est au courant. J’hésite à lui mentir, mais je n’ai pas envie de lui cacher la vérité :
Oui, c’est vrai. Je couche avec lui.
Un silence gênant s’installe. Je décide d’y mettre à terme au bout d’un moment :
Cela te dérange ?
Je ne sais pas, me dit-il. Pour être honnête, au début, j’étais surtout… jaloux.
Jaloux ?
Oui. Au fond, je l’enviais. Parce que tu es une femme magnifique et que j’avais envie de toi moi-aussi.
Tu es adorable, lui dis-je en souriant. Mais si c’est vrai, et que tu es au courant depuis longtemps, pourquoi n’as-tu pas… essayer plus tôt de me faire l’amour ?
Je ne suis pas comme ça, Erika ! Bien sûr, j’en avais très envie mais… Tu es ma cousine, je trouvais que c’était un manque de respect de chercher à te faire l’amour sous prétexte que mon cousin fait pareil.
Mon pauvre Lucas. Pas étonnant que tu sois resté si longtemps puceau avec des idées pareilles. Ce n’est pas un manque de respect de vouloir coucher avec une fille.
Oui mais… ce que je viens de faire…
Nous y voilà donc. C’est donc ca qui le taraude autant.
Ça non plus. Le respect, cela se démontre au quotidien, par des choses qui se passe en dehors du lit ; et tu m’en montres chaque jour, c’est pour cela que je t’aime autant. Quand on fait l’amour, tout devient un jeu. On se laisse allez, on n’est plus nous-mêmes, et c’est ça qui est vraiment bon.
Tu ne m’en veux donc pas pour…
M’avoir éjaculé dessus ? dis-je en rigolant. Et qui te dit que je n’aime pas ça ?
Il baisse les yeux honteusement sans oser répondre.
Allez, ce n’est rien mon cousin adoré. Tu peux m’éjaculer au visage autant que tu veux. Mon frère m’a déjà fait bien pire que ça.
Il se colle contre moi et je le sers bien fort contre ma poitrine. Je le trouve craquant quand il est comme ça. Pourvu qu’il ne change jamais : animal quand il le faut, timide et tendre dans les autres circonstances.
J’ai un autre truc à t’avouer, finit-il par dire.
Qu’est ce que c’est ?
Cette fois, je me sens moins inquiète que tout à l’heure.
Ce qui me fait peur aussi avec ce qu’on fait, c’est que… Parfois… je pense à Lily.
Que veux-tu dire ?
Et bien… que parfois… J’aimerais vivre avec elle ce que Sébastien vit avec toi.
Je suis choquée par sa révélation. Ce petit coquin cache décidément bien son jeu. Je l’adore.
Et alors ? Il n’y a pas de mal, lui dis-je pour le détendre sur le sujet.
Si c’est mal ! Pour plein de raisons ! Pour commencer, c’est mal de désirer une autre fille quand on couche avec une autre.
Lucas ! fais-je en gloussant. Et moi alors ? Je couche avec mon frère et toi. Il n’y a aucun mal là-dedans. Tu sais, nous ne sommes pas amoureux, nous ne sommes pas un couple. C’est plus fort que cela : nous sommes une famille. Il n’y a pas de jalousie ou de honte à avoir entre nous. Juste du bonheur à être ensemble.
Oui, mais… c’est ma sur… tente-t-il toujours de se défendre.
Et alors ? Je suis ta cousine, ce n’est pas mieux. Et une fois encore : je n’ai pas de problème à coucher avec mon frère.
Oui mais… Rah ! J’ai du mal à m’exprimer ! Lui, c’est lui. Toi c’est toi. Lily, c’est… Lily, quoi.
Il saisit à mon regard que je ne le comprends pas :
Vous êtes très libéré sexuellement, s’explique-t-il, mais Lily est toujours vierge, comme je l’étais il n’y a pas si longtemps. J’adore ma sur, nous sommes très proches, mais je ne pense pas qu’elle osera jamais faire ce genre de chose avec quelqu’un de sa famille. Déjà que le faire tout court…
Je lui caresse tendrement les cheveux comme un enfant :
C’est une femme. Ce n’est pas parce qu’elle le cache qu’elle n’a pas envie de faire l’amour avec un garçon. Elle attend juste le bon, voilà tout. Et rien ne dit que tu ne pourrais pas être ce garçon.
Tu m’encourages vraiment à essayer de faire l’amour à ma sur ?
