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Dressage tardif – Chapitre 1

Dressage tardif - Chapitre 1



Bonjour, je vais vous raconter cette histoire telle que mon père me l’a transmise récemment, aussi vais-je raconter comme si j’étais lui pour simplifier la compréhension.

Mon père et moi avons depuis longtemps une relation particulière et n’ayant pas de tabous nous nous racontons beaucoup de choses, il va sur 49 ans, voici son histoire.

— Je m’appelle Eric, je suis célibataire depuis maintenant 11 ans et la situation n’est pas pour me déplaire car je peux de cette façon assouvir mes pulsions, je suis un vrai pervers et ne m’en cache aucunement.

J’ai donc pris l’habitude de fréquenter des endroits stratégiques car j’aime les femmes soumises et obéissantes. Ce que je préfère par dessus tout c’est dresser durement une novice. C’est pourtant en allant chercher mes cigarettes que je suis tombé sur Virginie, 1m55, toute mince, un minuscule cul qui m’a donné des idées immédiatement, très androgyne et j’adore ça, cheveux courts lunettes, elle était devant moi dans la queue et j’avais une vue directe sur ses toutes petites fesses, j’ai vite commencé à avoir des idées, elle se retourne à ce moment et je lui souris, contact établi, je suis assez avenant et je sais lui avoir plu.

Je suis en revanche surpris car elle a un certain âge, je lui donnait la quarantaine de dos mais elle doit avoir dépassé les soixante, ce qui ne l’empêche pas d’être très excitante, nous commençons à papoter, je la fais rire et elle apprécie. Nous nous voyons plusieurs fois durant les jours suivants, puis nous dînons et terminons la soirée chez elle.

Elle me fait vite comprendre qu’elle est seule depuis trop longtemps et nous nous retrouvons nus en 69 en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, comme je l’ai dit je suis assez vicieux, à peine installés je lui enfonce deux doigts dans le cul pendant qu’elle me pompe le sexe, celui ci fait 21 cm et je vois qu’elle a du mal à le prendre en entier.

Son corps est exactement comme je l’imaginais, tout simplement magnifique, elle a 68 ans mais n’a jamais eu d’enfant et elle a une chatte de jeune femme et un petit trou tout serré qui n’a visiblement jamais été visité.

Je lui masturbe l’anus brutalement et sans vergogne et de l’autre main lui appuie sur la tête pour qu’elle aspire mon sexe en entier. Je sens brusquement des gouttes chaudes me couler sur la verge et je devine qu’elle pleure, je suis un pervers mais pas un goujat, aussi je stoppe mes affaires et lui demande de me dire si un truc ne lui plait pas, elle me répond que tout va bien mais je sens bien qu’elle est très mal à l’aise et je devine qu’elle est toujours restée très sage vis à vis de l’acte sexuel.

Je lui explique donc que j’aime les femmes très entreprenantes et surtout qui ne discutent pas mes exigences sexuelles mais qu’elle doit être d’accord, ce que je considère comme la moindre des choses. Nous décidons donc d’un commun accord d’en rester là car je ne veux pas la traumatiser.

Je pense beaucoup à elle car je dois dire qu’elle m’a énormément excité, elle a un corps de jeune femme ce que je trouve incroyable et est en plus encore jolie de visage même si son âge est plus marqué. Mais je pense lui avoir faire peur.

Cependant elle me contacte en me disant qu’elle veut me parler, nous nous donnons rendez-vous dans un bar du quartier.

J’y vais, elle est là à m’attendre, elle a mis une mini-jupe, des bottes montantes et un pull col roulé blanc (nous sommes en hiver) s’est maquillée très sexe, ses seins font un respectable 85C ce qui lui fait une très jolie poitrine car son pull est très moulant, je devine qu’elle n’est pas ici que pour discuter.

Je l’embrasse, m’installe, elle attaque bille en tête en me disant qu’elle en a marre d’être seule et qu’elle acceptera absolument tout ce que je veux pour qu’on puisse être ensemble.

-Tu es sûre Virginie? Tu comprends que tu vas devenir ma pute et ma salope et que je n’admets aucune discussion?

-Oui, j’ai bien compris ce que tu veux, je me suis même renseignée, mais je ne sais pas si je pourrais, j’ai un doute.

-Si tu as le moindre doute, je me lève et c’est la dernière fois qu’on se voit.

Et je fais mine de partir, elle me retient par le bras.

-Non, reste, je ferais tout sans discuter, promis.

-A partir de maintenant tu es ma pute, dis le.

Elle n’hésite qu’une seconde avant de me répondre.

-Je suis ta pute, dis moi ce que tu veux.

-Pour commencer tu vas me bouffer la bite ici, sur la banquette, compris salope?

Elle regarde autour de nous, c’est calme mais si elle me suce il y a de fortes chances qu’on la voit, cependant elle décide vite d’obéir, s’assoit à côté de moi sur la banquette et sort ma queue déjà à moitié tendue d’excitation puis se baisse et commence à me pomper doucement, je lui attrape la tête et la force à me prendre jusqu’aux couilles.

Elle se redresse surprise.

-Tu fais quoi salope? Bouffe la moi, vite, je croyais que tu avais compris les règles.

Je lui prends brusquement la tête, elle ne résiste pas et se retrouve de nouveau avec ma bite dans la gorge, je la tiens fermement, je sens mon gland glisser dans son oesophage, je suis tellement excité que je sens la sève monter et je vide mes couilles dans sa gorge.

-Avale tout salope, pas une goutte à côté.

Elle s’exécute et me lave même la queue avec sa langue. puis me regarde droit dans les yeux où je lis enfin qu’elle est prête à commencer son dressage.

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