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Litige immobilier – Chapitre 3

Litige immobilier - Chapitre 3



J’arrive chez moi, je ferme la porte, m’assois sur le canapé, et commence à regarder dans le vide, fixant le mur blanc en face de moi, la télé éteinte, totalement chamboulé par ce que je venais de vivre, et n’en revenant toujours pas.

Je revis dans ma tête toute l’humiliation subie, les punitions de Cindy, son ton autoritaire, le sourire sournois et vicieux de Laura, ainsi que les regards amusés et surpris des collègues de Cindy quand ils assistaient à ma punition.

Tous les moments reviennent dans mon esprit, je ne peux penser à autre chose, incapable de bouger de mon canapé, de passer à autre chose.

J’ai l’impression d’être dans un rêve, ou plutôt un cauchemar, peinant à réaliser que cela venait bien de se produire.

J’ai tellement eu honte que j’en ai pris du plaisir, moi qui fantasme sur le fait d’être dirigé par des femmes charismatiques, j’avais été servi. Mais je ne pensais pas ressentir autant de gêne, en vivant ça en vrai. C’est un mélange étrange, entre excitation dingue et sentiment de honte ultime et de malaise.

Pourtant, quelque chose me dit que la suite allait être encore plus terrible. Cette Laura qui faisait la cliente innocente était en réalité une vraie perverse qui a pris plaisir à m’humilier devant Cindy, jouant avec mes nerfs, faisant la fausse ingénue, et m’ayant fait gicler à grands jets pour ensuite me faire passer pour un cochon et que je sois puni. Elle a réussi puisqu’elle a obtenu de Cindy ce qu’elle voulait : Je suis son larbin pour le week-end prochain, et vu sa perversité de cette après-midi dans le bureau de Cindy, je crains le pire…

Je vais devoir me rendre chez elle, faire le larbin. Qu’est-ce qu’elle prévoit ? Je me demande quelles sont ses limites…

Je broie du noir, n’arrivant pas à oublier tout ça, je deviens fou, j’allume la télé pour me changer les idées, pour penser à autre chose.

Je zappe, ne prêtant pas attention aux programmes qui passent, cette punition subie dans le bureau de Cindy me hante sans pouvoir m’en défaire. Je sens que cela m’excite en même temps, tout le paradoxe de cette situation (la honte alliée à la jouissance sexuelle) me fait dresser la queue dans mon pantalon, je décide de le baisser, je commence à repenser à Cindy et Laura, en train de m’humilier dans le bureau, et je commence à me branler, ma queue étant déjà raide comme une trique, et je sens que le liquide n’allait pas tarder à sortir, sans trop d’effort.

Dans ma tête, je revois tout (Cindy qui me crie dessus, moi qui suis déculotté debout, l’arrivée de Laura, les punitions subies, les rires moqueurs des clients et des collègues), et en moins de 2 minutes je gicle toute ma semence qui tombe sur le tapis du salon.

Je suis vidé, et je commence à être moins stressé. Je me fais à manger, même si je n’ai pas trop faim.

Je passe le reste de la soirée à essayer de penser à autre chose, je joue à la console, mais je n’arrive pas à oublier ce que j’ai subi, et ce qui m’attend (et c’est certainement ce qui m’angoisse le plus, l’inconnu, ne pas savoir à quoi m’attendre chez Laura).

Je finis par aller me coucher, et je ne parviens pas à m’endormir avant 2-3h du matin, ressassant sans cesse cette journée dans ma tête, tournant dans le lit de gauche à droite en tentant de trouver le sommeil.

Mon réveil sonne à 7h30, j’ai l’impression d’avoir dormi 5 minutes. Je me lève complètement décalqué, et je me prépare avant de partir au boulot.

Je passe une journée très difficile, je n’arrive pas à me concentrer, à écouter ma chef, qui me crie dessus car je fais des erreurs.

Je rentre chez moi le soir, complètement crevé, et je parviens à m’endormir sans trop de difficultés à cause de la fatigue cumulée.

La semaine se passe, je reste totalement déconcentré au travail, les jours se rapprochant de plus en plus vers le week-end chez Laura, et mon stress montant crescendo.

On arrive enfin à vendredi. L’échéance est toute proche.

Je rentre chez moi, puis à peine arrivé, mon téléphone sonne, c’est Cindy :

Oui allô ?

Bonjour Alexandre, alors, tu te souviens ce que tu dois faire demain j’espère ?

Ou… oui Cindy, je dois aller chez Laura, j’ai pas oublié.

Bien, je t’envoie son adresse par SMS, tu y vas à 9h00 précise demain, pas de retard toléré OK ?

Oui, compris Cindy.

Et tu mets un costume, tu es un larbin, je te rappelle, donc tu t’habilles en serviteur.

Oui Cindy.

Après cet appel, je décide de vite manger et d’aller me coucher me disant que plus tôt je m’endors, plus vite on sera à demain, et plus vite j’en aurais fini avec ce week-end angoissant.

