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Ma femme,son amant et une branlette pour le cocu – Chapitre 1

Ma femme,son amant et une branlette pour le cocu - Chapitre 1



Ma femme,Parvatee est une mature très salope.Elle est d’origine indienne,c’est une femme de 42 ans, encore très jolie.Elle a de longs cheveux noirs de jais, de grands yeux de braise,un sourire adorable.

Ses jambes sont longues et fines, son cul moulé dans ses jupes courtes ferait se damner un saint et ses seins justement,dont elle est très sensible,remplissent agréablement les mains d’un malhonnête homme.

Sa beauté,sa féminité,son raffinement attire beaucoup les mâles,son origine indienne et la couleur de sa peau doit y être aussi pour beaucoup.

Ce jour là,elle était allée conduire ma fille à l’école comme elle le faisait chaque fois qu’il y avait cours.

Elle pensait que je m’étais rendu à mon travail mais,ce matin là, je m’étais réveillé légèrement souffrant et j’avais décidé de rester chez moi à me reposer.

Bientôt, j’entendis mon épouse rentrer dans l’appartement et bien vite je me rendis compte qu’elle n’était pas seule.Elle était accompagnée du père d’un des enfants qu’elle gardait.A l’époque,ma femme travaillait comme assistante maternelle et gardait donc des enfants à notre domicile.

L’homme qui l’accompagnait était un beau et grand gaillard de 26 ans.Ma femme le fit entrer au salon et lui proposa un café.

Attiré par les voix venant du séjour, je les observai dissimulé derrière la porte à demi-fermée.

La discussion tournait bien sûr autour des enfants et des heures de garde mais,bien vite, je remarquais que l’homme lorgnait sur les cuisses de ma femme,de belles cuisses fermes et douces.

Ma femme s’en aperçut aussi mais cette cochonne,loin de s’en offusquer et trouvant le jeune mâle à son goût écarta un peu plus les cuisses.

De cette façon et de l’endroit où il se trouvait le jeune mec pouvait apercevoir la petite culotte blanche de ma tendre épouse.

Bientôt, n’y tenant plus,il vint s’asseoir près d’elle sur le divan et lui passa, sans autre forme de procès, la main sur la cuisse puis voyant que la femelle n’y trouvait rien à redire il alla la mettre dans sa culotte déjà toute trempée et enfonça un doigt dans la moule de ma femme.

Cette dernière,ravit de se faire doigter,gémissait comme la dernière des salopes. Je vis alors l’homme l’attraper, l’allonger sur le divan puis l’embrasser longuement tout en continuant de lui branler la chatte.

Je triquais comme un légionnaire trop longtemps privé de chèvres. Je me sortis le zob et commençais à m’astiquer.

Sur le divan, l’homme avait troussé la jupe de Parvatee,écarté sa petite culotte et il lui bouffait sa belle chatte sans poils qu’elle se rasait méthodiquement,tétant,mordillant,titillant de la pointe de sa langue le clitoris tout bandé de la belle.

Ma salope d’épouse gueulait son plaisir pendant que le type maintenant lui tétait les seins,fouillant son vagin de ses doigts avides et habiles.

La mouille de ma petite pute de femme coulait abondamment.Je l’entendis dire:

"Attends, je vais te sucer la bite de façon à ce qu’elle soit bien dure en moi."

Je la vis débraguetter l’individu et lui sortir sa queue et ses couilles.

"Elle est plus grosse,plus longue et plus épaisse que celle de mon connard de mari.Tu vas bien me baiser avec une grosse bite comme ça."Lui dit-elle.

Elle prit le sexe masculin entre ses lèvres et entreprit de pomper cette grosse verge.Je la vis téter le gland de l’homme,le shampouiner,l’avaler entièrement…

Enfin, elle se redressa et dit au gars:

"Laisse moi faire, je vais te faire jouir, je vais m’asseoir sur ta pine."

L’homme se redressa lui aussi, je vis ma femme s’emparer de la grosse bite tendue et se l’enfoncer jusqu’aux couilles dans son con odoriférant.

Elle commença dès lors à aller et venir sur le zob qui la remplissait si bien..J’entendais le saligaud:

"Ah c’est bon,tu t’assois bien sur ma bite, elle est rudement bien serrée ta chatte, je te ramone bien la cheminée hein?, je vais jouir, je sens que je vais jouir,oui, je vais jouir pour la première fois dans une moule indienne,ah ce que c’est bon.Continue ma salope, je vais t’embourber comme une grosse morue que tu es."

Moi aussi, je n’en pouvais plus, je me branlais de plus en plus fort, de plus en plus vite et je sentais monter dans ma pine le foutre chaud.

Soudain, l’homme hurla:

"Je jouis, je jouis dans ton vagin de putain exotique.Morue,salope,tu me fais pisser mon sperme dans ton ventre."

A l’instant où le salaud se dégorgeait le poireau dans le trou étroit de mon épouse, j’envoyais moi aussi de longues giclées de sperme sur la porte du salon.

Quelques instants plus tard,lorsque l’homme se fut éclipsé, je vins voir ma femme qui fut tout étonnée de me trouver dans l’appartement.Je lui expliquais que souffrant je ne m’étais pas rendu au bureau et surtout que j’avais tout vu de son aventure avec le bellâtre.

Je l’emportais alors fermement jusqu’au divan et je la baisais violemment, je jutais, en criant, dans son vagin plusieurs jets de foutre épais.Mon sperme allant alors se mêler à celui de son amant.

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