Pourquoi pas ? Cela me ferait plaisir que vous voir heureux ensemble. Puis je ne doute pas que cela lui ferait du bien. Je n’arrête pas de dire que ta sur est tellement coincée qu’elle aurait bien besoin de tirer un coup.
Ma réponse à l’air de le rassurer un peu. On dirait que cela lui a fait du bien d’en parler à quelqu’un. Je n’imagine pas qu’il puisse confier ce genre de chose à une autre personne, elle ne comprendrait pas. J’aurais bien envie de l’aider, mais je ne vois pas comment, hormis peut-être en lui donnant quelques conseils pour la séduire.
Les fois suivantes, Lucas me rebaise sauvagement. Décidément, une fois qu’il est parti, il ne s’arrête plus. Quelque chose à changer en lui. Je le sens… libéré. Avoir quelqu’un avec qui il peut baiser sans tabou semble l’épanouir. Ce n’est plus le même homme. Cela m’excite de savoir que c’est moi qui suis à l’origine de cette métamorphose. Il n’a plus honte de venir vers moi pour réclamer du sexe. Il n’a plus peur de me demander de le sucer, de m’enculer, ou de me faire des choses dégradantes. Il n’hésite pas à prendre ce qu’il veut sans me demander la permission, ni à me tirer par les cheveux avant de m’éjaculer au visage. Il a besoin de me souiller et j’ai besoin d’être utilisée. Nous ne pouvons que nous entendre. Je suis heureuse d’être arrivé pile là où je le voulais avec lui. C’est maintenant un bon amant.
Il est devenu très demandeur, ce que je peux comprendre après un sevrage de dix-huit ans. Je suis surprise qui ni lui ni mon frère ne soit déjà tombé l’un sur l’autre pendant qu’ils me font l’amour. Par contre, il est déjà arrivé que je sois encore pleine de sperme quand le suivant vient réclamer son tour. Cette situation fait naitre en moi des pensées salaces : puisque Lucas est au courant que je baise avec Sébastien et vice-versa, pourquoi ne pourrais-je pas en profiter pour réaliser un fantasme récent ? Depuis que mon cousin m’a avoué qu’il serait prêt à participer à un gangbang, l’idée a fait aussi du chemin dans mon esprit et c’est une expérience que j’aimerais tenter. Il parait tout de suite enchanté lorsque je lui en parle. Il me surprend, je m’attendais à ce qu’il montre un peu de réticence au début. Sébastien risque d’être un peu plus difficile à convaincre, mais j’ai un plan. J’en parle à Lucas et mettons au point les commodités.
Un après-midi, je m’introduis dans la chambre de Sébastien tandis qu’il travaille et je l’allume un peu. Il ne tarde évidemment pas à avoir envie. Je défais sa braguette et commence à le sucer. Il durcit dans ma bouche. Je le pompe pour le rendre fou, faisant monter puis descendre la pression, jusqu’à ce qu’il craque et me déshabille pour me prendre sur le lit. Il me saute en missionnaire, mais je lui monte dessus à la première occasion pour le chevaucher. Il est coincé sous mon poids, totalement à ma merci. C’est le signal qu’attendait Lucas, caché derrière la porte, pour faire son apparition.
Lucas ?! s’exclame Sébastien. Mais qu’est ce que tu fais ici ?!
Il panique, cela me fait sourire :
Je l’ai invité, lui dis-je. Cela ne te dérange pas j’espère ?
Je l’empêche de répondre en me penchant pour l’embrasser. Il est surpris, confus, mais sans défense. Lucas prend son temps pour se déshabiller avant de nous rejoindre. Il monte debout sur le matelas et me présente son sexe que j’attrape en bouche sans tarder.
Erika ! Tu n’es vraiment qu’une salope ! geint mon frère. Tu as planifié ça depuis le début ?!
Hmm, oui. J’avais trop envie de jouer avec les bites de mes hommes préférés en même temps. Tu n’es pas fâché, j’espère ?
Salope !
À sa façon de me limer plus fort, je crois que non ; cela semble l’exciter. Lucas est dur comme de l’acier à force de nous avoir regardé. Il me maintient la tête et baise ma gorge. Je suis heureuse de le voir si détendu, lui d’habitude si timide. Il n’a plus aucune gêne dès qu’il s’agit de sexe avec moi.
Avoir une queue en bouche et une autre dans la chatte me monte à la tête. Je me sens pute. Ces verges me veulent et ne cesseront pas d’abuser de mon corps avant d’avoir éjaculer. Je les aime. Je veux les chouchouter, les câliner, en prendre soin jusqu’à les vider de leur sperme. Ce sont mes bites à moi toute seule, mes deux jouets.