Le lendemain, je suis réveillé par l’alarme de mon réveil que j’avais mis exprès à 7h00 pour avoir le temps de me préparer et de calculer le temps de trajet pour aller chez Laura.

Me lever un samedi matin à 7h00, moi qui ne travaille pas le samedi, et pour être le larbin d’une pétasse, ça me fait terriblement chier ! Mais ça m’excite aussi énormément…

Alors que je suis en train de me préparer, je reçois un SMS de Cindy qui me dit :

J’espère que tu es bientôt prêt cochon ! Laura t’attend pour 9h pétantes ! Ne sois pas en retard !

Je réponds à Cindy :

Oui Madame. Je suis bientôt prêt, j’allais mettre mon costume et je m’apprête à partir.

Cindy répond :

Tu mets le costume mais tu ne mets pas de slip.

Je suis surpris par son SMS. Je lui réponds :

Pas de slip ? Juste le costume, mais sans slip ?

Oui. Sans slip.

Bien Madame. Mais pourquoi ?

Tu ne poses pas de questions. Tu obéis, point.

Oui Madame, excusez-moi.

Et tu passeras acheter des fleurs à Laura avant d’y aller. Un beau bouquet à la hauteur du respect que tu lui témoignes.

Oui Madame.

Et tu devrais te dépêcher, si tu arrives en retard, je te laisse imaginer ce qui t’arrivera.

Oui Madame, je ne serai pas en retard, promis.

T’as intérêt, crois-moi. File, allez !

Je regarde l’heure. Il est déjà 8h15, Cindy m’a fait perdre du temps avec ses SMS et en plus, je dois aller chercher des fleurs à Laura avant d’y aller, je n’ai même pas regardé le temps du trajet pour y aller. Je commence à paniquer, je stresse totalement.

Je regarde sur le GPS, il me dit qu’il faut 23 minutes pour aller chez Laura. Ça me laisse à peine 20 minutes pour finir de me préparer et aller chercher les fleurs, merde !!!!!

J’enlève mon slip, mets le costume, je ne me sens pas à l’aise dedans, mon sexe et mes boules se baladent, et frottent sur le tissu du pantalon, c’est désagréable et gênant.

Je fonce prendre ma voiture, je m’arrête chez le fleuriste le plus proche. Il y a évidemment une queue monstrueuse, avec des vieilles qui n’ont visiblement que ça à foutre, acheter des fleurs un samedi matin bordel !

Je tente poliment de gagner quelques places en demandant à la dame devant moi si elle peut me laisser passer car je suis pressé.

Moi aussi, je suis pressé, jeune homme ! Vous vous prenez pour qui ? Vous attendez comme tout le monde !

Tous les clients me regardent méchamment à cet instant, me faisant passer pour un jeune sans gêne impoli et irrespectueux.

Je décide d’attendre, je n’ai pas le choix.

Après 10 minutes d’attente, j’arrive enfin devant la vendeuse qui me dit :

Vous désirez offrir des fleurs ?

Oui… si je suis là, c’est un peu pour ça en fait…

Et quel genre vous préférez ?

Je ne sais pas, j’ai pas le temps, faites-moi un joli bouquet, mais un truc classe par contre, et pas trop cher s’il vous plaît.

Pas trop cher ça ne veut rien dire, vous comptez mettre combien ?

Je ne sais pas, j’en ai aucune idée, ça coûte combien un bouquet ?

Mais tout dépend de ce que vous mettez Monsieur, des fleurs choisies, de la taille du bouquet.

Mais j’ai pas le temps !!!!! Je m’en fous, mettez en quelques-unes que ça fasse joli !

Monsieur, je vais vous demander de vous calmer un peu !

Excusez-moi Madame… mais je n’y connais rien… je ne sais pas du tout…

Ahahaha, vous n’offrez pas souvent des fleurs à des femmes vous, je me trompe ?

Oui, exact.

Bon, eh bien, je peux vous proposer un assortiment, un peu de chaque, généralement les dames adorent, et il y a plein de couleurs, et c’est assez hétéroclite.

Oui oui…ça me va.

Voilà, donc ça vous fait le bouquet à 45 Monsieur, s’il vous plaît.

M… merde c’est… c’ est cher…

C’est un bouquet Monsieur, j’ai fait au mieux, mais je peux recommencer si vous voulez.

Non, j’ai pas le temps merci, je le prends.

Je paye ce bouquet qui me semble assez cher, et je fonce chez Laura. J’ai moins de 10 minutes pour arriver chez elle, je prie pour ne pas avoir de bouchon ou d’accident sur le trajet qui me ralentirait.

J’arrive à l’adresse indiquée à 8h59, je me gare devant le portail.

Une murette fait le tour de la Maison, que j’aperçois en partie, dépassant au loin au-dessus de la murette. Cela semble être une belle maison, avec une allée entre elle et le portail, et une murette qui semble faire tout le tour, ce qui laisse penser à un domaine assez grand avec jardin.

