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Nadine, la vengeance d'une maman – Chapitre 12

Nadine, la vengeance d'une maman - Chapitre 12



Depuis que nous formons un couple régulier, Maman ne me refuse rien.

Je peux désormais la baiser à tout moment de la journée, elle est toujours partante.

Elle me suce volontiers, de sa propre initiative ou selon mes souhaits.

Elle accepte tout ce que je lui demande.

Vraiment tout ?

Pas tout à fait, malheureusement !

Pourtant, jai le comportement typique dun ado de base : plus elle me repousse, plus je reviens à la charge.

Cependant, rien ny fait.

Je ne connais pas les raisons de son inhibition, mais il serait temps quelle reconsidère sa position sur la question

Un jour, je décide de provoquer le destin.

Comme tous les matins, elle se pavane devant moi en culotte et en soutien-gorge, juchée sur les sandales scandaleusement hautes que je lui ai offertes et quelle ne quitte plus.

Elle se retourne et japerçois le renflement prononcé des lèvres de sa chatte, la tache des poils sombres de son pubis, ses seins qui débordent des bonnets.

Je me précipite vers elle et tombe à genoux, en rampant les mains jointes au dessus de la tête dans un simulacre de prière, comme si elle était une sorte de déesse lubrique qui méritait que je me prosterne à ses pieds.

Elle me couve du regard avec une indulgence toute maternelle, comme si jétais soudain devenu fou et quelle se disait, consternée : « Mon Dieu, cet enfant est malade, jai un fils vraiment cinglé ! »

Jenfouis mon visage dans son ventre mou, glisse mes doigts sous lélastique de sa culotte pour lui palper les fesses.

Elle sursaute, étonnée par mon attaque spontanée.

Tout en lui pétrissant le cul à pleine main, je descends en direction de son Mont de Vénus, et alors elle se crispe franchement, recule instinctivement en équilibre sur ses échasses.

Elle appuie sur mon crane avec fermeté, me repousse le bras tendu afin de me maintenir à prudente distance.

Je la tire par le derrière, écrase ma bouche sur son pubis ; dans la culotte, ses poils crissent sous mes lèvres.

Elle proteste, mais se débat mollement.

— Bon sang ! Je te lai déjà dit cent fois je ne veux pas pas ça NON cest NON !

Comme elle ne se dérobe pas vraiment, je me sens pousser des ailes et je persévère malgré ses remontrances : je donne un grand coup de langue sur lempiècement en dentelle qui lui couvre la motte.

— Va-ten tout de suite, Maxime, file dans ta chambre je tordonne de tarrêter je tinterdis, tu as compris ?

— Sois gentille, je ten supplie ça va te plaire, je te promets sil te plait ma petite Maman rien quà moi !

Elle relâche la pression, fléchit les genoux lespace dun instant.

— Oh, Mon Dieu, mais que cherches-tu donc à me faire ? Tu es affreux, cest dégoutant jai un fils vraiment vicieux !

Il faudrait quelle arrête un peu son cirque avec moi : en dépit de ses protestations, il est flagrant quelle nattend que ça.

Je lèche létoffe ajourée avec la ferveur dun chiot avide de reconnaissance, et puis jécarte, à laide de mes doigts repliés, sa culotte sur le côté pour découvrir la fente.

« Oh, Maman ma jolie Maman que jaime tant »

Jenfonce ma langue dans son vagin, dans la chair gluante. Loin dedans.

Maman est trempée, sa mouille dégouline, minonde le menton.

Jen déduis que cest bon signe, quelle apprécie elle aussi, alors jinsiste, mapplique, aspire son clitoris qui enfle entre mes lèvres.

Je lèche tout le périmètre, avec une gourmandise démesurée.

Je voudrais, égoïstement, quelle noublie jamais ce moment, que cet instant reste gravé dans sa mémoire comme étant le jour où jai pris un ascendant définitif sur elle.

Elle magrippe par les cheveux, me traine derrière elle ; elle recule les pieds en canard en direction du fauteuil de Papa.

Elle frotte compulsivement sa vulve sur ma bouche, et jessaye de suivre le mouvement en trottinant docilement sur les genoux.

Une fois arrivée, elle se laisse lourdement tomber, replie ses jambes sur les accoudoirs, les cuisses à angle droit.