Sébastien, j’ai envie de baiser ta sur, déclare Lucas. Je peux ?
Nous changeons de position. Mon cousin me baise en levrette tandis que je suce mon frère. Ce que j’adore pomper un beau chibre.
La grosse queue de Lucas me perfore le vagin. Il se sert de moi pour se faire du bien. Après s’être bien lubrifié de ma mouille, il sort de ma chatte pour s’enfoncer dans mon cul. Je gémis à travers la bite que j’ai en bouche. Putain, c’est le pied !
Nous changeons encore de place. Sébastien s’allonge avec moi sur le côté pour m’enculer, tandis que Lucas s’installe devant moi pour que je puisse jouer avec son sexe. Il a le gout de ma mouille et de mon cul.
Je jouie une première fois, mais les garçons sont loin d’avoir terminé. Ils sont infatigables. Ils m’échangent encore et encore comme si j’étais leur pute. Ils me baisent comme si c’était la dernière fois qu’ils allaient baiser de leur vie. Ils ont tellement envie de moi qu’ils n’en ont rien à faire de savoir qu’ils sont deux personnes de la même famille en train de sauter la même fille. On dirait qu’ils ont fait ça toute leur vie. Il abuse tellement de mon cul qu’il en délaisse ma chatte comme si elle n’avait aucun intérêt. Celle-ci bave littéralement tellement je suis excitée.
Je jouis une seconde fois quand Sébastien m’enfonce deux doigts dans le vagin tandis qu’il m’encule. Lucas prend tout de suite sa place. Ces salauds ne me laissent aucun répit. Je perds la notion du temps ; et dire que nous n’avons même pas encore abordé le plat de résistance. Je me sens obligée de le leur demander, sinon, je pense qu’il ne viendra jamais :
Les garçons, vous n’avez pas envie de prendre mes deux trous en même temps ?
Sébastien est surpris par ma requête, Lucas, lui, n’attendait que ça, mon petit pervers adoré. Ils se battent pour savoir lequel va pouvoir garder mon cul, je les rassure en disant qu’ils auraient chacun leur tour. Je m’assieds donc sur la bite de Lucas en premier, tandis que mon frère vient me sodomiser par derrière.
Je hurle lorsqu’il s’enfonce en moi. Il a pris son temps pour essayer de limiter les dégâts, mais rien y fait.
Ça va, Erika ? s’inquiète Lucas. Tu es sûre que tu veuilles qu’on continue ?
Évidemment que je veux ! Ils attendent un peu pour que je m’habitude à la sensation. Putain, c’est incroyable ! J’ai du mal à croire que je suis réellement remplie par deux bites. Je suis jamais sentie aussi salope. Sébastien commence un léger va-et-vient. Quand Lucas s’y met aussi, j’ai l’impression qu’ils me déchirent. Ils font tout de même très attention à moi en étant doux. Je les rassure quand je sens que le plaisir prend le pas sur la douleur et ils augmentent légèrement leur rythme.
Ça commence vraiment à être bon. Je perds la tête en réalisant que je me fais prendre en sandwich par les deux hommes de ma vie. Je leur demande de me prendre plus fort, ils s’exécutent. Ils sont à moi, rien qu’à moi. C’est pour moi qu’ils bandent si fort et c’est moi qu’ils veulent désespérément. Je les aime.
Ils prennent de l’assurance et me liment maintenant pour se faire du bien. Même si je le voulais, il n’y aurait plus de retour en arrière possible. Je suis prisonnière entre leurs deux corps chauds et plein de sueurs. Je ne peux plus m’enfuir ni me débattre. Je suis esclave de leur désir. Ils abusent de mes deux orifices, je sens leurs mandrins de chair se rejoindre au fond de mes entrailles. Je suis remplie de bites, j’adore ça. Je voudrais qu’ils m’utilisent davantage :
Ah ! Les garçons ! Vous me rendez folle ! Vos queues sont si bonnes ! Ravagez-moi ! Je suis votre pute, votre sac-à-foutre ! Pitié ! Prenez-moi ! Ayez besoin de moi !
Ils m’insultent de tous les noms en me ramonant. Ils sont aussi excités que moi de me voir si salope. Ils ne veulent pas éjaculer, ils veulent me faire jouir. Ce qu’ils parviennent à faire pour la troisième fois peu de temps après.