J’arrive devant le portail, je vois un interphone. Je sonne.

Oui ?

B… Bonjour c’est… Alexandre…

Alexandre ? Alexandre qui ?

A… Alexandre LONBAR…

Connais pas, désolée.

J’entends le bruit de l’interphone qui raccroche. Je me sens totalement idiot. Je regarde l’heure : 9h01.

Je reçois un SMS de Cindy :

Alors, tu es arrivé, c’est bon ? Tu es avec Laura ?

Non. Je suis devant le portail, j’ai sonné mais elle m’a raccroché au nez.

Quoi ? Arrête de te foutre de moi, j’espère que tu plaisantes !

Non, je vous assure. Je me suis présenté, et elle m’a dit qu’elle me connaissait pas, et elle a raccroché.

Tu lui as dit quoi ?

Beh, je lui ai dit que j’étais Alexandre.

Et tu crois qu’elle se souvient de ton nom ?

Beh visiblement non.

C’est normal, elle se souvient certainement plus qui tu es, les prénoms, on les oublie.

Je fais quoi alors ?

Présente-toi, mais en donnant ta description.

Ma description ?

Oui, tu es quoi ?

Son larbin ?

Beh oui, voilà. Donc tu dis que tu es son larbin. Et si elle voit toujours pas, insiste, convaincs-la. Si tu n’y arrives pas, je te préviens, c’est toi qui seras puni, pas elle.

Oui Madame. Compris. Merci. J’essaye.

Je sonne à nouveau à l’interphone.

Oui ?

re… rebonjour Madame, c’est Alexandre… enfin… votre larbin…

Mon larbin ?… que voulez-vous dire ?

C’est moi qui dois venir passer le week-end pour être votre larbin Madame, sous les ordres de Cindy, la conseillère de Bouygues, c’est moi qui suis puni pour avoir giclé dans le bureau devant vous et Cindy, vous vous souvenez ?

A cet instant, j’entends rire à l’autre bout de l’interphone.

La sonnerie de déverrouillage se fait entendre, le portail est ouvert. Une voix dit de l’interphone :

Avance, longe l’allée jusqu’à la porte Blanche avec la poignée dorée, sur la terrasse.

J’avance le long de l’allée, un chemin fait de petits cailloux qui donne vers la maison, une grande bâtisse à deux étages, avec une belle terrasse, et sur les côtés, un grand jardin qui entoure la maison et semble se prolonger derrière la bâtisse, mais je ne vois pas d’où je suis.

J’arrive sur la terrasse, je m’approche de la porte blanche, et je sonne.

Je patiente une dizaine de secondes, puis la porte s’ouvre.

Je ne vois personne, mais j’entends une voix qui vient de l’intérieur et qui me crie de rentrer.

J’avance de quelques pas.

Ferme la porte !

Une voix féminine autoritaire me l’ordonne. Je referme la porte, puis la même voix me dit :

Avance jusqu’au tapis au centre de la pièce.

Je suis dans le noir, seul le tapis est éclairé par une faible lumière rouge. J’arrive au niveau du tapis, et d’un coup, la voix me crie :

Alors, comme ça, c’est toi le larbin ? Tu es ici parce que tu as giclé comme un cochon dans le bureau de ta conseillère immobilière ?

Ou… oui Madame… c’est bien moi.

A cet instant, j’entends des bruits de chuchotement, des gloussements, puis des rires discrets.

Je commence à rougir de honte, à craindre le pire.

La voix ajoute :

Eh bien, je pense qu’il est temps que ta punition commence cochon !!! Lumière !!!!

A cet instant, je me trouve au centre de la pièce, sur le tapis. La lumière rouge s’éteint, me laissant dans le noir quelques secondes.

Puis d’un coup, de petites lampes s’allument et éclairent légèrement la pièce autour de moi, laissant deviner une grande pièce carrée, en face de moi, ce qui semble être un escalier montant tout droit jusqu’au premier étage, puis se séparant sur les deux côtés pour monter au deuxième étage. La pièce semble vide et immense, je regarde autour de moi, et j’entends encore des rires, des gloussements, mais je distingue difficilement. Je ne suis pas seul, je suis certainement épié. Mais je ne vois personne pourtant.

Puis j’entends des bruits de talons aiguilles qui claquent sur le sol. Le bruit se rapproche de plus en plus de moi.

Les bruits de talons cessent, puis j’entends un bruit d’interrupteur.

Une lumière s’allume et je me retrouve en face d’une très belle femme, très grande, 1m82, brune, cheveux très longs, lisses, jusqu’aux épaules, une frange côté droit du visage, l’autre côté dégagé, chemisier échancré couleur turquoise, minijupe crayon élastique moulante noire, bottes en cuir montantes, vernis à ongles rouge vif, yeux bleus.

Je ne comprends pas qui est cette femme qui me fixe du regard, et qui est la femme la plus bandante et la plus impressionnante que j’ai pu voir dans ma vie.

