Angèle est assise à califourchon sur mes cuisses et son petit ventre rebondi par la grossesse s’appuie sur le mien.
Sa vulve humide aux lèvres accueillantes enrobe ma queue déjà bien dressée. Nous restons ainsi de longues minutes à profiter de cette accalmie en nous serrant amoureusement l’un contre l’autre et en nous embrasant à pleine bouche.
Elle avale ma langue avec passion et en retour, j’explore sa bouche de la mienne ; j’ai vraiment de l’affection pour elle car c’est une gentille fille, très intelligente qui aime apparemment le sexe ; et j’ai pu m’en apercevoir.
Je ne l’ai encore pas pénétrée mais je sens que l’instant approche. Sans doute pense-t-elle la même chose car elle me dit :
— ? j’ai très envie que tu me pénètre.
— j’ai la même idée lui dis-je en l’écartant légèrement de moi pour lui faire constater l’état de rigidité de ma queue.
— Vas-y défonces-moi mon chéri, je veux sentir ta grosse queue dans ma chatte en manque.
Ces mots très crus, déclenche en moi un réflexe animal, aussi, je la déplace de dessus de moi et la positionne à quatre pattes sur le sol, les avant-bras appuyés sur le canapé ; ainsi son gros ventre ne risque pas d’être écrasé par mon poids. Je n’ai jamais baisé de femme enceinte mais je pense que cette position est la meilleur.
La vue de son cul bien rebondi et de sa chatte lisse et humide de foutre m’excitent au plus haut point aussi, je ne traîne pas en préliminaires ; je lubrifie mon gland sur ces lèvres vaginales pleines de foutre et je l’enfile d’un coup jusqu’à ce que mon pubis touche ces fesses.
Elle hurle de jouissance en cambrant les reins encore plus.
Je sens le fond de sa chatte heurter mon gland et les chairs de son vagin bien serré retiennent ma queue lorsque j’attaque un va et vient lent et régulier. La jouissance la submerge tandis que moi, je sens déjà que je dois me concentrer pour ne pas envoyer la sauce immédiatement tant je suis excité par cette petite pute d’Angèle ; je caresse ses jolies fesses rebondies, sans trace des vergetures courantes chez les femmes enceintes. Je les écarte afin d’admirer son anus très sombre cerné d’une bague d’au moins trois centimètres de diamètre qui s’ouvre et se resserre au gré de mes coups de pubis.
Je profite de cette levrette pour lui caresser le clitoris qui dépasse largement la taille normale. C’est vraiment son point fort car elle réagit immédiatement par un orgasme dévastateur pour le cuir du canapé qu’elle griffe comme une panthère.elle hurle des insanités bestiales.
Mes mains caressent également ces belles mamelles gonflées par le futur allaitement et j’accélère mes coups de reins, non sans prendre garde à ne pas être brutal pour le bébé qui doit se demander ce qui se passe.
Je balance quelques coups latéraux, histoire d’explorer et de ramoner également toutes les parois de son vagin chaud et humide. Elle réagit immédiatement à tout changement de rythme et de mouvement comme si elle était vierge. Ce qui n’est pas le cas évidemment ; néanmoins, j’ai l’impression que son mari n’a jamais du lui faire beaucoup l’amour.
Histoire de changer de côté, je la couche au sol latéralement à même la moquette épaisse et en me positionnant à cheval sur une de ses cuisses, je la pénètre à nouveau par la chatte. Cette position dominante, me permet de voir son visage magnifique et son corps tout autant excitant ; sans pour cela appuyer sur son ventre rond.
Je lui caresse et lui malaxe les nichons avec une certaine force qui semble lui plaire puisqu’elle réagit par des :
— ? oui, comme ça, fort ? tout en me tenant les mains sur ses seins en les pressant.
Elle veut semble-t-il du hard côté caresse, je pense que le manque qu’elle ressent depuis des mois, y est pour quelque chose, néanmoins, je reste viril, mais doux car je ne veux pas profiter de la situation et tout en continuant de lui labourer la chatte sous ses cris, je lui malaxe et lui griffe légèrement les seins et les tétons qui sont devenus maintenant très durs et gonflés.
