Bonjour, je suis Florence, mariée, mère de famille, âgée de 35a.
Je vais vous raconter le cadeau de Noël de ma belle-mère, veuve âgée de 50 ans, celle-ci habite à quelques kilomètres de notre maison, à la campagne. Elle est bien conservée, mince, une certaine classe, et un caractère autoritaire et sévère.
A préalable, il faut que je vous explique que suite à une liaison adultère que ma belle-mère a apprise, celle-ci m’a contrainte par le chantage à lui être soumise, peu de temps avant Noël
Le jour de Noël, lors du repas de famille, ma belle-mère m’avait glissé à l’oreille qu’elle avait un cadeau "particulier" pour moi, et que je devais passer chez elle pour le récupérer. Ce que je fis quelques jours plus tard, étant en congés.
Je m’étais habillée d’une robe d’hiver en lainage assez courte, des bottines à talon, d’une paire de bas noirs, et un manteau. Je ne portais pas de sous-vêtements, je savais que ma belle-père apprécierait.
Arrivée chez elle, elle me fit rentrer dans son salon, et me fit enlever mon manteau. Elle me demanda sèchement pourquoi j’étais là, je lui répondis que je venais chercher mon cadeau de Noël.
Je reçu alors une violente giffle qui sous l’effet de surprise me mit les larmes à l’oeil. Elle m’insulta en disant que la salope que j’étais ne méritait pas de cadeau mais un bon dressage.
Elle me fit écarter les jambes et me mettre les mains sur la nuque.
J’obéis bien sûr. Elle en profita pour me peloter et passer sa main sous ma robe. Elle constata que la situation m’avait fait de l’effet : je commençais à mouiller. Elle qualifia ma tenue de dévergondée.
Elle me fit enlever ma robe. M’examina et commençait à me caresser. Elle me fourra ensuite sa langue dans ma bouche tout en me pelotant. Elle me dit que je lui plaisais et que j’étais à elle, et que contrairement à son crétin de fils, elle allait s’occuper de moi.
Elle me fit me mettre à genoux. Elle releva sa jupe et me demanda de lui enlever sa culotte. Je vu qu’elle portait une gaine porte jarretelle avec des bas chair. Elle m’attrapa par les cheveux et me colla contre sa touffe grisonnante en m’ordonnant de lui embrasser le sexe. Elle se retourna et m’ordonna l’ordre de lui lécher le cul. J’eus un peu de dégoût au début, mais une nouvelle giffle me fit reprendre mon léchage. Ma langue s’initiait dans son anus, et elle y prenait du plaisir. Elle me dit que comme j’étais une fille bien sage, elle me ferait un cadeau. Elle m’a ensuite remis le nez sur sa chatte, je sentais les effluves de sa cyprine qui commençait à sortir. Elle m’ordonna de la faire jouir avec sa langue, ce que je fis. La jouissance arriva assez vite. Pour finir, elle me gicla un peu de sa pisse dans la bouche que je dû avaler.
Pour me remercier, elle me tendit un paquet cadeau qui était sur la table du salon. Je l’ouvris : c’était un martinet à longue lanières noires avec un manche clouté noir. Mon cadeau de Noël.
Ma belle-mère qui avait repris ses esprits me dit que j’allais l’inaugurer et qu’elle allait à son tour me donner du plaisir. Je commençais à frissonner tout en sachant qu’elle allait m’en donner.
Elle alla chercher un collier de chienne qu’elle me mis autour du cou. Me fit mettre à genoux, et me demanda de prendre avec mes dents le manche du martinet qui était posé sur la table basse, comme la chienne que j’étais. Elle me mis ensuite un masque noir sur le visage et me demanda de prendre la pause, les mains derrière le dos.
Elle profita de ce moment pour me prendre en photo. Elle accédait en partie à ma demande faite une semaine auparavant pour prendre des photos de nos séances, pour les envoyer. Prudente et pas très emballée, elle avait accepté cette première photo mais tenait à ne pas apparaître dessus et à ce que j’ai le visage masquer (par discrétion pour notre famille).
Après un petit moment où elle m’a laissé seule dans ma position de soumission le martinet toujours en bouche, elle est revenue avec une laisse en cuir, qu’elle a accroché à mon collier après m’avoir enlevé le masque. Alors que j’allais me relever, elle me m’attrapa le téton droit qu’elle pinça et tordit. j’hurlai de douleur. Elle me dit que je n’avais pas à me relever sans son autorisation et m’obligea à me mettre à quatre pattes. Elle m’emmena ainsi jusqu’à son ancienne grange aménagée. Là, je dus tendre mes fesses la tête posée sur le sol froid. Elle décrocha la laisse, et me cingla à deux reprises la raie des fesses. J’ eu mal, mais la situation humiliante ne m’empêcha pas de mouiller. Je me suis demandé si je ne devenais pas maso… J’avais sous le coup lâcher le martinet, ce qui l’avais mise en colère, et me valu à nouveau deux coups de laisses qui atteignirent ma chatte du fait de mes cuisses écartées. Heureusement elle n’avait pas frappé trop fort, mais j’avais senti la poignée de la laisse s’abattre sur mes lèvres.
Elle de déchaussa, passa son pied dans ma fente qui s’ouvrait, et me fit lécher le bout de celui-ci.
Sale pute! me dit elle, tu aimes ça! Répond!
— Oui belle-maman.
— Comment? (en me mettant à nouveau un coup de laisse sur le bas du dos)
— Oui Maîtresse!
— Je préfère ainsi. Puisque tu aimes cela et que tu vas sur internet draguer les mâles, je vais te punir
Ma punition allait commencer (c’était vraisemblablement çà mon véritable cadeau de noël).
Elle m’ordonna de ramasser le martinet avec ma bouche et de l’apporter à sa maîtresse comme un bon toutou (ou plutôt une bonne chienne). Je m’exécutais. Une fois le martinet dans les mains elle me fit lui demander de la punir car j’étais une salope mal dressée.
Elle me fit me coucher sur le ventre. Me plaça des colliers de cuir aux chevilles munis de boucle (Mes bottines avait été enlevées au salon). Elle me demanda de ne pas bouger, et de rester face contre terre. Je sentis qu’on accrochait une chaîne à chaque cheville, et je me suis retrouvai progressivement suspendue par les pieds, c’était la première fois. je n’étais pas rassurée.
Ma belle mère me rassura. Elle avait fait mettre se dispositif dans sa grange avant Noël (C’était son cadeau à elle).
Elle me montra le martinet à longue lanière, et ma punition commença.
Malgré mes cris, elle me flagella sur tout le corps, en visant surtout mes mamelles qui pendaient retournées, et ma chatte, légèrement ouverte, le recto et le verso de mon corps.
Je suis rentrées toute marquée, le corps en chaleur.
Suite à cela, elle m’a fait remettre à 4 pattes, et a constaté en me mettant un doigt dans la chatte si cela m’avait fait de l’effet (oui…)
Elle m’a dit de ne pas bouger et est revenu avec son gros god ceinture et m’a baisée en levrette sans préliminaire ni ménagement. Ma belle mère était en forme (si je puis dire).
J’ai joui, et j’ai dû lécher le god et la chatte de ma belle-mère.
Je suis rentrée repue de cette après-midi, après avoir promis à ma belle-mère de venir la voir régulièrement une fois par semaine lorsque je ne travaillais pas.
Soumise Florence