Elle me regarde du haut de ses 1m82, et d’un air autoritaire et méprisant, m’ordonne :

A genoux larbin !!!! Et baisse les yeux devant moi !

Je ne sais pas qui est cette femme, mais je suis trop impressionné pour contester.

Je m’agenouille, les jambes toutes tremblantes.

C’est quoi ce bouquet de fleurs larbin, c’est pour moi ?

Je… je les ai achetées pour Laura, Madame… elle n’est pas là ?

Maîtresse Laura m’a dit de prendre sa place en attendant qu’elle termine ses affaires, donc en attendant, c’est à moi que tu obéis larbin, compris ?

Oui Madame.

Non, c’est Maîtresse Eva !

Oui Maîtresse.

Et va mettre le bouquet dans le vase là-bas en attendant, tu l’offriras à Maîtresse Laura quand tu la verras.

Oui Maîtresse. Mais… je comprends pas, vous l’appelez Maîtresse Laura ?

Oui, pourquoi cette question ?

C’est votre Maîtresse ?

Qu’est-ce que tu veux dire larbin ???

Je veux dire, vous êtes son esclave ?

Quoi, parce que je l’appelle Maîtresse ???

Oui.

Que tu es bête. Ici toutes les femmes s’appellent Maîtresses. C’est un titre de supériorité, on s’appelle toutes Maîtresses entre nous, mais ça ne veut pas dire qu’on est soumises les unes aux autres !

Ah  ! d’accord, excusez-moi.

Par contre pour toi, on est bien tes Maîtresses au sens « supérieures » et toi, tu es notre soumis !

Oui Maîtresse Eva, compris.

Bien, maintenant qu’on a fait les présentations, il est temps que tu commences ton travail de larbin, et tu découvres tes clientes.

Mes… mes clientes ?

Oui, les clientes que tu vas servir et satisfaire pendant tout le week-end, les voici !

Eva actionne un second interrupteur qui allume les dernières lumières restantes tout autour de la pièce, laissant apparaître une vingtaine de femmes toutes assises sur des chaises en cercle autour de moi.

Au moment où je les aperçois toutes, les femmes se mettent à hurler, à rire à gorge déployée, à applaudir, comme si elles assistaient à un spectacle dont j’étais le protagoniste.

Les femmes me fixent, me toisent, me jugent, se parlent entre elles, rigolent.

Je commence à me sentir très gêné. Eva m’interpelle :

Alors, larbin, reste pas planté là ! Demande aux clientes ce qu’elles désirent !

Oui… que… que désirez-vous mesdames ?

Une première cliente, la trentaine, blonde, cheveux courts, rouge à lèvres carmin, débardeur rose, minijupe plissée blanche, jambes nues, escarpins blancs à bouts ronds, intervient :

Moi, je ne serais pas contre un bon mojito bien frais, Monsieur larbin, ahaha !

Oui Madame, à vos ordres !

C’est Maîtresse Linda !

Pardon, de suite maîtresse Linda !

Je commence à me diriger vers le bar pour préparer le mojito, mais je suis interrompu par une autre femme :

Eeeeeeh larbin !! Et moi alors ! J’ai pas commandé !!! Moi aussi je veux un mojito !

Pardon, excusez-moi Maîtresse, je m’en occupe, maîtresse comment ?

Maîtresse Aïcha !!! Et dépêche-toi un peu larbin, on attend nous !!!

Oui Maîtresse Aïcha, je me presse !

A peine a-t-elle fini de parler que les commandes s’enchaînent et les femmes commencent à devenir hystériques et à se défouler sur moi. Evelyne, une femme âgée dans la quarantaine, un peu ronde, coupe carré plongeant, cheveux châtains, boucles d’oreilles en cercle dorées, rouge à lèvres bleu marine, yeux marrons, jupe fendue rouge, chaussures noires à talons hauts à brides croisées, décolleté plongeant bleu clair laissant apparaître une partie de ses seins taille 95-E, intervient à son tour :

Eeeeeh larbin, moi, je veux un thé glacé sans sucre et un fondant au chocolat maison ! De suite !

Suivie de Alison, une fille âgée d’environ 18-19 ans, avec un accent anglais, bonnet en laine vert paume, cheveux roses lisses mi-longs, t-shirt orange avec un smiley en colère, veste en cuir noire, jean troué et baskets blanches, qui ajoute :

Ouiiiiii, un fondant au chocolat, trop bon ça, moi aussi, j’en veux un !!!! Et je veux un mojito aussi, Monsieur larbin !

Puis les filles enchaînent les demandes sans temps mort, chaque fille ordonnant sa commande sitôt que la précédente finit sa phrase :

Moi, je veux un kir royal dans une flûte à champagne et un magasine people !!!

Et moi, je veux un orgasme ahahahaaaa !!!!

ahahahaaaa ouiiiii, moi aussi je veux un orgasme Monsieur larbin, sers-nous ça !!!!