C’est dans cette position qu’elle a un nouvel orgasme durant lequel j’ai beaucoup de mal à retenir ma semence car je souhaite lui faire durer le plus possible son plaisir.
— ? j’ai jamais joui ainsi, me souffle-t-elle en me tendant ses lèvres, tu es un vrai étalon toi.je sens ta queue qui n’a pas éjaculé. quand je pense que mon mari crache sa petite sauce au bout de trois minutes, il m’est même arrivé de me finir au doigt pendant qu’il allait prendre sa douche en courant.
— Il a un problème ton mec, peut-être est-il pédé ?
— Je sais pas, qu’il me le dise, je pourrais comprendre, mais là je reste dans l’inconnu avec lui.
— En tout cas moi je suis pas pédé, quoique que, à l’occasion, je me fais un petit minet de temps à autre s’il est mignon ; voire même un mec avec sa femme, cela m’est arrivé.
— Putain tu m’excites, je voudrais bien te voir enculer mon mari devant moi, que tu le fasses pleurer de douleur avec ta grosse queue.
— Pourquoi pas un jour, je peux du moins lui faire peur avec des pôtes à moi ! mais je ne voudrais pas qu’il te fasse du mal s’il se doutait de notre relation. De plus j’encule rarement les mecs sauf comme je t’ai dis s’ils me plaisent vraiment et c’est pas le cas de ton mari.
— Je vais avoir de la peine à dormir dans le même lit que lui, maintenant que je viens de vivre cette expérience avec toi. Comment fais-tu pour bander encore ?
— Je te regarde et cela me suffit, cela fait un mois que j’ai la queue en l’air chaque fois que je te croise et cela depuis le premier jour, je me suis même branlé et te regardant à travers l’oilleton de ma porte pendant que tu nettoyais le palier le lendemain de ton aménagement.
— Quoi, à ce point ?
— Je te jure, je suis toujours dans cet état ; je lui dis en regardant ma queue restée dans sa chatte et que je ressors à demi. Je n’ai pas débandé, et il faut dire que je maintiens ma trique ne continuant de remuer légèrement dans sa chatte, ce qu’elle ressent évidemment ; son excitation revient, je le vois dans ses yeux noirs et jouisseurs.
— ? maintenant encules-moi ? me dit-elle en haletant
— ? Comme tu veux, ta petite pastille m’excite depuis tout à l’heure, mais je n’étais pas sûr si tu aimais.
— J’adore me faire défoncer le fion, mais mon pédé de mari n’a jamais voulu, heureusement que j’ai un god jusqu’à présent.
Puisqu’elle en veut, je vais lui en donner, aussi je retire ma queue de sa chatte, elle est bien lubrifiée, je repositionne Angèle à quatre pattes, elle se cambre un maximum et je présente ma queue devant son anus que je badigeonne avec son foutre comme si je tenais un pinceau.
Une fois sa bague annale bien humide, je présent mon gland à l’entrée et je pousse lentement en lui écartant largement les chairs autour. Quant à Angèle, elle écarte elle-même ses fesses avec ses mains afin de ma faciliter la tâche.
elle en veut vraiment la salope. Moi qui la trouvais toute timide, je m’aperçois que c’est une véritable bombe côté cul. je pense que l’on va bien s’amuser tous les deux dans les mois qui viennent.si comme je l’espère nous continuons à bien nous entendre et je ne vois pas pourquoi cela changerait.
— Ah, oui, encore, défonces-moi comme une chienne. s’écrie-t-elle !
— Tiens prends ça dans ton cul, salope.
— oui, je suis une salope, continue de m’enculer, caresse-moi la chatte ? me dit-elle
Je ne me fais pas prier pour lui caresser tout en entrant deux doigts dans son vagin totalement détrempé de foutre qui dégouline à flot. je porte mes doigts dégoulinant de sa sauce vers sa bouche et elle me suce les doigts en se délectant de sa propre semence.