Aaaah ! Salauuuuds ! leur crie-je.
Jouis, petite pute ! s’exclame Sébastien.
Ils me retournent pour le quatrième round. J’empale donc mon cul sur le sexe de Lucas, dos à moi, tandis que mon frère vient me ramoner la chatte par devant. Ils reprennent leur chevauchée comme si elle ne s’était jamais arrêtée. Je ne me rappelle pas avoir déjà été autant utilisée. Je suis épuisée, incapable de bouger. Tout ce que je peux faire, c’est profiter du bien être qu’ils me procurent.
Je lis sur le visage de Sébastien à quel point il n’en peut plus. Sa queue a besoin d’exploser. Il me lime comme un soudard en tenant mes jambes en l’air. Je me demande ce qu’il le retient depuis aussi longtemps s’il en a tant envie, ce n’est pas comme si je n’avais pas eu assez d’orgasmes. Je me demande si ce n’est pas une question de fierté entre les deux garçons, comme s’il avait peur que d’être le premier soit une marque d’un manque de virilité. Ils sont particulièrement idiots si c’est le cas. Je les aide un peu pour qu’ils se décident à se soulager :
Vous avez envie de jouir, les garçons ?
Putain, oui, s’exclame Lucas.
Moi aussi, admet mon frère.
Alors allez-y. Videz vos bourses pour moi. Je le veux !
Lucas, ça te tente de souiller le visage de cette salope ? lui propose Sébastien
Un peu !
Les petits salauds ! Ils se retirent enfin de moi et s’arrêtent de me baiser. Je ne sais pas si c’est un soulagement ou une torture. Je me sens vide. Ils observent un moment leur travail avec une certaine fierté. Mes trous sont béants au point que je ne sais pas s’ils vont se refermer un jour. Mon frère me tire hors du lit de force tellement je n’ai plus la force de bouger. Je me mets à genou et entreprends de les sucer tous les deux. Je passe d’une bite à l’autre en les fixant dans les yeux. Ils sont si durs… J’ai hâte de les faire ramollir en les faisant éjaculer. Je ressemble à une chienne à la recherche de sperme.
Erika ! Viens ici ! Je jouis ! s’exclame Lucas.
J’accours pour lui faire face. Je suis accroupie, les bras entre mes jambes écartées. J’ouvre la bouche docilement en sortant la langue comme un gentil animal de compagnie qui attend sa récompense. Il me gicle dessus puissamment. J’ai un reflexe de recul en fermant les yeux pendant une seconde. Je n’ose pas rouvrir le gauche, je sens du foutre sur ma paupière. J’ai en gros plan le méat de son gland qui déborde de jus d’amour. D’autres salves arrivent. Il m’en met sur mon nez et dans les cheveux. Certaines m’arrivent directement dans la gorge. Il grogne comme un lion. Il me donne tout ce qu’il a. Je suis presque déçue quand il n’en sort plus rien. Je le prends en bouche pour aspirer ce qui reste dans son conduit. J’en profite pour le gouter, il est délicieux. Je croise son regard, il a l’air plus qu’heureux.
Je n’ai pas le temps de me reposer que le tour de mon frère arrive. Il me tire par les cheveux pour me coller sur son sexe et m’éjacule à la figure. Il est tout aussi abondant que Lucas. Il m’éclabousse le visage et je suis obligé de fermer l’autre il. Je garde la bouche grande ouverte quoiqu’il arrive pour récolant autant de sperme que je peux. J’avale quand je sens que la douche est finie.
Je les entends gémir et soupirer. Mes deux amours sont comblés. Je me dégage les yeux avec mes doigts et les rouvres tout doucement. Je regarde l’étendue des dégâts. Ils ne m’ont pas ratée ! J’ai du foutre qui coule sur mes seins. Je me l’étale pour les exciter un peu. Je joue avec ; j’attrape des filets pour les avaler ; je suce mes doigts comme une petite chatte qui fait sa toilette. Il me traite encore de tous les noms. Ils doivent regretter d’être mous à l’heure qui l’est.
Je suis si heureuse. Je voulais être leur chienne à tous les deux et c’est exactement ce que je suis devenue. Ils commentent leur performance entre eux pour partager leur bonheur. Après quelques minutes de discussions, ils se rhabillent tandis que je m’éclipse vers la salle de bain en priant de ne croiser personne. Sous la douche, j’ai encore la tête dans les nuages. Je dois être une perverse, car je pense déjà à la prochaine fois.