Bon et mon mojito, il arrive bientôt ou je dois aller le faire moi-même larbin ???

Je n’ai pas le temps de souffler, je suis assailli de demandes de toute part, sans avoir le temps de me lancer, je suis interrompu sans arrêt. Ces femmes sont hystériques, elles vont me rendre fou.

Je prépare les mojitos, je tente de faire un fondant au chocolat, en même temps, je n’y connais rien, je ne sais pas comment faire, je panique. Je trouve un livre de recettes, je tente de le suivre, ça me semble impossible, je suis nul en cuisine.

Les femmes s’impatientent :

Alors larbin, c’est long !!!!

Oui, un peu de nerf !!!

On a pas toute la nuit !!!

Je reviens avec les mojitos, les gâteaux étant en train de cuire, et je n’ai pas eu le temps de préparer les autres cocktails.

C’était long ! J’espère qu’il est bon au moins mon mojito !

Je donne les autres mojitos aux filles et je commence à partir vers la cuisine quand une m’interpelle :

Eeeeeh larbin ! Elle est dégueulasse ta Pina Colada !!!

Quoi ??? Mais c’est un mojito Maîtresse.

Un mojito ???? Mais j’ai demandé une Pina Colada !

Mais… non je vous assure, vous avez toutes commandé un mojito.

A ce moment, la femme me renverse le contenu du verre sur le pantalon, et hurle :

Tu insinues que je mens, larbin ????

N… non Maîtresse…

Beh si ! Puisque tu dis que j’ai pas commandé une Pina Colada !

Une autre femme intervient :

Moi, je suis témoin, elle a bien commandé une Pina Colada, tu as rien écouté !

J’hallucine. Les femmes mentent et se soutiennent pour me rendre fou. La solidarité féminine, je suis foutu.

Eva intervient :

Larbin, c’est quoi ce travail ? Tu n’as pas fait ce qu’a ordonné la cliente ! Tu vas être puni pour la peine ! Et c’est la cliente qui va choisir ta punition ! Maîtresse Aïcha, comment voulez-vous le punir ?

Je propose qu’on lui retire son pantalon et qu’il nous serve en slip !

Hum excellente idée ça ! Larbin, retire ton pantalon !

A cet instant, je commence à trembler et à craindre la suite. L’idée d’enlever mon pantalon devant tout ce public de femmes m’excite mais me gêne terriblement. Puis je réalise soudain que Cindy m’a ordonné de ne pas mettre de slip. La honte allait être ultime.

Eva s’exclame :

Alors larbin, ce pantalon, ça vient ?

Je… Maîtresse… je… je ne peux pas… croyez-moi…

Quoi ???? C’est quoi ces manières ? Tu crois que tu es en mesure de discuter mes ordres et ceux de ta cliente ??? Obéis ! Le pantalon !!! Allez !

Non… je… c’ est impossible.

Impossible ? Ah bon ?

Eva avance vers moi, faisant claquer ses talons sur le sol, me regardant fixement en avançant, l’air froid et strict.

Les femmes assises autour sourient et semblent se délecter de la scène.

Eva sort une paire de ciseaux de sa poche, elle découpe les boutons qui tiennent mon pantalon qui tombe immédiatement à mes pieds, laissant apparaître mon service trois-pièces à ces dames, qui réagissent en étant à la fois outrées, captivées et mortes de rire :

Ahahahahaaaaaa, noooooooon il a pas de sliiiiiiiiiip le larbin, meeeerde ahahaaaa !!!!

Oh punaise, j’aimerais pas être à sa place, là ohlalaaaaa hihihiiiii !!!!

Mais quel cochon !!!! Comment peut-on ne pas mettre de slip sérieux ???

Les femmes me huent, m’humilient en criant, en me pointant du doigt, elles rient, elles tapent du pied par terre, elles applaudissent. Je suis rouge comme une pivoine, totalement cramoisi, et je commence à bander d’excitation et de honte, j’ai l’air ridicule la bite à l’air, le froc et le slip baissés, mais toujours avec ma chemise et mon nud papillon.

Eva me regarde méchamment, fronce les sourcils, et me dit :

Non, mais tu te crois où bordel ????? On avait dit en slip !!!! Tu oses montrer ton engin dégoûtant à toutes les filles là ????

Pardon Maîtresse Eva, je suis désolé… j’ai essayé de vous prévenir…

Me prévenir de quoi ??? Que tu étais un gros pervers dégueulasse qui met pas de slip ???

Non… enfin… oui… enfin… c’est Cindy qui m’a ordonné de pas en mettre…

Je comprends rien à ce que tu racontes, ferme-la, tu vas être puni connard !!!!

Oui Maîtresse.

Puisque tu aimes montrer ton « machin », tu vas continuer à servir les clientes, à leur obéir, à faire tout ce qu’elles veulent, et en érection totale ! Si tu débandes, c’est des coups de fouet sur le service trois-pièces jusqu’au retour de l’érection totale, compris ? Et interdit de gicler, sinon je te fais lécher tout ton foutre, je te mets une cage de chasteté, et je jette la clef dans la mare dehors, et tu devras aller la chercher toi-même dans la vase tout nu, compris ?