Sa bague annale est à la fois serrée et douce je vois la peau rose qui ressort lorsque je recule ; elle semble vouloir retenir ma queue enfoncée en elle.
Elle me demande à se mettre sur le dos afin de me voir la défoncer, ce que j’accepte avec d’autant plus de plaisir que j’adore enculer une femme en la regardant jouir ; aussi, je l’aide à changer de position et elle se présente bassin au bord du canapé jambe très relevée dans une position très impudique qui ne me cache rien de sa magnifique anatomie.
Je représente mon sexe gonflé de désir devant son petit trou déjà très dilaté et m’enfonce ce coup ci sans difficultés. Ses yeux se ferment et elle se mord les lèvres de plaisir en gémissant et se caresse la chatte avec ses doigts, et s’introduit deux doigts dans le vagin en criant son plaisir
— ? Défonce-moi le cul, crie-t-elle, ramone-moi comme une salope que je jouisse enfin, depuis le temps que j’attends une grosse queue dans mon cul.
Il faut dire que côté queue, je lui introduis mon calibre de 22 centimètres jusqu’à la garde et qu’avec ces jambes relevées, je dois lui toucher l’estomac à cette petite cochonne.quant au diamètre de mon monstre, il doit avoisiner les 6 cm tant je suis excité et que l’afflue sanguin atteint son maximum. Cela fait une heure que l’on a commencé à baiser et 25 bonnes minutes que je la lime par les deux trous.
Je la vois dégouliner de foutre par la chatte et ses hurlements augmentent car elle s’apprête à jouir à nouveau pour la x’ième fois, je ne sais plus.
je sens que je ne vais pas tarder à lui envoyer ma décharge dans le cul aussi je le lui dis et me met à la caresser également sur son clito tout en lui envoyant des coups de queue violent dans les intestins.
Brutalement je décharge en criant tandis qu’elle orgasme en synchrone avec moi, nos cris et grognements de plaisir se mélangent pendant que je me penche pour lui gober la langue que je suce comme un fou et redoublant mes coups de queue dans son cul.
Je m’effondre à ces côtés, elle se blottit dans mes bras et nous restons sur le sol ainsi pendant de longues minutes avant qu’Angèle ne se lève pour aller à la douche, quelques minutes plus tard, je la rejoins dans la salle de bain, je prends une douche à mon tour pendant qu’elle se sèche les cheveux ; puis sortant, je la prends affectueusement dans mes bras et l’embrasse à nouveau sur tout le visage tout en lui passant doucement la main en surface de son pubis
— ? Tu te rases souvent la chatte je lui demande.
Elle rosit légèrement,
— C’est ma petite sour qui me le fait, ainsi c’est mieux fini et j’évite de me couper me répond-elle
— Ta sour ?
— Oui, nous sommes ? très proche ? et avec mon imbécile de mari qui ne baise pas, il fallait que cela arrive, comme elle passe souvent la nuit chez moi, un soir, nous avons fait l’amour et depuis, grâce à elle, j’ai la chatte lisse et elle m’apaise un peu sur le plan sexuel même si rien ne vaut une grosse queue comme celle que je viens de rencontrer.
— Vous êtes deux cochonnes, je lui réponds faussement choqué
— Tu es choqué ? croit-elle devoir me répondre, inquiète de ma remarque
— Mais non, je rigole, au contraire, je trouve cela très normal et très.excitant, j’aimerais bien voir deux sours ensemble, je n’ai jamais eu l’occasion ; et pourtant, j’ai quelques expériences.
Mais j’ai bien l’intention de te laisser nous regarder et même plus puisqu’elle vient samedi me voir. Elle est encore vierge et ne veut pas aller avec n’importe qui ; moi maintenant je connais quelqu’un de bien à lui recommander
— Je crois le connaître, je lui dis en l’embrassant à nouveau et en songeant que décidément ma nouvelle voisine gagne à être connue.
(à suivre)
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