Cette histoire réelle sest passée il y a 17 ans ; je venais d avoir tout juste 18 ans, j étais en 2e année de b.e.p de peintre en bâtiment. Un après-midi que j’étais en atelier mon prof mexpliqua que linfirmière du lycée (Florence, qui avait 38 ans, 1,70 m environ, belle rousse, était divorcée depuis 2 ans) voulait refaire le papier peint de son salon (ne voulant pas que cela lui coûte trop cher, il avait pensé à moi, me disant que jétais le plus doué de ma classe.
Donc, après les cours je passais à linfirmerie pour en discuter ; nous nous sommes entendus sur la rémunération pour ce petit boulot, et on avait convenu le samedi suivant pour que jy aille ; jarrivais chez elle avec mes outils et sonnai à la porte ; elle mouvrit en me faisant un petit sourire et minvita à entrer ; je posais mes affaires pour pouvoir me changer, je me mis dans un petit coin pour enlever mon pantalon et mettre celui de travail ; elle me sentit gêné et me dit :
— " Ne t’inquiète pas, j’ai déjà vu ça !"
Ce qui me fit rougir, comme si elle parlait directement de mon sexe. J’étais donc en boxer à ce moment-là ; en voulant rattacher mon bouton de pantalon, celui-ci lâcha !
En voyant le bouton tomber par terre, elle partit chercher du fil et une aiguille pour le recoudre. Elle prit une chaise, sassit devant moi et commença à le coudre ; je regardais son joli visage et ses mains si près de mon sexe ; je sentis mon sexe commencer à raidir et, dans ces mouvements, sa main a frôlé à plusieurs reprises mon sexe, ce qui ma fait bander comme jamais ; il est devenu si dur quelle ne put pas faire autrement que de le voir, car ma bite dépassait de mon boxer.
Terriblement gêné, je ne savais plus où me mettre. Elle me rassura en me disant :
— "Eh ben dis donc, c’est un bel engin ! Je ne vais pas te laisser comme ça pour travailler…"
Elle me baissa le pantalon, ensuite mon boxer, et passa son index de bas en haut sur ma bite. Une goutte d’excitation sortit de mon gland. Florence l’empoigna en commençant des va-et-vient, doucement, puis elle le mit en bouche et me suça comme une reine en me malaxant les couilles ; c’était tout simplement exquis !
Elle accéléra ses mouvements et moi, tellement excité, je lui crachai tout mon jus dans la bouche. Elle n’en perdit pas une goutte, j’étais terriblement bien. Puis elle me remonta mon boxer et mon pantalon en me disant que c’était délicieux. Je la remerciai alors et me mis aussitôt au travail…
La suite bientôt…