Oui Maîtresse…

Bien, alors mesdames, êtes-vous satisfaites du larbin ?

Les femmes semblent jubiler, elles sont toutes puissantes, savent qu’elles mènent la danse et qu’elles pourront tout faire de moi.

Evelyne prend la parole :

Et bien moi, je ne suis pas du tout satisfaite de la prestation vraiment ! Cela fait 20 minutes que j’attends mon fondant au chocolat et mon thé glacé !!! C’est comme ça que vous traitez vos clientes, Monsieur ? Si j’étais votre patronne, je vous aurais viré sur-le-champ sans indemnité !!!!

Oui… pardon Madame… je… je vous apporte ça de suite…

Non ! C’est trop tard maintenant, j’ai plus envie ! Venez ici !!!

Oui Madame… bien…

Et c’est Maîtresse Evelyne !!!!

Oui Maîtresse Evelyne, pardon…

Je m’avance vers Evelyne, pantalon baissé, la queue bandante et bien exposée, je manque de trébucher dans mon pantalon qui est entouré au niveau de mes chevilles, les filles rient, me huent, jubilent.

Je fais face à Evelyne, elle est assise sur la chaise, sa jambe droite par dessus sa jambe gauche, balançant son mollet de haut en bas, et son pied de gauche à droite, dans ses chaussures noires à talons hauts à brides croisées.

Stop !!!! ordonne Evelyne.

Je me retrouve à quelques centimètres de sa jambe.

Je suis votre cliente, je ne suis pas du tout satisfaite, donc que fait-on à un larbin qui déçoit sa cliente ?

Je… Je ne sais pas Maîtresse… on le punit…

Exact !!! Donc je vais te punir !!!!

Oui, Maîtresse Evelyne.

Je dois te punir sévèrement, afin que tu comprennes ton erreur, donc ça va pas être marrant !

Oui Maîtresse…

Evelyne sort une tige en métal longue de 12 centimètres environ, épaisse de 3 millimètres. Je me demande ce qu’elle compte en faire. Elle sourit avec un air vicieux, puis me dit avec une voix perverse :

Je vais t’enfoncer cette tige dans le trou de ton gland, entièrement, et tu devras la garder pendant ta punition, sans la faire tomber, sinon on recommence OK ?

Oh… je…..

Et bien entendu, tu dois pas débander, sinon tu seras fouetté et on recommencera aussi, compris ?

Oui… oui Maîtresse Evelyne.

Alors approche-toi que je te l’insère dans ton trou cochon !!!

Les filles explosent de rire, elles applaudissent, crient, félicitent Evelyne.

Evelyne commence à insérer la tige dans mon urètre. La sensation est terrible, ça brûle, et ça fait du bien en même temps, la tige semble rentrer difficilement, comme repoussée par les parois de mon canal.

Au fur et à mesure que la tige rentre, ma verge durcit et grandit de plus en plus, et les filles autour crient et gémissent, elles semblent excitées par le spectacle.

Evelyne parvient à enfoncer quasiment en entier la tige, seul le bout dépasse de quelques millimètres afin de pouvoir la saisir.

Bien larbin, maintenant, ta punition, tu vas retirer mes chaussures, me masser les orteils et la plante des pieds, puis me les lécher un par un. Quand je serai suffisamment comblée et satisfaite, ta punition sera levée. Au travail !!!!

Je retire les chaussures d’Evelyne, en défaisant les lacets qui entourent sa cheville, la chaussure tombe par terre en faisant un grand bruit « cloc », laissant apparaître son pied nu de taille 42, longs orteils fins vernis en mauve, ongles longs, une bague au doigt de pied du milieu.

A cette vue, je suis terriblement excité, moi qui suis fétichiste de ce genre de pieds féminins. Je rougis, et bande de plus en plus. Evelyne ne manque pas de le remarquer, ce qui lui procure une excitation la faisant gémir légèrement, et m’ordonnant de me dépêcher à lui enlever l’autre chaussure.

J’enlève la seconde chaussure qui tombe sur le sol à son tour.

Je suis à genoux devant la dame, son pied droit posé sur mon sexe, et son pied gauche devant mon visage, Evelyne agitant ses orteils tout en me demandant :

Masse-moi le pied, larbin !!!

Je commence à masser la plante du pied gauche d’Evelyne qui ferme les yeux et gémit doucement, se mordillant les lèvres.

Lèche-moi les orteils, vite viiiiite !!!

Je saisis son pied à deux mains par les côtés, et commence à sucer le premier orteil, le plus petit, goulûment. Prise d’excitation et de plaisir, Evelyne, toujours les yeux fermés, appuie fortement sur mon sexe avec son pied droit comme pour tenter de contenir son excitation, ce qui a pour effet de me faire bander encore plus. Les filles autour commencent elles aussi à être totalement excitées, je les entends de moins en moins crier, elles se caressent les seins, se mettent la main au panier, se branlent.