— Enlève-moi ma culotte, mon chéri ! Dépêche-toi, Maxime, enlève-la tout de suite, mon fils VITE !

Dans la position quelle occupe, il mest impossible de la retirer ; je suis obligé de larracher.

Je magenouille en face delle et je my emploie. Après plusieurs tentatives, sa culotte finit par céder dans un petit craquement sec.

(Plus tard, je la récupèrerai, et je la conserverai comme un trophée.)

Alors, enfin, sous mes yeux écarquillés, le calice désiré, lobjet sacrée de ma convoitise apparait : la vulve maternelle déployée dans sa bestiale crudité, sa redoutable obscénité.

Je ne réfléchis pas, je plonge et la dévore en apnée.

Maman ne se contrôle plus. Notre filiation est oubliée, sa dignité, le mutuel respect que nous nous devons. Tous les repères sont balayés.

Elle me tire par la nuque, jette ses reins vers ma bouche, envoie son bassin pour que je la lèche bien, que je la tète encore.

Elle râle, exhale une plainte, un long gémissement guttural dont linflexion varie dintensité.

Je ne marrête de la lécher que lorsque ma langue est insensible, que ma mâchoire est engourdie, ankylosée au point que je ne peux plus la refermer.

Je lai tellement sucée que ses chairs intimes sont à vif, bouffies et violacées ; ses petites lèvres pendent hors de sa vulve, tuméfiées.

Elle reste dans la même posture obscène, avec une sorte de résignation veule qui mindique quelle na pas récupéré, quelle nest pas encore remise de ses émotions.

— Oh, mon Dieu, Maxime, mais quest-ce-que tu as fait ? Oh, Seigneur, cest pas vrai !

Elle me regarde effarée, manifestement dépassée, et puis jai limpression quelle réalise soudain lindécence de sa posture : déculottée, écartelée, mais encore chaussée des invraisemblables sandales quelle a conservées aux pieds.

Elle se redresse à la hâte, referme pudiquement les cuisses en rougissant.

Je reste à ses pieds, lui empaume la chatte, enfonce mes doigts dans son sexe, incapable de men rassasier. Je démêle avec nonchalance ses poils mouillés par les filaments issus du mélange de son jus et de ma salive confondus

Je ny ai prêté quune attention distraite sur le moment, pourtant ce quelle ma avoué à demi-mot a fait son chemin.

— Je ne te crois pas, Maman Je suis sûr que tu me fais marcher.

— Ah bon ! Mais de quoi parles-tu, mon chéri ?

— Ce nest pas possible que je sois le premier.

Elle ne comprend pas tout de suite à quoi je fais allusion, mais quand elle réalise, elle se tasse brusquement dans le fauteuil.

— Et pourtant si, je tassure cest la vérité.

— Ne me fais pas croire que Papa na jamais essayé.

— Oh, mais bien-sûr que si ! Dis-toi bien quil a longtemps insisté mais jai toujours refusé.

— Mais pourquoi ? Cétait ton mari, quand même !

— Arrête un peu de me harceler, veux-tu bien ? Tu membêtes à la fin. Tu es vilain !

— Dis-le, Maman, explique-moi pourquoi !

Elle souffle dun air excédée, avec une moue boudeuse de fillette contrariée. Elle a son adorable lippe qui me fait craquer.

Cest un dialogue ahurissant.

Je linterroge sur sa sexualité, comme si cétait une conversation parfaitement normale entre une mère et son fils, et elle fait sa coquette, élude, me rend fou.

Quand je pense que je la prenais pour la Sainte-Vierge !

Son attitude de pucelle effarouchée me fait bander, et elle sen aperçoit très vite.

— Mais ce nest pas possible ! Tu es complètement obsédé ma parole ! Tu ne penses donc quà ça ?

Elle se plaint, fait des simagrées, mais je sais quelle me provoque, quelle est enchantée par leffet quelle me fait.

Une femme de son âge, et un jeune homme comme moi : ce nest pas dans lordre des choses pour elle, et ça doit la perturber !

— Jai envie moi aussi Maman, Merde ! Tu ne vas pas me laisser dans cet état, quand-même ? Cest à ton tour, non ?

Avant quelle ne proteste, quelle recommence son petit numéro parfaitement rodé, je me relève.

Je la regarde dans les yeux, me déshabille calmement, ne conserve que mon polo sur le dos.