Linda s’exclame :

Huuuuum, il est plus doué pour les massages que pour la cuisine le larbin visiblement, ahahaah !

Suivie par Sylvie, femme discrète qui n’osait rien dire jusqu’à présent, la trentaine, blonde platine, coupe chignon, lunettes, pull à col roulé beige, legging rose, chaussures de sport grises qui se sentant en confiance en voyant toutes les femmes se toucher et gémir, s’exprime à son tour :

Qu’il vienne nous lécher la touffe le larbin !!! A toutes les filles !!!!

Les femmes sont surprises, interloquées, dans un premier temps. Puis elles se mettent à sourire, à se mordre les lèvres de plus en plus frénétiquement, et appuient l’argument de Sylvie :

Ouais, elle a raison tiens !!!! Viens nous lécher la minette larbin !!!! Fais-nous jouir ouiiiii !!!!

Et attention à ton sexe larbin, n’oublie pas que si tu débandes ou que tu fais tomber la tige, tu seras puni ahahaaaaaaaaaa !!!!!

Les filles deviennent folles, elles semblent se libérer totalement de leur libido et commencent à retirer leur culotte ou leur string, puis me les jettent dessus en riant.

Evelyne me fixe méchamment du regard puis me dit d’un air autoritaire :

On a pas fini nous deux, larbin ! Tu as pas intérêt à me laisser pour aller lécher les chattes trempées de ces femmes !!!!

Mais… Maîtresse, ce sont elles qui le demandent.

Je m’en fiche, c’est pas mon problème, si tu finis pas, tu seras puni !!!!

Les filles insistent :

Dépêche-toi larbin !!!! Tu crois qu’on va rester la chatte à l’air longtemps comme ça ???

Je ne sais plus quoi faire, les filles me crient dessus, me jettent tout ce qui leur passe par la main en me huant.

Je décide d’abandonner Evelyne, et je me dirige vers Alison qui m’offre sa touffe velue naturelle, jambes écartées, lèvres en camelote.

Ouiiiii, viens vite me lécher mon buisson larbin !!!! Vite, sinon je te punis huuuum !!!

Chaque fois qu’une femme me crie dessus de façon autoritaire en me donnant des ordres sous peine d’être puni, ça m’excite terriblement et ma queue durcit encore plus. Je fonce vers la chatte poilue d’Alison qui semble être encore vierge.

Alison ajoute :

On your knees mother fucker, and Lick my pussy !!!!

Elle me parle en Anglais, heureusement je comprends qu’elle m’ordonne de m’agenouiller et de lui lécher la chatte. Elle semble visiblement préférer parler en anglais quand elle est excitée.

Hurry up !!! Lick it !!! Lick lick lick come on !!!! Lèche mon minou !!!!

Je suis totalement excité, la honte a fait place au plaisir, ma queue est dressée et totalement dure, je lèche la touffe de cette fille, couverte de poils, naturelle, lèvres serrées. Je lèche partout, autour, dedans, les lèvres, le clitoris, les poils. Alison couine, elle m’attrape les cheveux et me serre fort en appuyant ma tête contre sa chatte :

Yeeeeeeeees Oh myyyyyy god mother fucker yeeeees yeeeese yeeeeees keep on licking yeeees like that huuuuum yeeeeeeeees !!!!

Alison semble vraiment jouir de plaisir, elle me cramponne les cheveux de plus en plus fort et gémit comme une salope.

Pendant que je lui lèche vaillamment la vulve, elle se tripote le clitoris à toute vitesse, criant de plus en plus fort, puis d’un coup, m’expulse un torrent de mouille dans la face.

Ooooooooh myyyyy goooooood aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !!!!!!!!!!

Alison crie de plaisir, tremble comme une feuille, prise de convulsions, et elle met quelques minutes à s’en remettre.

Je suis à cet instant à genoux, face à sa chatte trempée, jambes écartées, Alison semble comblée.

D’un coup, je sens une forte douleur sur mes couilles.

Evelyne était en train de les serrer fortement, elle crie avec un ton autoritaire :

Sale petit connard de merde !!!! Tu te prends pour qui ??? Tu crois qu’on peut me laisser en plan comme ça ??? On avait pas fini, je t’avais prévenu que tu serais puni si tu désobéissais !!!

Je ne pensais plus à Evelyne, l’excitation avec Alison était telle que j’avais oublié notre séance de léchage d’orteils avec Evelyne.

Je vais te montrer qu’on ne se moque pas de moi sans conséquence !!!! Je vais te faire souffrir dans ce qui est de plus cher pour vous les hommes : votre virilité !!!

Je suis totalement à sa merci, à genoux, sa main serrant mes couilles, me laissant sans défense et mort de douleur, m’obligeant à me mettre à quatre pattes comme un chien. Les femmes tout autour profitaient du spectacle, et se caressaient toujours tout en ouvrant grand leurs yeux.

Evelyne attrape un objet dans son sac, elle le montre aux filles qui réagissent toutes de la même façon en ouvrant grand leur bouche et en mettant leur main devant, comme choquées par ce qu’elles voyaient. Etant à quatre pattes et de dos à Evelyne, je ne voyais pas ce qu’elle tenait dans sa main mais je craignais le pire.

Regardez les filles, je le mets où à votre avis ?

D’un coup, je sens qu’ Evelyne m’enfonce un truc énorme dans l’anus, je crie comme un cochon, j’ai terriblement mal, et je ne sens que l’objet bouge à l’intérieur de mon cul.

Les filles éclatent de rire, applaudissent.

Evelyne venait de m’enfoncer un gode vibrant et tournant, mais le genre de gode douloureux, en forme de main, qui tourne à l’intérieur, comme si on m’administrait une fouille rectale.

Je couine comme une truie, les filles jubilent, se touchent, mouillent de plaisir.

Evelyne n’en a pas fini avec moi. Elle attrape un martinet à clous qu’elle a elle-même amélioré pour qu’il fasse terriblement mal.

Quand on mécontente une cliente, la cliente réclame des dommages et intérêts ! Et voilà ta sentence larbin : tu vas être fouetté 50 fois à la verge pour m’avoir mal servie !!!

Je suis à quatre pattes, toujours face à la chatte velue et trempée d’Alison qui me fixe du regard en se mordant les lèvres, comme si elle avait hâte de voir ma punition.

Evelyne commence à me fouetter la verge, le martinet à clous me déchirant la peau de la bite, la faisant saigner et me faisant crier comme un porc.

Tiens cochon !!!! Et un et deux et trois et quatre !!!! tchac tchac tchac tchac !!!!

Uiiiiiiiiiiiiiiiiiii uiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii aaaaaaaaaaaaaaargggg !!!! (je hurle comme une truie, je me tords de douleur)

Et on continue ! Et cinq six sept et huit, puni le cochon !!!! tchac tchac tchac tchac !!!!

uiiiiiiiiiiii uiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ouiiiiiiiiiiiiiiiin pitiééééé maîtresse Evelyne, pitiééééé !!!!

Ahahahaaaaa couine cochon couine !!!! Ouuuuuh le gros cochon !!!! Il se fait punir il se fait punir tout nu tout nu !!!!! Il se fait fouetter la queue, il se fait fouetter la queue ouhlalaaaa ahhahaaaa !!! Tiens, neuf dix onze douze treize quatorze quinze !!!!!

Evelyne me roue de coups, ma verge pisse le sang, mon cul me brûle avec le gode enfoncé, je pleure comme une fillette, je couine comme une truie, je suis totalement humilié devant toutes les filles qui jubilent et ne ratent pas une miette du spectacle. Elles se masturbent la vulve de plus en plus fort, gémissent, crient de plaisir, en me voyant souffrir et me faire humilier ainsi.

Evelyne reprend :

On a dit 50 coups de fouet larbin, c’est loin d’être fini, tu vas tenir tu crois ? Ahahahaa !!!! Seize dix-sept dix-huit dix-neuf…

Soudain une femme intervient en criant :

C’est quoi ce cirque ???? Vous vous croyez où ????

Tout le monde se tait.

Je me tourne en direction de la voix, c’est Laura.

Eva s’exclame :

Maîtresse Laura, vous êtes là. On vous attendait.

J’ai posé une question, il me semble : vous vous croyez où ????

Je regarde Eva, ainsi que les femmes qui ne disent plus rien, comme si elles étaient pétrifiées par Laura, n’osant pas lui répondre.

A cet instant, je sens une énorme gifle m’arriver sur la joue.

Laura se tient face à moi, debout, les mains sur les hanches, je suis toujours à quatre pattes par terre, défroqué, la bite en érection et en sang, le gode dans le cul.

Je ne parle pas Français ? Je vous ai posé une question !!!

Mais… c’est à moi que vous parliez Madame ????

Non mais vous croyez que je parle à qui ???? A mes invitées ??? C’est pas elles qui sont la bite à l’air dans mon salon !!!!

Mais c’est normal, ce sont des femmes, elles ont pas de bite… mais elles sont nues elles aussi…

Mais quelle audace !!!! Vous me répondez en plus ! Vous venez chez moi, dans ma demeure, et vous exhibez votre sexe à mes invitées, et vous osez vous défendre en accusant mes invitées !!!!

Non Madame… je… je…

Bon ça suffit, j’en ai assez. Déshabillez-vous complètement, je vais vous montrer comment on traite les pervers ici.

Les femmes assistent à la scène totalement bouche bée, mais leur chatte trempée par l’excitation, elles continuent à se caresser, et semblent attendre avec impatience la suite du programme, orchestrée par la Maîtresse des lieux, Laura.

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