Je vais masseoir sur le canapé.

Jécarte les cuisses, me décalotte du bout des doigts.

Je bande comme un chien en rut.

— Tu es dégoutant, Maxime ! Tu devrais avoir honte de faire des choses pareilles devant ta mère ! Tu nes quun fils indigne je suis révoltée par ton comportement !

Je sais maintenant quand elle joue avec moi, je la connais sur le bout des doigts.

Quand elle me parle de cette façon, de sa voix basse et capricieuse, cette façon quelle a de chuchoter crapuleusement, je comprends quelle le fait exprès, quelle cherche à mexciter, et je me sens défaillir de bonheur. Jai envie de japper de plaisir, car je sais comment ça va finir entre nous !

Pour me confirmer que je suis dans le vrai, elle me regarde dun air vicieux qui sous-entend : « Attend voir, mon cochon je vais te manger tout cru, moi aussi ! ».

Elle se lève, dégrafe son soutien-gorge en se trémoussant sur ses échasses. Elle marche vers moi, complètement à poil.

Je suis sidéré de constater les progrès quelle a accomplis en si peu de temps.

Elle est libérée, décomplexée, alors quelle était lincarnation même de la pudeur.

Elle se laisse glisser, sagenouille entre mes jambes, cueille mes couilles dans une main, ma queue raide dans lautre.

Je ferme les yeux.

Sa langue mouillée tourne autour de mon gland.

On dirait quelle cherche à le faire fondre comme sil sagissait dun gros bonbon, un berlingot quelle aspire en creusant les joues.

Sa bouche monte et descend le long de ma queue.

Elle lingurgite sans baver.

Elle ne tousse pas, ne crache pas.

Elle lavale. Elle avale tout.

Sa performance est digne dune avaleuse de sabre dans un numéro de music-hall. Ceux dantan.

Comment fait-elle pour être aussi douée ?

Quand je pense que mon père a quitté une épouse capable de telles prouesses buccales, je me dis quil mérite dêtre cocu, et je frémis du plaisir pervers dêtre celui avec qui Maman trompe se sale con.

Putain, mais quel connard ce type, voyons !

Il na vraiment rien compris.

Je suis sur que quelque part elle fait ce quelle fait avec moi pour se venger, et je trouve que si cest le cas cest mérité.

Maman me soulève les couilles, les lèche la langue bien à plat.

Elle donne plusieurs coups de langue sur le périnée, remonte et redescend, titille la zone interdite. Cest divin, extraordinaire. Cest incroyable, inimaginable.

Je me laisse glisser sur le canapé, écarte les cuisses, remonte les genoux, lui offre mon anus écarquillé.

Sa langue ségare si bas quelle finit, volontairement ou par inadvertance, par me lécher le trou du cul.

Elle ninsiste pas, remonte, me lèche les couilles, les gobe une après lautre, puis renfourne ma queue.

— Putain, Maman, cest délicieux ! Cest Papa qui ta appris à sucer aussi bien, pas vrai ? Tu me raconteras.Ne tarrête pas, continue sil te plait cest trop bon !

— Enfin, Maxime ! Mais quest-ce qui te prend ?

Je ne sais plus quoi penser, je ne sais plus ce que je dois lui dire ou pas. Ma vie a pris une tournure si extraordinaire que je ne sais plus ce qui est normal, convenable, ou ne lest pas.

Je regarde le visage de cette femme que je croyais connaître. Cette femme qui est ma mère et dont je ne sais finalement presque rien.

Jéprouve un élan daffection qui me gonfle le cur, mais je suis toujours aussi excité.

— Allonge-toi, Maman, jai envie de te baiser !

— Mais enfin, Maxime, veux-tu bien ? Est-ce une façon de parler à sa mère ? Tu nas pas honte dêtre aussi vulgaire avec moi ?

Elle boude un peu mais sallonge docilement sur le canapé, écarte les cuisses, pour moffrir le trou dont je suis sorti.

La prochaine fois, je lui dirai ce quelle veut entendre, sil ny a que ça pour lui faire plaisir.

Car la seule chose qui compte vraiment, cest que je puisse la baiser quand bon me semble, comme maintenant par exemple.

« Mon adorable, ma merveilleuse petite Maman qui me laisse retourner dans le trou dont je suis issu »

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